Suite des Phrases 

 

 

 

 

La phrase donne à sentir le langage comme métamorphose. La phrase donne à sentir le langage comme métamorphose du silence. La phrase donne à sentir le langage comme geste de métamorphose du silence. 

 

 

Ecrire affirme la sensation de certitude d’apparaitre par la métamorphose de ses phrases. Ecrire affirme la sensation de certitude d’apparaitre comme la métamorphose de ses phrases, comme la pulsion de métamorphose de ses phrases, comme l’instinct de métamorphose de ses phrases. 

 

 

 

La suite des phrases apparait toujours antérieure au sujet. La suite des phrases apparait toujours antérieure au sujet du langage. La suite du silence apparait toujours antérieure au sujet du langage. La suite de phrases du silence apparait toujours antérieure au sujet de vérité du langage. 

 

 

La suite des phrases ne piste pas l’animal du langage. La suite des phrases piste l’animal du silence. La suite des phrases piste l’animal du silence à l’intérieur de la forêt du langage. La suite des phrases piste l’apparition animale du silence à l’intérieur de la forêt du langage. 

 

 

Le par suite des phrases pose comme projette le crâne du sang à quatre pattes à l’intérieur de l’espace, le crâne de respiration du sang à quatre pattes à l’intérieur de l’espace afin de transformer ainsi le crâne de respiration du sang en outil de la fierté, en outil du destin, en outil de fierté du destin. 

 

 

 

« Chaque phrase sonore, la plus simple, annonce qu’il y aura une autre phrase, que ce n’est pas encore fini, que la fin des phrases est de ne pas finir. Chaque phrase demande à être honorée par une phrase. »  Lyotard 

 

La phrase ne demande pas. La phrase n’appelle pas. La phrase ne prie pas. La phrase n’appelle pas la continuité du langage. La phrase ne prie pas la continuité du langage. La répond. La phrase répond oui. La phrase répond tu. La phrase répond oui comme tu. La phrase répond et provoque ainsi l’existence d’autres phrases. La phrase répond et provoque ainsi l’apparition d’autres phrases sans malgré tout les appeler, sans malgré tout les honorer.

 

 

La phrase survient en dehors de l’identité et de l’altérité. La phrase affirme la prolifération de l’unicité. La phrase provoque la prolifération de l’unicité. La phrase affirme la prolifération d’unicité de la réponse. La phrase provoque la prolifération d’unicité de la réponse. La phrase affirme la réponse de oui. La phrase provoque la réponse de oui. La phrase affirme la réponse de tu. La phrase provoque la repose de tu. La phrase affirme la réponse de oui comme tu. La phrase provoque la réponse de oui comme tu. La phrase affirme la prolifération de réponse de oui. La phrase affirme la prolifération de réponse de tu. La phrase affirme la prolifération de réponse de oui comme tu. La phrase provoque la prolifération de réponse de oui comme tu. 

 

 

La phrase affirme le feu du silence. La phrase affirme le feu de silence antérieur à la voix  La phrase adonne le feu de silence antérieur à la voix. La phrase paraphorise la voix. La phrase paraphorise la voix comme feu du silence. La phrase paraphorise la voix comme feu de réponse du silence. 

 

 

La phrase paraphorise les réflexes de la voix. La phrase paraphorise les réflexes d’amnésie de la voix. La phrase paraphorise les réflexes du silence. La phrase paraphorise les réflexes de voix du silence. 

 

 

La phrase ne révèle pas l’enchainement. La phrase ne révèle pas l’enchainement du sens. La phrase affirme le montage. La phrase donne le montage. La phrase adonne le montage. La phrase affirme le feu de la parole comme montage du silence. La phrase affirme le silence comme montage de la parole. La phrase adonne le feu de la parole comme montage du silence. La phrase adonne le feu du silence comme montage de la parole. 

 

 

Il apparait nécessaire de monter les phrases. Il apparait nécessaire de recommencer les phrases. Il apparait nécessaire d’entasser les phrases. Il apparait nécessaire de monter le tas des phrases. Il apparait nécessaire de monter le recommencement des phrases. Il apparait nécessaire de monter le tas de recommencement des phrases. 

 

 

Il apparait nécessaire de monter les phrases par le feu du silence. Il apparait nécessaire de monter les phrases par l’absolu. Il apparait nécessaire de monter les phrases par le feu de silence de l’absolu. Il apparait nécessaire de monter le tas de recommencement des phrases par le feu de silence de l’absolu. 

 

 

Il apparait nécessaire de monter les phrases par le feu du silence. Il apparait nécessaire de descendre les phrases par le feu du silence. Il apparait nécessaire de monter comme descendre les phrases par le feu du silence. Il apparait nécessaire de monter comme descendre les phrases par le feu de silence de l’absolu. 

 

 

Il apparait nécessaire de projeter les phrases. Il apparait nécessaire de projeter les phrases par le feu du silence. Il apparait nécessaire de projeter les phrases par le feu de silence de l’absolu. 

 

 

Il apparait nécessaire de projeter-monter les phrases. Il apparait nécessaire de projeter-monter les phrases par le feu du silence. Il apparait nécessaire de projeter-monter les phrases par le feu de silence de l’absolu. 

 

 

 

Ecrire affirme le geste de projeter le montage de phrases comme de monter la projection des phrases. Ecrire affirme le geste de projeter le montage des phrases comme de monter la projection des phrases par le feu du silence. Ecrire affirme le geste de projeter le montage des phrases comme de monter la projection des phrases par le feu de silence de l’absolu. 

 

 

Ecrire affirme le geste de monter les phrases par la projection du papier. Ecrire affirme le geste de monter des phrases par la projection de feu du papier. Ecrire affirme le geste de monter les phrases du silence par la projection de feu du papier. Ecrire affirme le geste de monter les phrases d’herbes du silence par la projection de feu du papier. 

 

 

Ecrire affirme le geste de monter le papier par la projection des phrases. Ecrire affirme le geste de monter le tas du papier par la projection des phrases. Ecrire affirme le geste de monter le tas d’extase du papier par la projection de silence des phrases. 

 

 

Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases. Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le papier. Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le papier à l’intérieur de oui. Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le papier à l’intérieur de tu. Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le papier à l’intérieur de oui comme tu. 

 

 

Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le papier à l’intérieur de à oui sauf. Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le papier à l’intérieur d’aujourd’hui tu. Ecrire affirme le geste de projection-montage de phrases avec le papier à l’intérieur de oui sauf comme à l’intérieur d’aujourd’hui tu. Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le feu du papier à l’intérieur de oui tu. Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le feu du papier à l’intérieur d’aujourd’hui sauf. Ecrire affirme le geste de projection-montage des phrases avec le feu du papier à l‘intérieur de oui tu comme à l‘intérieur d’aujourd’hui sauf. 

 

 

Ecrire projette-monte des phrases à l’intérieur du feu de silence de oui comme tu. Ecrire projette-monte des phrases autour du feu de silence de oui comme tu. Ecrire projette-monte des phrases à l’intérieur autour du feu de silence de oui comme tu. 

 

 

 

L’écriture projette-monte les phrases par le feu du silence. L’écriture projette monte les phrases par l’absolu. L’écriture projette-monte les phrases par le feu de silence de l’absolu. 

 

 

L’écriture ne cherche pas l’absolu. L’écriture ne révèle pas l’absolu. L’écriture affirme l’absolu. L’écriture affirme l’absolu à la fois comme outil de montage et outil de projection, comme outil de montage-projection. 

 

 

L’écriture joue à transformer l’absolu en outil. L’écriture joue à transformer l’absolu en outil de montage-projection. 

 

 

L’écriture joue l’absolu. L’écriture joue avec l’absolu. L’écriture transforme l’absolu en jouet. L’écriture prend et jette l’absolu. L’écriture prend et jette l’absolu comme un jouet. L’écriture prend et jette l’absolu comme un enfant prend et jette un jouet. 

 

 

L’écriture prend et jette l’absolu comme jouet des phrases. L’écriture prend et jette l’absolu comme jouet de projection des phrases. L’écriture prend et jette l’absolu comme jouet de montage des phrases. L’écriture prend et jette l’absolu comme jouet de projection-montage des phrases. L’écriture prend et jette l’absolu comme jouet de projection-montage des phrases et du papier, comme jouet de projection-montage des phrases et du feu du papier. 

 

 

L’écriture affirme l’enfance de l’absolu. L’écriture affirme l’enfance de feu de l’absolu. 

 

 

L’écriture joue à la fois à projeter des phrases à la surface de l’absolu et à monter des phrases par l’absolu. L’enfance de feu de l’écriture joue à montrer l’absolu. L’enfance de feu de l’écriture joue à montrer l’absolu à la fois comme jouet de montage du silence et comme écran de projection des phrases. L’enfance de feu de l’écriture joue à montrer l’absolu à la fois comme jouet de montage des phrases et comme écran de projection du silence.