Arbre

 

 

 

L’arbre berce l’équilibre. L’arbre berce l’érection de l’équilibre. L’arbre berce le vertige. L’arbre berce le vertige de l’équilibre. L’arbre berce l’érection de vertige de l’équilibre.

 

L’arbre improvise l’équilibre. L’arbre improvise l’érection de l’équilibre. L’arbre improvise la lenteur de l’équilibre. L’arbre improvise l’érection de lenteur de l’équilibre.

 

L’arbre jaillit l’équilibre. L’arbre jaillit l‘érection de l’équilibre. L’arbre jaillit la lenteur de l’équilibre. L’arbre jaillit l’érection de lenteur de l’équilibre.

 

L’arbre possède l’équilibre. L’arbre possède l’entrelacs de l’équilibre. L’arbre possède le vertige de l’équilibre. L’arbre possède l’entrelacs de vertige de l’équilibre.

 

L’arbre possède l’érection de l’équilibre. L‘arbre possède le vertige de l’équilibre. L’arbre possède l‘érection de vertige de l’équilibre.

 

L’arbre improvise la lenteur debout. L’arbre jaillit la lenteur debout. L’arbre improvise la lenteur debout de l’équilibre. L’arbre jaillit la lenteur debout de l’équilibre. L’arbre improvise l’érection de lenteur de l’équilibre. L’arbre jaillit l’érection de lenteur debout de l’équilibre. L’arbre improvise jaillit l’érection de lenteur de l’équilibre.

 

 

L’arbre tamise l’écartèlement. L’arbre tamise l’écartèlement de la paralysie. L’arbre tamise l’écartèlement du vertige. L’arbre tamise l’écartèlement de paralysie du vertige. L’arbre tamise l’écartèlement de vertige de la paralysie. 

 

L’arbre ajoure l’équilibre. L’arbre ajoure l’arôme de l’équilibre. L’arbre ajoure l’arôme du vertige. L’arbre ajoure l’arôme d’équilibre du vertige. L’arbre ajoure l’arôme de la paralysie.  L’arbre ajoure l’arôme de vertige de la paralysie.

 

L’arbre projette une prolifération de tempes. L’arbre projette la prolifération de tempes de l’équilibre. L’arbre projette la prolifération de tempes de la paralysie. L’arbre projette la prolifération de tempes de l’équilibre paralysé. L’arbre projette la prolifération de tempes du vertige. L’arbre projette la prolifération de tempes du vertige paralysé.

 

 

L’arbre amalgame la distinction. L’arbre amalgame la distinction de la paralysie. L’arbre amalgame la distinction de l’agilité. L’arbre amalgame la distinction de la paralysie agile. L’arbre amalgame la distinction de l’équilibre. L’arbre amalgame la distinction de l’équilibre agile. L’arbre amalgame la distinction du vertige. L’arbre amalgame la distinction du vertige paralysé. L’arbre amalgame la distinction du vertige agile. L’arbre amalgame la distinction du vertige paralysé agile.

 

 

L’arbre exclame l’oxygène de l’engourdissement. L’arbre exclame l’oxygène d’engourdissement de l’équilibre. L’arbre exclame l’oxygène d’engourdissement de la paralysie. L’arbre exclame l’oxygène d’engourdissement de l’équilibre paralysé. L’arbre exclame l’oxygène d’engourdissement du vertige. L’arbre exclame l’oxygène d’engourdissement du vertige paralysé.

 

 

L’arbre affirme le tourbillon de la sérénité. L’arbre affirme le tourbillon de l’équilibre. L’arbre affirme le tourbillon de sérénité de l’équilibre.

 

L’arbre berce l’emprise de l’équilibre. L’arbre berce l‘emprise de la certitude. L’arbre berce l’emprise d’équilibre de la certitude.

 

L’arbre berce l’ouverture des yeux. L’arbre berce l’ouverture immense des yeux. L’arbre berce la lucidité. L’arbre berce l’emprise de la lucidité. L’arbre berce l’emprise de lucidité de l’équilibre. L’arbre berce l’emprise de lucidité de la certitude.

 

 

L’arbre affirme l’exaltation de la ténacité. L’arbre affirme l’exaltation du calme. L’arbre affirme la ténacité du calme. L’arbre affirme l’exaltation de ténacité du calme. L’arbre affirme l’exaltation tacite du calme. L’arbre affirme la ténacité tacite du calme. L’arbre affirme l’exaltation de ténacité tacite du calme.

 

L’arbre affirme l’exubérance de la volonté. L’arbre affirme l’exubérance du calme. L’arbre affirme l’exubérance de volonté du calme.  L’arbre affirme l’exubérance rythmique du calme, l’exubérance de volonté rythmique du calme.

 

L’arbre affirme l’exubérance tenace du calme. L’arbre affirme l’exubérance tacite du calme. L’arbre affirme l’exubérance tenace tacite du calme.  

 

L’arbre exclame l’exubérance du repos. L’arbre exclame l’exubérance tenace du repos. L’arbre exclame l’exubérance tacite du repos. L’arbre exclame l’exubérance tenace tacite du repos.

 

 

L’arbre schématise l’exubérance de la volonté. L’arbre schématise l’exubérance du calme. L’arbre schématise l’exubérance de volonté du calme.

 

L’arbre schématise l’exubérance de contemplation du calme. L’arbre schématise l’exubérance de volonté contemplative du calme.

 

L’arbre schématise l’exubérance de ténacité du calme. L’arbre schématise l’exubérance de volonté tenace du calme, l’exubérance de ténacité contemplative du calme, l’exubérance de volonté contemplative tenace contemplative du calme.

 

 

L’arbre improvise la pulsion de l’équilibre. L’arbre improvise la pulsion du calme. L‘arbre improvise la pulsion d’équilibre du calme.

 

L’arbre improvise la volonté de l’équilibre. L’arbre improvise la volonté du calme. L’arbre improvise la volonté d’équilibre du calme.

 

L’arbre contemple la pulsion d’équilibre de la volonté. L’arbre contemple la pulsion d’équilibre du calme. L’arbre contemple la pulsion d’équilibre de la volonté calme. L’arbre sculpte la pulsion d’équilibre de la volonté. L’arbre sculpte la pulsion d’équilibre du calme. L’arbre sculpte la pulsion d’équilibre de la volonté calme. L’arbre contemple sculpte la pulsion d’équilibre de la volonté. L’arbre contemple sculpte la pulsion d’équilibre du calme. L’arbre contemple sculpte la pulsion d’équilibre de la volonté calme.

 

 

L’arbre affirme l’héroïsme de l’ahurissement. L’arbre affirme l’ahurissement du calme. L’arbre affirme l’héroïsme d’ahurissement du calme. L’arbre affirme l’héroïsme de l’ahurissement tenace. L’arbre affirme l’héroïsme d’ahurissement tenace du calme.

 

L’arbre affirme les acrobaties de l’ampleur. L’arbre affirme les acrobaties du calme. L’arbre affirme les acrobaties d’ampleur du calme.

 

L’arbre transfuse les hurlements. L’arbre chloroforme les hurlements. L’arbre transfuse le chloroforme des hurlements. L’arbre transfuse le chloroforme de hurlements du calme.

 

L’arbre axe le brouhaha du calme. L’arbre axe le brouhaha de sperme du calme. L’arbre axe le brouhaha de fraicheur du calme. L’arbre axe le brouhaha de sperme frais du calme.

 

 

L’arbre tient. L’arbre tient entre terre et ciel. L’arbre tient debout. L’arbre tient debout entre et ciel.

 

L’arbre tient illisible. L’arbre tient illisible entre terre et ciel. L’arbre tient debout illisible. L’arbre tient debout illisible entre terre et ciel.

 

L’arbre palpite le paradoxe de tenir debout. L’arbre palpite le paradoxe de tenir debout entre terre et ciel. L’arbre pulse le paradoxe de tenir debout. L’arbre pulse le paradoxe de tenir debout entre terre et ciel. L‘arbre palpite le paradoxe de paralysie de tenir debout. L’arbre palpite le paradoxe de paralysie de tenir debout entre terre et ciel. L’arbre pulse le paradoxe de paralysie de tenir debout. L’arbre pulse le paradoxe de paralysie de tenir debout entre et ciel.

 

 

L’arbre tient  bon. L’arbre tient bon à l’intérieur de la terreur. L’arbre tient bon par la terreur. L’arbre tient bon par le miracle de la terreur. L’arbre tient bon par l’aisance de la terreur. L’arbre tient bon par le miracle d’aisance de la terreur.

 

L’arbre tient l’amour debout. L‘arbre tient l’amour debout entre terre et ciel. L’arbre tient l’amour absolu debout. L’arbre tient l’amour absolu debout entre terre et ciel.  L’arbre tient l’amour illisible debout. L’arbre tient l’amour illisible debout entre terre et ciel. L’arbre tient l’amour absolu illisible debout. L’arbre tient l’amour absolu illisible debout entre terre et ciel.

 

 

L’arbre absorbe vouloir. L’arbre absorbe vouloir accroupi. L’arbre absorbe vouloir debout. L’arbre absorbe vouloir accroupi debout. L’arbre absorbe vouloir entre terre et ciel. L’arbre absorbe vouloir accroupi debout entre terre et ciel.

 

L’arbre affirme l’obscénité de la solennité. L’arbre affirme l’obscénité de solennité d’apparaitre debout. L’arbre affirme l’obscénité de solennité d’apparaitre debout entre terre et ciel.

 

L’arbre se tient debout face au ciel afin de démesurer l’herbe. L’arbre se tient debout entre terre et ciel afin de démesurer l’herbe. L’arbre se tient debout entre terre et ciel afin de démesurer l’odeur de l’herbe. L’arbre se tient debout entre terre et ciel afin de démesurer la gravitation de l’herbe, afin de démesurer l’odeur de gravitation de l’herbe.

 

 

L’arbre savoure le ciel. L’arbre savoure la voûte du ciel. L’arbre savoure la globalité du ciel. L’arbre savoure la voûte intégrale du ciel. L’arbre savoure le globe intégral du ciel.

 

L’arbre touche le chant du ciel. L’arbre touche l’architecture du ciel. L’arbre touche le chant d’architecture du ciel.

 

L’arbre dit à chaque instant bonjour au ciel. L’arbre dit à chaque instant bonjour et au-revoir au ciel. L’arbre dit à chaque instant à la fois bonjour, au-revoir, à bientôt et merci beaucoup au ciel.

 

 

L’arbre exclame l’alliance de la terre et du ciel. L’arbre exclame l’alliance de monotonie de la terre et du ciel. L’arbre exclame le rendez-vous de la terre et du ciel. L’arbre exclame le rendez-vous de monotonie de la terre et du ciel.

 

L’arbre exclame le montage de la terre et du ciel. L’arbre exclame le montage de fraicheur de la terre et du ciel. L’arbre exclame le montage de monotonie de la terre et du ciel. L’arbre exclame le montage de fraîcheur monotone de la terre et du ciel.

 

 

L’arbre dispose l’entrelacs du jour et de la nuit. L’arbre dispose l’entrelacs de la terre et du ciel. L’arbre entrelace le jour de la terre à la nuit du ciel comme la nuit de la terre au jour du ciel. L’arbre dispose l’entrelacs du jour de la terre avec la nuit du ciel comme de la nuit de la terre avec le jour du ciel.

 

L’arbre amalgame les saisons et les jours. L’arbre entrelace les saisons et les jours. L’arbre amalgame entrelace les saisons et les jours. L’arbre amalgame entrelace les saisons de la terre et les jours du ciel. L’arbre amalgame entrelace les jours de la terre et les saisons du ciel.

 

 

L’arbre inscrit la trajectoire du jour. L’arbre inscrit la trajectoire du jour avec la couleur de la nuit. L’arbre inscrit la trajectoire du jour à l’intérieur de la couleur de la nuit. L’arbre inscrit la trajectoire du jour avec à l’intérieur de la couleur de la nuit.

 

L’arbre inscrit l‘équilibre du jour. L’arbre inscrit l’équilibre du jour avec le rythme de la nuit. L’arbre inscrit l’équilibre du jour à l’intérieur du rythme de la nuit. L’arbre inscrit l’équilibre du jour avec à l’intérieur du rythme de la nuit.

 

L’arbre inscrit la trajectoire d’équilibre du jour. L’arbre inscrit la trajectoire d’équilibre du jour avec le rythme de couleur de la nuit. L’arbre inscrit la trajectoire d’équilibre du jour à l’intérieur du rythme de couleur de la nuit. L’arbre inscrit la trajectoire d’équilibre du jour avec à l’intérieur du rythme de couleur de la nuit.

 

 

L’arbre dit bonjour à la nuit. L’arbre dit bonjour aux sourires de la nuit. L’arbre dit bonjour au brouhaha de sourires de la nuit.

 

L’arbre transfuse la mosaïque des bonjours. L’arbre transfuse la mosaïque de la fierté.  L’arbre transfuse la mosaïque de bonjours de la fierté. L’arbre transfuse la mappemonde des bonjours. L’arbre transfuse la mappemonde de la fierté. L’arbre transfuse la mappemonde de bonjours de la fierté.

 

L’arbre transfuse la mosaïque de fierté des bonjours à la nuit. L’arbre transfuse la mappemonde de fierté des bonjours à la nuit.  L’arbre transfuse la mosaïque de souffles des bonjours à la nuit, la mosaïque de souffles fiers des bonjours à la nuit. L’arbre transfuse la mosaïque de silence des bonjours à la nuit, la mosaïque de silences fiers des bonjours à la nuit.

 

 

L’arbre rythme longtemps. L’arbre rythme la voltige de longtemps. L’arbre rythme la voltige d’équilibre de longtemps. L’arbre rythme le vertige de longtemps. L’arbre rythme le vertige d’équilibre de longtemps.

 

L’arbre rythme l’érection de longtemps. L’arbre rythme l’érection d’équilibre de longtemps. L’arbre rythme l’érection de vertige de longtemps.

 

L’arbre dit longtemps debout. L’arbre dit longtemps debout entre terre et ciel. L’arbre exclame longtemps debout. L’arbre exclame longtemps debout entre terre et ciel.

 

 

L’arbre apparait à l’intérieur d’avec toujours. L’arbre apparait à l’intérieur de déjà. L’arbre apparait à l’intérieur d’avec toujours déjà. L’arbre existe à l’intérieur d’avec toujours. L’arbre existe à l‘intérieur de déjà. l’arbre existe à l’intérieur d’avec toujours déjà.

 

L’arbre affirme l‘érection de déjà. L’arbre affirme l’érection d’équilibre de déjà. L’arbre affirme l’érection de paralysie de déjà. L’arbre affirme l’érection d’équilibre paralysé de déjà. L’arbre affirme l’érection de vertige de déjà. L’arbre affirme l’érection de vertige paralysé de déjà.

 

L’arbre affirme l’érection d’avec toujours déjà. L’arbre affirme l’érection d’équilibre d’avec toujours déjà. L’arbre affirme l’érection de paralysie d’avec toujours déjà. L’arbre affirme l’érection d’équilibre paralysé de toujours avec déjà. L’arbre affirme l‘érection de vertige de toujours avec déjà. L’arbre affirme l’érection de vertige paralysé de toujours avec déjà.

 

L’arbre affirme l’admiration d’avec toujours déjà. L’arbre affirme l’admiration frugale d’avec toujours déjà. L’arbre exclame l’admiration d’avec toujours déjà. L’arbre exclame l’admiration frugale d’avec toujours déjà.

 

L’arbre affirme la roue d’admiration d’avec toujours déjà. L’arbre affirme la roue d’admiration frugale d’avec toujours déjà. L’arbre exclame la roue d’admiration d’avec toujours déjà. L’arbre exclame la roue d’admiration frugale d’avec toujours déjà.

 

 

L’arbre vouvoie l’ainsi. L’arbre vouvoie le brouhaha de l’ainsi. L’arbre vouvoie l’aura de l’ainsi. L’arbre vouvoie le brouhaha d’aura de l’ainsi.

 

L’arbre contemple l’ainsi. L’arbre contemple le brouhaha de l‘ainsi. L’arbre contemple l’aura de l’ainsi. L’arbre contemple le brouhaha d’aura de l’ainsi.

 

 

L’arbre écoute l’espace apparaitre. L’arbre écoute l’espace apparaitre à proximité. L’arbre écoute l’espace apparaitre aux alentours. L’arbre écoute l’espace apparaitre à proximité avec la prolifération d’oreilles de ses feuilles. L’arbre écoute l’espace apparaitre aux alentours avec la prolifération d’oreilles de ses feuilles. L’arbre écoute l’espace apparaitre à proximité avec la prolifération de tempes de ses feuilles. L’arbre écoute l’espace apparaitre aux alentours avec la prolifération de tempes de ses feuilles.

 

L’arbre ouvre et ferme les yeux afin de savourer l’espace. L’arbre ouvre et ferme les yeux afin de savourer l’espace qu’il écoute. L’arbre ouvre et ferme les yeux afin d’écouter l’espace. L’arbre ouvre et ferme les yeux afin d’écouter l’espace qu’il savoure.

 

L’arbre ouvre et ferme les yeux de la sphère de l’espace. L’arbre ouvre et ferme les yeux de la sphère de l’existence. L’arbre ouvre et ferme les yeux de la sphère d’espace de l’existence.

 

 

L’arbre contemple la gravitation de l’espace. L’arbre sculpte la gravitation de l’espace. L’arbre contemple la gravitation de calme de l’espace. L’arbre sculpte la gravitation de calme de l’espace. L’arbre contemple sculpte la gravitation de calme de l’espace.

 

L’arbre suce la gravitation de l’espace. L’arbre suce la gravitation de calme de l’espace. L’arbre sculpte suce la gravitation de l’espace. L’arbre sculpte suce la gravitation de calme de l’espace. L’arbre contemple sculpte suce la gravitation de l’espace. L’arbre contemple sculpte suce la gravitation de calme de l’espace.

 

L’arbre boit la gravitation de l’espace. L’arbre boit la gravitation de calme de l’espace. L’arbre sculpte boit la gravitation de l’espace. L’arbre sculpte boit la gravitation de calme de l’espace. L’arbre contemple sculpte boit la gravitation de l’espace. L’arbre contemple sculpte boit la gravitation de calme de l’espace.

 

 

L’arbre absorbe l’essaim de l’espace. L’arbre absorbe l’essaim d’ahurissement de l’espace. L’arbre absorbe l’essaim de fraicheur de l’espace. L’arbre absorbe l’essaim d’ahurissement frais de l’espace.

 

L’arbre absorbe la fumée de l’espace. L’arbre absorbe la fumée d’ahurissement de l’espace. L’arbre absorbe la fumée de fraicheur de l’espace. L’arbre absorbe la fumée d’ahurissement frais de l’espace. L’arbre absorbe la fumée de fraicheur ahurie de l’espace.

L’arbre s’envoûte à l’intérieur de l’espace. L’arbre s’envoûte à l’intérieur du brouhaha de l’espace. L’arbre s’envoûte à l’intérieur des voix de l’espace. L’arbre s’envoûte à l’intérieur du brouhaha de voix de l’espace. L’arbre s’envoûte à l’intérieur du brouhaha tacite de l’espace. L’arbre s’envoûte à l‘intérieur du brouhaha de voix tacites de l’espace.

 

 

L’arbre baise l’espace. L’arbre baise la main de l’espace. L’arbre baise la main de l’espace avec le sexe de la lenteur. L’arbre baise la main de l’espace avec le sexe d’équilibre de la lenteur. L’arbre baise la main de miracle de l’espace. L’arbre baise la main de miracle de l’espace avec le sexe d’équilibre de la lenteur.

 

L’arbre excite l’espace. L’arbre excite la main de l’espace. L’arbre excite la main de l’espace avec le sexe de l’équilibre. L’arbre excite la main de miracle de l’espace. L’arbre excite la main de miracle de l’espace avec le sexe d’équilibre de la lenteur.

 

L’arbre embrasse la pandiculation de l’espace. L’arbre embrasse la pandiculation de gravitation de l’espace. L’arbre embrasse la pandiculation de temps de l’espace.

 

L’arbre ouvre le crâne de l’espace. L’arbre ouvre la fierté de l’espace. L’arbre ouvre le crâne de fierté de l’espace. L’arbre ouvre le crâne de fluidité de l’espace. L’arbre ouvre le crâne de fierté fluide de l’espace. L’arbre ouvre le crâne d’exubérance de l’espace. L’arbre ouvre le crâne d’exubérance fière de l’espace. L’arbre ouvre le crâne d’exubérance fluide de l’espace, le crâne d’exubérance fière fluide de l’espace.

 

 

L’arbre paraphorise l’espace. L’arbre paraphorise la passion de l’espace. L’arbre paraphorise la gravitation de l’espace. L’arbre paraphorise la passion de gravitation de l’espace. L’arbre paraphorise la présence de l’espace. L’arbre paraphirise la présence de gravitation de l’espace. L’arbre paraphorise l’immobilité de l’espace. L’arbre paraphorise la gravitation d’immobilité de l’espace.

 

L’arbre boit la poitrine de temps de l’espace. L’arbre absorbe la poitrine de temps de l’espace.  L’arbre boit dort respire la poitrine de temps de l’espace. L’arbre absorbe dort respire la poitrine de temps de l’espace.

 

L’arbre boit la fumée du temps. L’arbre boit la fumée de l’espace. L’arbre boit la fumée de temps de l’espace. L’arbre absorbe la fumée du temps. L’arbre absorbe la fumée de l’espace. L’arbre absorbe la fumée de temps de l’espace.

 

L’arbre déshabille les gestes de l’espace. Le temps déshabille les sourires de l’arbre. Le temps déshabille les hurlements de sourires de l’arbre.

 

 

L’arbre sublime la présence. L’arbre sublime le lieu. L’arbre sublime la présence du lieu.  L’arbre sublime la crampe de la présence. L’arbre sublime la crampe du lieu. L’arbre sublime la crampe de présence du lieu. L’arbre sublime le paradoxe du lieu. L’arbre sublime la présence paradoxale du lieu. L’arbre sublime la crampe paradoxale du lieu. L’arbre sublime la crampe de présence paradoxale du lieu.

 

L’arbre plante la terre. L’arbre plante la terre à l‘intérieur de l’espace. L’arbre plante la terre à l’intérieur du brouhaha de l’espace. L’arbre plante la terre à l’intérieur du brouhaha taciturne de l’espace.

 

L’arbre plante la terre à l’intérieur de la gravitation de l’espace. L’arbre plante la terre à l’intérieur du brouhaha de gravitation de l’espace. L’arbre plante la terre à l’intérieur du brouhaha de gravitation taciturne de l’espace.

 

 

L’arbre contemple le pacte des alentours. L’arbre contemple la paralysie des alentours. L’arbre contemple le pacte de paralysie des alentours. L’arbre contemple le vertige des alentours. L’arbre contemple le pacte de vertige des alentours.

 

L’arbre contemple l’alliance des alentours. L’arbre contemple les saisons des alentours.  L’arbre contemple l’alliance de saisons des alentours. L’arbre contemple les voix des alentours. L’arbre contemple l’alliance de voix des alentours.

 

L’arbre affirme l’admiration des alentours. L’arbre affirme l’admiration frugale des alentours. L’arbre exclame l’admiration des alentours. L’arbre exclame l’admiration frugale des alentours.

 

L’arbre affirme la voûte des alentours. L’arbre affirme la voûte de crampes des alentours.  L’arbre affirme la virtuosité des alentours. L’arbre affirme la voûte de virtuosité des alentours. L’arbre affirme la voûte de crampes virtuoses des alentours. L’arbre affirme la voûte de paradoxes des alentours.  L’arbre affirme la voûte de crampes paradoxales des alentours. L‘arbre affirme la voûte de crampes virtuoses paradoxales des alentours.

 

L’arbre affirme la voûte de tentacules des alentours. L’arbre affirme la voûte de fraicheur des alentours. L’arbre affirme la voûte de tentacules frais des alentours. L’arbre affirme la voûte de tentacules virtuoses des alentours. L’arbre affirme la voûte de tentacules virtuoses frais des alentours. L’arbre affirme la voûte de tentacules paradoxaux des alentours. L’arbre affirme la voûte de tentacules virtuoses paradoxaux frais des alentours.

 

 

Chaque arbre apparait comme le lieu de la disparition de l’horizon. Il y a autant d’arbres présents que d’horizons disparus.

 

L’apparition d’un arbre affirme la posture par laquelle un horizon disparait. L’apparition d’un arbre affirme la posture particulière d’une disparition de l’horizon.

 

 

L’arbre marbre marche à l’intérieur de son immobilité. L’arbre marche à l’intérieur de l’exubérance de son immobilité. L’arbre marche à l’intérieur de l’exubérance tenace de son immobilité. L’arbre marche à l’intérieur de l’exubérance tacite de son immobilité. L’arbre marche à l’intérieur de l’exubérance tenace tacite de son immobilité. L’arbre marche à l’intérieur de l’exubérance taciturne de son immobilité. L’arbre marche à l’intérieur de l’exubérance tenace taciturne de son immobilité.

 

L’arbre séduit par l’exubérance de l’immobilité. L’arbre affirme l’exubérance de l’immobilité. L’arbre affirme l’exubérance de la fraicheur. L’arbre affirme l’exubérance d’immobilité de la fraicheur. L’arbre exclame l’exubérance de l’immobilité. L’arbre exclame l’exubérance de la fraicheur. L’arbre exclame l’exubérance d’immobilité de la fraicheur. L’arbre exclame l’exubérance de la paralysie. L’arbre exclame l’exubérance de paralysie de la fraicheur.

 

 

L’arbre apparait comme le danseur de la paralysie. L’arbre apparait comme le danseur virtuose de la paralysie. L’arbre apparait comme le contorsionniste de la paralysie, comme le contorsionniste virtuose de la paralysie.

 

L’arbre danse la paralysie. L’arbre danse l’insouciance de la paralysie. L’arbre danse l’insouciance virtuose de la paralysie. L’arbre danse les contorsions de la paralysie. L’arbre danse les contorsions d’insouciance de la paralysie, les contorsions d’insouciance virtuose de la paralysie. L’arbre chorégraphie la paralysie. L’arbre chorégraphie l’insouciance de la paralysie. L’arbre chorégraphie l’insouciance virtuose de la paralysie.

 

L’arbre parabolise le vertige. L’arbre parabolise la paralysie. L’arbre parabolise le vertige de la paralysie. L’arbre parabolise l’érection du vertige. L’arbre parabolise l’érection de la paralysie. L’arbre parabolise l’érection de vertige de la paralysie.

 

 

L’arbre danse l’immobilité. L’arbre danse l’amour. L’arbre danse l’immobilité de l’amour. L’arbre danse le vertige de l’immobilité. L’arbre danse le vertige de l’amour. L’arbre danse le vertige d’immobilité de l’amour.

 

L’arbre danse l’absolu. L’arbre danse le vertige de l’absolu. L’arbre danse l’amour absolu. L’arbre danse le vertige de l’amour absolu. L’arbre danse le vertige d’immobilité de l’amour absolu.

 

 

L’arbre danse la gravitation. L’arbre danse la gravitation de l’immobile. L’arbre danse la musique. L’arbre danse la musique de la gravitation. L’arbre danse la musique de l’immobile. L’arbre danse la musique de gravitation de l’immobile.

 

L’arbre danse la musique du silence. L’arbre danse la musique de gravitation du silence. L’arbre danse la musique d’immobilité du silence.

 

L’arbre chorégraphie la musique de la gravitation. L’arbre chorégraphie la musique du silence. L’arbre chorégraphie la musique de gravitation du silence. L’arbre calligraphie la musique de la gravitation. L’arbre calligraphie la musique du silence. L’arbre calligraphie la musique de gravitation du silence. L’arbre calligraphie la danse de la gravitation. L’arbre calligraphie la danse du silence. L’arbre calligraphie la danse de gravitation du silence.

 

L’arbre coude le jaillissement de l’habitude. L’arbre coude le jaillissement de la danse. L’arbre coude le jaillissement d’habitude de la danse. L’arbre embrasse le jaillissement de l’habitude. L’arbre embrasse le jaillissement de la danse. L’arbre embrase le jaillissement d’habitude de la danse.

 

 

L’arbre échafaude l’aura de la gravitation. L’arbre échafaude l’avec de la gravitation. L’arbre échafaude l’aura d’avec de la gravitation.

 

L’arbre pandicule l’aura. L’arbre pandicule le globe de l’aura. L’arbre pandicule la mosaïque de l’aura. L’arbre pandicule l’implosion de l’aura. L’arbre pandicule le globe d’implosion de l’aura. L’arbre pandicule la mosaïque d’implosion de l’aura.

 

L’arbre pandicule un globe d’arcs. L’arbre pandicule le globe d’arcs de l’aura. L’arbre pandicule le globe d’arcs du silence. L’arbre pandicule le globe de fraicheur de l’aura. L’arbre pandicule le globe de fraicheur du silence.  L’arbre pandicule le globe d’arcs frais de l’aura. L’arbre pandicule le globe d’arcs frais du silence.

 

L’arbre pandicule une mosaïque d’arcs. L’arbre pandicule la mosaïque d’arcs de l’aura.  L’arbre pandicule la mosaïque d’arcs du silence. L’arbre pandicule la mosaïque de fraicheur de l’aura. L’arbre pandicule la mosaïque de fraicheur du silence. L’arbre pandicule la mosaïque d’arcs frais de l’aura. L’arbre pandicule la mosaïque d’arcs frais du silence.

 

 

L’arbre bande l’aura. L’arbre bande l’aura du silence. L’arbre bande l’aura de tragédie du silence. L’arbre bande l’aura de fraicheur du silence. L’arbre bande l’aura de tragédie fraiche du silence.

 

L’arbre embrasse l’aura du calme L’arbre embrasse l’aura ambidextre du calme. L’arbre embrasse l’aura de solitude du calme. L’arbre embrasse l’aura de solitude ambidextre du calme.

 

L’arbre embrasse l’aura ambidextre de déjà. L’arbre embrasse l’aura de solitude de déjà. L’arbre embrasse l’aura de solitude ambidextre de déjà. L’arbre embrasse l’aura ambidextre de toujours déjà. L’arbre embrasse l’aura de solitude de toujours déjà. L‘arbre embrasse l’aura de solitude ambidextre de toujours déjà.

 

 

L’arbre chante l’arche du silence. L’arbre chante l’arche de regards du silence. L’arbre chante  l’arche d’équilibre du silence. L’arbre chante l’arche de vertige du silence. L’arbre chante l’arche d’acrobaties du silence. L’arbre chante l’arche de paralysie du silence. L’arbre chante les acrobaties de paralysie du silence. L’arbre chante l’arche d’acrobaties du silence. L’arbre chante l’arche de paralysie du silence, l’arche de paralysie acrobate du silence.

 

L’arbre palpe la mosaïque du silence. L’arbre palpe la mosaïque de souffles du silence. L’arbre parle la mosaïque de sperme du silence. L’arbre exclame la mosaïque du silence. L’arbre exclame la mosaïque de souffles du silence. L’arbre exclame la mosaïque de sperme du silence.

 

 

L’arbre boit l’aura de la gravitation. L’arbre boit l’aura debout de la gravitation. L’arbre absorbe l’aura de la gravitation. L’arbre absorbe l’aura debout de la gravitation.

 

L’arbre boit la gravitation du feu. L’arbre boit la gravitation de feu du silence. L’arbre absorbe la gravitation du feu. L’arbre absorbe la gravitation de feu du silence.

 

L’arbre boit les graphitis du feu. L’arbre boit les graphitis de feu du silence. L’arbre absorbe les graphitis du feu. L’arbre absorbe les graphitis de feu du silence. L’arbre boit les graphitis de gravitation du silence. L’arbre absorbe les graphitis de gravitation du silence.

 

 

L’arbre boit la fumée. L’arbre boit le temps. L’arbre boit la fumée du temps. L’arbre boit l’absurdité. l’arbre boit la fumée de l’absurdité. l’arbre boit l’absurdité du temps. L’arbre boit la fumée d’absurdité du temps.

 

L’arbre boit le bonheur. L’arbre boit la fumée du bonheur. L’arbre boit le bonheur du temps. L’arbre boit la fumée de bonheur du temps. L’arbre boit le bonheur d’absurdité du temps. L’arbre boit la fumée de bonheur absurde du temps.

 

L’arbre boit la joie. L’arbre boit la fumée de la joie. L’arbre boit la fumée de joie du temps.  L’arbre boit la joie d’absurdité du temps. L’arbre boit la fumée de joie absurde du temps.

 

 

L’arbre noue l’ouvert. L’arbre noue le jaillissement de l’ouvert. L’arbre noue l’exaltation de l’ouvert. L’arbre noue le jaillissement d’exaltation de l’ouvert.

 

L’arbre noue la gravitation de l’espace. L’arbre noue le jaillissement de gravitation de l’espace. L’arbre noue la gravitation d’ouvert de l’espace. L’arbre noue la gravitation d’espace de l’ouvert.

 

L’arbre noue la sphère et la croix. L’arbre noue la crampe de la sphère et de la croix. L’arbre noue l’équilibre de la sphère et de la croix. L’arbre noue la crampe d’équilibre de la sphère et de la croix.

 

L’arbre affirme la sphère comme croix. L’arbre affirme la sphère comme croix de la volonté tranquille.

 

L’arbre projette les sphères de la fraicheur. L’arbre projette les sphères de la crucifixion. L’arbre projette les sphères de la fraicheur crucifiée. L’arbre projette les sphères de fraicheur du calme. L’arbre projette les sphères de crucifixion du calme. L’arbre projette les sphères de fraicheur crucifiée du calme.

 

L’arbre noue le jaillissement du destin. L’arbre noue l’anachronisme du destin. L’arbre noue le jaillissement d’anachronisme du destin. L’arbre équilibre l’anachronisme du destin. L’arbre équilibre le jaillissement d’anachronisme du destin.

 

 

L’arbre axe l’élan. L’arbre axe l’envol .L’arbre axe l’exubérance de l’élan. L’arbre axe l’exubérance de l’envol. L’arbre axe l’exubérance de calme de l’élan. L’arbre axe l’exubérance de calme de l’envol.

 

L’arbre berce la volonté. L’arbre berce l’envol. L’arbre berce la volonté de l’envol. L’arbre berce la volonté de la lucidité. L’arbre berce la lucidité de l’envol. L’arbre berce la volonté de lucidité de l’envol.

 

 

L’arbre lévite la reptation. L’arbre descend l’envol. L’arbre lévite hier. L’arbre descend demain. L’arbre lévite la reptation d’hier. L’arbre descend l’envol de demain.

 

L’arbre a la sagesse d’intégrer l’envol. L’arbre a la sagesse d’intégrer l’exubérance de l’envol.  L’arbre a la sagesse d’intégrer le calme de l’envol. L’arbre a la sagesse d’intégrer l’exubérance de calme de l’envol.

 

L’arbre a la sagesse de paralyser l’envol. L’arbre a la sagesse de paralyser l’exubérance de l’envol. L’arbre a la sagesse de paralyser le calme de l’envol. L’arbre a la sagesse de paralyser l’exubérance de calme de l’envol.

 

 

L’arbre charpente l’envol. L’arbre charpente la roue de l’envol. L’arbre charpente la roue de robes de l’envol. L’arbre charpente la roue de robes de la paralysie. L’arbre charpente la roue de robes de l’envol paralysé. L’arbre charpente le vertige. L’arbre charpente la roue du vertige. L’arbre charpente la roue de robes du vertige. L’arbre charpente la roue de robes du vertige paralysé.

 

L’arbre apparait comme un échafaudage de jupes. L’arbre apparait comme l’échafaudage de jupes de l’envol. L’arbre apparait comme l’échafaudage de jupes de la paralysie. L’arbre apparait comme l’échafaudage de jupes de l’envol paralysé. L’arbre apparait comme l’échafaudage de jupes du vertige. L’arbre apparait comme l’échafaudage de jupes du vertige paralysé.

 

 

L’arbre invente le vent. L’arbre invente les sourires du vent. L’arbre invente le tas de sourires du vent. L’arbre invente le tourbillon de sourires du vent.

 

L’arbre berce le vent. L’arbre berce le cheval du vent. L’arbre berce le cheval de verre du vent. L’arbre embrasse le vent. L’arbre embrasse le cheval du vent. L’arbre embrasse le cheval de verre du vent. L’arbre imagine le vent. L’arbre imagine le cheval du vent. L’arbre imagine le cheval de verre du vent.

 

L’arbre essaie de retenir le vent avec les mains. L’arbre essaie de retenir le vent avec les mains de la tête. L’arbre essaie de retenir le vent  avec la multiplication de mains de la tête. L’arbre essaie de retenir le vent avec la prolifération de bras du front.

 

 

L’arbre parle avec le vent. L’arbre partage la conversation avec le vent. L’arbre partage la  solitude avec le vent. L’arbre partage la conversation de la solitude avec le vent.

 

La solitude de l’arbre parle avec la solitude du vent. La solitude de l’arbre a une conversation avec la solitude du vent. La solitude de l’arbre a une conversation de calme avec la solitude du vent.

 

L’arbre symbolise les gestes du vent. L’arbre symbolise les regards du vent. L’arbre symbolise les gestes de regards du vent.

 

L’arbre jongle avec les yeux du vent. L’arbre jongle avec les yeux de verre du vent. L’arbre jongle avec les noyaux du vent. L’arbre jongle avec les noyaux de verre du vent.

 

L’arbre souffle le magma du vent. L’arbre souffle le verre du vent. L’arbre souffle le magma de verre du vent.

 

L’arbre partage la nourriture avec le vent. L’arbre mange à la table du vent. L’arbre partage la maison du vent. L’arbre partage la maison de vide du vent.

 

Quand le vent étreint l’arbre avec tranquillité, l’arbre joue au ping-pong avec son ombre. Quand le vent étreint l’arbre avec tranquillité, l’arbre joue au ping-pong  avec les paralysies de son ombre, avec les paralysies multiples de son ombre, avec les paralysies innombrables de son ombre.

 

 

L’arbre survient comme le schéma de la solitude. L’arbre survient comme le schéma de l’amour. L’arbre survient comme le schéma de solitude de l’amour.

 

L’arbre schématise l’amour. L’arbre schématise le brouhaha de l’amour. L’arbre schématise le brouhaha de sperme de l’amour.

 

L’arbre schématise des retrouvailles sérénissimes. L’arbre schématise les retrouvailles sérénissimes de l’amour. L’arbre schématise le brouhaha des retrouvailles sérénissimes. L’arbre schématise le brouhaha des retrouvailles sérénissimes de l’amour. L’arbre schématise le brouhaha de sperme des retrouvailles sérénissimes de l’amour.

 

 

L’arbre affirme la pulsion de l’âme. L’arbre affirme l’équilibre de l’âme. L’arbre affirme la pulsion d’équilibre de l’âme.

 

L’arbre affirme la pulsion de l‘amour. L’arbre affirme l’équilibre de l’amour. L’arbre affirme la pulsion d’équilibre de l’amour.

 

L’arbre exclame la pulsion d’équilibre de l’amour. L’arbre exclame la pulsion d’équilibre de l’absolu. L’arbre exclame la pulsion d’équilibre de l’amour absolu. L’arbre exclame la volonté d’équilibre de l’amour. L’arbre exclame la volonté d’équilibre de l’absolu. L’arbre exclame la volonté d’équilibre de l’amour absolu.

 

L’arbre exclame la pulsion d’ascèse de l’amour. L’arbre exclame la pulsion d’ascèse de l’amour absolu. L’arbre exclame la volonté d’ascèse de l’amour. L’arbre exclame la volonté d’ascèse de l’amour absolu.

 

 

L’arbre berce la solitude. L’arbre berce le cheval de la solitude. L’arbre berce le cheval de vent de la solitude.

 

L’arbre embrasse la solitude. L’arbre embrasse le cheval de la solitude. L’arbre embrasse le cheval de vent de la solitude. L’arbre embrasse l‘animal de la solitude. L’arbre embrasse l’animal de vent de la solitude. L’arbre embrase l’espace de la solitude. L’arbre embrasse l’animal d’espace de la solitude.

 

 

L’arbre apparait comme une sculpture de baisers. L’arbre apparait comme la sculpture de baisers de la solitude. L’arbre apparait comme une sculpture d’innombrables baisers. L’arbre apparait comme la sculpture d’innombrables baisers de la solitude.

 

L’arbre affirme l’aura ambidextre de la solitude. L’arbre affirme l’aura ambidextre du calme. L’arbre affirme l‘aura ambidextre de la solitude calme. L’arbre projette l’aura ambidextre de la solitude. L’arbre projette l’aura ambidextre du calme. L’arbre projette l’aura ambidextre de la solitude calme.

 

 

L’arbre arque le tourbillon de la fraicheur. L’arbre arque le tourbillon de la tragédie. L’arbre arque le tourbillon de fraicheur de la tragédie.

 

L’arbre arque le tourbillon d’avec toujours. L’arbre arque le tourbillon de tragédie avec toujours. L‘arbre arque le tourbillon de fraicheur d’avec toujours. L’arbre arque le tourbillon de tragédie fraîche d’avec toujours.

 

L’arbre arque le tourbillon d’avec toujours déjà. L’arbre arque le tourbillon de tragédie d’avec toujours déjà. L’arbre arque le tourbillon de fraicheur d’avec toujours déjà. L’arbre arque le tourbillon de tragédie fraiche d’avec toujours déjà.

 

 

L’arbre catapulte un bain de haches. L’arbre catapulte le bain de haches du paroxysme. L’arbre catapulte le bain de haches du désespoir. L’arbre catapulte le bain de haches du désespoir précis. L’arbre catapulte le bain de haches du désespoir heureux. L’arbre catapulte le bain de haches du désespoir précis heureux.

 

L’arbre catapulte une fanfare de chloroforme. L’arbre catapulte la fanfare de chloroforme de l’équilibre. L’arbre catapulte la fanfare de chloroforme de la fraicheur. L’arbre catapulte la fanfare de chloroforme de l’équilibre fais. L’arbre catapulte la fanfare de chloroforme du vertige. L’arbre catapulte la fanfare de chloroforme du vertige frais.

 

L’arbre chorégraphie la fraicheur. L’arbre chorégraphie la fraicheur de la tragédie. L’arbre chorégraphie la fraicheur de tragédie d’avec toujours. L’arbre chorégraphie la fraicheur de tragédie d’avec toujours déjà. L’arbre chorégraphie la tragédie de fraicheur d’avec toujours. L’arbre chorégraphie la tragédie de fraîcheur d’avec toujours déjà.

 

 

L’arbre projette une fontaine de fenêtres. L’arbre projette la fontaine de fenêtres de l’équilibre. L’arbre projette la fontaine de fenêtres de la paralysie, la fontaine de fenêtres de l’équilibre paralysé. L’arbre projette la fontaine de fenêtres du vertige, la fontaine de fenêtres du vertige paralysé.

 

L’arbre projette une fontaine de mains-fenêtres. L’arbre projette la fontaine de mains-fenêtres de l’équilibre. L’arbre projette la fontaine de mains-fenêtres de la paralysie, la fontaine de mains-fenêtres de l’équilibre paralysé. L’arbre projette la fontaine de mains-fenêtres du vertige, la fontaine de mains-fenêtres du vertige paralysé.

 

L’arbre projette une fontaine de mains-tempes-fenêtres. L’arbre projette la fontaine de mains-tempes-fenêtres de l‘équilibre. L’arbre projette la fontaine de mains-tempes-fenêtres de la paralysie, la fontaine de mains-tempes-fenêtres de l’équilibre paralysé. L’arbre projette la fontaine de mans-tempes-fenêtres du vertige, la fontaine de mains-tempes-fenêtres du vertige paralysé.

 

 

L’arbre axe la fraicheur du feu. L’arbre grave la fraicheur du feu. L’arbre axe la gravitation de fraicheur du feu. L’arbre schématise la fraîcheur du feu. L’arbre schématise la gravitation de fraîcheur du feu.

 

L’arbre compose le xylophone du feu. L’arbre compose le xylophone de fraicheur du feu. L’arbre compose le xylophone d’obscurité du feu. L’arbre compose le xylophone de fraicheur obscure du feu. L’arbre compose le xylophone d’obscurité fraiche du feu.

 

L’arbre projette le crâne de disparition du feu. L’arbre projette la poitrine de disparition du feu. L’arbre projette le crâne-poitrine de disparition du feu. L’arbre projette intègre le crâne de disparition du feu. L’arbre projette intègre la poitrine de disparition du feu. L’arbre projette intègre le crâne-poitrine de disparition du feu.

 

 

L’arbre orchestre la fumée. L’arbre orchestre la fumée de la solitude. L’arbre orchestre la fumée de déjà. L’arbre orchestre la fumée de solitude de déjà. L’arbre orchestre la fumée de toujours déjà. L’arbre orchestre la fumée de solitude de toujours déjà.

 

L’arbre axe la fumée du tonnerre. L’arbre subtilise la fumée du tonnerre. L’arbre axe la fumée d’avec toujours. L’arbre axe la fumée de tonnerre d’avec toujours. L’arbre enracine la fumée de tonnerre d’avec toujours. L’arbre axe enracine la fumée de tonnerre d’avec toujours.

 

L’arbre axe la fumée d’avec toujours du calme. L’arbre axe enracine la fumée d’avec toujours du calme. L’arbre axe le tonnerre d’avec toujours du calme. L’arbre axe enracine le tonnerre d’avec toujours du calme.

 

L’arbre axe la fumée d’avec toujours de l’ampleur, la fumée d’avec toujours de l’ampleur calme. L’arbre axe enracine la fumée d’avec toujours de l’ampleur, la fumée d’avec toujours de l’ampleur calme. L’arbre axe le tonnerre d’avec toujours de l’ampleur, le tonnerre d’avec toujours de l’ampleur calme. L’arbre axe enracine le tonnerre d’avec toujours de l’ampleur, le tonnerre d’avec toujours de l’ampleur calme.

 

L’arbre propulse l’amande du tonnerre. L’arbre catapulte l’amande du tonnerre. L’arbre exclame l’amande du tonnerre. L’arbre grave l’amande du tonnerre. L’arbre propulse l’amande de tonnerre d’avec toujours. L’arbre catapulte l’amande de tonnerre d’avec toujours. L’arbre  exclame l‘amande de tonnerre d’avec toujours. L’arbre grave l’amande de tonnerre d’avec toujours.

 

 

L’arbre affirme la pandiculation de l’ampleur. L’arbre affirme la pandiculation globale de l’ampleur. L’arbre affirme la pandiculation de regards de l’ampleur. L’arbre affirme la pandiculation de bras-langues de l’ampleur. L’arbre affirme la pandiculation de hanches-bouches de l’ampleur.

 

L’arbre affirme l’ébullition de l’ampleur. L’arbre affirme la tendresse de l’ampleur. L’arbre affirme l’ébullition de tendresse de l’ampleur. L’arbre affirme la fraicheur de l’ampleur. L’arbre affirme l’ébullition de fraicheur de l’ampleur. L‘arbre affirme l’ébullition de fraicheur tendre de l’ampleur.

 

L’arbre affirme la majesté mijotante de l’ampleur. L’arbre affirme la fièvre fraiche de l’ampleur. L’arbre affirme la majesté mijotante de l’ampleur tendre. L’arbre affirme la fièvre fraiche de l’ampleur tendre.

 

L’arbre affirme l’ahurissement de l’ampleur. L’arbre affirme la ténacité de l’ampleur. L’arbre affirme l’ahurissement de ténacité de l’ampleur. L’arbre affirme l’ahurissement de ténacité du calme. L’arbre affirme l’ahurissement de ténacité de l’ampleur calme.

 

L’arbre affirme la transe de l’exactitude. L’arbre affirme la transe d’exactitude de l’ampleur. L’arbre affirme la transe d’exactitude du calme. L’arbre affirme la transe d’exactitude de l’ampleur calme.

 

L’arbre projette la transe de l’exactitude. L’arbre projette la transe d’exactitude de l’ampleur. L’arbre projette la transe d’exactitude du calme. L’arbre projette la transe d’exactitude de l’ampleur calme.

 

 

L’arbre a des bras virtuoses. L’arbre a des bras d’exubérance virtuose. L’arbre a des bras d’exaltation virtuose. L’arbre a des bras de ténacité virtuose.

 

L’arbre propulse le repos. L’arbre propulse les bras du repos. L’arbre propulse les bras virtuoses du repos. L’arbre propulse les bras-langues du repos. L’arbre propulse les bras-langues virtuoses du repos.

 

L’arbre projette des bagues de bras. L’arbre projette des bagues de langues. L’arbre projette des bagues de bras-langues. L’arbre projette les bagues de bras de la paralysie, les bagues de langues de la paralysie, les bagues de bras-langues de la paralysie. L’arbre projette les bagues de bras de la paralysie virtuose, les bagues de langues de la paralysie virtuose, les bagues de bras-langues de la paralysie virtuose.

 

L’arbre a des bras-langues de globalité. L’arbre a des bras-langues de globalité debout. L’arbre possède des bras-langues de globalité. L’arbre possède des bras-langues de globalité debout.

 

L’arbre projette des hanches-bouches. L’arbre projette des hanches-bouches de globalité. L’arbre projette des hanches-bouches de globalité debout.

 

L’arbre propulse un halo d’oreilles. L’arbre propulse un halo de doigts. L’arbre propulse un halo d’oreilles-doigts. L’arbre propulse le halo d’oreilles de l’équilibre, le halo de doigts de l’équilibre, le halo d’oreilles-doigts de l’équilibre. L’arbre propulse le halo d’oreilles du vertige, le halo de doigts du vertige, le halo d’oreilles-doigts du vertige.

 

 

La frondaison de l’arbre apparait comme un front de mains, comme un front de mains multiples. La frondaison de l’arbre apparait comme le front de mains de l’équilibre, le front de mains multiples de l’équilibre. La frondaison de l’arbre apparait comme le front de mains de l’élan, le front de mains de la paralysie, le front de mains de la paralysie de l’élan, le front de mains de l’élan de la paralysie, le front de mains multiples de la paralysie de l’élan, le front de mains multiples de l’élan de la paralysie.

 

L’arbre porte le front du silence sur les épaules de ses mains. L’arbre porte le front de démesure du silence sur les épaules de déchirures de ses mains. L’arbre porte le front d’exaltation du silence sur les épaules de déchirures de ses mains.

 

 

L’arbre projette un front d’haleines. L’arbre projette le front d’haleine de sa frondaison. L’arbre projette une poitrine-front. L’arbre projette une poitrine-front d’haleines. L’arbre projette la poitrine-front d’haleine de sa frondaison.

 

L’arbre projette un front de bras. L’arbre projette le front de bras de sa frondaison. L’arbre projette un front de bras-langues. L’arbre projette le front de bras-langues de sa frondaison.

 

 

L’arbre apparait comme un magnétophone du silence. Les arbres archivent à chaque instant le silence avec le magnétophone de leurs frondaisons.

 

Les frondaisons des arbres se trémoussent comme des chevelures de robes, comme des robes de chevelures. Les frondaisons des arbres dansent comme des chevelures de robes, comme des robes de chevelures. Les frondaisons des arbres dansent comme  les chevelures de robes du vent, comme les robes de chevelures du vent.

 

 

Les arbres parlent avec leurs branches. Les arbres se taisent avec leurs troncs.

 

Les branches des arbres chantournent la fraicheur. Les branches des arbres chantournent l’équilibre de la fraicheur.

 

Les branches des arbres tamisent les rêves de l’espace. Les branches d’arbres tamisent les rêveries de souffle de l’espace. Les branches d’arbres filtrent les rêveries de souffle de l’espace.

 

Les branches des arbres apparaissent comme les baromètres de la nonchalance. Les branches des arbres apparaissent comme les baromètres de l’amnésie. Les branches des arbres apparaissent comme les baromètres de nonchalance de l’amnésie.

 

 

L’arbre enlace les arcs de l’obscurité. L’arbre enlace les arcs de sourires de l’obscurité. L’arbre enlace les arcs de paralysie de l’obscurité. L’arbre enlace les arcs de sourires paralysés de l’obscurité.

 

Les arbres apparaissent comme les candélabres de l’ombre. Les arbres apparaissent comme les candélabres des sourires de l’ombre. Les arbres apparaissent comme des chandeliers des chansons. Les arbres apparaissent comme les chandeliers de chansons de l’ombre. Les arbres apparaissent comme les chandeliers d’ombres des chansons. 

 

 

 

L’ombre des arbres à la surface de l’herbe bégaie des regards d’odeurs.

 

Les ombres des arbres lambinent à la surface de l’herbe. Les ombres des arbres lambinent parfois avec brutalité à la surface de l’herbe.

 

Les bandes magnétiques de l‘ombre  sous les arbres bégaient les hurlements de désespoir de l’herbe. Les bandes magnétiques de l’ombre sous les arbres absorbent les hurlements de désespoir de l’herbe.

 

Les ombres des feuilles des arbres légèrement modulées par la brise ont les larmes aux yeux. Les ombres des feuilles des arbres palpitent à la surface de l’herbe comme des mains de bébé.

 

 

L’arbre apparait comme le diapason du vent. L’arbre apparait comme le diapason de paralysie du vent. L’arbre apparait comme le diapason d’absurdité du vent. L’arbre apparait comme le diapason de paralysie absurde du vent.

 

L’arbre apparait comme le diapason de l’espace. L’arbre apparait comme le diapason de paralysie de l’espace. L’arbre apparait comme le diapason d’absurdité de l’espace. L’arbre apparait comme le diapason de paralysie absurde de l’espace.

 

L’arbre apparait comme le diapason de clair-obscur du vent. L‘arbre apparait comme le diapason de clair-obscur de l’espace. L’arbre apparait comme le diapason de clair-obscur absurde du vent. L’arbre apparait comme le diapason de clair-obscur absurde de l’espace.

 

 

L’arbre apparait comme une harpe brusque. L’arbre apparait comme une harpe brutale. L’arbre apparait comme la harpe brusque d’avec toujours. L’arbre apparait comme la harpe brutale d’avec toujours. L’arbre apparait comme la harpe brusque d’avec toujours déjà. L’arbre apparait comme la harpe brutale d’avec toujours déjà.

 

L’arbre apparait comme une roue bée. L’arbre apparait comme une roue béante. L’arbre apparait comme une roue d’abime. L’arbre apparait comme la roue bée de la gravitation. L’arbre apparait comme la roue béante de la gravitation. L’arbre apparait comme la roue d’abime de la gravitation. L’arbre apparait comme une roue tacite. L’arbre apparait comme une roue tacite bée. L’arbre apparait comme la roue tacite bée de la gravitation. L’arbre apparait comme une roue abyssale. L’arbre apparait comme la roue abyssale de la gravitation. L’arbre apparait comme la roue abyssale tacite bée de la gravitation.

 

L’arbre apparaît comme une roue de bouches. L’arbre apparait comme la roue de bouches de la gravitation. L‘arbre apparait comme une roue de clefs. L’arbre apparait comme la roue de clefs de la gravitation. L’arbre apparait comme une roue de bouches bées. L’arbre apparait comme la roue de bouches bée de la gravitation. L’arbre apparait comme une roue de clefs bées. L’arbre apparait comme la roue de clefs bées de la gravitation. L’arbre apparait comme une roue de bouches-clefs. L’arbre apparait comme la roue de bouches-clefs de la gravitation. L’arbre apparait comme une roue de bouches-clefs bées. L’arbre apparait comme la roue de bouches-clefs bées de la gravitation.

 

 

L’arbre exclame une ébullition d’antennes. L’arbre exclame l’ébullition d’antennes de l’équilibre. L’arbre exclame l’ébullition d’antennes de la fraicheur. L’arbre exclame l’ébullition d’antennes de l’équilibre frais. L’arbre exclame l’ébullition d’antennes du vertige. L’arbre exclame l’ébullition d’antennes du vertige frais.

 

L’arbre survient comme le moulin de la terre. L’arbre survient comme le moulin d’ombres de la terre. L’arbre survient comme le moulin de fraicheur de la terre. L’arbre survint comme le moulin d’ombres fraiches de la terre.

 

L’arbre survient comme un moulin de souffles. L’arbre survient comme le moulin de souffles de la terre. L’arbre survient comme le moulin de souffles de l’ombre.

 

L’arbre apparait comme une bibliothèque de souffles. L’arbre apparait comme une bibliothèque d’haleines. L’arbre apparait comme la bibliothèque de souffles du silence. L’arbre apparait comme la bibliothèque d’haleines de l’âme.

 

 

L’arbre charpente une prolifération d’alliances. L’arbre charpente la prolifération du clair-obscur. L’arbre charpente la prolifération d’alliances du clair-obscur. L’arbre charpente une prolifération de bagues. L’arbre charpente la prolifération de bagues du clair-obscur. L’arbre charpente la prolifération de la fluidité. L’arbre charpente la prolifération de fluidité du clair-obscur. L’arbre charpente la prolifération d’alliances fluides du clair-obscur, la prolifération de bagues fluides du clair-obscur.

 

L’arbre déploie le puits. L’arbre déploie le puits des caresses. L’arbre déploie le puits de la vivacité. L’arbre déploie le puits de caresses de la vivacité. L’arbre déploie le puits du calme. L‘arbre déploie le puits de caresses du calme. L’arbre déploie le puits de vivacité du calme. L’arbre déploie le puits de caresses vivaces du calme.

 

 

L’arbre absorbe le noyau du verre. L’arbre absorbe le noyau du brouillard. L’arbre absorbe le noyau de verre du brouillard.

 

L’arbre absorbe le noyau du vent. L’arbre absorbe le noyau d’illisibilité du vent. L’arbre absorbe l’amande du brouillard. L’arbre absorbe l’amande d’illisibilité du brouillard.

 

 

L’arbre exclame la multiplicité des âges. L’arbre exclame la multiplicité des âges du lieu. L’arbre exclame la multiplicité des âges de l’avoir lieu.

 

L’arbre axe le tourbillon des âges. L’arbre axe le tourbillon de la gravitation. L’arbre axe le tourbillon d’âges de la gravitation. L’arbre axe le tourbillon de la sérénité. L’arbre axe le tourbillon de sérénité de la gravitation.

 

L’arbre fixe le tourbillon des âges. L’arbre fixe le tourbillon de la gravitation. L’arbre fixe le tourbillon d’âges de la gravitation. L’arbre fixe le tourbillon de la sérénité. L’arbre fixe le tourbillon de sérénité de la gravitation.

 

 

L’arbre exclame le baume de la confiance. L’arbre exclame le baume du contentement. L’arbre exclame le baume de confiance du contentement. L’arbre exclame le baume de la terreur. L’arbre exclame le baume de confiance de la terreur. L’arbre exclame le baume de contentement de la terreur. L’arbre exclame le baume de confiance contente de la terreur.

 

L’arbre exclame le baume de la fierté. L’arbre exclame le baume de fierté du contentement. L’arbre exclame le baume de fierté de la terreur. L’arbre exclame le baume de fierté contente de la terreur.

 

L’arbre exclame la confiance de la terreur. L’arbre affirme le contentement de la terreur. L’arbre affirme la confiance de contentement de la terreur. L’arbre affirme la confiance de la fierté. L’arbre affirme la fierté de la terreur. L’arbre affirme la confiance de fierté de la terreur. L’arbre affirme le contentement de la fierté. L’arbre affirme le contentement de fierté de la terreur.

 

L’arbre affirme la confiance de la jubilation. L’arbre affirme la jubilation de la terreur. L’arbre affirme la confiance de jubilation de la terreur. L’arbre affirme la jubilation de la fierté. L’arbre affirme la jubilation de fierté de la terreur.

 

 

L’arbre épanouit le désespoir. L’arbre épanouit l’emprise du désespoir. L’arbre épanouit la pamoison du désespoir. L’arbre épanouit l’emprise de pamoison du désespoir.

 

L’arbre épanouit l’emprise de l’équilibre. L’arbre épanouit l’emprise de désespoir de l’équilibre. L’arbre épanouit l’emprise de la paralysie. L’arbre épanouit l’emprise de désespoir de la paralysie. L’arbre épanouit l’emprise de désespoir de l’équilibre paralysé. L’arbre épanouit l’emprise du vertige. L’arbre épanouit l’emprise de désespoir du vertige. L’arbre épanouit l’emprise de désespoir du vertige paralysé.

 

L’arbre épanouit  la pamoison de désespoir de l’équilibre. L’arbre épanouit la pamoison de désespoir de la paralysie. L’arbre épanouit la pamoison de désespoir de l’équilibre paralysé. L’arbre épanouit la pamoison de désespoir du vertige. L’arbre épanouit la pamoison de désespoir du vertige paralysé.

 

 

L’arbre axe la pamoison du désespoir. L’arbre axe la pamoison pantelante du désespoir. L’arbre axe la pamoison de ténacité du désespoir. L’arbre axe la pamoison de ténacité pantelante du désespoir.

 

L’arbre schématise la pamoison du désespoir. L’arbre schématise la pamoison pantelante du désespoir. L’arbre schématise la pamoison de ténacité du désespoir. L’arbre schématise la pamoison de ténacité pantelante du désespoir.

 

L’arbre s’évanouit debout. L’arbre affirme la pamoison de désespoir de s’évanouir debout. L’arbre affirme la pamoison de désespoir de s’évanouir debout entre terre et ciel.

 

 

L’arbre exclame l’emprise du mépris. L’arbre exclame l’emprise du désespoir. L’arbre exclame l’emprise de mépris du désespoir. L’arbre exclame l’emprise de la confiance. L’arbre exclame l’emprise de  mépris de la confiance. L’arbre exclame l’emprise de mépris du désespoir confiant.

 

L’arbre exclame l’emprise de mépris du désespoir précis. L’arbre exclame l’emprise de mépris du désespoir heureux. L’arbre exclame l’emprise de mépris du désespoir précis heureux. L’arbre exclame l’emprise de mépris du désespoir précis confiant heureux.

 

 

L’arbre schématise le parachute d’écorce de la pamoison. L’arbre schématise le parachute d’écorce du désespoir. L’arbre schématise le parachute d’écorce de la pamoison désespérée. L’arbre schématise le parachute d’écorce du désespoir précis, le parachute d’écorce du désespoir heureux, le parachute d’écorce du désespoir précis heureux.

 

L’arbre exclame le parachute d’écorce de l’équilibre. L’arbre exclame le parachute d’écorce de la paralysie. L’arbre exclame le parachute d’écorce de l’équilibre paralysé. L’arbre exclame le parachute d’écorce du vertige. L’arbre exclame le parachute d’écorce du vertige paralysé.

 

L’arbre boit dort respire le parachute de l’écorce. L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce de la pamoison. L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce du désespoir, le parachute d’écorce de la pamoison désespérée. L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce du désespoir précis, le parachute d’écorce du désespoir heureux, le parachute d’écorce du désespoir précis heureux.

 

L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce de l’équilibre. L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce de la paralysie. L’arbre boit dort respire la parachute d’écorce de l’équilibre paralysé. L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce de l’équilibre virtuose, le parachute d’écorce de l’équilibre virtuose paralysé. L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce du vertige. L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce du vertige paralysé. L’arbre boit dort respire le parachute d’écorce du vertige virtuose, le parachute d’écorce du vertige virtuose paralysé. 

 

 

L’arbre calligraphie la crampe du papier. L’arbre calligraphie la crampe d’équilibre du papier. L’arbre chorégraphie la crampe du papier. L’arbre chorégraphie la crampe d’équilibre du papier.

 

L’arbre exclame le papier du futur. L’arbre exclame la gravitation de papier du futur. L’arbre parabolise le papier du futur. L’arbre parabolise la gravitation de papier du futur.

 

L’arbre parabolise l’érection du papier. L’arbre parabolise l‘érection de gravitation du papier. L’arbre parabolise l’érection d’illisibilité du papier. L’arbre parabolise l’érection de gravitation illisible du papier.

 

L’arbre parabolise la crampe du papier. L’arbre parabolise la crampe de gravitation du papier.  L’arbre parabolise la crampe d’illisibilité du papier. L’arbre parabolise la crampe de gravitation illisible du papier.

 

L’arbre parabolise la crampe de papier du futur. L’arbre parabolise la crampe de papier du désespoir. L’arbre parabolise la crampe de papier du désespoir précis. L’arbre parabolise la crampe de papier du désespoir heureux. L’arbre parabolise la crampe de papier du désespoir précis heureux.

 

 

L’arbre parabolise l’animal du papier. L’arbre parabolise l’animal de gravitation du papier. L’arbre parabolise l’animal d’illisibilité du papier. L’arbre parabolise l’animal de gravitation illisible du papier.

 

L’arbre parabolise le cheval du papier. L’arbre parabolise le cheval de sperme du papier. L’arbre parabolise le cheval du vent. L’arbre parabolise le cheval de sperme du vent. L’arbre parabolise le cheval de papier du vent. L’arbre parabolise le cheval de vent du papier.

 

L’arbre parabolise le gramophone du papier. L’arbre parabolise l’illisibilité du papier. L’arbre parabolise le gramophone d’illisibilité du papier. L’arbre parabolise le gramophone de gravitation du papier, le gramophone de gravitation illisible du papier.

 

 

L’arbre affirme l’illisible. L’arbre affirme l’exaltation de l’illisible. L’arbre affirme la ténacité de l’illisible. L’arbre affirme l’exaltation de ténacité de l’illisible.

 

L’arbre projette l’illisible. L’arbre projette l’exaltation de l’illisible. L’arbre projette la ténacité de l’illisible. L’arbre projette l’exaltation de ténacité de l’illisible.

 

L’arbre exclame l’exaltation de l’illisible. L’arbre exclame l‘exaltation de calme de l’illisible. l’arbre exclame l’exaltation de ténacité de l’illisible. L’arbre exclame l’exaltation de calme tenace de l’illisible.

 

L’arbre exclame l’exaltation de terreur de l’illisible. L’arbre exclame l’exaltation de terreur calme de l’illisible. L’arbre exclame l’exaltation de terreur tenace de l’illisible, l’exaltation de terreur tenace calme de l’illisible.

 

L’arbre exclame le tourbillon de l’ascèse. L’arbre exclame le tourbillon de l’illisible. L’arbre exclame le tourbillon d’ascèse de l’illisible. L’arbre exclame le tourbillon de ténacité de l’ascèse. L’arbre exclame le tourbillon de calme de l’ascèse. L’arbre exclame le tourbillon de calme tenace de l’ascèse. L’arbre exclame le tourbillon d’ascèse tenace de l’illisible. L’arbre exclame le tourbillon d’ascèse calme de l’illisible. L’arbre exclame le tourbillon d’ascèse tenace calme de l’illisible.