Atelier de la Syncope

 

 

 

 

Buissons des sourires. Buissons des sourires comme des échafaudages d’échardes. Buissons des râles. Buissons des râles comme des échafaudages d’échardes. Buissons de râles des sourires. Buissons de râles des sourires comme des échafaudages d’échardes. Echafaudages d’échardes des buissons. 

 

L’ébullition des buissons charpente les chiasmes du vent. L’ébullition des buissons charpente les chiasmes de sourires du vent. L’ébullition de râles des buissons charpente les chiasmes de sourires du vent.

 

Et borborygmes. Et borborygmes criblés de liserons. Et borborygmes criblés de lierre. Hiéroglyphes du cœur et borborygmes criblés de liserons. Hiéroglyphes du cœur et  borborygmes criblés de lierre. Hiéroglyphes du cœur comme borborygmes de confettis. Hiéroglyphes de confettis comme borborygmes du cœur.

 

L’abrupt berce la cécité. L’abrupt berce les rubans de la cécité. L’abrupt berce les rubans du quartz. L’abrupt berce les rubans de quartz de la cécité. L’abrupt berce les rubans de cécité du quartz.

 

Ourlet lunaire du cyclope. Borborygmes de la lévitation comme ourlet lunaire du cyclope. L’abrupt berce les rubans d’absurdité de la nécessité. L’abrupt berce les rubans d’absurdité de la nécessité c’est à dire borborygmes de la lévitation jusqu’à l’ourlet lunaire du cyclope.

 

Par le ruban des jambes. Par le ruban des jambes, le gisement des yeux revient. Par le bracelet des yeux. Par le bracelet des yeux, le gisement des jambes disparait.

 

L’amphore macère la nuptialité. Le caprice déambule la charpie. La brûlure cueille l’air à coups de pioche. La brûlure du bonheur cueille les yeux de l’air à coups de pioche.

 

Agrafes extravagantes de la surdité. Macération des jours, agrafes extravagantes de la surdité.  Agrafes extravagantes des jours, macération de la surdité. Agrafes extravagantes de l’attente,  macération de surdité des jours. Montagnes de la honte comme un solfège d’ingénuité.

 

Bercer l’oreiller de l’éclipse. Jeter les dés de l’attente. Bercer l’oreiller de l’éclipse comme jeter les dés de l’attente. Bercer l’oreille extravagante de l’éclipse comme jeter les dés de surdité de l’attente. Bercer l’oreille extravagante de l’attente comme jeter les dés de l’éclipse.

 

Poser la marche éparse. Poser la marche éparse de l’éclipse. Poser la marche éparse de l’absurdité.

 

Genoux extravagants du gravier, genoux extravagants de l’éboulis. Bowling de l’éboulis. Bowling de cailloux de l’éboulis. Bowling de pierres de l’ébouillis. Bowling de borborygmes de l’éboulis. Bowling de pierres borborygmales de l’éboulis. Bowling de pierres apocryphes de l’éboulis. Bowling de borborygmes apocryphes de l’éboulis. Bowling de pierres apocryphes borborygmales de l’éboulis.

 

La pupille de l’œil noue des larmes. La pupille apocryphe de l’œil noue des larmes d’étincelles. La pupille de la morsure noue des larmes. La pupille apocryphe de la morsure noue des larmes d’étincelles.

 

Etoiles troglodytes du bégaiement. Buissons des sourires, échafaudages d’échardes, étoiles troglodytes du bégaiement.

 

Rester assis face. Rester assis face à la fusée des amandes. La poitrine sourit à la proximité du nord. La main s’assoit face à la fusée des amandes.

 

Le nord voûte le tonnerre. Le nord voûte l’extravagance. Le nord voûte l’extravagance du tonnerre. Le nord voûte l’égarement. Le nord voûte le tonnerre de l’égarement. La main de groseilles du nord voûte l’extravagance du tonnerre. La main de groseilles du nord voûte le tonnerre de l’égarement. 

 

Le gong de groseilles du nord voûte l’extravagance du tonnerre. Le gong de groseilles du nord voûte le tonnerre de l’égarement. Le gong de groseilles du nord voûte l’extravagance de braises du tonnerre. Le gong de groseilles du tonnerre voute les braises de tonnerre de l’égarement.

 

Rubans de bégaiements sur l’herbier du thorax. Rubans de l’innommable sur l’herbier du thorax. Rubans de bégaiements de l’innommable sur l’herbier du thorax. Rubans de tête à tête sur l’herbier du thorax. Rubans de bégaiements de tête à tête sur l’herbier du thorax. Rubans de bégaiements de tête à tête sur l’herbier d’innommable du thorax.

 

Etabli du souffle sur la gorge du tombeau. Etabli alibre du souffle sur la gorge borgne du tombeau. Etabli ambidextre du souffle sur la gorge borgne du tombeau.

 

La pelle palpe les faveurs de la terre. La pelle palpe l’éclipse de la terre. La pelle palpe les faveurs d’éclipse de la terre. La pelle ausculte le portail de la terre. La pelle ausculte le portail d’éclipse de la terre. La pelle ausculte le portail de sourires de la terre.

 

La pioche pianote le planétarium. La pioche pianote le planétarium du cœur. La pioche récolte le planétarium. La pioche récolte le planétarium du cœur. La pioche pianote la proximité du cœur. La pioche pianote le planétarium de proximité du cœur. La pioche récolte la proximité du cœur. La pioche récolte le planétarium de proximité du cœur.

 

Tango des borborygmes, tango troglodyte des borborygmes. Tango du bégaiement, tango troglodyte du bégaiement. Tango des ongles, tango troglodyte des ongles. Tango de bégaiement des ongles, tango de bégaiement troglodyte des ongles. Tango des étoiles, tango troglodyte des étoiles. Tango de bégaiement des étoiles, tango de bégaiement troglodyte des étoiles.

 

Tango de l’oxygène, valse du silex, jazz du quartz. La main incruste la langue à l’intérieur de la terre. La main incruste la langue au dos de la terre. La main incruste la langue du silence au dos de la terre. La main de la bouche incruste la langue du silence au dos de la terre.

 

Galipettes minuscules des groseilles, pieuvre de la succulence. Galipettes minuscules des groseilles, pieuvre laconique de la succulence.

 

Divagation des regards, pieuvre de la succulence. Galipettes minuscules des groseilles, divagation des regards, pieuvre laconique de la succulence. Galipettes minuscules des groseilles, divagations littérales des regards, pieuvre laconique de la succulence. Galipettes minuscules des groseilles, divagations littérales des regards, pieuvre de poivre de la succulence.

 

Galipettes minuscules des groseilles, révérences hyalines de l’ivresse, divagations littérales des regards, pieuvre laconique de la succulence. Le cri inachève la nuque. Le cri inachève le vagin. Le cri inachève la nuque du vagin.

 

Tango des étoiles, valse des silex. La main incruste une langue à la surface de la terre. Le cri inachève la nuque du vagin. Tango d’oxygène des étoiles, valse d’au-revoir des silex, geyser de jazz du quartz. La main incruste une langue à la surface de la terre. Le cri inachève la nuque du vagin.

 

Copeaux de la nuque, galipettes du pacte. Copeaux de cœur de la nuque, galipettes de haches du pacte. Enterrer la bibliothèque. Le tango des étoiles enterre la bibliothèque de l’absurdité.

 

Tango des tisons, tango de tisons des étoiles, tango de tisons troglodytes des étoiles. Enterrer la bibliothèque des commotions. Enterrer la bibliothèque de commotions de l’absurdité. Le tango de galipettes des étoiles enterre la bibliothèque de commotions de l’absurdité.

 

Tango des tisons, gong des bouches, amphithéâtre des vertèbres. L’ombre dorlote la bibliothèque des commotions. L’ombre dorlote la bibliothèque de commotions de l’absurdité.

 

Tango contumace des étoiles. Tango d’oxygène contumace des étoiles. La main incruste une langue à la surface de la terre. Le cri inachève la nuque du vagin. Tango d’oxygène contumace des étoiles. Le crâne de la main incruste une langue de silence à la surface de la table de la terre. Le cri inachève la nuque du vagin.

 

Poser le poulpe du pain sur l’œil du gong. Le poulpe du pain se pose sur le regard du gong. C’est à dire borborygmes de la lévitation jusqu’à l’ourlet lunaire du cyclope.

 

Nuque du nord, copeaux des haches, galipettes de la décapitation. Nuque d’orgue du nord, copeaux de haches du pacte, galipettes de groseilles de la décapitation. Nuque d’orgue du nord, essaim de haches du pacte, galipettes de groseilles de la décapitation.

 

Voix éprise par le gong des abeilles. Voix du poignet éprise par le gong des abeilles. Aboiements du poignet épris par le gong des abeilles. Aboiements de silex du poignet épris par le gong d’oxygène des abeilles. Voix éprises de la lavande, ping-pong d’abeilles des poignets. Voix éprises çà et là de la lavande, ping-pong d’abeilles du poignet.

 

Saccage de l’orgueil, saccage d’ombre de l’orgueil. L’asphalte asphyxie le hasard. L’asphalte asphyxie l’orgueil. L’asphalte asphyxie le hasard de l’orgueil. L’asphalte asphyxie les rêves de lavande du hasard. L’asphalte asphyxie les rêves de lavande de l’orgueil. L’asphalte asphyxie les rêves de hasard de l’orgueil.

 

Oreiller de l’orage. Oreiller de l’orage à proximité du lointain. Oreiller de l’orage à proximité des murs. Oreiller de l’orage à proximité des murs du lointain. Oreiller de l’orage à proximité des murs du sperme. Oreiller de l’orage à proximité des murs de lointain du sperme. Oreiller de l’orage à proximité des murs de sperme du lointain.

 

La sodomie soude les morsures. La sodomie soude les morsures du hasard. La sodomie soude les morsures du ciel. La sodomie soude les morsures de hasard du ciel.

 

Gong du lait, montagnes des langues. Gong des langues, montagne du lait. Gong de honte du lait, montagne d’ingénuité des langues. Gong d’ingénuité des langues, montagne de honte du lait.

 

La main de la langue pose un ruban de souterrain à la surface de la table. Village des muqueuses, mappemonde des poumons. Village des poumons, mappemonde des muqueuses. La main de la langue pose un ruban de souterrain à la surface de la table. Tango des étoiles, révérences des muqueuses, mappemonde des poumons. 

 

Ebullition des étoiles, vertèbres du voyage enseveli. Ebullition des étoiles, vertèbres de l’errance ensevelie. Ebullition de larmes des étoiles, vertèbres de l’errance ensevelie à ciel ouvert.

 

Saccades de la dédicace, saccades de la rosée, saccades de dédicace de la rosée. Saccades de dédicace de la rosée au-dessus de la brouette des lèvres. Saccades de dédicace du sang. Saccades de dédicace du sang au-dessus de la brouette des lèvres. Saccades de dédicace du sang au-dessus de la brouette d’étonnement des lèvres.

 

La fusillade du souffle compose les porte-jarretelles du lierre. La fusillade du souffle improvise les porte-jarretelles du lierre. La fusillade du souffle provoque les porte-jarretelles du lierre. La fusillade du souffle provoque les porte-jarretelles de lierre de la ruine. La fusillade de souffle du futur provoque les porte-jarretelles de lierre de la ruine. La fusillade de souffle du futur provoque les porte-jarretelles de lierre du désespoir.

 

Cicatrices du lierre. Cicatrices des étoiles. Cicatrices de lierre des étoiles. L’épaule projette la reptation des étoiles. L’épaule projette les cicatrices des étoiles. L’épaule projette la reptation de cicatrices des étoiles. L’épaule projette la reptation des étoiles comme cicatrices du lierre. L’épaule projette le rapt de cicatrices des étoiles. L’épaule projette les cicatrices de ravissement des étoiles. L’épaule projette les cicatrices de la syncope. L’épaule projette les cicatrices d’étoiles de la syncope. L’épaule projette l’atelier de la syncope. L’épaule projette l’atelier de ratures de la syncope.

 

La somnolence attouche l’épouvante. La cloche de la somnolence attouche l’épouvante des pierres. Le brin d’herbe médite la charrue du charme. Le brin d’herbe tutoie la charrue du charme.

 

Méditation de la menthe, bowling de la rosée. Tango des tisons, copeaux du cœur, porte-jarretelles de lierre, méditation de la menthe, bowling de la rosée. Le jardin s’éveille. Tango des tisons, copeaux du cœur, porte-jarretelles du lierre, méditation de la menthe, bowling de la rosée.

 

Le jardin s’éveille non loin de là. Le jardin s’éveille maintenant non loin de là. Le rire des genoux disloque l’élégance de l’attente. Le sanglot des genoux disloque l’élégance de l’attente. Le sanglot des genoux désintègre l’assomption de l’attente. Le sanglot de fou-rire des genoux désintègre l’assomption d’élégance de l’attente.

 

L’orage entasse des tangos de gongs. L’orage entasse les tangos de gongs de l’épouvante. L’orage entasse les tangos de gongs de la terreur.

 

La locomotive bourgeonne des laboratoires de lichens. La locomotive déambule des éclaboussures de lichens.

 

Village des muqueuses, constellation des cuisses. Village volubile des muqueuses, constellation tacite des cuisses. 

 

Ping-pong du poignet. Les cuisses décapitent les nuages. Ping-pong d’abeilles du poignet. La constellation des cuisses décapite l’ingénuité des nuages.

 

Partition des branches, solfège des feuillages. Partition d’obscurité des branches, solfège  d’effervescence des feuillages. Surcroît des racines, roucoulement du quartz. Roucoulement des racines, surcroit du quartz.

 

Présenter le gong avec le pied. Le froid du front présente le gong avec le pied. Le froid du front présente le regard du gong avec l’ogive du pied. Le froid du front présente l’aveuglement du gong avec l’ogive du pied. Le froid du front présente le regard d’aveuglement du gong avec l’ogive de racines du pied.

 

Tango anfractueux de la paralysie, orgueil frugal du quartz. Commissures anfractueuses de la paralysie, orgueil frugal du quartz. Planétarium anfractueux de la paralysie, tonnerre frugal du quartz.

 

La malédiction de la soif déchire une fenêtre à l’intérieur d’un parfum. L’ingéniosité de l’ingénuité prénomme la pupille de la décapitation.

 

La certitude compose la source des couteaux. La certitude improvise la source des couteaux. L’ingéniosité de l’ingénuité prénomme la pupille de la décapitation.

 

Galipettes des os. Galipettes des os parmi la source des couteaux. Galipettes des os parmi les couteaux de l’abstraction. Galipettes des os parmi la source de couteaux de l’abstraction. Galipettes des os parmi la source de couteaux de la certitude.

 

Tango de tisons des étoiles, galipettes de dynamite des os. La poitrine enracine les spasmes du quartz. Atelier de l’herbe, tango des yeux, galipettes de dynamite des os. La poitrine enracine les spasmes du quartz.

 

Le vent ôte la robe des arbres. Le tact verrouille les yeux de l’alcool. Les doigts et la dynamite se tiennent dos à dos. Les lèvres lévitent l’odeur du silence.

 

Gong de l’allégresse, tentacules de la dynamite. Gong de l’allégresse, scaphandre de la décapitation Gong d’herbes de l’allégresse, tentacules de hurlements de la dynamite. Gong d’herbes de l’allégresse, scaphandre de sourires de la décapitation. Gongs d’herbes de l’allégresse, tentacules de hurlements de la dynamite, scaphandre de sourires de la décapitation.

 

Planétarium anfractueux de la paralysie, tentacules d’encre de la dynamite. Planétarium anfractueux de la paralysie, tonnerre frugal du quartz. Planétarium anfractueux de la paralysie, tentacules d’encre de la dynamite, tonnerre frugal du quartz. Planétarium anfractueux de la paralysie, tentacules d’encre de la dynamite, scaphandre d’herbes de la décapitation. Tentacules d’encre de la dynamite, scaphandre de quartz de la paralysie, planétarium d’herbes de la décapitation.

 

Je travaille. Je travaille avec les sourires du vent. Je travaille avec le chant des couteaux. Je travaille avec la laine des couteaux. Je travaille avec le chant de laine des couteaux. J’escalade la source. J’escalade la source des allumettes. Je brode des cibles à l’intérieur du brasier. Je brode des cibles d’herbes à l’intérieur du brasier.

 

Je travaille. Je taillade la jubilation du brouillard. Je touche les ailes du vide. Je moissonne des montagnes d’imminence. Je dédicace la laine du chant. Je dédicace les couteaux du chant. Je dédicace la laine de couteaux du chant. Je dédicace les copeaux de couteaux du chant. Je dédicace les copeaux de poignards du chant. J’adonne les copeaux de poignards du chant.

 

Tango des sextants, atelier de l’herbe. Tango de silex des sextants, atelier de dynamite de l’herbe.

 

Tango du gong, alluvions de la vulve. Gong de l’herbe, laine contumace des couteaux, alluvions de la vulve. Relecture de l’herbe, laine contumace des couteaux, alluvions d’aphasie de la vulve. Tango de relecture de l’herbe, alluvions de ravissement de la vulve. Tango de relecture de l’herbe, laine contumace des couteaux, alluvions de ravissement de la vulve. Tango du gong, commissures contumace du couteau, alluvions de ravissement de la vulve. Tango d’herbes du gong, commissures contumace du couteau, alluvions de ravissement de la vulve.

 

Adossée au silence, la main enjambe le sommeil. Adossé au sommeil, le crâne catapulte le silence.

 

Je travaille à la recherche d’un outil. Je travaille le ciel à la recherche d’un outil. Je travaille le ciel à la recherche de l’outil du vide. Je travaille. Je claudique le tête à tête des cendres.

 

Je travaille avec les ellipses du vent. Je sodomise les yeux du vide. Je travaille avec les ellipses de démence du vent. Je sodomise les yeux de méduse du vide.

 

Le charnier des chansons, le chiasme des hirondelles, l’échiquier du miracle. Je travaille. Je sodomise le charnier du vide. Je sodomise le charnier de méduses du vide. Je sodomise le charnier des chansons. Je sodomise le charnier de vide des chansons.

 

Tango des tessons, atelier de l’herbe. Tango arctique des tessons, atelier littéral de l’herbe.  Tango arctique de tessons, fraicheur abrupte de l’herbe.

 

Gong des lèvres, nébuleuse de l’inouï. Gong d’au-revoir des lèvres, nébuleuse contumace de l’inouï.

 

Tango contumace des tessons, gong arctique de l’au-revoir. Tango contumace des lèvres,  gong arctique de l’au-revoir. Gong contumace des lèvres, tango arctique de l’au-revoir.

 

Atelier de dynamite de l’herbe, tango sagittaire du gong. Crampes de l’herbe. La lune chante l’aveuglement. Crampes d’ellipses de l’herbe. La lune catapulte l’aveuglement. Crampes d’ellipses de l’herbe. La lune catapulte le chant de l’aveuglement.

 

Arctique obscénité du gong, crampes d’ellipses de l’herbe. La lune catapulte le chant de silence de l’aveuglement. Arctique obscénité du gong, crampes d’ellipses de l’herbe. La lune catapulte le chant de sperme de l’aveuglement.

 

Tango arctique du gong. L’aphasie cueille le front. Tango arctique du gong. L’aphasie gobe le front. Tango arctique du gong, saccades ingénues des nuages. L’aphasie gobe le tact du front.

 

Poignards du poivre, pyramide de la moutarde. Atelier de dynamite de l’herbe, tango de poivre des poignets.

 

Macération contumace des poignards, gestes de groseilles d’un ciel gris. Tango de poivre des poignets, macération contumace des poignards, gestes de groseilles d’un ciel gris. Alluvions de lucidité de la vulve, gestes de groseilles d’un ciel gris. Tango de poivre des poignets, alluvions de lucidité de la vulve, gestes de groseilles d’un ciel gris.

 

Atelier de dynamite de l’herbe, gisements de poignets de la civilisation. Atelier de dynamite de l’herbe, gisements de poignards de la civilisation. Atelier de cicatrices de la syncope, gisements de poignards de la civilisation.

 

Décapiter l’épouvante avec l’allumette. Aujourd’hui décapite l’épouvante avec l’allumette. L’aurore décapite l’espace avec l’allumette. L’aurore décapite l’espace avec l’allumette de demain.

 

Biseaux d’aphtes du souffle, biseaux d’aphtes de la soif. Biseaux de vertèbres du glacier, biseaux d’astres du glacier, biseaux de vertèbres astrales du glacier.

 

Tango arctique des tessons, gravier de sourires des regards. Tango arctique des sourires, glacier aux hanches de quartz, glacier aux bégaiements de silex. Tango arctique des sourires, glacier au front de quartz, glacier aux bégaiements de silex. Tango contumace de sourires, glacier au front de quartz, glacier aux bégaiements de silex.

 

Le couteau écoute. Le couteau écoute le lointain. Le couteau écoute le tas du lointain. Le couteau écoute les sourires du lointain. Le couteau écoute le tas de sourires du lointain.

 

Au nord l’harmonica du quartz. Le couteau écoute le lointain. Au nord l’harmonica du quartz. Le couteau écoute le tas du lointain. Au nord l’harmonica du quartz. Le couteau écoute le tas de sourires du lointain. Tango de tessons de la moutarde, au nord l’harmonica du quartz. Le couteau écoute le tas de hurlements du lointain. Le couteau écoute le tas de sourires hurlés du lointain.

 

Aorte de désœuvrement, harmonica du quartz. Aorte de désœuvrement, harmonica du nord. Tango de tessons, aorte du désœuvrement, harmonica du quartz. Tango de tessons des étoiles, aorte de désœuvrement de l’au-revoir, harmonica de quartz du nord.

 

Le couteau écoute l’aorte. Le couteau écoute les aboiements de l’aorte. Le couteau écoute les aboiements de l’au-revoir. Le couteau écoute les aboiements d’aorte de l’au-revoir.

 

Je travaille. Je laboure le verre. Je laboure le thorax du verre. Je laboure le volcan du verre. Je laboure le thorax de volcan du verre.

 

Tango arctique de l’herbe. Les phrases surviennent comme les enfantillages du sommeil. Tango arctique de l’herbe, les phrases surviennent comme les enfantillages de feu du sommeil.

 

Tango arctique de l’herbe, orgue de groseilles des cuisses. Tango arctique des braises, tango arctique des baisers. Gong arctique des braises, gong arctique des baisers.

 

Quinconce des écorchures, échiquier des cris. Echiquier des écorchures, quinconce des cris. Atelier de dynamite de l’herbe, échiquier d’écorchures des cris.

 

Je travaille. J’assois l’haleine sur les talons. J’assois l’haleine sur les talons des étincelles. J’assois l’haleine du typhon. J’assois l’haleine du typhon sur les talons des étincelles. Je travaille. J’assois l’haleine du typhon sur les talons du velours. J’assois l’haleine du velours sur les talons du typhon.

 

Arabesques de l’abrupt, crâne auréolé de rabots. Tango arctique des tessons, arabesques abruptes du rabot. Tango arctique des étoiles, ellipses abruptes du crâne. Tango arctique des tessons, gong éthéré de l’herbe, arabesque abruptes du rabot. Tango arctique des étoiles, gong éthéré de l’herbe, ellipses abruptes du crâne.

 

Baleines du blé, dauphins de l’herbe. Baleines de l’herbe, dauphins du blé. Baleines de haches du brouillard, baleine de haches du brouillard à chaque instant.

 

Je travaille. Je brode la montgolfière de la farine. J’exclame la montgolfière du pain. Gong de blessures de l’herbe. Je travaille. J’exclame la montgolfière du pain.

 

Tango de gong de l’herbe, montgolfière de l’aphasie. Tango de gong de l’herbe, montgolfière de farine de l’aphasie. Gong de râles de l’herbe, montgolfière de sourires de l’aphasie. Gong de sourires de l’herbe. Je travaille. J’exclame la montgolfière de farine de l’aphasie. J’exclame la montgolfière de pain de l’aphasie. J’exclame la montgolfière de sourires de l’aphasie. Gong de blessures de l’herbe. Je travaille. Je chatouille la montgolfière de pain de l’aphasie. Gong de blessures de l’herbe. Je travaille. J’élucide la montgolfière de pain de l’aphasie.

 

Je travaille. Je tricote des locomotives de coquelicots. Je tricote des locomotives d’ecchymoses. Je tricote la locomotive de coquelicots des ecchymoses. Je tricote des locomotives de lichens. Je tricote des locomotives de lichens des ecchymoses.

 

Je travaille. J’enjambe le matelas des météores. J’enjambe la cérémonie des météores. J’enjambe le matelas de cérémonie des météores. Je travaille. J’injecte le matelas des météores. J’injecte le matelas de cérémonie des météores. J’enjambe comme j’injecte le matelas de cérémonie des météores.

 

Montagne de confettis de la montgolfière. Je travaille. Je titube des gouffres de confettis. Cosmonautes commissures de la montgolfière, cosmonautes commissures du fou-rire, cosmonautes commissures de la montgolfière du fou-rire. Cosmonautes commissures contumace de la montgolfière, cosmonautes commissures contumaces du fou-rire, cosmonautes commissures contumaces de la montgolfière du fou-rire. Tango de gong de l’aurore, cosmonautes commissures de la montgolfière du fou-rire. Tango de gong de l’aurore, cosmonautes commissures contumaces de la montgolfière du fou-rire.

 

Je travaille. J’accouple des cyclones de papier. Je travaille. J’alunis des alinéas de lierre. J’alunis les vertèbres du vent. J’alunis les vertèbres de vent du lierre. Je travaille. Je coagule le manège de la source. Je coagule le toboggan de la fraicheur. Je coagule le manège de source de la certitude. Je coagule le toboggan de fraicheur du désespoir. Je travaille. J’exclame la montgolfière des confettis. J’exclame la montgolfière de confettis du fou-rire. J’exclame la montgolfière de fou-rire des confettis.

 

Gong de l’herbe, tango à califourchon sur la montgolfière. Gong de l’herbe, tango des tessons à califourchon sur la montgolfière, tango arctique des tessons à califourchon sur la montgolfière du fou-rire.

 

Gong éthéré de l’herbe, tango arctique des étoiles. Boire l’aujourd’hui à califourchon sur la montgolfière du fou-rire. Gong éthéré de l’herbe, tango arctique des étoiles. Boire l’aujourd’hui de la nuit à califourchon sur la montagne d’yeux de la montgolfière. Gong éthéré de l’herbe, tango arctique des étoiles. Boire l’aujourd’hui de la nuit à califourchon sur le montage de bouches de la montgolfière. Gong éthéré de l’herbe, tango arctique des étoiles. Boire l’aujourd’hui de la nuit à califourchon sur le montage de bouches ambidextres de la montgolfière, à califourchon sur le montage de bouches aveugles de la montgolfière, à califourchon sur le montage de bouches ambidextres aveugles de la montgolfière. Boire l’aujourd’hui de la nuit à califourchon sur le montage de bouches ambidextres aveugles de la montgolfière du fou-rire.

 

Gong éthéré de l’herbe, tango arctique des étoiles. Boire l’aujourd’hui illisible de la nuit à califourchon sur la montgolfière de confettis du fou-rire.

 

Epauler les commissures. Epauler les commissures de la clarté. Epauler les commissures contumaces de la clarté. Epauler les commissures du dehors. Épauler les commissures contumaces du dehors. Epauler les commissures de clarté contumace du dehors.

 

Epauler avec le couteau. Epauler avec le couteau de la contemplation. Epauler avec le couteau du futur. Epauler avec le couteau de contemplation du futur. Epauler les commissures contumaces de la clarté avec le couteau de contemplation du futur. Epauler les commissures contumaces du dehors avec le couteau de contemplation du futur.

 

Faciliter la décapitation. Faciliter la décapitation avec la fraicheur. Faciliter la décapitation avec les draps de la fraicheur. Faciliter le sourire de la décapitation. Faciliter le sourire de la décapitation avec les draps de la fraicheur.

 

Faciliter la décapitation du futur. Faciliter la décapitation du futur avec la fraicheur du désespoir. Faciliter le sourire de décapitation du futur avec les draps de fraicheur du désespoir.

 

Charpenter le champ de blé. Charpenter l’acquiescement du blé. Charpenter l’acquiescement du champ de blé. Charpenter l’acquiescement du champ de blé autour des chevilles. Charpenter le champ de blé avec le collier du vent. Charpenter le champ de blé avec le collier des chevilles. Charpenter l’acquiescement du champ de blé avec le collier de vent des chevilles.

 

Recommencer les braises des râles. Recommencer les braises des râles avec les commissures du brouillard. Recommencer les braises de râles de la certitude. Recommencer les braises de râles de la certitude avec les commissures de brouillard de l’ascèse.

 

Le gel des vertèbres exalte le lierre du sang. Le gel abrupt des vertèbres exalte le lierre illettré du sang. Les commissures abruptes des vertèbres exaltent le lierre illettré du sang. Les commissures de gel des vertèbres exaltent le lierre illettré du sang. Les commissures de gel de vertèbres exaltent la trajectoire de lierre du sang. Les commissures de gel des vertèbres exaltent la trajectoire de lierre illettré du sang.

 

Le geyser chante le crâne de la nécessité. Le geyser chante le crâne d’ingénuité de la nécessité. Draps de fraicheur du désespoir, commissures de scie du silence, mosaïque de racines de la crampe. Le geyser chante le crâne de cyclope de la nécessité.

 

Respirer comme marteler le nuage. Respirer le tonnerre de l’ingénuité comme marteler le nuage. Respirer le tonnerre de l’ingénuité comme marteler l’imminence du sang. Respirer le tonnerre d’ingénuité du silence comme marteler l’enclume du sang. Respirer le tonnerre d’ingénuité du silence comme marteler l’enclume d’imminence du sang. Respirer le tonnerre de l’imminence comme marteler l’ingénuité du sang. Respirer la main de tonnerre de l’imminence comme marteler le toboggan d’ingénuité du sang.

 

Chanter par la crampe d’herbes du comme. Chanter par la crampe d’herbes du comme jusqu’aux commissures de scie du silence. Chanter par la crampe d’herbes du comme jusqu’aux commissures de scies contumaces du silence.

 

La volubilité ensevelit les aimants. La volubilité ensevelit les aimants du vide. La volubilité de l’aurore ensevelit les aimants du vide.

 

Le vent récolte les aimants du vide. Le vent récolte les aimants du vide à ciel ouvert. La volubilité du vent récolte les aimants du vide clandestins à ciel ouvert. La volubilité de l’aurore récolte les aimants du vide clandestins à ciel ouvert. La volubilité de vent de l’aurore récolte les crânes d’aimants du vide. La volubilité de vent de l’aurore récolte les crânes d’aimants du vide clandestins à ciel ouvert. La volubilité de vent de l’aurore récolte les thorax d’aimants du vide. La volubilité de vent de l’aurore récolte les thorax d’aimants du vide clandestins à ciel ouvert.

 

La poussière soude la sidération. Le crâne du futur soude la poussière de la sidération. Le crâne sagittaire du futur soude la poussière de la sidération. Le crâne sagittaire du futur soude la poussière ambidextre de la sidération.

 

Les draps sodomisent la sidération. Les draps de la poussière sodomisent la sidération. Les draps de la poussière sodomisent le sperme de la sidération. Les draps de cils de la poussière sodomisent le sperme de la sidération. Les draps de cils de la poussière sodomisent le sperme d’amnésie de la sidération.

 

La lune injecte la potence des paupières. La lune pétrit la potence de paupières. La lune pétrit les seringues des paupières. La lune pétrit la potence de seringues des paupières. La lune  pétrit la potence de mercure des paupières. La lune pétrit la potence de seringues mercurielles des paupières.

 

L’épouvante rature la disparition du précipice. L’épouvante rature l’autoportrait de la peau. L’épouvante rature la disparition du précipice comme autoportrait de la peau. L’épouvante  rature l’autoportrait du précipice. L’épouvante rature la disparition de la peau. L’épouvante rature l’autoportrait du précipice comme disparition de la peau.

 

Le chant touche le lointain. Les graffitis du chant touchent la hache du lointain. Les graffitis de sourires du chant touchent la hache d’herbes du lointain.

 

Le lit dort. Le lit dort à l’intérieur de l’atelier. Le lit dort à l’intérieur de l’atelier du chant. Le lit dort inoubliable. Le lit dort inoubliable à l’intérieur de l’atelier. Le lit dort inoubliable à l’intérieur de l’atelier du chant.

 

Injecter le rapt des draps à l’intérieur de l’atelier du chant. La sciure du partage injecte le rapt des draps. La sciure du partage injecte le rapt des draps à l’intérieur de l’atelier du chant. Le tas de cils de la sciure injecte le rapt des draps à l’intérieur de l’atelier du chant.

 

La déflagration du lit enracine le calme de l’atelier. Le calme du lit enracine la déflagration de l’atelier. La déflagration de sourires du lit enracine les hurlements de calme de l’atelier. Les hurlements de calme du lit enracinent la déflagration de sourires de l’atelier.

 

La fraicheur anticipe les anfractuosités du tonnerre. Le sang enracine la foudre du tabou. La fraicheur anticipe les anfractuosités de silence du tonnerre. Le sang enracine la foudre de hurlements du tabou.