Sang

 

 

 

 

 

 

 

Le sang soude. Le sang déchire. Le sang surgit.

 

 

 

Le sang surgit la vivacité du silence.

 

 

 

Le sang surgit le noyau de la nuit.

 

 

 

 

 

Le sang soude déchire.

 

 

 

Le sang boit vouloir.

 

 

 

Le sang soude déchire un sac de langues.

 

 

 

Le sang boit la volubilité de l’obscur. Le sang boit la volubilité obscure de vouloir.

 

 

 

Le sang boit le sac de la grâce. Le sang boit le sac de vouloir de la grâce.

 

 

 

 

 

Le sang sait soudain. Le sang sait avec l’inconnu. Le sang sait soudain avec l’inconnu.

 

 

 

Le sang sauve le savoir avec l’inconnu. Le sang surgit le savoir avec l’inconnu.

 

 

 

Le sang suit la projection. Le sang suit le sentiment de ça. Le sang suit la projection de ça.

 

 

 

Le sang amalgame les réflexes de la gravité.

 

 

 

Le sang surgit la fumée de l’avec en deçà sauf. Le sang surgit danse nage la fumée de l’avec en deçà sauf.

 

 

 

 

 

Le sang sculpte la bêtise.

 

 

 

Le sang sculpte le toboggan de la bêtise.

 

 

 

Le sang surgit les coïncidences de la bêtise.

 

 

 

Le sang suce le toboggan du blanc.

 

 

 

Le sang suce le brouillard des braises.

 

 

 

Le sang suce le brouillard de braises de l’illisible.

 

 

 

 

 

Le sang figure l’excès de la certitude

 

 

 

Le sang affirme l’exaltation de la lenteur.

 

 

 

Le sang démange le magma de l’intuition.

 

 

 

Le sang sauvegarde la jubilation de l’instinct.

 

 

 

Le sang allonge debout la gravitation de gourmandise de l’instinct.

 

 

 

 

 

Le sang syncope le séisme de la confiance.

 

 

 

Le sang enracine la confiance de la colère.

 

 

 

Le sang saccade l’ogive du courage.

 

 

 

Le sang volubilise le scandale de la candeur.

 

 

 

 

 

Le sang amalgame l’agilité de la terreur.

 

 

 

Le sang bague l’étonnement. Le sang bague l’étonnement de la terreur.

 

 

 

Le sang régale la blessure. Le sang régale le salut de la blessure.

 

 

 

Le sang sucre le sabre du tabou.

 

 

 

 

 

Le sang sauve le fruit.

 

 

 

Le sang sauve le feu.

 

 

 

Le sang sauve le fruit du feu.

 

 

 

Le sang syncope la fascination.

 

 

 

Le sang cinématographie le silence.

 

 

 

Le sang figure l’enfance du feu.

 

 

 

Le sang syncope le fou rire du futur.

 

 

 

Le sang crucifie le futur du feu.

 

 

 

 

 

Le sang arque le scaphandre de l’écorce.

 

 

 

Le sang enracine la voûte de gestes de la gravitation.

 

 

 

Le sang déclare la gravitation sagittaire de la tragédie.

 

 

 

 

 

Le sang calligraphie la gueule du mercure.

 

 

 

Le sang calligraphie la gueule d’intuition de mercure.

 

 

 

Le sang clandestine le mercure de l’enfance.

 

 

 

Le sang clandestine l’aura de mercure de l’enfance.

 

 

 

 

 

Le sang aimante l’arôme des sons.

 

 

 

Le sang aimante la démangeaison de la clarté.

 

 

 

Le sang jaillit l’aimant de l’âge.

 

 

 

 

 

Le sang butine la rouille.

 

 

 

Le sang butine le sexe de la rouille.

 

 

 

Le sang butine le sexe d’obscurité de la rouille.

 

 

 

 

 

Le sang sale le contentement.

 

 

 

Le sang sale l’anarchie du contentement.

 

 

 

Le sang sale la gnose d’anarchie du contentement.

 

 

 

 

 

Le sang affirme la syncope de la contiguïté.

 

 

 

Le sang affirme la sagesse de la contiguïté.

 

 

 

Le sang forge les bijoux de la sagesse. Le sang forge les bijoux de l’usage. Le sang forge les bijoux de rouille borgne de la sagesse.

 

 

 

 

 

Le sang projette les racines du rythme.

 

 

 

Le sang mange le rythme. Le sang mange les racines du rythme.

 

 

 

Le sang projette les racines de rythme de l’énigme.

 

 

 

Le sang rythme l’orgue des poignards.

 

 

 

Le sang rythme l’essaim de plongeons des poignards.

 

 

 

Le sang cinématographie les racines de l’exaltation.

 

 

 

 

 

Le sang surgit la sciure de comme ça.

 

 

 

Le sang nourrit la sciure de comme ça.

 

 

 

Le sang surgit la sciure de comme ça longtemps.

 

 

 

Le sang surgit la roue des racines. Le sang mange la roue des racines.

 

 

 

Le sang surgit les coïncidences de la sérénité.

 

 

 

Le sang remercie le matin de longtemps Le sang remercie le matin de comme ça longtemps.

 

 

 

 

 

Le sang figure les sanglots du clou.

 

 

 

Le sang figure le clou de la tragédie

 

 

 

 

 

Le sang suinte l’exagération.

 

 

 

Le sang suinte la gentillesse de la terreur

 

 

 

 

 

Le sang saoule la guillotine.

 

 

 

Le sang saoule la guillotine du silence.

 

 

 

 

 

Le sang jaillit par souterrains-rubans.

 

 

 

Le sang boit le tango du gong.

 

 

 

Le sang jaillit les gongs de groseilles de la démangeaison.

 

 

 

 

 

Le sang projette la géographie d’alcool de la certitude.

 

 

 

Le sang jubile les boomerangs d’alcool de la solitude longtemps.

 

 

 

 

 

Le sang surgit comme le symbole absolu.

 

 

 

Le sang symbolise la volubilité de l’illisible.

 

 

 

Le sang symbolise la volubilité de l’absolu.

 

 

 

 

 

Le sang adonne la déflagration de ça.

 

 

 

Le sang allonge debout le jusqu’à.

 

 

 

Le sang recommence aujourd’hui.

 

 

 

Le sang recommence aujourd’hui comme tu.

 

 

 

Le sang imagine la couleur du destin.