Feu

 

 

 

 

 

 

 

Le feu apparait comme un arbre.

 

 

 

Le feu apparait comme l’arbre de la destruction des arbres.

 

 

 

Le feu apparait comme l’arbre du hasard fatal. Le feu apparait comme l’arbre de clarté improvisée du hasard fatal.

 

 

 

Le feu apparait comme l’arbre de la fascination. Le feu apparait comme l’arbre ultra vivace de la fascination.

 

 

 

Le feu apparait comme l’arbre de vivacité fatale de la fascination.

 

 

 

 

 

Le feu improvise l’arbre de la démesure.

 

 

 

Le feu démesure l’arbre de la fascination.

 

 

 

Le feu affirme l’arbre de fascination du hasard.

 

 

 

Le feu démesure l’arbre d’affectation de la disparition même des arbres.

 

 

 

Le feu démesure l’arbre d’affectation-fascination de la disparition même des arbres.

 

 

 

 

 

Le feu apparait comme l’arbre qui crache la forêt.

 

 

 

Le feu crache la forêt du vide. Le feu apparait comme l’arbre qui crache la forêt du vide.

 

 

 

Le feu esquisse une forêt de blessures.

 

 

 

Le feu esquisse crache la forêt de cicatrices frivoles du vide.

 

 

 

Le feu clarifie fatalise la forêt du vide.

 

 

 

Le feu esquisse miaule la forêt de fascination entrelacérée du vide

 

 

 

Le feu apparait comme l’arbre qui crache la forêt du vide tabou.

 

 

 

Le feu apparait comme l’arbre qui crache l’offrande de vide tabou de la forêt.

 

 

 

 

 

Le feu déchire la forêt à force de caresses. Le feu esquisse la solitude de la forêt. La forêt de solitude du feu assassine les arbres à coups de baisers terribles.

 

 

 

Le feu n’est pas l’arbre du savoir. Le feu n’est pas l’arbre de vie. Le feu apparait comme l’arbre du vouloir. Le feu apparait comme l’arbre de l’immortalité du vouloir. Le feu apparait comme l’arbre de frivolité du destin. Le feu apparait comme l’arbre de catastrophe impeccable du destin.

 

 

 

Le feu apparait comme l’arbre des clefs. Le feu apparait comme l’arbre du fou rire impeccable des clefs. Le feu apparait comme l’arbre de clefs de la chute du paradis. Le feu apparait comme l’arbre de fou rire de la chute impeccable du paradis.

 

 

 

 

 

Le feu offre. Le feu détruit. Le feu offre la destruction. Le feu offre les gestes de la destruction. Le feu offre les postures de la destruction. Le feu offre les métamorphoses de la destruction, les postures de métamorphose de la destruction.

 

 

 

Le feu offre la violence. Le feu offre l’extase de la violence. Le feu offre la démesure d’ascèse de la violence.

 

 

 

Le feu calligraphie la destruction transfinie qui esquive l’effacement. Le feu affirme l’aisance d’une violence qui détruit sans jamais effacer.

 

 

 

Le feu détruit à force de subtilité.

 

 

 

Le feu calligraphie les ratures de translucidité de la destruction.

 

 

 

Le feu détruit par la sophistication de sa candeur. Le feu exclame les caresses de la destruction. Le feu élance les mains-langues de subtilité de la destruction.

 

 

 

Le feu affirme l’allure de hasard de la destruction. Le feu affirme l’allure de fable illisible de la destruction. Le feu affirme l’élan de fable à force de caresses de la destruction.

 

 

 

Le feu offre les dents de souffle de la destruction.

 

 

 

Le feu insinue les dents-langues de l’offrande transfinie. Le feu insinue les dents-langues d’illusion de l’offrande transfinie.

 

 

 

Le feu projette la fragilité de la destruction à sang nu. Le feu peaufine le fou rire de la destruction à sang nu.

 

 

 

Le feu suicide l’offrande. Le feu suicide l’offrande à l’intérieur du capharnaüm d’affectation de l’odorat, du souffle, du fard.

 

 

 

Le feu offre le vide. Le feu offre le vide à la crucifixion du hasard comme la crucifixion du hasard à la démesure.

 

 

 

Le feu joue avec ce qu’il détruit sans jamais jouer avec la destruction.

 

 

 

Le feu destine les caresses de la destruction au vide même de la fatalité

 

 

 

Le feu détruit la forme même de son secret. Le feu détruit l’allure de son secret. Le feu détruit l’élan d’extase de son secret.

 

 

 

Le feu détruit la féerie de son secret. Le feu détruit l’offrande de terreur de son secret.

 

Le feu respire au dos de l’espace. Le feu respire au dos du désespoir de l’espace. Le feu respire au dos du désespoir frivole de l’espace.

 

 

 

Le feu flaire l’espace à gorge déployée. Le feu flaire l’exil de l’espace à gorge déployée. Le feu flaire l’exil de féerie de l’espace à mains-langues-dents déployées.

 

 

 

Le fou rire du feu respire l’exil de l’espace à langue déployée. Le fou rire d’ascèse du feu respire le tact d’exil de l’espace à langue déployée. Le fou rire d’assassainteté du feu flaire l’exil d’amnésie de l’espace à langue déployée. Le fou rire d’ascèse du feu flaire la peau d’exil de l’espace à mains-langues-dents déployées.

 

 

 

 

 

Le feu parle au futur antérieur de l’instant. Le feu parle au futur antérieur de l’instant fatal.

 

 

 

Le feu phrase l’espace au futur antérieur de l’instant fatal.

 

 

 

Le feu déclare l’arbre de clefs affriolantes de l’espace. Le feu déclare l’arbre de fous rires de l’espace à l’instant fatal.

 

 

 

Le feu esquisse les contorsions d’utopie de l’instant.

 

 

 

Le feu contemple les cicatrices de frivolité de l’instant.

 

 

 

Le feu cinématographie les cicatrices de souffle de l’espace.

 

 

 

Le feu affirme la phrase illisible du destin à l’instant.

 

 

 

Le feu déclare la déflagration d’ascèse de l’amour à l’instant.

 

 

 

Le feu affirme les cicatrices d’affinités de l’instant fatal .Le feu contemple les coïncidences de solitude affriolante de l’instant fatal

 

 

 

 

 

Le feu affirme la fascination de la solitude.

 

 

 

Le feu affirme la fascination frivole de la solitude.

 

 

 

Le feu affirme la fascination seule de l’immédiat.

 

 

 

Le feu affirme la préférence de vide de la solitude. Le feu affirme la préférence du vide comme solitude de la matière et la préférence de la matière comme solitude du vide. Le feu affirme la séduction du vide comme matière de la solitude.

 

 

 

 

 

L’incendie improvise des jeux de démence. L’incendie improvise des sophismes de félicité. L’incendie improvise des mystifications d’extase.

 

 

 

Le feu délire la contemplation à force de salutations. Le feu délire la contemplation à force de frissons solennels. Le feu délire la contemplation à force de salutations de tragédie frivole.

 

 

 

Le feu éjacule les gestes de peau de l’espace. Le feu éjacule des gestes de peau du sang. Le feu éjacule les gestes de peau de la métaphore nue. Le feu éjacule les gestes de sang de l’euphorie nue. Le feu éjacule les gestes de peau de l’euphorie à sang nu.

 

 

 

Le feu fatalise à sang nu. Le feu surfacilite la fatalité à sang nu.

 

 

 

 

 

Le feu surfacilite la frayeur.

 

 

 

Le feu hallucine la facilité de la terreur

 

 

 

Le feu affirme l’énigme de la facilité. Le feu affirme l’énigme de facilité de la terreur.

 

 

 

Le feu affirme l’énigme d’affectation transfinie de la terreur.

 

 

 

Le profil de suicide des flammes ressuscite la face de la terreur à l’instant.

 

 

 

 

 

Le feu inventre des surfaces d’utopie par ravi de vous rencontrer.

 

 

 

Le feu s’élève de la gravitation superficielle de l’espace. Le feu monte de la profondeur subtile de l’espace et il offre ainsi l’aisance de terreur d’un amour.

 

 

 

 

 

Le feu surgit comme artifice irréfléchi.

 

 

 

Le jeu du feu affirme les artifices de la déraison.

 

 

 

Le feu séduit à la fois le fini et l’infini. Le feu séduit le fini et l’infini par des volutes de translucidité transfinie.

 

 

 

Le feu a des mâchoires de souffle. Le feu a des mâchoires de blessures. Le feu des mâchoires de souffle blessé, des mâchoires de blessures soufflées.

 

 

 

Le feu exclame les mâchoires de souffle de la démence.

 

 

 

Le feu offre les mâchoires de blessures de la mystification.

 

 

 

Le feu exclame les mains-langues de la mystification. Le feu improvise exclame les mains-langues de la mystification réflexe.

 

 

 

Le feu projette les mains-langues-dents de l’affectation violente. Le feu insinue les mains-langues-dents de l’affectation comme viol.

 

 

 

 

 

Le feu improvise des cathédrales. Le feu improvise les cathédrales du hasard vide.

 

 

 

Le feu immisce le chaos de caresses du hasard.

 

 

 

Le feu cartographie le vide contorsionniste du hasard.

 

Le feu chorégraphie les hallucinations de luxe du hasard.

 

 

 

Le feu déclare la fraîcheur contorsionniste des cérémonies du hasard. Le feu déclare la fraîcheur du hasard comme érosion de la tragédie.

 

 

 

Le feu affirme l’affectation de la tragédie comme dénudation du hasard. Le feu affirme la dénudation de la tragédie comme affectation du hasard. Le feu affirme l’affectation de tragédie du hasard nu.

 

 

 

 

 

Le feu dénude le destin.

 

 

 

Le feu projette les phrases illisibles du destin.

 

 

 

Le feu improvise le hasard contorsionniste de la démesure.

 

 

 

Le feu dénude l’affectation de hasard du destin.

 

 

 

Le feu dénude l’affectation de hasard du destin par les friandises de cicatrices de la démesure.

 

 

 

 

 

Le feu imagine les cicatrices de démesure du sang. Le feu imagine les cicatrices de démesure illisible du sang.

 

 

 

Le feu exclame des cicatrices d’aisance. Le feu prolifère de cicatrices d’aisance.  Le feu exclame les cicatrices d’aisance de la démesure.

 

 

 

Le feu cicatrise les confidences de la démesure. Le feu cicatrise les friandises de hasard de la démesure.

 

 

 

Le feu cicatrise la facilité à sang nu.

 

 

 

Le feu cicatrise les confidences de terreur de la démence à sang nu. Le feu cicatrise les confidences de fureur de la démence à sang facile nu.

 

 

 

 

 

Le feu déshabille la féerie du souffle.

 

 

 

Le feu déshabille la féerie du souffle à sang nu.

 

 

 

Le feu sculpte le sang du souffle. Le feu sculpte le sang du souffle à mains-langues nues. Le feu sculpte le sang du souffle à loisir de mains-langues nues.

 

 

 

 

 

Le feu souffle l’amphithéâtre de l’espace. Le feu souffle l’amphithéâtre de réflexes de l’instant. Le feu souffle l’amphithéâtre de réflexes de l’espace de l’instant.

 

 

 

Le feu souffle l’amphithéâtre de cicatrices de l’espace à l’instant. Le feu souffle l’amphithéâtre de lettres du hasard à l’instant.

 

 

 

Les caresses de destruction du feu esquissent le chaos de confidences du hasard à l’instant

 

 

 

 

 

Le feu transfinit le souffle de l’illusion.

 

 

 

Le feu essaie la source de crucifixion du souffle

 

 

 

La bouche du feu brode le souffle de sa syncope.

 

 

 

La bouche du feu brode le souffle de crucifixion désinvolte sa syncope.

 

 

 

Le feu improvise une sphère de cicatrices pendues à la bouche de la langue du souffle.

 

 

 

Le feu jongle avec les extrémités du vide, avec les extrémités de soif du vide. Le feu jongle avec les sommets du souffle. Le feu jongle avec les sommets de soufre du souffle.

 

 

 

Les acrobaties d’élégance du feu esquissent la passion de l’invisible à souffle dévêtu.

 

 

 

 

 

Le feu apparait comme le contorsionniste de la catastrophe.

 

 

 

Le feu psalmodie l’ascèse fragile de la catastrophe.

 

 

 

Le feu bégaie l’élégance de la catastrophe. Le feu bégaie l’utopie contorsionniste de la catastrophe.

 

 

 

Le feu apparait comme l’acrobate du souffle de sa syncope. Le feu apparait comme l’acrobate de la fureur de sa syncope. Le feu apparait comme l’acrobate du souffle de fureur de sa syncope.

 

 

 

Le feu survient comme un fil qui marche sur un funambule. Le feu survient comme le fil de fatalité de l’utopie qui marche sur le vide funambule de l’abstraction.

 

 

 

Le feu bégaie le dandysme réflexe de la destruction.

 

 

 

Les baisers volubiles du feu métamorphosent la catastrophe en hurlements fragiles du hasard fatal.

 

 

 

 

 

Le feu possède des muscles à l’intérieur de ses hallucinations. Le feu possède des muscles de cils, des muscles de souffle, des muscles de cils soufflés à l’intérieur de la féerie taboue de ses hallucinations.

 

 

 

Le feu muscle le flair de la déflagration.

 

 

 

Le feu muscle le flair d’envol de la déflagration.

 

 

 

Le feu fracture ses os avec les muscles de son souffle.

 

 

 

Les muscles du feu tordent les bracelets de ses os. Les muscles du feu volutent les bracelets de brisures de ses os.

 

 

 

 

 

Le feu est le sophiste de la soif in extremis.

 

 

 

Le feu est lyrique par réflexe. Le feu est lyrique par réflexe et cynique par contemplation.

 

 

 

 

 

Le feu a des crampes de traits d’esprit.

 

 

 

Le feu drape la passion du scandale.

 

 

 

Le feu souffle le tourbillon de fouets du délire.

 

 

 

 

 

Le feu a des doigts de labyrinthe et des paumes d’hallucinations.

 

 

 

Le feu tient en équilibre sur la paume d’hallucination de ses cils.

 

 

 

 

 

L’aisance de douleur du feu dessine des épaules métaphysiques, les épaules métaphysiques de l’épouvante frivole.

 

 

 

Le feu surgit tigré d’abruptes nonchalances et de linceuls lucides. Le feu bégaie les linceuls de lucidité de l’illisible.

 

 

 

 

 

Le feu crucifie le vide.

 

 

 

Le feu palindromise la crucifixion du vide. Le feu cicatrise la crucifixion palindromique du vide.

 

 

 

Le feu palindromise l’éclipse de la crucifixion.

 

 

 

Le feu cicatrise la crucifixion du vide ; Le feu cicatrise la crucifixion du vide à sang facile nu.

 

 

 

Le feu crucifie le hasard du paradis. Le feu crucifie les quiproquos de hasard du paradis.

 

Le feu crucifie des quiproquos de paradis maudits. 000Le feu crucifie des quiproquos d’apocalypse et de paradis.

 

 

 

 

 

Le feu affirme le devenir adjectif des formes. Le feu affirme le devenir adjectif des formes parfois selon surtout.

 

 

 

Le feu affirme le devenir adjectif d’espace des formes comme offrandes de la destruction.

 

 

 

 

 

Les langues d’instant du feu. Les yeux flagrants du feu.

 

 

 

Les langues flagrantes du feu. Les yeux d’instant du feu.

 

 

 

Le bafouillage hautain du feu.

 

 

 

Les évocations brusques du feu.

 

 

 

Les subterfuges fatidiques du feu.

 

 

 

L’éloquence in extremis du feu.

 

 

 

Les gestes de prestidigitation du feu. Les phalanges de prestidigitation tragique du feu.

 

 

 

Le délire de facilité du feu. La démence de frivolité du feu.

 

 

 

Les crispations d’ouvertures du feu. Les exclamations d’indécence du feu.

 

 

 

Les arcatures d’incandescence du feu. Les écartèlements d’alcool du feu.

 

 

 

La flore intellectuelle du feu, la flore d’intolérance intellectuelle du feu.

 

 

 

La pyramide d’hésitation du feu. La pyramide de scepticisme du feu.

 

 

 

Les railleries funèbres du feu. La lubricité burlesque du feu. La foi infidèle du feu. La prestidigitation infirme du feu. La féerie féroce du feu.

 

 

 

La cérémonie de fureur du feu, la cérémonie de cicatrices furieuses du feu.

 

 

 

Les enfantillages de désespoir du feu, les enfantillages de désespoir phosphorescent du feu.

 

 

 

Le paradis du feu, ses ratures de désespéré et les œuvres de sa cendre. Le désespoir du feu, son œuvre de ratures et l’inspiration de sa cendre. Les œuvres du feu, ses ratures d’inspiré et le paradis de sa cendre. L’inspiration du feu, le paradis de ses ratures et le désespoir de son œuvre.

 

 

 

 

 

Le feu effectue des suggestions de fureur.

 

 

 

Le feu fouette l’espace avec des ellipses de fureur.

 

 

 

Le feu prolifère la nonchalance du vide. Le feu prolifère la tyrannie de la feinte. Le feu prolifère l’oisiveté de la destruction

 

 

 

Le feu prolifère les feintes cartographiques de la fureur, de la fureur effrayée,  de la frayeur furieuse.

 

 

 

Le feu élance le furet de la fureur. Le feu insinue la fourrure d’hallucinations de la fureur. Le feu insinue la fourrure de fureur de la subtilité, de la tragédie subtile.

 

 

 

Le feu effectue des tortures décoratives.

 

 

 

Le feu a des réflexes de torture érudite.

 

 

 

Le feu expose des friandises de tortures superflues.

 

 

 

 Le feu décore le temps avec des tortures frénétiques d’espace. Le feu décore l’espace avec des confidences fanatiques de temps.

 

 

 

Le feu paraphe des poses d’explosion

 

 

 

Le feu épuise le désespoir à force de sourires d’explosion.

 

 

 

 

 

Le feu bafouille une symphonie sans pardon.

 

 

 

Le feu ordonne un bafouillage qui bafoue l’espace.

 

 

 

Le feu psalmodie des arabesques de boursouflure, des arabesques d’emphase stricte, des arabesques de déflagration futile.

 

 

 

Le feu esquisse des fresques de cris. Le feu esquisse des fresques d’éclipses hurlées.

 

 

 

La démence frivole du feu exclame des friandises d’explosions.

 

 

 

 

 

Le feu est le Sisyphe du noli tangere.

 

 

 

Le feu est le Sisyphe de l’hésitation de ses affects.

 

 

 

Le feu est le Sisyphe du dédale de la déraison.

 

 

 

Le feu brode des brouhahas de tombeaux frivoles, des brouhahas de ruses schizophrènes. Le feu entrelace les accolades cataclysmiques de la schizophrénie.

 

 

 

 

 

Le feu feuillette des crimes d’ailes.

 

 

 

Le feu feuillette des lévitations de torture.

 

 

 

Le feu mime la fragilité du meurtre.

 

 

 

Le feu mime les meurtres explétifs du vide.

 

 

 

La torture futile du feu formule les confidences délicates de la fureur.

 

 

 

Le feu crépite de soupirs impitoyables.

 

 

 

 

 

Le feu compose des pyramides d’épis pyrrhoniens.

 

 

 

Le feu tourne les pages d’un labyrinthe d’explosions.

 

 

 

 

 

Le feu paraphe les nœuds explétifs de la vitesse.

 

 

 

Le feu effectue des secrétions transfinies d’exil explétif

 

 

 

L’insuicide du feu croit à la résurrection du vide.

 

 

 

 

 

Le feu prolifère le seuil incessant de la fuite.

 

 

 

Le feu cartographie l’oscillation de violence de la fuite.

 

 

 

Le feu trahit l’infidélité même de sa fuite.

 

 

 

La nonchalance acharnée du feu trahit le luxe d’infidélité de sa fuite.

 

 

 

L’hallucination de hasard du feu formule les sourires d’infirmité de la trahison.

 

 

 

Le feu cartographie les bouffonneries luxueuses de la trahison.

 

 

 

La féerie démente du feu trahit selon la nonchalance acharnée du hasard.

 

 

 

La féerie inchoative du feu trahit selon le sourire de démence de son utopie

 

 

 

Le sourire violent du feu affirme la démence d’utopie de la trahison.

 

 

 

 

 

Le feu dessine des decrescendos de cendres.

 

 

 

Le feu esquisse des escaliers de cendres. Le feu esquisse des escaliers de cendres en désespoir de pose.

 

 

 

Le sourire du feu amplifie la clandestinité de la cendre.

 

 

 

L’affectation de noli tangere du feu amplifie la soif de clandestinité de la cendre.

 

 

 

Le feu sauvegarde les empreintes digitales des paupières. Le feu sauvegarde les empreintes de paupières du vide. Le feu sauvegarde les paupières de vide de la cendre.

 

 

 

Le regard passionné de ses paupières forme le voyage immobile du feu.

 

 

 

A bientôt, l’empreinte d’une paupière au sein de l’incendie. A bientôt, l’empreinte d’une paupière à l’abandon au sein des paumes d’implosion de l’incendie.

 

 

 

Les paupières météoriques des braises mangent dans la main du feu. Les paupières météoriques des braises méditent dans la main du feu.

 

 

 

Braises, écorces de pierres précieuses. Et elles disparaissent à bientôt, cendres bizarres.

 

 

 

 

 

Le feu déclare l’arche minérale des végétaux. Le feu déclare l’arche végétale des minéraux.

 

 

 

Le feu déclare l’arche d’ascèse végétale de la démence des minéraux.

 

 

 

Les métamorphoses du feu esquissent l’arche de salutations végétales de la démence clandestine des minéraux.

 

 

 

 

 

Les ailes à coups de ciseaux du feu maquillent l’espace de facilité du temps

 

 

 

La main de désinvolture du feu donne à respirer l’architecture végétale des conversations.

 

 

 

 

 

Le feu n’est jamais volé par quelqu’un.

 

 

 

Ce qui vole le feu n’est pas la plaisanterie d’un homme. Ce qui vole le feu c’est le fou rire de la volonté, c’est le fou rire d’ascèse de la volonté.

 

 

 

Le feu apparaît volé par les improvisations de l’ascèse. Le feu apparaît volé par les improvisations de la bouche du crâne. Le feu apparaît volé par les improvisations du crâne de la main.

 

 

 

 

 

L’oreille hilare du feu écoute avec férocité.

 

 

 

Le feu explétive la vérité du souffle.

 

 

 

La parole évoque l’empreinte explétive du feu.

 

 

 

 

 

Le feu offre détruit infinitif.

 

 

 

Le feu coud des miracles de déchirures

 

 

 

Le feu bordélise les réflexes de l’odeur.

 

 

 

 

 

Le feu lape avec les dents. Le feu déchiquette avec les lèvres.

 

 

 

Le feu flaire avec sa langue. Le feu flaire avec les phalanges de sa langue.

 

 

 

Le feu lèche ses yeux avec le noli tangere de sa langue.

 

 

 

Le feu lèche sa langue avec son souffle.

 

 

 

Le feu lèche sa langue avec l’illusion de son souffle

 

 

 

Le feu lèche les réflexes sa langue avec les frissons d’illusion de son souffle

 

 

 

Le feu lèche l’illusion de sa langue avec les réflexes d’utopie de son souffle.

 

 

 

 

 

Le feu muscle le funambulisme du flair

 

 

 

Le feu muscle flaire l’éventail de la fusillade.

 

 

 

Le feu muscle flaire l’éventail de fatalité phosphorescente de la fusillade

 

 

 

 

 

Le feu défenestre le futur antérieur de l’espace.

 

 

 

Le feu défenestre les draps de futur antérieur de l’espace.

 

 

 

Le feu défenestre les draps de fascination de l’espace.

 

 

 

Le feu défenestre les draps de phosphore de l’espace. Le feu défenestre les draps de fascination phosphorescente de l’espace.

 

 

 

 

 

Le feu phrase l’aphasie du sang

 

 

 

Le feu dénude le sang du destin

 

 

 

Le feu dénude la démesure de sang du destin

 

 

 

Le feu dénude dédale le profil de sang du destin.

 

 

 

Le feu chorégraphie les froufrous de déchirures du sang.

 

 

 

Le feu projette les froufrous de nudité du sang.

 

 

 

Le feu projette les froufrous de sang du destin.

 

 

 

 

 

Le feu chorégraphie les fous rires de la soif.

 

 

 

Le feu forge improvise peaufine la roue de fou rire de la déraison.

 

 

 

Le feu improvise l’arbre de flèches de l’intuition.

 

 

 

Le feu phonographie peaufine l’arbre de flèches de l’intuition.

 

 

 

Le feu drape volubilise peaufine l’arbre de flèches de la démesure.

 

 

 

 

 

Le feu projette le tas de flèches de la certitude.

 

 

 

Le feu projette les flèches fructiphores de l’instinct.

 

 

 

Le feu éjacule les métamorphoses de nudité du sang.

 

 

 

 

 

Le feu agrafe les fusées. Le feu agrafe des amphithéâtres de fusées.

 

 

 

Le feu agrafe les fusées de l’aisance. Le feu agrafe l’amphithéâtre de fusées de l’aisance.

 

 

 

Le feu agrafe les fusées d’aisance de l’insinuation. Le feu agrafe l’amphithéâtre de fusées de l’insinuation.

 

 

 

 

 

Le feu délire des fresques de cris.

 

 

 

Le feu feuillette des encyclopédies de tigres.

 

 

 

Le feu emphatise les frissons de la férocité.

 

 

 

 

 

Le feu rature les atlas du phosphore.

 

 

 

Le feu écartèle des miaulements de graffitis.

 

 

 

Le feu miaule les graffitis du phosphore.

 

 

 

Le feu écartèle miaule les atlas de graffitis du phosphore.

 

 

 

 

 

Le feu forge furtif.

 

 

 

Le feu voyage pyramidal.

 

 

 

Le feu diapre l’épouvante.

 

 

 

Le feu est l’orfèvre de l’épouvante frivole.

 

 

 

 

 

Le feu est le dandy des réflexes

 

 

 

Le feu ravit la fièvre de la santé

 

 

 

Le feu fiance les ciseaux et les fouets.

 

 

 

Le feu cisaille le voyage des voix.

 

 

 

 

 

Le feu nidifie l’illimité.

 

 

 

Le feu moissonne les offenses.

 

 

 

Le feu moissonne les dérobades de la férocité.

 

 

 

Le feu défenestre l’oxygène.

 

 

 

Le feu défenestre les gueules tubescentes de l’oxygène.

 

 

 

Le feu défenestre moissonne zoome les gueules tubescentes de l’oxygène

 

 

 

Le feu chorégraphie sculpte la transe de la superficialité.

 

 

 

Le feu nidifie la transfinitude féroce de la dérobade.

 

 

 

 

 

Le feu éclot des funérailles. Le feu éclot des funérailles d’affinités.

 

 

 

Le feu improvise des paravents d’épouvante.

 

 

 

Le feu formule des pyramides de piments.

 

 

 

Le feu forge récolte éclot le temple de tentacules de l’instant fatal.

 

 

 

 

 

Le feu orchestre des confitures de couteaux.

 

 

 

Le feu improvise la confiture de couteaux de la crucifixion.

 

 

 

Le feu formule des confiseries de crucifixions.

 

 

 

Le feu compose (improvise) une confiture de crucifixions.

 

 

 

Le feu peaufine le swing (de souffle) d’une crucifixion de profil.

 

 

 

Le feu palindromise les ellipses de la crucifixion.

 

 

 

Le feu peaufine les ellipses de profil de la crucifixion.

 

 

 

La féerie burlesque du feu confond érection et crucifixion.

 

 

 

 

 

Le feu symphonise l’équarrissage.

 

 

 

Le feu improvise jappe des drapeaux de sabres agiles.

 

 

 

Le feu improvise jappe les drapeaux de sabres agiles de l’équarrissage.

 

 

 

Le feu paraphe spiralise jappe la gymnastique des égorgements.

 

 

 

 

 

Le feu titube de cruauté.

 

 

 

Le feu affûte des confitures de gueules acrobates.

 

 

 

Le feu sculpte drape la confiture de gueules acrobates de la déraison.

 

 

 

 

 

Le feu phrase le rouge.

 

 

 

Le feu zoome l’espace.

 

 

 

Le feu jappe l’impulsion.

 

 

 

Le feu ficèle la transe.

 

 

 

Le feu métallurgise la fantaisie.

 

 

 

 

 

Le feu entrelacère l’échafaudage de la félicité.

 

 

 

Le feu frissonne fuse des échafaudages de ruines.

 

 

 

Le feu euphorise la fresque de ciseaux-fenêtres des cris.

 

 

 

Le feu froufroute les cicatrices d’ailes du silicium.

 

 

 

Le feu entrelace les lacérations de silicium de la félicité.

 

 

 

Le feu entrelacère l’échafaudage de flèches de la félicité.

 

 

 

Le feu entrelace des hélices de félicité.

 

 

 

Le feu entrelace des hélices de félicité phosphorescente.

 

 

 

Le feu spiralise des éventails de fusillade.

 

 

 

Le feu spiralise fatalise muscle les éventails de fusillade de l’euphorie.

 

 

 

 

 

Le feu tisse des puzzles de supplice.

 

 

 

Le feu emphatise le laxisme de la fureur.

 

 

 

Le feu symphonise des œillades de fureur.

 

 

 

Le feu spiralise les surprises de la cruauté.

 

 

 

Le feu fouette les affinités de l’hallucination.

 

 

 

Le feu apostrophe des usines d’insinuation.

 

 

 

Le feu ébauche l’offrande illicite de la terreur.

 

 

 

Le feu écartèle l’amphithéâtre de tubescence de la férocité.

 

 

 

Le feu exalte flaire la prestidigitation-vivissection de la férocité.

 

 

 

 

 

Le feu improvise la fascination.

 

 

 

Le feu improvise la démesure de la fascination.

 

 

 

Le feu improvise les mâchoires de blessures de la fascination.

 

 

 

Le feu improvise forge les arabesques d’ascèse de l’euphorie.

 

 

 

 

 

Le feu hermétise le parfois surtout de l’ouvert.

 

 

 

Le feu apostrophe zoome la confiture des couteaux.

 

 

 

Le feu récolte des transfusions de hachures.

 

 

 

Le feu labyrinthise des incantations d’hélices.

 

 

 

Le feu phonographie les loopings d’alcool de la fatalité.

 

 

 

 

 

Le feu convulse l’affectation.

 

 

 

Le feu cathédralise le délire d’affectation de la fureur.

 

 

 

Le feu chorégraphie les falaises d’ailes-ciseaux de l’alcool.

 

 

 

Le feu souffle exclame les falaises d’alcool de l’euphorie.

 

 

 

 

 

Le feu compose des mosaïques de mains-langues.

 

 

 

Le feu exclame la mosaïque de mains-langues de la mystification.

 

 

 

Le feu immisce exclame le fou rire de mains-langues de la mystification.

 

 

 

 

 

Le feu sculpte la source des fenêtres-boomerangs.

 

 

 

Le feu exclame les fenêtres-boomerangs du phosphore.

 

 

 

Le feu paraphe l’espace avec les fenêtres-boomerangs du phosphore.

 

 

 

Le feu projette les faisceaux de cicatrices du phosphore.

 

 

 

Le feu écartèle la mosaïque d’acrobaties du phosphore. Le feu écartèle l’amphithéâtre des transfusions du phosphore.

 

 

 

Le feu subtilise les fenêtres-boomerangs du fou rire. Le feu subtilise exacerbe amplifie les fenêtres-boomerangs du fou rire phosphorescent. Le feu subtilise fiance divorce les fenêtres-boomerangs du fou rire phosphorescent. Le feu fatalise fiance divorce les fenêtres-boomerangs du fou rire phosphorescent.

 

 

 

Le feu orchestre des bagues-rubans de cabrioles. Le feu orchestre des bagues-rubans de chatouillis.

 

 

 

Le feu chatouille les antennes métaphysiques de la déflagration. Le feu cisaille chatouille fouette les antennes métaphysiques de l’affectation-destruction.

 

 

 

 

 

Le feu froufroute l’arbre de la déflagration

 

 

 

Le feu transfinit les friandises de la déflagration

 

 

 

Le feu défenestre les froufrous de la déflagration.

 

 

 

Le feu architecture des drapeaux de déflagration

 

 

 

Le feu architecture arque jongle les drapeaux de friandises de la déflagration.

 

 

 

 

 

Le feu éjacule la démesure de la clarté.

 

 

 

Le feu éjacule les gestes de peau de la clarté.

 

 

 

Le feu esquisse les escaliers d’alcool du délire.

 

 

 

Le feu délire les fenêtres d’alcool de l’utopie contorsionniste.

 

 

 

Le feu hurle l’arche de métamorphose minérale de l’absolu.