Rhapsodie avec Arlt

 

 

 

 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Les enfants qui fument de joie te laissent de marbre.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Les enfants qui fument de joie te laissent de marbre.

 

L’amour apparait comme un os.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Il pleut c’est-à-dire la pluie ne me touche pas.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Il pleut c’est-à-dire la pluie ne me touche pas.

 

L’amour apparait comme un os.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Les enfants qui fument de joie te laissent de marbre.

 

Il pleut c’est-à-dire la pluie ne me touche pas.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Les enfants qui fument de joie te laissent de marbre.

 

Il pleut c’est-à-dire la pluie ne me touche pas.

 

L’amour apparait comme un os.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Les enfants qui fument de joie te laissent de marbre.

 

Il pleut c’est-à-dire la pluie ne me touche pas.

 

L’amour apparait comme un os.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Si tout va bien, elle sera nue comme la main. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Si tout va bien, elle sera nue comme la main. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Si tout va bien, elle sera nue comme la main. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Si tu savais comme je t’aime, mon premier périscope. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

Si tu savais comme je t’aime, mon premier périscope. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

Si tu savais comme je t’aime, mon premier périscope.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Il pleut c’est-à-dire la pluie ne me touche pas.

 

L’amour apparait comme un os.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Il pleut c’est-à-dire la pluie ne me touche pas.

 

L’amour apparait comme un os.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Après quoi nous avons bu.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Après quoi nous avons bu nos rires.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Je regarde dormir le temps.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

Je regarde dormir le temps.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Des fois tu es dans la lune, je ne sais pas.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Le monde va mourant tranquille, sortons fumer.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Des fois tu es dans la lune, je ne sais pas.

 

Le monde va mourant tranquille, sortons fumer.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Allez savoir pourquoi le ciel s’inachève.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Allez savoir pourquoi le ciel s’inachève.

 

Pourquoi le ciel s’inachève jour après jour et pourquoi pour nous c’est une joie.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Ainsi soit-il le toit fait des roulades agiles.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Allez savoir pourquoi le ciel s’inachève.

 

Ainsi soit-il le toit fait des roulades agiles.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Nous sommes un éboulis de pierres. Tombons.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Allez savoir pourquoi le ciel s’inachève.

 

Nous sommes un éboulis de pierres. Tombons.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Allez savoir pourquoi le ciel s’inachève.

 

Ainsi soit-il le toit fait des roulades agiles.

 

Nous sommes un éboulis de pierres. Tombons.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Le sourire du crâne apprend à la falaise à faire des galipettes.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Allez savoir pourquoi le ciel s’inachève.

 

Le sourire du crâne apprend à la falaise à faire des galipettes.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Le sourire du crâne apprend à la falaise à faire des galipettes, je ne sais pas.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Allez savoir pourquoi le ciel s’inachève.

 

Le sourire du crâne apprend à la falaise à faire des galipettes, je ne sais pas.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Allez savoir pourquoi le ciel s’inachève.

 

Le sourire du crâne apprend à la falaise à faire des galipettes, je ne sais pas.

 

Nous devenons un éboulis de pierres. Tombons.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est l’hiver comme on dit de quelqu’un qu’il est mort.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est l’hiver comme on dit de quelqu’un qu’il est mort.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

Je te montrerai si tu viens combien j’en veux. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est l’hiver comme on dit de quelqu’un qu’il est mort.

 

Je te montrerai si tu viens combien j’en veux. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est l’hiver comme on dit de quelqu’un qu’il est mort.

 

Je te montrerai si tu viens combien j’en veux. 

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est l’hiver comme on dit de quelqu’un qu’il est mort.

 

Je te montrerai si tu viens combien j’en veux. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Je te montrerai si tu viens combien j’en veux à ton paysage. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est l’hiver comme on dit de quelqu’un qu’il est mort.

 

Je te montrerai si tu viens combien j’en veux à ton paysage. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est l’hiver comme on dit de quelqu’un qu’il est mort.

 

Je te montrerai si tu viens combien j’en veux à ton paysage.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est l’hiver comme on dit de quelqu’un qu’il est mort.

 

Je te montrerai si tu viens combien j’en veux à ton paysage.

 

L’amour apparait comme un os.

 

Après quoi nous avons ri. 

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Ouvrons la vache en deux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Ouvrons la vache en deux.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Le soir devient un ventre de baleine.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Le soir devient un ventre de baleine.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Ouvrons la vache en deux.

 

Le soir devient un ventre de baleine.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

Le soir devient un ventre de baleine.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

Le soir devient ventre de baleine.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

Dormons heureux.

 

 

 

Voilà le ciel qui recommence. 

 

L’amour apparait comme un os.

 

C’est toi qui a chu d’abord.

 

Tu m’as encore crevé un cheval.

 

Le soir devient un ventre de baleine.

 

Dormons heureux.