Boris Wolowiec
Chaise
La chaise reste là. La chaise reste là sans savoir. La chaise reste là sans savoir où elle se trouve. La chaise reste là en marge du sol. La chaise reste là entre la chaise et la chaise. La chaise reste là entre la chaise et la chaise en marge du sol, entre la chaise et la chaise en marge de deux, entre la chaise et zéro en marge de deux. La chaise reste là entre le zéro de la chaise et la chaise de deux. La chaise reste là entre le zéro de la chaise et la marge du sol de deux.
La chaise reste là. La chaise reste entre là. La chaise reste entre là en marge du sol. La chaise reste là entre le choix. La chaise reste là entre zéro et deux. La chaise reste là entre la chance et le choix. La chaise reste là entre la chance de zéro et le choix de deux. La chaise reste là entre le choix de zéro et la chance de deux. La chaise reste là entre le parfois de zéro et l’encore de deux, entre l’encore de zéro et le parfois de deux. La chaise reste là entre l’avec de zéro et l’aussi de deux, entre l’aussi de zéro et l’avec de deux. La chaise reste là entre le carré de zéro et le dandinement de deux. La chaise reste là entre l’hier de zéro et le demain de deux. La chaise reste là entre le chant et le choix. La chaise reste là entre le chant de zéro et le choix de deux, entre le chant hier de zéro et le choix demain de deux, entre le choix hier de zéro et le chant demain de deux.
La chaise reste là entre l’imprimerie et l’intonation, entre l’échelle et le panier, entre les chaussures et la chemise, entre la cartographie et l’adverbe, entre l’échafaudage et l’attitude, entre les cartilages et l’interjection, entre l’escalier et les braises, entre hier et demain, entre deux culs.
La chaise reste là entre les fiançailles et la farine, entre le chevalet et l’anamnèse, entre la balançoire et le courage, entre le courage et le kangourou, entre l’archétype et la confidence, entre la serrure et le champignon, entre le champignon et le puzzle, entre le parfois et l’hypothèse, entre les cartilages et les stalactites, entre la poubelle et l’éventail, entre la schizophrénie et les sourcils, entre les subterfuges et les chaussettes, entre les condoléances et les narines, entre les chevilles et l’archétype, entre le balcon et le balai, entre les yeux et les croix, entre les citations et les cris, entre les archives et le je ne sais quoi.
La chaise reste là entre le chien et les braises. La chaise reste là entre avec et parfois. La chaise reste là entre le chien qui sourit et les braises qui aboient. La chaise reste là entre le carré et les aisselles, entre la crampe et la silhouette, entre la crampe de zéro et la silhouette de deux, entre l’échelle et l’incantation, entre l’échelle et les cils , entre l’échelle et l’incantation des cils, entre la chemise et les sourcils, entre la chemise de zéro et les sourcils de deux, entre le plancher et l’échelle, entre le plancher de zéro et l’échelle de deux, entre l’échelle de zéro et le plancher de deux, entre l’échelle et le rythme, entre le cœur et le choix, entre la croix et les narines, entre le plancher et le kangourou, entre l’échelle et l’usage, entre l’échelle de zéro et l’usage de deux, entre l’échelle et le courage, entre l’échelle et le genou, entre l’échelle et le subterfuge, entre l’échelle et les cartilages, entre l’échelle de zéro et les cartilages de deux, entre les cartilages de zéro et l’échelle de deux, entre l’échelle et la serrure, entre l’échelle de zéro et la serrure de deux, entre l’échelle et le champignon, entre l’échelle et le puzzle, entre le plancher et la stalactite, entre l’échelle et la schizophrénie, entre la schizophrénie de zéro et l’échelle de deux, entre l’échelle et l’anus, entre l’échelle de zéro et l’anus de deux, entre le plancher et la courtoisie, entre l’échelle et les chaussettes, entre l’échelle de zéro et les chaussettes de deux, entre les chaussettes de zéro et l’échelle de deux, entre la courte échelle et le haut de gamme, entre l’échelle et les condoléances, entre l’échelle et l’éventail, entre l’échelle et les chevilles, entre l’échelle de selon et les chevilles de zéro, entre les chevilles de zéro et l’échelle d’ici, et l’échelle de selon d’ici, et l’échelle de selon deux, et l’échelle de selon ici deux, entre l’échelle et le centre de la terre, entre l’échelle et les chevilles du centre de la terre, entre l’échelle de zéro et le centre de la terre de deux, entre le centre de la terre de zéro et l’échelle de selon ici deux.
La chaise reste là entre l’échelle et le plancher, entre le plancher et l’étagère, entre l’étagère et la semaine, entre la semaine et l’anatomie, entre l’anatomie et l’azote, entre l’étagère et le je ne sais quoi, entre le plancher et entre, entre le plancher et le choix, entre le plancher et l’adverbe, entre le plancher et avec, entre l’étagère et l’interjection, entre l’étagère et l’âge, entre l’étagère et l’interjection de l’âge, entre l’échelle et l’anatomie, entre l’échelle et l’anatomie de la semaine, entre l’échelle et l’anatomie de l’âge, entre le plancher et l’anatomie du choix, et l’âge d’anatomie du choix, entre l’échelle et l’anatomie d’avec, entre le plancher et les cartilages, entre le plancher et les cartilages de la semaine, et les cartilages de l’âge, et les cartilages du choix. La chaise reste là entre l’étagère et la nostalgie, entre l’archétype et le genou, entre le plancher et le coccyx, entre le coccyx et l’exil, entre le coccyx et les condoléances, entre le plancher et le coccyx de l’âge, et le coccyx d’âge du choix, entre le plancher et les archétypes, entre le plancher et les braises, entre le choix et les braises, entre l’échelle et les braises d’avec, entre le plancher et la crampe, et la crampe d’avec, et la crampe de braises d’avec, entre le plancher et l’incantation, et l’incantation de l’âge, entre l’échelle et l’incantation d’avec, et l’incantation de braises d’avec. La chaise reste là entre le plancher et les sourcils, entre l’échelle et le rythme, entre le plafond et le panier, entre l’échelle et le chevalet, entre le chevalet et l’âge, entre le chevalet et l’âge du choix, entre le plancher et l’anamnèse, entre le plancher et l’anus, entre le plancher et l’anus du choix, entre l’échelle et l’éternuement, entre le plancher et l’éternuement du choix, entre le chevalet et l’ambiguïté, entre le plancher et l’ambiguïté du choix, entre l’échelle et le centre de la terre, entre le centre de la terre et le choix, et l’âge du choix, entre l’archétype et les braises, entre l’échelle et la courtoisie, entre l’échelle et la courtoisie du centre de la terre, et la courtoisie du choix, entre le plancher et l’étincelle, entre le plancher et le taille-crayon, entre l’échelle et le taille-crayon, et le taille-crayon du centre de la terre, entre le plancher et l’usage, et l’usage du choix, entre le plancher et le courage, et le courage du choix, entre le plancher et l’archétype, et l’archétype du centre de la terre, et l’archétype du choix, entre le plancher et le cercueil de l’interjection, entre l’échelle et le choix du centre de la terre, entre le plancher et les confidences, entre l’échelle et les confidences du centre de la terre, entre le plancher et la balançoire, et la balançoire de l’âge, et la balançoire d’âge du choix, entre le plancher et la subjectivité, et la subjectivité du centre de la terre, entre le plancher et le cercueil, entre l’échelle et le cercueil du centre de la terre, et le cercueil de courage du centre de la terre, entre le plancher et l’hypothèse, entre l’échelle et l’hypothèse, et l’hypothèse du centre de la terre, et l’hypothèse de cercueil du centre de la terre, entre l’échelle et le peigne, et le peigne du choix, entre le plancher et le cerveau, et le peigne du cerveau, et le cerveau du centre de la terre, entre l’échelle et le coccyx du centre de la terre, et le coccyx de choix du centre de la terre, entre l’échelle et le cerveau-coccyx du centre de la terre, entre le choix et la coccinelle, et la coccinelle du centre de la terre, entre le plancher et le balcon, et le balcon du centre de la terre, et le balcon de chevilles du centre de la terre, entre le plancher et le kangourou, et le balcon des kangourous, et le balcon de kangourous du volcan, entre le plancher et le puzzle, entre la plancher et le champignon, et le puzzle des champignons, entre le plancher et la serrure, entre le plancher et la serrure du centre de la terre, entre le plancher et la stalactite, et la stalactite du choix, entre le plancher et la serrure des stalactites, et la serrure de stalactites du centre de la terre, et la serrure de stalactites du choix, entre le plancher et la schizophrénie, entre l’échelle et les chaussettes, et les chaussettes du choix, et les chaussettes du centre de la terre, et les chaussettes de choix du centre de la terre, entre le plancher et les condoléances, et les chaussettes des condoléances, et les chaussettes de condoléances du choix ,entre le plancher et l’éventail, et l’éventail du centre de la terre, et l’éventail-coccyx du centre de la terre, entre le plancher et la citation, et la citation du centre de la terre, entre l’échelle et les chevilles, et la citation des chevilles, et la citation de chevilles du centre de la terre, entre l’échelle et les archives, et les archives du centre de la terre, et les archives de chevilles du centre de la terre, entre l’échelle et le plancher du centre de la terre, et le plancher du choix, et le plancher de choix du centre de la terre, entre le plancher et l’échelle du choix, et l’échelle du centre de la terre, et l’échelle de choix du centre de la terre.
La chaise reste là dans l’ordre des choses. La chaise a l’air de rester là dans l’ordre des choses. La chaise a de l’air entre les jambes. La chaise a de l’air entre les pieds. La chaise a l’air d’avoir des pieds. La chaise pose un problème l’espace d’un instant. La chaise pose un problème l’espace d’un instant dans l’ordre des choses, dans l’ordre du choix des choses. La chaise pose un problème l’espace d’un instant entre ses pieds. La chaise a l’air de poser un problème l’espace d’un instant entre ses pieds. La chaise a l’air de poser un problème d’oisiveté. La chaise a l’air de poser un problème d’oisiveté l’espace d’un instant entre ses pieds. La chaise a l’air de poser un problème d’osier, un problème d’osier oisif l’espace d’un instant entre ses pieds. La chaise ose poser un problème d’osier. La chaise a l’air de poser un problème l’espace d’un instant dans l’ordre des choses, dans l’ordre du choix des choses. La chaise a l’air de poser un problème qui donne le change, qui change d’idée comme de fesses, qui change de fesses comme d’idées. La chaise a l’air de poser un problème de temps en temps, de temps à autre, de temps en temps à autre. La chaise a l’air de poser un problème de table de soustraction, de table de soustraction dans l’ordre des choses, dans l’ordre de choix des choses de temps en temps à autre. La chaise a l’air de poser un problème d’oisiveté dans l’ordre de choix des choses, dans l’ordre de choix des choses de temps en temps à autre.
La chaise a l’air de poser un problème de circonstances atténuantes, un problème entre les rires et les larmes, comme le lait sur le feu, comme le feu sous la cendre. La chaise a l’air de poser un problème au petit bonheur la chance, à petit feu, à feu doux.
La chaise a l’air de poser le problème d’imprimerie, de silhouette, de silhouette imprimée, d’interjection, d’azote, de parfois, d’avec, de cartographie, d’acquiescement, de carré, d’acquiescement carré, de balançoire, de puzzle, de balançoire-puzzle, d’échelle, de panier, d’échelle-panier, de souhait, d’usage, d’oisiveté, d’usage oisif, de courage, d’usage-courage, d’héroïsme, de discrétion, d’héroïsme discret, de cartilages, de cartilages oisifs, de stalactites, de cartilages-stalactites, de confidences, de chirurgie, de confidences chirurgicales, de schizophrénie, de schizophrénie oisive, de condoléances, de condoléances oisives, chirurgicales oisives, d’encore, d’assez, d’encore assez, de kangourou, d’Emmanuel Kant, de kangourou-Emmanuel Kant, de l’ordre des choses, de l’ordre de choix des choses.
Quand un homme est assis sur une chaise, il n’est ni enfermé ni libre. Quand un homme est assis sur une chaise, il se repose au-dessus de sa cage, il se repose perché au-dessus de sa cage. Quand un homme est assis sur une chaise, il se repose déséquilibré fixe réfléchi au dessus de sa cage.
La chaise s’échappe sur place. La chaise est la cage de l’échappée sur place. La chaise est la cage de l’évasion sur place à la recherche de l’image d’un nom, de l’ordre d’un rêve.
La chaise miaule la cage de l’échappée. La chaise miaule toussote la cage d’orteils de la sagesse.
La chaise dit : la cage est le chemin.
La chaise est une cage de repos. La chaise réfléchit le repos. La chaise pronominalise la réflexivité du repos.
La chaise reste tranquille comme une cage à l’intérieur d’un fauve.
Quand un homme est assis sur une chaise, il repose au-dessus de la cage de sa chute, ce qui provoque ainsi la projection de la cage de ses os.
Quand un homme est assis sur une chaise, il arque le charme de sa malédiction comme la chance de calme de son thorax.
La chaise provoque l’éruption de la cage thoracique de celui qui s’y tient assis. La chaise provoque l’éruption thoracique du repos.
.La chaise provoque l’éblouissement du buste, le tonnerre de clarté du thorax.
La chaise tisse les chandelles d’ascèse du thorax.
La chaise pose la projection du squelette. La chaise dispose la projection fixe du squelette. La chaise arque le repos. La chaise arque la projection du repos. La chaise chante le déséquilibre fixe du repos. La chaise chante l’intention projectile du repos. La chaise repose en marge des saisons
La chaise charismatise la sclérose. La chaise charismatise la fixité éloquente du squelette.
La chaise mélodise la fixité du déséquilibre. La chaise mélodise le déséquilibre de la fixité.
La chaise fixe l’hallucination de la réflexion. La chaise est le meuble-drogue de la réflexion.
La chaise chuchote l’accroupissement de l’équilibre. La chaise accroupit le charme comme la chance de l’équilibre. La chaise chuchote la posture de l’accroupissement debout.
La chaise charme l’aisance. La chaise charme les os. La chaise charme l’aisance des os.
La chaise charme la cage d’aisance des os.
La chaise charme l’incarcération. La chaise charme la cage de l’aisance. La chaise charme l’aisance de l’incarcération.
La chaise chante la machine des os. La chaise chante la machine de cils des os. La chaise chante la machine de sourcils des os.
La chaise cherche à qui chanter.
La chaise a plus d’une chanson à son arc.
La chaise chante tout bas ce qu’elle pense tout haut. La chaise chante tout haut ce qu’elle pense tout bas.
La chaise chante des statistiques de stases.
La chaise assaisonne l’assise du chant.
La chaise empaille les chansons. La chaise empaille les statues. La chaise empaille les hommes. La chaise empaille les chansons des statues. La chaise empaille la transhumance du chant.
La chaise calcine la souche de la voix. La chaise calcine la souche-statue de la voix.
La chaise chante la racine carrée du zéro. La chaise chante la racine zéro du carré. La chaise parle la souche carrée du zéro. La chaise parle la souche zéro du carré.
La chaise chante le choix.
La chaise est l’outil du choix. La chaise est la table de soustraction du choix.
La chaise crucifie l’aisance de la chute.
La chaise acharne le vide. La chaise acharne le vide du choix. La chaise acharne décharne le vide intransitif du choix.
La chaise acharne le vide intransitif du choix avec aussi. La chaise acharne le vide intransitif du choix avec selon aussi. La chaise acharne décharne le vide indicatif intransitif du choix avec selon aussi.
La chaise acharne le vide de la dissection.
La chaise chante la dissection de vide du choix.
La chaise acharne la dissection de vide de son ombre, la dissection d’ombre-vide d’avec selon aussi.
La chaise est la chaussure des fesses.
La chaise est la fiancée des fesses. La chaise est la fiancée catatonique des fesses.
La chaise excite le repos des fesses. La chaise excite le calme des fesses. La chaise contemple l’excitation de calme des fesses.
La chaise baise les fesses du premier venu.
La chaise est un cheval de brins d’herbes.
La chaise est le cheval d’arçon des coïncidences. La chaise est le cheval d’arçon des coïncidences du hasard même.
La chaise est l’échelle des sourcils. La chaise est l’échelle d’acquiescement des sourcils. La chaise est l’échelle d’acquiescement hier des braises-sourcils.
La chaise est la fille orpheline de l’échelle.
La chaise est l’arc des os et l’arche des muscles. La chaise est l’arc d’accroupissement des os comme l’arche d’équilibre des muscles, l’arche du déséquilibre fixe des os comme de l’équilibre mutant des muscles.
La chaise est l’instrument de torture de l’oisiveté. La chaise pose le supplice-problème du pas grand-chose, du trop peu encore assez.
La chaise chuchote les clowneries de la torture. La chaise chuchote les clowneries de torture du cœur.
La chaise travaille à poser le problème de l’oisiveté. La chaise à l’air de travailler à poser le problème de l’oisiveté. La chaise travaille à avoir l’air de poser le problème d’osier chirurgical de l’oisiveté, le problème d’osier chirurgical du choix.
La chaise orchestre le regard d’odeurs du choix oisif.
La chaise ressemble parfois à une guillotine. La chaise guillotine les jambes. La chaise coupe la tête des jambes. La chaise coupe la respiration des genoux.
La chaise contraint l’homme à plier les jambes comme s’il allait sauter et cependant elle lui interdit de s’élancer. La chaise coupe le saut sur le pied.
La chaise est à la fois ce qui provoque le désir du bond et ce qui s’y oppose. L’homme assis est un bondissant fossilisé. La chaise fossilise le bond en supplice oisif utile de la réflexion.
La chaise est la guillotine réflexive du bond. La chaise change l’homme en kangourou de la fixité, en bouddha de l’élan comme en kangourou de la paralysie réflexive.
La chaise est la guillotine de l’oisiveté.
Les chaises parlent plus souvent aux chaises qu’aux hommes.
Il n’y a pas de gouffres entre les hommes, il y a simplement des chaises. Ce ne sont pas des gouffres qui séparent les hommes, ce sont simplement des chaises.
Chaque chaise est un cerveau et la disparition d’un cerveau.
La chaise enroule la forêt du cerveau autour de la disparition de ses mains.
La chaise écoute les choses exister avec la brûlure de sa disparition.
La chaise sert d’intermédiaire aux phrases de la disparition des hommes.
La chaise voit et touche le vide qui choisit d’attendre parmi les hommes.
L’anus de la chaise veille dans le nombril des hommes. Le nombril de la chaise rêve dans l’anus des hommes.
La chaise sauvage fait comme si l’homme était apte à la toucher.
Pour aller d’un mot à un autre, l’homme a besoin de l’immortalité d’une chaise.
Un homme ne devient un sujet que s’il est assis sur une chaise.
La chaise est la chaîne de montage de la subjectivité. La chaise est la chaîne de montage de l’hallucination-sujet.
La chaise est le nid-chaîne de montage de l’hallucination-sujet.
La chaise dit : le monde n’est qu’une surface et son volume c’est l’homme.
La chaise utilise l’absurdité. La chaise utilise l’absurdité de la distinction.
La chaise est un acrobate qui travaille avec un filet cependant au-dessous il n’y a pas le moindre sol.
La chaise marche sur les acrobaties de choix du vide.
Il est aisé de poser une chaise à l’envers sur une autre chaise. Il n’est pas toujours aisé de poser un homme à l’envers sur un autre homme. Il y a aussi quelque chose d’inhumain au sujet de la chaise.
Il n’est pas difficile de dévorer vivant son ennemi, le problème est de savoir comment manger aussi la chaise sur laquelle sa mort s’est assise.
La chaise sait que l’oreille est l’entrée de la sortie.
La chaise sait que le désespoir a d’innombrables paires de jambes.
La chaise sait que les tables ont autant de hors-champ que le désespoir à de jambes autour du cou.
La chaise sait que les hallucinations de la vérité sont des gravures d’orteils.
La chaise sait que chaque détail agrandit le regard de la colère.
La chaise sait que l’âge du jour est l’ombre d’à bientôt de son regard.
La chaise sait où se trouve le vide dans les yeux de la chute.
La chaise dépose la toupie de son âge à l’intérieur de la souche du feu.
Seule la chaise est apte à voler et à tuer en même temps un secret.
La chaise dit : il ne reste rien et je suis toujours là.
La chaise ne dit ni bonjour, ni au revoir, ni merci, cependant elle dit parfois s’il vous plait et à bientôt. La chaise dit parfois même s’il vous plaît à à bientôt ou à bientôt à s’il vous plaît.
La chaise ne dit pas à plus tard, la chaise ne dit pas à tout l’heure, la chaise dit à bientôt à jamais.
La chaise dit : mon prochain c’est hier ou demain. La chaise dit : mon prochain c’est hier face à demain. La chaise dit : mon prochain c’est hier face avec demain.
La chaise dit toujours deux fois à. La chaise dit à hier à demain. La chaise dit à avec à ainsi. La chaise dit à selon à aussi.
La voix de la chaise dit : un rêve sans pendaison est un rêve oublié.
La voix de la chaise dit: il n’y a pas de choix sans ivresse.
La voix de la chaise dit : c’est à vous que je poste de machine.
La chaise dit : de qui la chute est elle le clou ?
La chaise dit : la bouche est le premier visage. La chaise dit : la bouche est le premier visage du dernier venu.
La chaise dit : l’œil est le dernier visage. La chaise dit : l’œil est le dernier visage du premier venu.
La chaise est toujours de trois quart face à la première personne du singulier.
La chaise est la racine carrée de la première personne du singulier. La chaise est la racine carrée de trois quart face de la première personne du singulier.
La chaise est la racine carrée de deux fois à.
La chaise est la racine carrée de deux fois à comme zéro. La chaise est la racine carrée de deux fois à comme avec la branche de zéro.
La chaise chante la racine carrée du zéro entre le singulier et le pluriel.
La chaise dit à la racine carrée du zéro : lequel de nous deux est tu ?
La voix de la chaise est un dialogue entre le zéro et le carré. La voix de la chaise est un dialogue entre l’oscillation de zéro et le choix du carré, entre le choix de zéro et l’oscillation du carré.
La chaise dit à carré à zéro. La chaise dit à bientôt carré à zéro jamais. La chaise dit à bientôt zéro à carré jamais.
La chaise repose pendue aux mâchoires de la conversation du zéro et du carré.
La chaise est la racine carrée du entre je et tu. La chaise veille avec comme entre je et tu. La chaise est la racine carrée du entre je singulier et entre pluriel tu, du entre je pluriel et du entre singulier tu. La chaise veille avec comme entre le carré de je et le zéro de tu, entre le zéro de je et le carré de tu.
La chaise dit : ce qui partage deux paroles est comme ce qui partage je et tu, est comme ce qui partage le carré pluriel de je et le zéro singulier de tu, est comme ce qui partage le zéro singulier de je et le carré pluriel de tu.
La chaise chante la racine carrée de connivence de la lettre de je et avec comme la phrase de tu, de la phrase de je avec comme la lettre de tu.
La chaise cherche les mains du carré. La chaise cherche et trouve les mains du carré à l’intérieur du regard du zéro. La chaise cherche et trouve les mains du zéro à l’intérieur du regard du carré.
La chaise muscle la chimie du choix. La chaise muscle la chimie du chant. La chaise muscle la chimie d’avec ainsi. La chaise muscle la chimie de regards d’avec ainsi. La chaise muscle la chimie d’hier comme demain, d’hier avec comme demain. La chaise muscle, la chimie de regards de où avec quand. La chaise muscle la chimie de regards de où carré avec zéro quand, de où zéro avec carré quand.
La chaise muscle la chimie de je parle comme et tu écoute avec, de je parle avec et tu écoute comme, de je parle comme zéro et tu écoute avec carré, de je parle comme carré et tu écoute avec zéro, de je parle avec zéro et tu écoute comme carré, de je parle avec carré et tu écoute comme zéro.
La chaise est assise sur avec. La chaise est assise sur avec comme. La chaise repose assisse sur la racine carrée d’avec comme.
La chaise effectue le montage cinématographique du à fois à. La chaise effectue des montages de à comme à, des montages de à avec comme à aussi .La chaise effectue des montages d’hallucinations, des montages bougies, des montages bougies d’hallucinations chantées.
La chaise est le nid du kangourou.
La chaise butine les abeilles.
La chaise se lave les pieds dans le feu de la conversation.
La chaise joue au poker avec les tartines de beurre.
La chaise joue aux échecs avec le pain d’épices.
La chaise attend que le plafond lui tende la main.
La chaise bouleverse les bols de café.
La chaise sème des ongles afin de récolter des bagues de regards.
La chaise joue à la loterie des paniers.
La chaise est née d’un beau décolleté dans le dos de la respiration.
La chaise pond les œufs de la colère.
La chaise souffle l’os à moelle des machines à coudre.
La chaise pêche des anguilles dans des bottes de foin.
La chaise chasse les ruches de sourires.
La chaise écoute chanter le merle sous les braises.
La chaise est à chaque instant à la fourche et au coussin.
La chaise vide ses poches dans son absence de chapeau.
La chaise porte la partition d’odeurs du sourd.
La chaise vide ses cartons de pieds dans l’écorchure de son ombre.
La chaise est la sépulture très convenable des courants d’air et des feux follets.
La chaise transforme les pattes de canard en tourne disques.
La chaise cueille les mouches comme des trèfles à quatre feuilles.
La chaise se lave les mains avec le savon de ses pieds.
La chaise fait sécher les escaliers à l’intérieur des cerveaux d’enfants.
La chaise écrase deux planètes avec la même allumette.
La chaise joue du violon avec les pommes de terre.
La chaise joue du piano avec des épluchures d’hélicoptère.
La chaise épluche la lune au petit bonheur la chance.
La chaise joue à cache-cache avec l’écorce du soleil.
La chaise vole deux étoiles avec la même chanson.
La chaise met tous ses œufs dans le même charnier.
La chaise découpe le gâteau d’anniversaire des serrures.
La chaise joue du tambour avec les roses.
La chaise monte et descend l’escalier d’oreilles de l’anus.
La chaise présente ses meilleurs vœux aux locomotives des chaussettes.
La chaise fait des cauchemars dans le nombril des coffres-forts.
La chaise cache ses yeux sous les oreilles de ses pieds.
La chaise ronronne entre chien et louche.
La chaise sait comment chier sur le gouffre de toile du feu.
La chaise dit un chat par mot.
La chaise a un chat dans l’éclipse de lune de ses orteils.
La chaise lit le paysage sur le museau du chat.
La chaise photographie les chats les yeux fermés.
La chaise fouille la terre avec ses racines de chat afin d’y retrouver le parapluie de ses pleurs.
La chaise est la boîte à lettres des zigzags.
La chaise est la cabine téléphonique des fermetures éclair.
La chaise tamise la jungle des cigarettes et le désert des champignons.
La chaise a mille fois raison moins le quart de à tout à l’heure.
La chaise a des photographies de nez dans les jambes.
La chaise découpe la moquette en tranches de chaussettes-soleil.
La chaise miaule la cheminée des sauterelles.
La chaise kidnappe la partition des courants d’air.
La chaise dessine des pays d’utopie avec des frontières de cartes postales.
La chaise caresse la mosaïque de jambes des yeux.
La chaise touche avec facilité la caméra de cendres des étoiles.
La chaise peint uniquement les pendaisons des décapités.
La chaise met des toupies dans la tête des marteaux.
La chaise joue au ping-pong avec la pioche du matin.
La chaise expose les épluchures de l’encre sur le trapèze des cigares.
La chaise charme les fenêtres avec des bâtons de dynamite.
La chaise rencontre parfois une constellation de cheveux.
La chaise maquille la souche avec des larmes de chansons.
La chaise rime avec l’ombre de la table. La table rime avec l’ombre de la chaise.
La chaise lit dans les lignes de la main de la table. La chaise charme les lignes de pied de la poussière.
La chaise dit : la mémoire de la table tient lieu de légende à la matière du vide.
La chaise s’accroupit devant l’espace pour donner une taille humaine au temps de la terre.
La chaise regarde la terre voyager. La chaise regarde la terre voyager à dos de paroles. La chaise regarde la terre voyager lettre à mot.
La chaise recule l’espace devant soi.
La chaise se recule devant l’espace et lui dit : rêve c’est un ordre.
La chaise recule l’échine de lait de l’espace devant soi. La chaise recule le chant de l’espace devant soi. La chaise recule le secret de l’espace devant soi. La chaise recule le chant secret de l’espace devant soi.
Ce que la chaise a de plus beau c’est le souvenir de son ombre.
La chaise est belle comme le rendez-vous évident d’un parapluie et d’une machine à coudre sur une table d’invisibilité.
La chaise est enchaînée à son ombre. La chaise est enchaînée au cerveau de son ombre.
La chaise est enchaînée à la beauté de son ombre.
La chaise est enchaînée à sa dissection.
La chaise est enchaînée à la dissection de son ombre.
La chaise est enchaînée à la dissection de son cerveau, à la dissection de cerveau de son ombre, à la dissection de rêve de son ombre.
La chaise est enchaînée au chatouillis, au caractère, à l’échelle, au solfège, à l’usage, à l’escalier, à l’attitude, à la stalactite, au chevalet, au souhait, au motif de dissection, à la dissection-cadeau, à la dissection-cadran, à la dissection-cadeau-cadran, à la dissection-nid, à la dissection-cadran-nid, à la dissection-cadeau-cadran-nid, à la signature-dissection, à la dissection-acquiescement, à la signature-dissection-acquiescement, à la dissection de chez, d’ici, de chez-ici, de torpeur, de loisir, de subterfuge, d’ambiguïté, d’adverbes, d’adverbes ambigus, de courtoisie, d’oisiveté, de courtoisie oisive, d’oisiveté courtoise, de kangourou, de condoléances, de farine, de chance, de farine chanceuse, de mâchoires, de mâchoires borgnes, de jambes, de jambes borgnes, de jambes-mâchoires borgnes, à la charpie de dissection, à la dissection empaillée, à la charpie de dissection empaillée, à la dissection manchote, canaille, manchote canaille, arachnéenne, arachnéenne manchote canaille, arachnéenne manchote canaille empaillée, au clinamen de dissection, de dissection canaille, manchote canaille empaillée, à la dissection d’avoir l’air, à la dissection en marge de deux, d’avoir l’air dans l’ordre, d’avoir l’air dans l’ordre en marge de deux, en marge de entre, en marge de entre et entre, en marge de entre zéro et entre deux, d’avoir le choix, d’avoir l’air d’avoir le choix, d’avoir l’air d’avoir le choix dans l’ordre des choses, à la dissection de dandinements, de champignons, de cercueils, de cercueils empaillés, dandinés empaillés, de chandelles, de cercueils-chandelles, de cercueils-chandelles empaillés, à la dissection insolite, à la dissection d’entresol, d’entresol insolite, à la dissection à feu doux, de dandinements à feu doux, à l’os, au peigne, au tamis, à l’échelle-tamis, à la machine, au cœur, à la machine-cœur, à la balançoire, à la légende, à la machine-légende, au cœur-légende, à la machine-cœur-légende de dissection ,de dissection empaillée, à la dissection de hasard, d’absurdité, de hasard absurde, à la dissection à reculons, d’écho, d’écho à reculons, d’écho empaillé à reculons, de cercueil à reculons, de cercueil empaillé à reculons, d’à tout à l’heure, d’à tout à l’heure en marge de deux, à côté de entre et entre, au clinamen, à la cage, à l’œuf, au rendez-vous de dissection, de dissection à l’envers, au nid de dissection à l’envers, au nid de dissection à côté, à côté à l’envers, à côté à l’envers d’entre, à côté à l’envers d’entre et entre, à l’oiseau, à l’oiseau-nid de dissection, à la dissection de cache-cache, de dignité, de cache-cache digne, de courants d’air, de courants d’air empaillés, d’angles morts, d’angles morts empaillés, de courants d’air-angles morts, de courants d’air-angles morts empaillés, d’épluchures, d’honneur, d’épluchures honorables, d’à tout à l’heure honorable, à la dissection-partition, à la dissection-signe égal, à la dissection-signe égal entre et entre, à la dissection-signe égal entre zéro et entre deux, à la dissection-nombril-signe égal, à la dissection-nombril-signe égal entre et entre, entre zéro et entre deux de son ombre.
La chaise bâillonne les bicyclettes.
La chaise blesse la bicyclette au cœur.
La chaise se balance sur son ombre. La chaise se balance sur le cœur de son ombre. La chaise se balance sur le cœur de bicyclette blessée de son ombre.
La chaise est le magnétophone des dandinements. La chaise est le magnétophone des dandinements du quoi, des dandinements du je ne sais quoi, des dandinements du je ne sais comme quoi, du je ne sais avec quoi, du je ne sais avec comme quoi.
La chaise expose installe la banalité insolite de l’engourdissement.
La chaise se tient au dessus de c’est celui qui le dit qui l’est.
La chaise cartographie l’interjection. La chaise cartographie l’interjection des confidences. La chaise cartographie l’interjection des subterfuges. La chaise cartographie l’échelle de sourcils des confidences-subterfuges.
La chaise cartographie les interjections du sol.
La chaise est le peigne des cartes de géographie.
La chaise peigne la chevelure du sol. La chaise peigne la chevelure d’avec, d’assez, d’avec assez, de parfois, d’avec assez parfois, de trop peu, de encore assez, d’encore assez parfois, d’imprimerie, d’imprimerie parfois, d’attitude, d’attitude parfois, de semaine, de semaine parfois, de silhouette, d’intonation, de silhouette-intonation, de silhouette-intonation parfois, d’incantation, d’acquiescement, d’hier, d’acquiescement hier, d’anamnèse, de rythme, de subterfuges, de confidences, d’ambiguïté, d’hypothèses, d’hypothèses parfois, la chevelure-serrure, la chevelure-cercueil, la chevelure-puzzle, la chevelure-serrure-puzzle, la chevelure-stalactite, la chevelure-serrure-stalactite, la chevelure-serrure-puzzle-stalactite, la chevelure-éventail, la chevelure-serrure-éventail, la chevelure-serrure-éventail-puzzle, la chevelure-serrure-éventail-stalactite, la chevelure de schizophrénie, de condoléances, de champignons, d’archives, de chevilles, d’insistance, de citations, de cicatrices, de problèmes, d’événements, de non-sens, d’asymptotes, d’intentions, d’asymptotes-intentions, de rendez-vous, d’hallucinations, de chirurgie, de diagonales, de doigts, d’équations mathématiques, de correspondances, d’effervescence, de signatures, d’alentours, de signatures-alentours, de souhaits, d’adverbes, d’interjections, d’adverbes-interjections, d’interjections chirurgicales du sol.
La chaise sculpte des têtes de quasi. La chaise caresse les têtes de quasi avec des échelles d’ongles. La chaise caresse des têtes de quasi avec des paroles de crayons, avec des paroles d’échelles-crayons.
Le dossier de la chaise est un quasi judiciaire. Le dossier de la chaise est le quasi judiciaire d’une mâchoire de poisson.
La chaise met une corde au cœur et une bague au cou de l’escalier .La chaise chante l’escalier de doigts des rendez-vous.
La chaise repend les choses à presque zéro. La chaise repend la chose de la décapitation à zéro. La chaise repend la chose de la décapitation à presque ici zéro.
La chaise accomplit la pendaison des murs de la chambre. La chaise pend les murs de la chambre au chemin de fenêtres du papier.
La chaise incarcère la forêt à petit feu. La chaise incarcère la forêt à feu doux. La chaise torture la forêt à petit feu. La chaise incarcère et dévalise la forêt à petit feu. La chaise dévalise les songes de la forêt.
La chaise arachnéise la forêt. La chaise arachnéise la cheminée de la forêt, la cheminée-chandelle de la forêt. La chaise arachnéise la cheminée de méditation, la méditation de chance, la brûlure de méditation, la brûlure de chance de la forêt.
La chaise est le nid qui chante la cage. La chaise est le nid du chant de la négation. La chaise est l’abattoir des oiseaux. La chaise est le nid de dissection des oiseaux, le nid de dissection des oiseaux pour le discours des hommes. La chaise est le nid qui chante la torture des oiseaux. La chaise est le nid qui chante la négation des oiseaux. La chaise est le nid-cage éclos de la mort de l’oiseau.
La chaise arachnéise le masochisme du rêve. La chaise installe le cerveau de rêve du masochisme. La chaise installe le nid de masochisme du non rêvé.
La chaise sait comment transformer la montagne en bougie. La chaise sait comment transformer la montagne en bougie d’une seule fois. La chaise peigne le vide de la montagne. La chaise peigne la coquetterie de vide de la montagne, la coquetterie d’à fois à de la montagne. La chaise peigne l’hallucination de la montagne. La chaise peigne l’hallucination d’une seule fois de la montagne.
La chaise assaisonne les peignes pour les dresser à la chasse. La chaise assaisonne des peignes d’hallucination pour les dresser à la chasse à la montagne. La chaise assaisonne le montage acinématographique pour le dresser à la chasse aux papillons, pour le dresser à la chasse aux montagnes-papillons. La chaise pèche des montagnes de papillons. La chaise pèche des montagnes de papillons de l’acinéma. La chaise peigne le volcan des poissons. La chaise pèche les montagnes de peignes de l’acinéma.
Sous la chaise il y a une forêt de poissons. Sous la chaise il y a une forêt-partition de poissons. Sous la chaise il y a la forêt de poissons des confidences, des archétypes, des confidences archétypales, des confidences borgnes, borgnes archétypales, de la charpie, de la charpie archétypale, borgne archétypale, du chatouillis ,de l’ambiguïté, du puzzle, du pressentiment, de la torpeur, de la torpeur archétypale, des affinités, des affinités archétypales, des adverbes, des adverbes-archétypes, du solfège, du à la faveur de, du parfois, du parfois ambigu, borgne ambigu, de la crampe, de la crampe archétypale, de l’imprimerie, de l’acquiescement, de l’acquiescement archétypal, de l’hypothèse, du subterfuge, de la schizophrénie, de la terre-filet, de la farine, de la farine schizophrène, du chez ici, du chez entre et entre, du chez entre et entre ici, du clinamen, du presque, du presque ici, du presque chez ici, du presque chez ici entre et entre, du presque chez ici entre zéro et entre deux, de la parole, du feu, de la parole-feu, du je ne sais quoi, du je ne sais avec quoi, de la photographie, de la photographie borgne, de la chimie, de la chimie archétypale, des pendus, des archétypes pendus, de la chimie pendue archétypale, du entre je et tu, du entre singulier et pluriel, de l’archétype entre je et tu, de l’archétype entre singulier et pluriel, de l’archétype entre le singulier de je et le pluriel de tu, de l’archétype entre le pluriel de je et le singulier de tu, de la chimie archétypale entre je et tu, des lettres, des lettres archétypales entre je et tu, du cœur, du cœur archétypal entre je et tu, de la légende, de la légende entre je et entre tu, du désespoir, du désespoir archétypal, des pieds, des pieds presque, des pieds-lettres, des pieds-lettres presque, des cartes postales, des pieds-cartes postales, des pieds-cartes postales presque, des hallucinations, des hallucinations presque, des lettres-hallucinations, des lettres-hallucinations presque, des pieds-lettres-hallucinations, des pieds-lettres-hallucinations presque, du hasard, du hasard archétypal, de l’accroupissement, de l’accroupissement archétypal, de la marge, des pieds-marges, des pieds-lettres-marges, du montage, du montage littéral, borgne littéral, borgne littéral archétypal.
Sous la chaise il y a un volcan de poissons. Sous la chaise il y a un cratère d’écailles. Sous la chaise voyage la forêt de chandelles des poissons.
La chaise chasse des ruisseaux de pieds qui ressemblent à des éclipses de poissons. La chaise chasse des pieds de pleine lune. La chaise chasse des colliers de pieds qui ressemblent à la pleine lune des poissons.
La chaise hallucine les empreintes digitales des fesses.
La chaise orchestre, orchestre hallucine, chatouille, chatouille hallucine, chatouille orchestre hallucine les empreintes digitales des fesses. La chaise moissonne, moissonne orchestre hallucine, cadenasse, cadenasse orchestre hallucine, circonflexe, circonflexe orchestre hallucine, nidifie, nidifie orchestre hallucine, chloroforme, chloroforme orchestre hallucine, cautérise, cautérise orchestre hallucine, séjourne, séjourne orchestre hallucine, tamise, tamise orchestre hallucine, miaule, miaule orchestre hallucine, filtre, filtre orchestre hallucine, cartographie, cartographie orchestre hallucine, échafaude, échafaude orchestre hallucine, puzzlise, puzzlise orchestre hallucine, silhouette, silhouette orchestre hallucine, hypothètise, hypothètise orchestre hallucine, schizophrénise, schizophrénise orchestre hallucine, archive, archive orchestre hallucine, enfarine, enfarine orchestre hallucine, fixe, fixe orchestre hallucine, charme, charme orchestre hallucine, repose, repose orchestre hallucine, charme repose orchestre hallucine, équilibre, équilibre orchestre hallucine, empaille, empaille orchestre hallucine, charme empaille orchestre hallucine, charme repose empaille orchestre hallucine, cadre, cadre orchestre hallucine, excite, excite orchestre hallucine, enchâsse, enchâsse orchestre hallucine, acrobatise, acrobatise orchestre hallucine, épluche, épluche orchestre hallucine, acrobatise épluche orchestre hallucine, parle, parle orchestre hallucine, pend, pend orchestre hallucine, parle pend orchestre hallucine, danse, danse orchestre hallucine, contemple, contemple orchestre hallucine, danse contemple orchestre hallucine, provoque, provoque orchestre hallucine, danse contemple provoque orchestre hallucine, crucifie, crucifie orchestre hallucine, constelle, constelle orchestre hallucine, crucifie constelle orchestre hallucine, sème, sème orchestre hallucine, favorise, favorise orchestre hallucine, magnétophonise, magnétophonise orchestre hallucine, fiance, fiance orchestre hallucine, magnétophonise fiance orchestre hallucine, piédestalise, piédestalise orchestre hallucine, engourdit, engourdit orchestre hallucine, enracine, enracine orchestre hallucine, engourdit enracine orchestre hallucine, poste, poste orchestre hallucine, berce, berce orchestre hallucine, écoute, écoute orchestre hallucine, berce écoute orchestre hallucine, contorsionne, contorsionne orchestre hallucine, berce écoute contorsionne orchestre hallucine, détaille, détaille orchestre hallucine, ronronne, ronronne orchestre hallucine, dissèque, dissèque orchestre hallucine, éveille, éveille orchestre hallucine, dissèque éveille orchestre hallucine, éclipse, éclipse orchestre hallucine, éveille éclipse orchestre hallucine, dissèque éveille éclipse orchestre hallucine, joue à cache-cache avec, joue à cache-cache avec orchestre hallucine, respire, respire orchestre hallucine, peigne, peigne orchestre hallucine, aromatise, aromatise orchestre hallucine, aromatise ronronne orchestre hallucine les empreintes digitales des fesses.
La chaise parle avec l’oreille de l’anus.
La chaise parle avec l’oreille de chez, d’ici, de chez ici, d’entre, d’entre chez, d’entre ici, d’entre chez ici, d’entre et entre, d’entre chez et entre ici, d’entre zéro et entre deux, d’entre chez zéro et entre ici deux, l’oreille de charpie, de racines, de signature, de torpeur, de tapisserie, de chatouillis, l’oreille-échelle, l’oreille-motif, l’oreille-nid, l’oreille-échelle-nid, l’oreille-serrure, l’oreille-serrure-nid, l’oreille-narine, l’oreille-narine-serrure, l’oreille-narine-nid, l’oreille-narine-serrure-nid, l’oreille-clitoris, l’oreille-narine-clitoris, l’oreille clinamen, l’oreille-narine-clinamen, l’oreille-narine-clitoris-clinamen, l’oreille de solfège, de soufre, d’azote, de cicatrices, d’acquiescement, d’imprimerie, d’usage, d’oisiveté, d’usage oisif, de courage, d’hypothèse, d’ambiguïté, de chance, l’oreille manchote, l’oreille canaille, manchote canaille, l’oreille-cage, l’oreille de paille, l’oreille-cage empaillée, l’oreille-zéro, l’oreille-zéro en marge de deux, l’oreille d’entre zéro et entre deux, d’entre zéro et entre deux empaillée, de guillotine, de grenouille, de guillotine-grenouille, de kangourou, de guillotine-kangourou, l’oreille-balançoire, l’oreille-champignon, l’oreille-puzzle, l’oreille-champignon-puzzle, l’oreille-machine, l’oreille-machine entre zéro et entre deux, l’oreille-machine à côté d’entre et entre, l’oreille-anneau de Cygès, l’oreille d’avoir l’air, d’avoir l’air entre zéro et entre deux, l’oreille de pendaison, de forêt, de photographie, de pendaison photographique, de torture, de clownerie, de torture clownesque, l’oreille-cerveau, l’oreille-cerveau clownesque, l’oreille-cerveau-serrure, l’oreille-panier, l’oreille-cerveau-panier, l’oreille-cerveau-serrure-panier, l’oreille d’ombre, d’innombrable, d’ombre innombrable, d’ascèse, d’ascèse clownesque, de Minotaure, de Minotaure minuscule, minuscule clownesque, de crucifixion, de crucifixion clownesque, l’oreille borgne, d’ombre borgne, d’honneur, d’honneur borgne, d’ombre honorable borgne, de clownerie borgne, de tabou, de tabou clownesque, clownesque borgne, l’oreille-zéro borgne, l’oreille-zéro honorable borgne, l’oreille d’œuf, d’œuf borgne, d’araignée, de beurre, d’araignée au beurre, d’hallucination, d’hallucination borgne, clownesque borgne, de dandinement, de dandinement clownesque borgne, de brûlure, de brûlure clownesque borgne, d’invisibilité, d’invisibilité clownesque borgne, la crampe, le décolleté, le bâillement d’oreille, d’oreille borgne, l’oreille d’un jour ou l’autre, l’oreille à feu doux, d’un jour ou l’autre à feu doux, d’hallucination à feu doux, l’oreille entre veille et rêve, entre veille de zéro et rêve de deux, entre rêve de zéro et veille de deux, entre singulier et pluriel, entre singulier de zéro et pluriel de deux, entre pluriel de zéro et singulier de deux, l’oreille-blessure, l’oreille-blessure à feu doux, l’oreille-blessure entre zéro et entre deux, entre zéro et entre deux à feu doux, l’oreille d’il y a, d’il y a entre zéro et entre deux, d’absurdité, d’absurdité borgne, de hasard, de hasard absurde borgne, d’utopie, d’utopie clownesque borgne, l’oreille à reculons, l’oreille de lait, de lait à reculons, à reculons clownesque borgne, d’il y a à reculons, d’il y a à reculons entre zéro et entre deux, de dissection, de dissection clownesque borgne, d’à tout à l’heure, d’ordre, d’ordre borgne, de négation, de négation borgne, de mutation, de mutation borgne, l’oreille-loupe, l’oreille-image, l’oreille-image borgne, l’oreille-paupière, l’oreille-paupière-image, l’oreille-paupière-nid, l’oreille-paupière-serrure, l’oreille-paupière-serrure-image, l’oreille-paupière-serrure-nid, l’oreille-paupière-image-nid, l’oreille d’anniversaire, d’angle mort, d’aussi, d’hallucination aussi, d’hallucination aussi clownesque borgne de l’anus.
La chaise chante repose entre le cercle de je et le carré de tu.
La chaise chante repose entre le cercle d’archives de je et le carré d’échine de tu. La chaise chante repose entre le cercle d’hier de je et le carré de demain de tu, entre le cercle de chez de je et le carré d’ici de tu, entre le cercle de charpie de je et le carré de racines de tu, entre le cercle de chatouillis de je et le carré de culs de tu, entre le cercle de cicatrices de je et le carré de cadeaux de tu, entre le cercle d’échelles de je et le carré de paniers de tu, entre le cercle de miaulements de je et le carré d’imprimerie de tu, entre le cercle d’usage de je et le carré de courage de tu, entre le cercle de chaussures de je et le carré de chemise de tu, entre le cercle d’adverbes de je et le carré d’archétype de tu, entre le cercle d’avec de je et le carré d’ainsi de tu, entre le cercle de parfois de je et le carré d’afin de tu, entre le cercle d’oxygène de je et le carré d’azote de tu, entre le cercle de silhouettes de je et le carré d’échafaudages de tu, entre le cercle de sourcils de je et le carré de braises de tu, entre le cercle d’acquiescement de je et le carré de rythme de tu, entre le cercle de narines de je et le carré d’aisselles de tu, entre le cercle d’hypothèses de je et le carré de crampes de tu, entre le cercle de choix de je et le carré d’incantation de tu, entre le cercle de loisir et le carré de courtoisie, le cercle de champignons et le carré de serrures, le cercle d’os et le carré de farine, le cercle d’écailles et le carré de cratères, le cercle de chevilles et le carré de feu, le cercle de mâchoires et le carré de cils, le cercle de cage et le carré d’aisance, le cercle de guillotine et le carré de pendaison, le cercle de clitoris et le carré de Centaure, le cercle de genoux et le carré de drogue, le cercle de chandelles et le carré de kangourous, le cercle de clairière et le carré d’acrobatie, le cercle d’hallucination et le carré d’empreintes digitales, le cercle d’anus et le carré d’oreille, le cercle de magnétophone et le carré de quoi, le cercle de ping-pong et le carré de pioches, le cercle de chaussettes et le carré d’abeilles, le cercle de toussotements et le carré d’orteils, le cercle de clous et le carré de muscles, le cercle de regards et le carré de mains, le cercle de cerveau et le carré de souche, le cercle de photographie et le carré de poissons, le cercle d’épluchures et le carré de geyser, le cercle de blessures et le carré de bicyclettes, le cercle de cœur et le carré de pieds, le cercle d’ombre et le carré de poussière, le cercle d’absurdité et le carré de coïncidences, le cercle de coccyx et le carré d’exil, le cercle de lait et le carré de contorsions, le cercle de rendez-vous et le carré d’humus, le cercle de café et le carré da caoutchouc, le cercle d’éclipse et le carré de colère, le cercle d’à bientôt et le carré de toujours, le cercle de dissection et le carré de confidences, le cercle de jour et le carré d’âge, le cercle de sel et le carré de sucre, le cercle de vide et le carré d’équarrissage, le cercle de pantoufles et le carré de zigzags, le cercle de cartes à jouer et le carré de boîtes à lettres, le cercle de fiançailles et le carré d’enfantillage, le cercle d’indicatif et le carré de quasi, le cercle de coquetterie et le carré de montage, le cercle de coquetterie de je et le carré de montage de tu.
Créer une chaise où asseoir la chute de son âme.