Rhapsodie avec Ivar Ch’Vavar et Arno Schmidt.

 

 

 

 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Repoussent du pied, l’un, puis l’autre, qu’il roule un peu dans la fougère aigle.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Repoussent du pied, l’un, puis l’autre, qu’il roule un peu dans la fougère aigle.

 

La discussion prend une tournure passionnante,

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Repoussent du pied, l’un, puis l’autre, qu’il roule un peu dans la fougère aigle.

 

La discussion prend une tournure passionnante,

 

La conversation a continué de rouler,

 

Cependant interrompue par le tintement du timbre de la bicyclette du préposé.

 

 

 

Je descends de mon vélo. Grand ciel en sang. ...

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Je descends de mon vélo. Grand ciel en sang. ...

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Comme l’helix, oui, l’escargot… mais à grandes enjambées ; sur de grandes hanches,

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Comme l’helix, oui, l’escargot… mais à grandes enjambées ; sur de grandes hanches,

 

Repoussent du pied, l’un, puis l’autre, qu’il roule un peu dans la fougère aigle.

 

Je descends de mon vélo. Grand ciel en sang. ...

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Je descends de mon vélo. Grand ciel en sang. ...

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Comme l’helix, oui, l’escargot… mais à grandes enjambées ; sur de grandes hanches,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Je descends de mon vélo. Grand ciel en sang. ...

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac et je me suis mis à tourner comme une toupie !

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac que je n’ai pas encore intégré,

 

Avec le poids du sac comme un tigre tranquille,

 

Avec le poids du sac et je me suis mis à tourner comme une toupie !

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

A l’avenir, je dissimulerai mes os sous des couleurs et des formes végétales, pour avoir moins à penser à moi. J’ai le vertige. Comme sur une plaque tournante.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac que je n’ai pas encore intégré,

 

Avec le poids du sac comme un tigre tranquille,

 

Avec le poids du sac et je me suis mis à tourner comme une toupie !

 

A l’avenir, je dissimulerai mes os sous des couleurs et des formes végétales, pour avoir moins à penser à moi. J’ai le vertige. Comme sur une plaque tournante.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

A l’avenir, je dissimulerai mes os sous des couleurs et des formes végétales, pour avoir moins à penser à moi. J’ai le vertige. Comme sur une plaque tournante.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Il ne porte que sa maison, et pas plus lourde qu’une bulle : moi (dit la jeune fille), c’est le monde.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Etcaetera. (et j’incline la tête, fataliste : la terre, les planètes, etcaetera.) / Ah oui ! Un détail qui a son importance : « Pouvez-vous me dire la répartition : Hommes/ Femmes/ Enfants ? » 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Etcaetera. (et j’incline la tête, fataliste : la terre, les planètes, etcaetera.) / Ah oui ! Un détail qui a son importance : « Pouvez-vous me dire la répartition : Hommes/ Femmes/ Enfants ? » 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Etcaetera. (et j’incline la tête, fataliste : la terre, les planètes, etcaetera.) / Ah oui ! Un détail qui a son importance : « Pouvez-vous me dire la répartition : Hommes/ Femmes/ Enfants ? »

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Il ne porte que sa maison, et pas plus lourde qu’une bulle : moi (dit la jeune fille), c’est le monde.

 

Etcaetera. (et j’incline la tête, fataliste : la terre, les planètes, etcaetera.) / Ah oui ! Un détail qui a son importance : « Pouvez-vous me dire la répartition : Hommes/ Femmes/ Enfants ? »

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Je me sens glisser en arrière comme quand un vent se traine paresseusement pendant la récolte de pommes de terre.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Je me sens glisser en arrière comme quand un vent se traine paresseusement pendant la récolte de pommes de terre.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Je me sens glisser en arrière comme quand un vent se traine paresseusement pendant la récolte de pommes de terre.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

« Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

 Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

 Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Etcaetera. (et j’incline la tête, fataliste : la terre, les planètes, etcaetera.) / Ah oui ! Un détail qui a son importance : « Pouvez-vous me dire la répartition : Hommes/ Femmes/ Enfants ? » 

 

Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Etcaetera. (et j’incline la tête, fataliste : la terre, les planètes, etcaetera.) / Ah oui ! Un détail qui a son importance : « Pouvez-vous me dire la répartition : Hommes/ Femmes/ Enfants ? » 

 

Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Etcaetera. (et j’incline la tête, fataliste : la terre, les planètes, etcaetera.) / Ah oui ! Un détail qui a son importance : « Pouvez-vous me dire la répartition : Hommes/ Femmes/ Enfants ? » 

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Mais pourquoi pas ? : on peut parfaitement greffer le cerveau d’un homme dans le corps d’une jeune femme.

 

Etcaetera. (et j’incline la tête, fataliste : la terre, les planètes, etcaetera.) / Ah oui ! Un détail qui a son importance : « Pouvez-vous me dire la répartition : Hommes/ Femmes/ Enfants ? » 

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages. 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages. 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages. 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

 A l’avenir, je dissimulerai mes os sous des couleurs et des formes végétales, pour avoir moins à penser à moi. J’ai le vertige. Comme sur une plaque tournante.

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages. 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

 A l’avenir, je dissimulerai mes os sous des couleurs et des formes végétales, pour avoir moins à penser à moi. J’ai le vertige. Comme sur une plaque tournante.

 

Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages. 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages. 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages. 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

 A l’avenir, je dissimulerai mes os sous des couleurs et des formes végétales, pour avoir moins à penser à moi. J’ai le vertige. Comme sur une plaque tournante.

 

Dans ma main une tête décapitée (ou plutôt : sans corps. Elle a incontestablement figure humaine. Et elle pèse si peu dans la main !)

 

Ça ? : des Têtes Volantes. » / : Ah, la mystérieuse « troisième espèce » d’hier.

 

Je m’immobilise sous le ciel imprimé de feuillages. 

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Porter le monde sur son dos,

 

Et donc, cette comparaison

 

Avec l’escargot... elle tourne.

 

Avec le poids du sac,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Sans jamais jamais ne serait-ce qu’effleurer le sol du pied.

 

Bientôt

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Sans jamais jamais ne serait-ce qu’effleurer le sol du pied.

 

Bientôt

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

Sans jamais jamais ne serait-ce qu’effleurer le sol du pied.

 

Bientôt

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Tout est si vieux,

 

Et la pente appelle.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Tout est si vieux,

 

Et la pente appelle.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Tout est si vieux,

 

Et la pente appelle.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Le trou qu’on voit, il est là au bout, et déjà dessous,

 

La terre tient encore par les grosses racines.

 

On dirait un balcon la forêt.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Le trou qu’on voit, il est là au bout, et déjà dessous,

 

La terre tient encore par les grosses racines.

 

On dirait un balcon la forêt.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Le trou qu’on voit, il est là au bout, et déjà dessous,

 

La terre tient encore par les grosses racines.

 

On dirait un balcon la forêt.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

Le trou qu’on voit, il est là au bout, et déjà dessous,

 

La terre tient encore par les grosses racines.

 

On dirait un balcon la forêt.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Ça se prend à respirer, ça sent la terre arrachée...

 

Et le trou, oui, le trou.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se prend à respirer, ça sent la terre arrachée...

 

Et le trou, oui, le trou.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

Ça se prend à respirer, ça sent la terre arrachée...

 

Et le trou, oui, le trou.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

Ça se prend à respirer, ça sent la terre arrachée...

 

Et le trou, oui, le trou.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Des flocons de suie peut-être, mais blancs...

 

Comme si on vannait feu et cendre.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Des flocons de suie peut-être, mais blancs...

 

Comme si on vannait feu et cendre.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Des flocons de suie peut-être, mais blancs...

 

Comme si on vannait feu et cendre.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

Des flocons de suie peut-être, mais blancs...

 

Comme si on vannait feu et cendre.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Elle tourne déjà sur elle-même, c’est-à-dire que ça se trouve d’abord dans la solitude.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

Elle tourne déjà sur elle-même, c’est-à-dire que ça se trouve d’abord dans la solitude.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

Elle tourne déjà sur elle-même, c’est-à-dire que ça se trouve d’abord dans la solitude.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

Elle tourne déjà sur elle-même, c’est-à-dire que ça se trouve d’abord dans la solitude.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Elle tourne déjà sur elle-même, c’est-à-dire que ça se trouve d’abord dans la solitude.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

Elle tourne déjà sur elle-même, c’est-à-dire que ça se trouve d’abord dans la solitude.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

Ça se prend à respirer, ça sent la terre arrachée...

 

Elle tourne déjà sur elle-même, c’est-à-dire que ça se trouve d’abord dans la solitude.

 

 

 

Je me déhanche, les pieds

 

Sur le fil même de l’instant,

 

Avec le poids du sac,

 

« Par ici s’il vous plait. »

 

À béer, à chercher une autre façon de respirer,

 

À tourner la tête,

 

Ça se tient en l’air... et... on dirait que ça attend.

 

On entend : que Ça attend !

 

Ça se prend à respirer, ça sent la terre arrachée...

 

Et le trou, oui, le trou.

 

Elle tourne déjà sur elle-même, c’est-à-dire que ça se trouve d’abord dans la solitude.