Peau

 

 

 

 

 

 

 

La peau improvise la politesse.

 

 

 

La peau improvise la bestialité.

 

 

 

La peau improvise la politesse de la bestialité.

 

 

 

 

 

La peau fruite le hop.

 

 

 

La peau fruite la laine de hop.

 

 

 

La peau fruite la foudre du hop.

 

 

 

La peau fruite la foudre de laine du hop.

 

 

 

La peau improvise une fumée de fruits.

 

 

 

La peau diapose une fumée de fruits.

 

 

 

 

 

La peau nuance l’impact de l’instinct.

 

 

 

La peau épanouit le caoutchouc de l’inconnu.

 

 

 

La peau sourit le caoutchouc de l’éclipse.

 

 

 

La peau lustre l’illusion. La peau lustre l’insouciance. La peau lustre l’insouciance de l’illusion.

 

 

 

La peau trampoline la clarté. La peau épanouit les asymptotes de la clarté.

 

 

 

 

 

La peau pelote le hasard.

 

 

 

La peau pelote l’auréole du hasard. La peau pelote l’auréole de l’aussitôt.

 

 

 

La peau pétrit le hasard. La peau pétrit l’auréole du hasard. La peau pétrit l’auréole de hasard de l’aussitôt.

 

 

 

 

 

La peau dorlote l’étourdissement.

 

 

 

La peau dorlote l’étourdissement du pain.

 

 

 

La peau subtilise l’étourdissement du pain.

 

 

 

 

 

La peau affirme le paravent des cendres.

 

 

 

La peau projette la sciure de la souplesse.

 

 

 

La peau pose le pont du lait.

 

 

 

La peau diapose  la pulpe de l’eau.

 

 

 

 

 

La peau parachute l’alcool de l’éclipse.

 

 

 

La peau parachute l’aisance de l’éclipse.

 

 

 

La peau parachute l’aisance d’alcool de l’éclipse.

 

 

 

La peau lustre la reptation d’amnésie du dedans comme dehors.

 

 

 

La peau vogue la passion de la poussière.

 

 

 

La peau affirme l’implosion de la forme.

 

 

 

La peau affirme la fragilité du mépris.

 

 

 

 

 

La peau lustre la syncope de la certitude.

 

 

 

La peau lustre la simplicité de la pâmoison.

 

 

 

La peau pare le sommeil. La peau pare la planète du sommeil.

 

 

 

La peau drape la volupté. La peau drape la certitude de la volupté.

 

 

 

 

 

La peau épanouit avec.

 

 

 

La peau épanouit le paroxysme d’avec.

 

 

 

La peau paravole l’apparition.

 

 

 

La peau paravole l’apparition d’avec.

 

 

 

La peau paravole l’anticipation d’avec.

 

 

 

La peau paravole le plaisir d’avec.

 

 

 

La peau paravole l’anticipation de plaisir d’avec.

 

 

 

La peau épanouit le paroxysme du blanc.

 

 

 

La peau épanouit le paroxysme d’avec blanc.

 

 

 

 

 

La peau happe le zéro. La peau happe le zéro de ça.

 

 

 

La peau pâme le papier. La peau pâme le papier de tu.

 

 

 

 

 

La peau palpe la métamorphose de l’espace.

 

 

 

La peau anticipe la métamorphose de l’espace.

 

 

 

La peau apparaît entre la matière et l’espace. La peau apparaît entre la couleur et le temps.

 

 

 

La peau apparaît entre la couleur du destin et le regard du temps.

 

 

 

 

 

La peau sculpte le vide. La peau sculpte la voix du vide.

 

 

 

La peau décapite la pendaison. La peau décapite la pendaison de la nudité. La peau décapite la pendaison d’intact de la nudité.

 

 

 

 

 

La peau plane la pensée. La peau plane la préférence de la pensée.

 

 

 

La peau plane le filtre. La peau plane le filtre de la pensée.

 

 

 

 

 

La peau dorlote la spontanéité de l’utopie.

 

 

 

La peau promène l’utopie. La peau contente l’utopie.

 

 

 

La peau promène la levure de l’utopie. La peau promène la levure de luxure de l’utopie.

 

 

 

 

 

La peau jupe le pôle des odeurs.

 

 

 

La peau mélodise le pôle des odeurs.

 

 

 

La peau affirme la mappemonde d’ainsi. 

 

 

 

La peau épanouit le ruban des réflexes.

 

 

 

La peau mélodise la mappemonde des réflexes.

 

 

 

 La peau mélodise les ellipses de l’abandon.

 

 

 

La peau jupe la mappemonde des affinités. La peau jupe la mappemonde des odeurs. La peau jupe la mappemonde d’affinités d’ainsi.

 

 

 

 

 

La peau polit le trampoline de la bêtise.

 

 

 

La peau lustre l’aisance du plaisir.

 

 

 

La peau lustre les réflexes de la fatalité.

 

 

 

 

 

La peau amuse l’âme.

 

 

 

La peau amuse la précision de l’âme.