Marges de Poésie Action de Serge Pey

 

 

 

 

 

 

 

« Plus loin l’eau se baigne toute habillée sous un pont.

 

(…) La mer est une mathématique où l’eau se baigne nue. »

 

L’eau se baigne nue à l’intérieur de l’eau. L’eau se baigne nue à l‘intérieur de son évanouissement. L’eau se baigne nue à l’intérieur de l’évanouissement de l’eau. L’eau se baigne nue à l’intérieur de son sourire. L’eau se baigne nue à l’intérieur du sourire de l’eau. L’eau se baigne nue à l’intérieur du sourire de son évanouissement. L’eau se baigne nue à l’intérieur du sourire d’évanouissement de l’eau.

 

 

 

« Les sources boivent leur eau. »

 

La source boit le sourire de l’eau. La source boit l’oubli de l’eau. La source boit le sourire d’oubli de l’eau. La source boit l’amnésie de l’eau. Les sources boivent le sourire d’amnésie de l’eau. La source boit l‘évanouissement de l’eau. La source boit le sourire d’évanouissement de l’eau.

 

 

 

« L’eau reste anthropophage sous la lune. »

 

L’eau devient anthropophage uniquement par la clarté de la lune. L’eau devient anthropophage uniquement par la clarté d’étonnement de la lune. L’eau devient l’anthropophage du noli tangere uniquement par la clarté de la lune. L’eau devient   l’anthropophage du noli tangere uniquement par la clarté d’étonnement de la lune. L’eau devient anthropophage de son étonnement uniquement par la clarté de la lune. L’eau devient anthropophage de son étonnement uniquement par la clarté de noli tangere de la lune.

 

 

 

« Dénuder les verres en n’en garder que l’eau. »

 

Dénuder le verre. Dénuder le verre jusqu’à l’eau. La fontaine dénude le verre jusqu’à l’eau. La fontaine dénude le verre jusqu’à l’éjaculation de l’eau. La fontaine dénude le verre jusqu’à l’éjaculation d’alcool de l’eau. La féerie d’amnésie de la fontaine dénude le verre jusqu’à l’eau. La féerie d’amnésie de la fontaine dénude le verre jusqu’à l’éjaculation de l’eau. La féerie de tact de la fontaine dénude le verre jusqu’à l’eau. La féerie de tact de la fontaine dénude la translucidité d’au revoir du verre. La féerie de tact de la fontaine dénude la translucidité d’au revoir du verre jusqu’à l’éjaculation d’alcool de l’eau. La féerie de tact de la fontine dénude la certitude d’au revoir du verre. La féerie de tact de la fontaine dénude l’offrande d’au revoir du verre. La féerie de tact de la fontaine dénude l‘offrande d’au revoir du verre jusqu’à l’éjaculation d’alcool de l’eau. 

 

 

 

 

« L’eau éventre les yeux et sépare tes doigts en deux fleuves, et ton fleuve en deux mains. »

 

L’eau éventre les yeux avec un éventail. L’eau éventre les yeux avec l’éventail de la soif. L’eau éventre les yeux avec l’éventail de la salive. L’eau éventre les yeux avec l’éventail de salive de la soif. L’eau éventre les yeux avec l’éventail de la vieillesse. L’eau éventre les yeux ave l’éventail d’ivrognerie de la vieillesse. L’eau éventre les yeux avec l’éventail de la chasteté. L’eau éventre les yeux avec l’éventail de chasteté de la vieillesse. L’eau éventre les yeux avec l’éventail d’ivrognerie de la vieillesse, avec l’éventail d’ivrognerie chaste de la vieillesse. L’eau éventre les yeux avec les étoiles de la vieillesse. L’eau éventre les yeux avec l’éventail d’étoiles de la vieillesse. L’eau éventre les yeux avec l’éventail d’ivrognerie stellaire de la vieillesse.

 

 

 

« Les corbeaux se donnent la main au-dessus de la rivière ivrogne. »

 

Savoir comment chanter l’ivrognerie de la rivière. Savoir comment chanter les sourires d’ivrognerie de la rivière. Savoir comment chanter l’ivrognerie de la rivière avec les ailes du corbeau. Savoir comment chanter les sourires d’ivrognerie de la rivière avec les ailes de hurlements du corbeau.

 

 

 

« Si tu ne veux pas dépendre de l’eau, lave toi avec ta salive. »

 

Afin de ne pas devenir l’esclave de la salive se laver avec les hurlements de l’eau. Afin de ne pas devenir l’esclave de la salive, se laver avec les sourire de l’eau, se laver avec les hurlements de sourires de l’eau. Afin de ne pas vivre tel un chien attaché à sa salive, se laver avec les hurlements de sourires de l’eau. 

 

 

 

 

« L’océan reste une cérémonie de la terre, comme le désert ou l’orage. »

 

L’océan apparait comme la cérémonie de la terre. L’océan apparait comme la cérémonie d’eau de la terre. L’océan apparait comme la cérémonie d’eau immense de la terre.

 

 

 

« La mer est une bouche d’une seule lèvre qui perd sa salive sur les marcheurs. »

 

L’océan catapulte à chaque instant la bouche unique d’une multitude de lèvres. L’océan catapulte à chaque instant la bouche unique d’une multitude de lèvres qui embrassent les pieds de la terre, qui embrassent les pieds de paix de la terre. L’océan catapulte à chaque instant la bouche unique d’une multitude de lèvres qui embrassent les pieds d’amnésie de la terre, qui embrassent les pieds de frivolité de la terre, qui embrassent les pieds d’amnésie frivole de la terre. L’océan catapulte à chaque instant la bouche unique d’une multitude de lèvres qui embrassent le piedestal de la terre, qui embrase la syncope de la terre, qui embrasse le piedestal de syncope de la terre. 

 

 

 

« Un chien réveille la mer en aboyant. »

 

Endormir l’océan à coups de marteaux. Endormir l’océan avec les coups de marteaux du ciel. L’orage essaie d’assommer l’océan. L’orage essaie d’assommer l’océan avec les coups de marteaux du ciel.

 

 

 

« Nager c’est d’abord apprendre à ouvrir les yeux sous l’eau. »

 

Nager comme savoir ouvrir l’eau sous les yeux. Nager comme savoir ouvrir l’eau à l’intérieur des yeux. Nager comme savoir ouvrir le sourire de l’eau à l‘intérieur du hurlement des yeux. Nager comme savoir ouvrir le sourire d’ombre de l’eau à l’intérieur du hurlement de clarté des yeux. Nager comme savoir ouvrir le sourire de clarté de l’eau à l’intérieur du hurlement d’ombre des yeux.

 

 

 

 

 

« Sur les tempes de la pluie, un oiseau s’enlace à lui-même. »

 

Les tempes de la pluie palpent les yeux du vide. Les tempes de sourires de la pluie palpent les yeux d’éblouissement du vide. Les tempes d’éblouissement de la pluie palpent les yeux d’au revoir du vide. Les tempes de sourires de la pluie palpent les yeux d’au revoir du vide.

 

 

 

« La pluie apaise le pont. »

 

La pluie apaise le pont au sommet du front de la main. La pluie apaise le pont au sommet du front de feu de la main. La pluie apaise le pont au sommet du front d’amnésie de la main. La pluie apaise le pont au sommet du front de feu amnésique de la main. La pluie apaise le pont  à l’intérieur de la catastrophe de la main. La pluie apaise le pont à l’intérieur du front de catastrophe de la main. La pluie apaise le pont à l’intérieur de la catastrophe d’amnésie de la main. La pluie apaise le pont à l’intérieur du sourire de la main. La pluie apaise le pont à l’intérieur de la catastrophe de sourire de la main. La pluie apaise le pont à l’intérieur du hurlement de la main. La pluie apaise le pont à l’intérieur du hurlement de sourire de la main. 

 

 

 

« La pluie se boit elle-même dans ses plus petites flaques. »

 

La pluie se boit elle-même au sommet de l’oubli. La pluie se boit elle-même au sommet du sourire de l’oubli. La pluie se boit elle-même à l’intérieur de l’ébullition de l’oubli. La pluie se boit elle-même à l’intérieure de l’ébullition de sourires de l’oubli.  

 

 

 

« La pluie prend toujours de petites cailloux en les choisissant complices de son événement. » 

 

La pluie joue au mikado avec des falaises. La pluie joue au mikado avec les falaises du vide.  La pluie joue au mikado avec les falaises multiples du vide. La pluie joue au mikado avec les falaises innombrables du vide. La pluie joue au mikado avec les falaises de sourires du vide. La pluie joue au mikado avec les falaises de sourires innombrables du vide.

 

 

 

 

 

« Nous avions une route qui suivait une autre route puis qui s’enroulait dans un nœud autour d’un pont. »

 

Enrubanner avec un pont. Enrubanner un puits avec un pont. Enrubanner la chute avec un pont. Enrubanner le silence avec un pont. Enrubanner la rivière avec un pont. Enrubanner la rivière du silence avec le pont de la parole. Enrubanner la rivière de la parole avec le pont du silence. Enrubanner la rivière de la parole avec le pont du silence à l’intérieur de l’éveil. Enrubanner la rivière du silence avec le pont de la parole à l’intérieur du sommeil. La lucidité enrubanne la rivière du silence avec le pont de la parole. Le sommeil enrubanne la rivière de la parole avec le pont du silence.

 

 

 

« Ne pas faire boiter un pont. »

 

Faire boiter le pont uniquement avec l’échelle. Faire boiter le pont uniquement avec l’hésitation de l’échelle. Faire boiter le pont uniquement avec l’hésitation d’étoiles de l’échelle.

 

 

 

Savoir comment faire boiter un pont avec son sourire. Savoir comment faire boiter un pont avec son ombre. Savoir comment faire boiter un pont avec le sourire de son ombre. Savoir comment faire boiter un pont avec le sourire de son oubli. Savoir comment faire boiter un pont avec le sourire d’oubli de son ombre, avec le sourire d’ombre de son oubli. 

 

 

 

« Pour traverser le fleuve mettre un pont à l’envers et le porter comme une barque sur son dos. »

 

Savoir comment porter un pont sur son dos. Seule la rivière sait comment porter un pont sur son dos. Seule la rivière sait comment porter à la fois un pont sur son ventre et sur son dos. Seule la rivière sait comment porter en même temps un pont sur son ventre sur son dos.

 

 

 

« La pierre que l’on jette fait un pont. »

 

Jeter la pierre afin de construire le pont du vide. Jeter la pierre afin de construire le pont du sourire. Jeter la pierre afin de construire le pont de sourire du vide. Jeter la pierre afin de construire le pont de l’ainsi. Jeter la pierre afin de construire le pont de l’ainsi ça. Jeter la pierre afin de construire le pont de sourire de l’ainsi ça. Jeter une suite de pierres. Jeter une suite de pierres afin de construire le pont de sourires de l’ainsi ça. Jeter la suite de pierres du désespoir. Jeter la suite de pierres du désespoir afin de construire le pont de sourires de l’ainsi ça. 

 

 

 

« Les pécheurs de fleuves ne pèchent que des ponts. »

 

 Les pécheurs de fleuves pèchent les ponts du vide. Les pêcheurs de fleuves pèchent les ponts de sourires du vide. Les pécheurs des hurlements de fleuves pêchent les ponts de sourires du vide. Les pêcheurs des sourires de fleuves pêchent les ponts de hurlements du vide.

 

 

 

Les pécheurs d’ombre des fleuves pèchent les ponts de clarté du vide. Les pécheurs de clarté des fleuves perchent les ponts d’ombre du vide. Les pécheurs d’ombre hurlée des fleuves pèchent les ponts de clarté souriante du vide. Les pécheurs d’ombre souriante des fleuves pèchent les ponts de clarté hurlée du vide. Les pécheurs de clarté hurlée des fleuves pèchent les ponts d’ombre souriante du vide. Les pécheurs de clarté souriante des fleuves pèchent les ponts d’ombre hurlée du vide.

 

 

 

 

 

« Dans chaque fenêtre ricane une fenêtre. »

 

A l’intérieur de chaque fenêtre sourit une fenêtre. A l‘intérieur de chaque fenêtre hurle une fenêtre. A l’intérieur de chaque fenêtre sourit le hurlement d’une fenêtre. A l’intérieur de chaque fenêtre hurle le sourire d’une fenêtre. A l’intérieur de chaque fenêtre sourit le hurlement d’ombre d’une fenêtre. A l’intérieur de chaque fenêtre hurle le sourire de clarté d’une fenêtre. A l’intérieur de chaque fenêtre sourit le hurlement de clarté d’une fenêtre. A l’intérieur de chaque fenêtre hurle le sourire d’ombre d’une fenêtre.

 

 

 

« Se souvenir des fenêtres qui lavent ceux qui les voient. »

 

 Les fenêtres lavent les souvenirs de ceux qui les voient. Les fenêtres lavent les souvenirs de ceux qui regardent le sourire de leur vitre. Les fenêtres lavent les souvenirs de ceux qui regardent uniquement le sourire de poussière de leur vitre.  

 

 

 

« En ouvrant la fenêtre le paysage se met à mendier le pain de nos yeux. »

 

 A l’instant d’ouvrir la fenêtre nos yeux mendient le pain du paysage. A l’instant d’ouvrir la fenêtre nos yeux mendient le vide du paysage. A l’instant d’ouvrir la fenêtre nos yeux mendient le pain de vide du paysage. A l’instant d’ouvrir la fenêtre nos yeux mendient  l’impact de vide du paysage. A l’instant d’ouvrir la fenêtre nos yeux mendient la fontaine du paysage. A l’instant d’ouvrir la fenêtre nos yeux mendient la fontaine de vide du paysage. A l’instant d’ouvrir la fenêtre nos yeux mendient la fontaine du jour, la fontaine de vide du jour. A l’instant d’ouvrir la fenêtre nos yeux mendient la fontaine du paysage du jour, la fontaine de vide du paysage du jour. 

 

 

« Regarder les fenêtres qui tombent des hommes. »

 

Regarder les fenêtres tomber. Regarder les fenêtres tomber à l’intérieur du feu. Regarder les fenêtres tomber à l’intérieur du sourire du feu. Regarder les fenêtres tomber à l’intérieur des orteils  du feu. Regarder les fenêtres tomber à l’intérieur des orteils de sourires du feu. Regarder les fenêtres tomber entre les aisselles du feu. Regarder les fenêtres tomber entre les aisselles d’orteils du feu. Regarder les fenêtres tomber entre les aisselles de sourires du feu. Regarder les fenêtres tomber entre les aisselles d’orteils souriants du feu, entre les aisselles d’orteils ultra-souriants du feu. 

 

 

 

« Aider les fenêtres à se jeter dans le vide pour que leur chute aide à rattraper leur propre infini. » 

 

Jeter les fenêtres à l’intérieur du vide. Aider les fenêtres à se jeter à l’intérieur du vide avec la main de son sourire. Prendre les fenêtres avec la main de son sourire afin d’inviter les fenêtres à se jeter à l’intérieur du vide. Aider les fenêtres à se jeter à l’intérieur du vide afin que leur chute parvienne à transir au vol leur finitude, afin que leur chute parvienne à transir au vol le sourire de leur finitude. Jeter les fenêtres à l’intérieur du vide avec la main de son ombre. Jeter les fenêtres à l’intérieur du vide avec la main de son ombre afin qu‘elles parviennent ainsi à transir au vol le sourire de leur finitude. 

 

 

 

« Porte une bouteille vide comme un piège de verre dans la rivière. »

 

« Entendre le cri de la rivière qui hennit quand tu la montes comme un cheval. »

 

Ouvrir une fenêtre à l’intérieur de la rivière. Incruster la fenêtre de la rivière. Incruster la fenêtre de la rivière à l’intérieur de son souffle. Chevaucher la fenêtre de la rivière. Chevaucher la fenêtre de la rivière de son souffle. Chevaucher la fenêtre de la rivière avec la foudre de son souffle. 

 

 

 

Chevaucher une rivière de fenêtres. Chevaucher la rivière de fenêtres du silence. Chevaucher la rivière de fenêtres du silence avec la foudre de souffle. Chevaucher la rivière de fenêtres du silence avec la foudre de souffle de l’extase. Chevaucher la rivière de fenêtres du silence avec  la foudre de souffle du destin.

 

 

 

 

 

« Tout poème est une maison dont on habite la destruction. »

 

Seul le feu sait comment demeurer à l’intérieur de la destruction. Seul le feu sait comment demeurer avec facilité à l’intérieur de la destruction. Seul le feu sait comment demeurer avec une extrême facilité à l’intérieur de la destruction.

 

 

 

« Nous rangeons nos ongles coupés dans du papier. Nous les jetons dans la fenêtre du feu.»

 

Jeter le sourire de son âme à l’intérieur de la fenêtre du feu. Jeter l’aura de son sourire à l’intérieur de la fenêtre du feu. Jeter le sourire de son aura à l’intérieur de la fenêtre du feu. Jeter le sourire d’ombre de son aura à l’intérieur de la fenêtre de sang du feu. Jeter le sourire d’ombre de son aura à l’intérieur de la fenêtre d’herbes du feu.

 

 

 

Seul le feu sait comment planter des drapeaux à l’intérieur du vide. Le feu plante des drapeaux de hurlements à l’intérieur du vide. Le feu plante des drapeaux de sourires à l’intérieur du vide. Le feu  plante des drapeaux de hurlements souriants comme de sourires hurlés à l’intérieur du vide.

 

 

 

« Se déshabiller de ses vêtements puis les rhabiller avec son corps. »

 

Le feu sait comment se déshabiller de sa nudité. Le feu sait comment se déshabiller de sa nudité afin ensuite de se rhabiller avec le vide. Le feu sait comment se déshabiller de sa nudité afin ensuite de se parer avec le vide, afin ensuite de se parer avec les hurlements du vide, afin ensuite de se parer avec les sourires du vide, afin ensuite de se parer avec les hurlements de sourires du vide.

 

 

 

 

« Imaginer un pont sans rivière, sans arche et sans pile, puis regarder ce pont se noyer au milieu de l’eau. »

 

Le volcan improvise des noyades de ponts. Le volcan improvise des noyades de pont à l’intérieur du feu. Le volcan improvise de gigantesques noyades de ponts à l’intérieur de la bouche du feu. Le volcan improvise de prodigieuses noyades de ponts. Le volcan improvise de prodigieuses noyades de ponts à l’intérieur du toboggan du feu, à l’intérieur de la bouche-toboggan du feu, à l’intérieur de la gigantesque bouche-toboggan du feu.

 

 

 

« La fumée danse debout sur le feu. »

 

La main de la fumée danse debout sur le crâne du feu. La main de funambule de la fumée danse debout à la surface du crâne du feu, à la surface du crâne de félicité du feu. La main de funambule de la fumée danse debout à la surface du crâne de félicité phosphorescente du feu. La main de funambule absolue de la fumée danse debout à la surface du crâne de félicité phosphorescente du feu.

 

 

 

« Donne à boire au feu. »

 

Donner à boire au feu à l’intérieur du crâne. Donner à boire à la félicité du feu. Donner à boire  à la félicité du feu à l’intérieur du crâne du sang. Donner à boire à la transe de félicité du feu à l’intérieur du crâne de respiration du sang. Donner à boire à la catastrophe de félicité du feu. Donner à boire à la catastrophe de félicité du feu à l’intérieur du crâne de respiration du sang.

 

 

 

« Inviter la pierre à boire. »

 

Inviter la pierre à boire à l’intérieur du crâne du feu. Inviter la pierre à boire à l’intérieur du crâne de respiration du feu. Inviter la pierre à boire à l’intérieur du crâne de facilité du feu. Inviter la pierre à boire à l’intérieur du crâne d’aisance du feu. Inviter la pierre à boire à l’intérieur de la catastrophe d’aisance du feu. Inviter le crâne à boire. Inviter le crâne à boire à l’intérieur de la catastrophe d’aisance du feu. 

 

 

 

 

« Les murs ruissellent de fenêtres. »

 

A l’intérieur du feu les murs ruissellent de fenêtres. A l’intérieur du feu les murs ruissellent de fenêtres de fumée. Seul le feu sait comment provoquer le ruissellement de fumée des murs. Seul le feu sait comment calligraphier des fenêtres. Seul le feu sait comment calligraphier des fenêtres par le ruissellement de fumée des murs.

 

 

 

« Une maison fait des enfants et rentre ses petits murs. »

 

A l’intérieur du feu, la maison fait des enfants au vide. Le feu apprend à la maison comment faire des enfants au vide. Le feu apprend à la maison comment faire des enfants à la crucifixion du vide. Le feu apprend à la maison comment faire des enfants à la crucifixion de sourires du vide. Le feu apprend à la maison comment faire des enfants à la crucifixion de clarté du vide. Le feu apprend à la maison comment faire des enfants à la démence du vide. Le feu apprend à la maison comment faire des enfants à la crucifixion de démence du vide. 

 

 

 

 

« Déroule un geste dans la tête de la fumée. »

 

La fumée enroule et déroule les gestes de fête de l’obscur. La fumée enroule et déroule les gestes de fête du noir. La fumée enrubanne et dérubanne les gestes de fête de l’obscur. La fumée enrubanne et dérubanne les gestes de fête du noir.

 

 

 

« Enfermer des fumées dans des boites et ne pas faire croire que c’est le feu. »

 

Enfermer des fumées à l’intérieur de boites à musique et de boites de bonbons, à l’intérieur de boites à musique de bonbons afin d’enraciner ainsi le cercueil du feu. Enfermer des fumées à l’intérieur de boites à musique de bonbons afin d’enraciner ainsi le cercueil d’enfance du feu, afin de poser ainsi le cercueil d’enfance du feu, afin  de trouver ainsi le cercueil d’enfance du feu.

 

 

 

« Les enfants sucent des allumettes. »

 

Boire les allumettes. Boire les allumettes comme des bonbons. Boire les allumettes comme les bonbons du feu. Boire les allumettes de l’illisible comme les bonbons du feu. Boire les allumettes du noli tangere. Boire les allumettes de noli tangere de l’illisible. Boire les allumettes de noli tangere de l’illisible comme les bonbons de somnolence du feu. Arquer les allumettes de l’illisible comme les bonbons du feu. Arquer les allumettes de l’ainsi ça. Arquer les allumettes d’ainsi ca de l’illisible. Arquer les allumettes d’ainsi ça de l’illisible comme les bonbons de somnolence du feu. Arquer les allumettes d’ainsi ça de l’illisible comme les bonbons de coma du feu. Boire les allumettes de certitude de l’illisible. Boire les allumettes de certitude de l’illisible comme les bonbons de coma du feu. Boire les allumettes d’ascèse de l’illisible. Boire les allumettes d’ascèse de l’illisible comme les bonbons de coma du feu.

 

 

 

 

 

« Cette maison habite l’homme qui l’habite. »

 

La maison sculpte l’homme qui y demeure. La maison sculpte l’incendie de la chair qui y demeure. La maison sculpte l’incendie de parole de celui qui y demeure. La maison sculpte le feu de la conversation de celui qui y demeure. La maison compose le feu de la conversation de celui qui y demeure. La maison architecture le feu de la conversation de celui qui y demeure. La maison sculpte le silence de celui qui y demeure. La maison sculpte le feu de silence de celui qui y demeure. La maison sculpte le feu de conversation de silence de celui qui y demeure.

 

 

 

« Une maison construite uniquement avec de l’eau. »

 

Construire une maison avec la rivière. Construire une maison avec les sourires de la rivière. Construire une maison avec les sourire d’ombre de la rivière. Construire une maison avec les sourires de certitude de la rivière. Construire une maison de certitude avec les sourires de la rivière. Construire une maison de certitude avec la métamorphose de la rivière, avec les sourires de métamorphose de la rivière. Construire une maison avec la monotonie de la rivière. Construire une maison avec les rêves de monotonie de la rivière. Construire une maison avec la lucidité de la rivière. Construire une maison avec les rêves de lucidité de la rivière. Construire une maison avec les rêves de monotonie lucide de la rivière. Construire une maison avec mes mains de la rivière. Construire une maison avec les de mains de monotonie de la rivière, avec les mains de lucidité de la rivière, avec les mains de monotonie lucide de la rivière.

 

 

 

« Ne meuble pas ta maison de murs. »

 

Meubler sa maison avec les sourires de ses murs. Meubler sa maison avec les sourires d’ombre de ses murs. Meubler sa maison avec les aboiements de ses murs. Meubler sa maison avec les aboiements de sourires de ses murs. Meubler sa maison avec les aboiements d’ombres de ses murs. Meubler sa maison avec les aboiements d’ombres souriantes de ses murs. Meubler sa maison avec le tourbillon de ses murs. Meubler sa maison avec les lèvres de ses murs. Meubler sa maison avec le tourbillon de lèvres de ses murs. Meubler sa maison avec le tourbillon de lèvres obscures de ses murs. Meubler sa maison avec le tourbillon de lèvres souriantes de ses murs, avec le tourbillon de lèvres obscures souriantes de ses murs.

 

 

 

Meubler sa maison avec le manège de ses murs. Meubler sa maison avec les oublis de ses murs. Meubler sa maison avec le manège d’oublis de ses murs. Meubler sa maison avec des amnésies de murs. Meubler sa maison avec le manège d’amnésies de ses murs.

 

 

 

Meubler sa maison avec des déflagrations de murs. Meubler sa maison avec des toupies de murs. Meubler sa maison avec des disparitions de murs. Meubler sa maison avec le manège de déflagrations des murs. Meubler sa maison avec le manège de disparitions des murs. Meubler sa maison avec des évanouissements de murs. Meubler sa maison avec le manège d’évanouissements des murs. Meubler sa maison avec des syncopes de murs. Meubler sa maison avec le manège de syncopes des murs.

 

 

 

« Pour une imprimerie faite avec des pommes de terre. »

 

Meubler sa maison avec des imprimeries de pommes de terre. Meubler sa maison avec des imprimeries de murs, avec les imprimeries de pommes de terre des murs. Meubler sa maison avec la nourriture des murs. Meubler sa maison avec l’imprimerie de nourriture des murs.  Meubler sa maison avec les déflagrations de nourriture des murs. Meubler sa maison avec le manège de nourriture des murs. Meubler sa maison avec les sourires des murs. Meubler sa maison avec les sourires de nourriture des murs. Meubler sa maison avec les hurlements des murs. Meubler sa maison avec les hurlements de nourriture des murs. Meubler sa maison avec les manèges de sourires des murs. Meubler sa maison avec les manèges de hurlements des murs.

 

 

 

Epanouir l’imprimerie des pommes de terre. Epanouir l’imprimerie de pommes de terre du hasard. Hasarder l’imprimerie des pommes de terre. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de l’épouvante. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de la terreur. Hasarder l’imprimerie du printemps. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre du printemps. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de l’été. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de l’automne. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de l’hiver. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de l’amnésie. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de l’amnésie entre les saisons. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de l’amnésie entre les yeux des saisons. Hasarder l’imprimerie de pommes de terre de l’amnésie entre les sourires des saisons, entre les sourires d’yeux des saisons. 

 

 

 

 

 

« Nous raturons la liberté comme des apprentis maladroits. »

 

« Quand nous marchons avec un escalier sur l’épaule on nous prend le jour pour des ramoneurs et la nuit pour des voleurs. »

 

Raturer la liberté. Raturer la liberté avec une maladresse virtuose. Savoir comment raturer la liberté avec une maladresse virtuose. Seul l’escalier sait comment raturer la liberté avec une maladresse virtuose. Raturer la liberté avec une approximation virtuose. Savoir comment raturer la liberté avec une approximation virtuose. Seul l’escalier sait comment raturer la liberté avec une approximation virtuose.

 

 

 

Porter un escalier sur l’épaule. Porter un escalier sur l’épaule comme une écharpe de pierres. Porter un escalier sur l’épaule comme une écharpe de pierres afin de parvenir à voler à chaque pas une architecture de cheveux. Porter un escalier sur l’épaule comme une écharpe de pierres afin de parvenir à voler à chaque pas l’architecture de cheveux de sa démarche.  

 

 

 

 

 

« La lune attend sa chaise bleue. »

 

La lune attend la chaise bleue du vide. La lune attend la chaise bleue de l’immédiat. La lune attend la chaise bleue du vide immédiat. La lune boit la chaise bleue du vide. La lune boit la chaise bleue de l’immédiat. La lune boit la chaise bleue du vide immédiat. La lune boit la roue bleue du vide. La lune boit la roue bleue de l’immédiat. La lune boit la roue bleue du vide immédiat. La lune boit le toboggan bleu du vide. La lune boit le toboggan bleu de l’immédiat. La lune boit le toboggan bleu du vide immédiat.

 

 

 

« Le voleur parti n’a oublié qu’une chose : la lune à la fenêtre. »

 

Voler la lune. Voler la lune avec la clef du vide. Voler la lune avec la clef de la fenêtre. Voler la lune avec la clef de vide de la fenêtre. Voler le crâne de la lune. Voler le crâne de sperme de la lune. Voler le crâne de sperme de la lune avec la clef de vide de la fenêtre. Voler le cul de la lune. Voler le cul de sperme de la lune. Voler le cul de sperme de la lune avec la clef de vide de la fenêtre.

 

 

 

« Prie devant une lune ivrogne et déshabille sa bouche. »

 

Déshabiller la bouche de la lune. Déshabiller la bouche d’ivrognerie de la lune. Déshabiller la bouche de chute de la lune. Déshabiller la bouche de silence de la lune. Déshabiller le crâne de sperme de la lune. Déshabiller le cul de sperme de la lune. Savoir comment déshabiller le crâne de sperme de la lune avec l’éclair de tonnerre de son silence. Savoir comment déshabiller le cul de sperme de la lune avec le crâne d’éclair de son silence. Savoir comment déshabiller le cul de sperme de la lune à l’éclair de coma de son silence. Savoir comment déshabiller le cul de sperme de la lune avec le crâne de coma de son silence.

 

 

 

 

 

« On écartèle des aboiements ; les routes se promènent sur les hommes. »

 

Le miracle écartèle des miaulements. Le miracle écartèle des miaulements de lune. Le miracle écartèle les miaulements de lune de l’ainsi. Le miracle écartèle les miaulements de lune de l’ainsi ça.

 

 

 

« La glace miaule, comme un chat, entre les doigts. »

 

Le gel miaule la lune. Le gel miaule les yeux de la lune. Le gel miaule les yeux de la lune entre les doigts. Le gel miaule les yeux d’éclairs de la lune. Le gel miaule les yeux d’éclairs de la lune entre les doigts. Le gel miaule les yeux de sourires de la lune. Le gel miaule les yeux de sourires de la lune entre les doigts.

 

 

 

 

 

« Les yeux sont des monnaies que l’on donne aux autres quand on ne veut pas se vendre. »

 

Les yeux distillent la petite monnaie de la pauvreté. Les yeux distillent la petite monnaie de la pauvreté offerte. Les yeux distillent la petite monnaie de la pauvreté offerte au dernier venu. Les yeux distillent la petite monnaie de l’imprévisible. Les yeux distillent la petite monnaie de la pauvreté imprévisible. Les yeux distillent la petite monnaie de la pauvreté offerte à l’imprévisible. Les yeux distillent la petite monnaie de la pauvreté offerte au dernier venu imprévisible.

 

 

 

« Un œil c’est toujours l’extrémité d’un vide qui se fait centre en regardant l’extrémité d’un autre vide. »

 

L’œil centre l’extrémité du vide. L’œil centre l’extrémité du vide comme flèche de la cible. L’œil centre l’extrémité du vide comme la flèche même de la cible. L’œil cerne le centre d’extrémité du vide. L’œil cerne le centre d’extrémité du vide comme flèche de la cible, comme flèche-fenêtre de la cible, comme flèche-fenêtre-cible.

 

 

 

« Viser une cible avec une autre cible. »

 

Viser un arc avec un arc. Viser une flèche avec une flèche. Savoir comment viser l’arc avec la flèche. Savoir comment viser le hurlement de l’arc avec le sourire de la flèche. Savoir comment viser la flèche avec l’arc. Savoir comment viser le hurlement de la flèche avec le sourire de l’arc.

 

 

 

 

 

« Les étoiles sont des yeux. Les étoiles se voient de nous nommer. »

 

Les étoiles hésitent comme les yeux du ciel. Les étoiles hésitent comme les yeux de tact du ciel. Les étoiles hésitent avec certitude. Les étoiles hésitent avec certitude comme les yeux de tact du ciel. Les étoiles hésitent avec une certitude lointaine. Les étoiles hésitent avec une certitude lointaine comme les yeux de tact du ciel.

 

 

 

« Les étoiles sont un peu de lumière qui traversent les trous d’un grand tamis de maçon… »

 

Les étoiles tamisent des diamants. Les étoiles tamisent des diamants afin de trouver de la poussière. Les étoiles tamisent des diamants afin de trouver de la disparition. Les étoiles tamisent les diamants de la présence afin de trouver la poussière de la disparition. Les étoiles tamisent les diamants de l’ainsi afin de trouver la poussière de la disparition. Les étoiles tamise les diamants de l’ainsi afin de trouver la poussière du vide. Les étoiles tamisent les diamants du vide afin de trouver la poussière de l’ainsi. 

 

 

 

 

« Boiteux des étoiles. »

 

Boiter comme l’étoile. Boiter comme le sourire de l’étoile. Boiter comme l’à bientôt de l’étoile. Boiter comme le sourire d’à bientôt de l’étoile.

 

 

 

« Les étoiles ne sont que le reste du repas des échelles. »

 

Apprendre à faire la courte-échelle aux étoiles. Apprendre à faire la courte échelle aux étoiles avec la coquetterie de ses cils. Apprendre à faire la courte-échelle aux étoiles avec l’éternuement de ses cils, avec l’éternuement de coquetterie de ses cils. Apprendre à faire la courte-échelle aux étoiles avec le tact de ses cils, avec l’éternuement de tact de ses cils, avec le tact de coquetterie de ses cils.

 

 

 

 

« Sois pauvre quand tu accuses l’étoile, et fou quand tu accuses le feu. »

 

 Le pauvre paie avec des étoiles. Le pauvre paie avec la petite monnaie des étoiles. Le pauvre paie avec la petite monnaie aléatoire des étoiles.

 

 

 

Les étoiles révèlent le luxe de la pauvreté. Les étoiles révèlent le luxe aléatoire de la pauvreté. Les étoiles révèlent le luxe extrême de la pauvreté. Les étoiles révèlent le luxe inouï de la pauvreté. Les étoiles révèlent le luxe aléatoire extrême inouï de la pauvreté. 

 

 

 

 

« (Comparer le mouvement du chien, et celui de l’étoile, avec les deux baves qui pendent de leur aboiement commun.)

 

(…)

 

« Le chien lèche le cul de l’étoile. »

 

(…)

 

(L’étoile et le chien mélangent leurs baves dans le baiser qu’ils donnent à l’os de la nuit.)

 

(…)

 

(L’étoile et le chien fondent une nouvelle constellation. Le chien brille et l’étoile aboie.)

 

 

 

L’étoile aboie des étincelles. L’étoile aboie des étincelles de courtoisie. L’étoile aboie un tact d’étincelles. L’étoile aboie le tact d’étincelles de la courtoisie. L’étoile aboie le tact d’étincelles de l’ainsi.

 

 

 

L’étoile aboie le cimetière du ciel. L’étoile aboie le cimetière de cils du ciel. L’étoile aboie le cimetière de cils de l’ainsi. L’étoile aboie le cimetière du tact. L’étoile aboie le cimetière de tact du ciel. L’étoile aboie le cimetière de tact de l’ainsi.

 

 

 

 « Chaque fruit a une graine qu’il jette comme un dé absolu. »

 

Les étoiles aboient les dés du ciel. Les étoiles aboient les dés de tact du ciel. Les étoiles aboient les dés de l’ainsi. Les étoiles aboient les dés de tact de l’ainsi.

 

 

 

 

 

« Ajoute une oreille à ton pied, un œil à ta main et un pied à ton œil. »

 

Ajouter une oreille de rire à son pied, un œil de mousse à sa main et un pied de parfum à son œil. Ajouter une oreille de rire écarlate à son pied, un œil de mousse musicale à sa main et un pied de parfum farouche à son œil. Ajouter une oreille de coquelicot à son pied, un œil de lichen à sa main et un pied de lapsus à son œil.

 

 

 

« Pas de contradiction quand tu marches. »

 

Seule la démarche sait comment amalgamer les contradictions de la chair. Seule la démarche sait comment amalgamer les contradictions de la chair à l’espace. La démarche amalgame les contradictions de la chair à la déhiscence de l’espace. La démarche amalgame les contradictions de la chair au sourire de l’espace, à la déhiscence de sourire de l’espace.

 

 

 

« En marchant, tu fais le chemin. »

 

Composer la mosaïque du chemin. Composer la mosaïque du chemin avec sa démarche. Composer la mosaïque de sourires du chemin avec les hurlements de sa démarche. Composer la mosaïque de hurlements du chemin avec le sourire de sa démarche. 

 

 

 

 

« Nous lavons les miroirs dans les flaques d’eau. »

 

Les flaques d’eau sur les trottoirs sont les nénuphars de l’asphalte. Les flaques d’eau sur les trottoirs attendent comme les nénuphars de l’asphalte.

 

 

 

« Un ébéniste sculpte l’eau de la fontaine puis retourne la peau de la route comme lapin. »

 

Retourner la peau de la route comme le lapin du palindrome. Retourner la peau de la route  comme le lapin d’asphalte du palindrome. Retourner la peau de la route comme le lapin du lapsus. Retourner la peau d’asphalte de la route. Retourner la peau d’asphalte de la route comme le lapin de lapsus du palindrome.

 

 

 

 

 

« Mathématiques du bégaiement de l’hymne vaste. »

 

Bégayer l’hiver. Bégayer les mathématiques de l’hiver. Bégayer la vitre de l’hiver. Bégayer les vitres de l’hiver avec son sourire. Bégayer les vitres de l’hiver avec les yeux de son sourire. Bégayer les vitres de l’hiver avec les mathématiques de son sourire. Bégayer les vitres de l’hiver avec les yeux de mathématiques de son sourire. Bégayer les vitres d’ascèse de l’hiver. Bégayer les vitres d’ascèse de l’hiver avec les yeux de mathématiques de son sourire. Bégayer les vitres d’ascèse de l’hiver avec les yeux d’éclairs de son sourire. Bégayer les vitres d’ascèse de l’hiver avec la démarche d’yeux de son sourire.

 

 

 

« Nous marchons sur les vitres de l’hiver avec une tasse de thé à la main. »

 

Marcher sur les vitres de l’hiver. Marcher sur les vitres de ravissement de l’hiver. Marcher sur les vitres de ravissement de l’hiver avec les yeux de ses mains. Marcher sur les vitres de ravissement de l’hiver avec les sourires de ses mains, avec les sourires d’yeux de ses mains.

 

 

 

Marcher sur les vitres de ravissement de l’hiver avec une hache. Marcher sur les vitres de ravissement de l’hiver avec la hache de son sourire. Marcher sur les vitres de ravissement de l’hiver avec la hache de son silence, avec la hache de sourire de son silence. Marcher sur les vitres de ravissement de l’hiver avec la hache de silence de son sourire.

 

 

 

 

 

« Faire un pied de sa tête et danser nu. »

 

Transformer sa tête en pied du ciel. Transformer sa tête en pied du ciel afin de danser au sommet du vide. Transformer sa tête en pied de certitude du ciel. Transformer sa tête en pied de certitude du ciel afin de danser au sommet du sommeil du vide. Transformer sa tête en pied de certitude du ciel afin de danser au sommet du sourire du vide. Transformer sa tête en pied de certitude du ciel afin de danser au sommet de l’ombre du vide, afin de danser au sommet du sourire d’ombre du vide.

 

 

 

« Caresser les gouffres. »

 

Le crâne caresse le gouffre. Seul le crâne sait comment caresser le gouffre. La solitude du crâne caresse le regard du gouffre. L’éclair de solitude du crâne caresse le regard d’aveuglement du gouffre. Le silence du crâne caresse le regard du gouffre. Le silence de solitude du crâne caresse le regard d’aveuglement du gouffre. Le chant de solitude du crâne caresse le regard d’aveuglement du gouffre. La solitude du crâne caresse la roue du gouffre.  L’éclair de solitude du crâne caresse la roue d’aveuglement du gouffre.

 

 

 

Caresser le gouffre avec le crâne. Caresser le gouffre avec la parabole du crâne. Caresser le gouffre avec l’herbe du crâne. Caresser le gouffre avec l‘enthousiasme du crâne. Caresser le gouffre avec la parabole d’herbes du crâne. Caresser le gouffre avec la parabole d’enthousiasme du crâne. Caresser le gouffre avec les herbes d’enthousiasme du crâne. Caresser le gouffre avec la parabole d’herbes enthousiastes du crâne.

 

 

 

« L’absolu est un petit oiseau, qui meurt dans la poussière.  »

 

Seul le crâne sait comment pétrir la poussière du sommeil. Seul le crâne sait comment pétrir la poussière de l’absolu. Seul le crâne sait comment pétrir la poussière de sommeil de l’absolu. Seul le crâne sait comment pétrir la poussière de certitude du sommeil, la poussière de certitude du sommeil absolu. Seul le crâne sait comment pétrir la poussière de l’extase. Seul le crâne sait comment pétrir la poussière d’extase du sommeil, la poussière d’extase du sommeil absolu. Seul le crâne sait comment forger la poussière. Seul le crâne sait comment forger la poussière du sommeil, la poussière de l’absolu, la poussière de sommeil de l’absolu. Seul le crâne sait comment forger la poussière de certitude du sommeil, la poussière de certitude du sommeil absolu, la poussière d’extase du sommeil, la poussière d’extase du sommeil absolu, la poussière de certitude extatique du sommeil, la poussière de certitude extatique du sommeil absolu. Le crâne calligraphie la poussière du sommeil. Le crâne calligraphie la poussière de l’absolu, la poussière de sommeil de l’absolu. Le crâne calligraphie la poussière de certitude du sommeil absolu, la poussière d’extase du sommeil absolu, la poussière de certitude extatique du sommeil absolu.

 

 

 

 

 

« Entendre le cri de la rivière qui hennit quand tu la montes comme un cheval. »

 

Le crâne chevauche la rivière. Le sourire du crâne chevauche le hurlement de la rivière. Seul le sourire du crâne sait comment chevaucher le hurlement de la rivière. Seul le sourire d’ascèse du crâne sait comment chevaucher le hurlement de menthe de la rivière.

 

 

 

« Les cheveux du monde pendent au-dessus de nos têtes sur le manège des morts. »

 

Le manège des méninges joue au bilboquet avec le crâne. Le manège des méninges joue au bilboquet de brouillard avec le crâne. Le manège des méninges joue à un mikado de brouillard avec le crâne. Le manège du cerveau joue à un bilboquet de brouillard avec le crâne. Le manège de méninges du cerveau joue au bilboquet de brouillard avec le crâne.

 

 

 

Le crâne joue au mikado avec le manège du brouillard. Le crâne joue au mikado avec le manège de la neige. L’éclair du crâne joue au mikado avec le manège de la neige. L’éclair de sang du crâne joue au mikado avec le manège de silence de la neige. L’éclair de certitude du crâne joue au mikado avec le manège de silence de la neige.

 

 

 

 

 

« On porte de sacs de source vers le four. »

 

Porter le sac de sources du crâne. Porter le sac de sources du crâne au sommet du vide. Porter le sac de sources du crâne au sommet du sommeil du vide. Porter le sac de sources du silence. Porter le sac de sources du silence au sommet du sommet de sommeil du vide. Porter le sac de source du silence au sommet du feu. Porter le sac de sources du silence au sommet du sommeil du feu. Porter le sac de sources du silence au sommet de vide du feu.

 

 

 

« Il faut transporter des sacs de miracles. »

 

Transporter le sac de miracles du crâne. Transporter le sac de miracles du crâne au sommet du vide. Transporter le sac de miracles du crâne au sommet du sommeil du vide. Projeter le sac de miracles du crâne. Projeter le sac de miracles du crâne au sommet du sommeil du vide.  Ebrouer le sac de miracles du crâne. Ebrouer le sac de miracles du crâne au sommet du sommeil du vide. Projeter la roue de miracles du crâne. Projeter la roue de miracles du crâne au sommet du sommeil du vide. Projeter l’arc de miracles du crâne. Projeter l’arc de miracles du crâne au sommet du sommeil du vide. Projeter la caméra de miracles du crâne au sommet du sommeil du vide. Incruster le météore de miracle du crâne. Incruster le météore de miracle du crâne au sommet du sommeil du vide. Projeter le silence de miracle du crâne. Projeter le silence de miracle du crâne au sommet du sommeil du vide.

 

 

 

 

 

« Comme un ballon de verre que l’on explose en titubant avec des cailloux. »

 

Le crâne titube. Le crâne titube avec une extrême sobriété. Le crâne titube avec une extrême sobriété comme le ballon de verre de l’ascèse. Le crâne titube avec une extrême sobriété comme le ballon de verre de l’explosion, comme le ballon de verre de l’ascèse explosive.

 

 

 

Le crâne titube inexorable. Le crâne titube avec une ascèse inexorable. Le crâne titube avec une ascèse inexorable comme le ballon de verre de l’explosion. Le crâne titube avec une ascèse inexorable comme le ballon de verre de l’intact, comme le ballon de verre de l’explosion intacte.

 

 

 

 

 

« Quand nous quittons la fête nous partons avec un ballon qu’on ne voit pas qui nous remplace la tête. »  

 

 

 

Le ballon lobe la tête. Le ballon lobe le vide de la tête. Le ballon lobe la fête de la tête. Le ballon lobe la fête de vide de la tête. Le ballon lobe la décapitation. Le ballon lobe le vide de la décapitation. Le ballon lobe la fête de vide de la décapitation.

 

 

 

Le ballon lobe la main de la décapitation. Le ballon lobe la main de vide de la décapitation. Le ballon lobe l’oubli. Le ballon lobe le vide de l’oubli. Le ballon lobe le vide d’oubli de la décapitation. Le ballon lobe la blessure du vide. Le ballon lobe la blessure de hasard du vide. Le ballon apparait comme la planète de la décapitation. Le ballon apparait comme la planète de vide de la décapitation. Le ballon lobe la planète de vide de la décapitation. Le ballon apparait comme la planète de sourires de la décapitation. Le ballon lobe la planète de sourires de la décapitation.

 

 

 

« Si on jette un ballon dans un torrent il rebondit sans cesse jusqu’à une fin qu’on ne voit pas. » « Puis jeter tout le torrent dans le ballon et le regarder grossir dans l’infini du ballon. »

 

Le ballon englobe le torrent. Le ballon englobe le flux du torrent. Le ballon englobe les rebonds du torrent. Le ballon englobe le flux de rebonds du torrent. Le ballon englobe l’éblouissement du torrent. Le ballon englobe le flux d’éblouissement du torrent, les rebonds d’éblouissement du torrent, le flux de rebonds éblouis du torrent. Le ballon englobe l’obscurité du torrent. Le ballon englobe le flux d’obscurité du torrent, les rebonds d’obscurité du torrent, le flux de rebonds obscurs du torrent. Le ballon englobe l’obscurité éblouie du torrent, le flux d’obscurité éblouie du torrent, les rebonds d’obscurité éblouie du torrent, le flux de rebonds obscurs éblouis du torrent.

 

 

 

« Il ne faut jamais applaudir (…) ceux qui jouent mais seulement le ballon qui est le seul joueur qui existe dans un stade. »  

 

Le ballon n’est pas un joueur. Le ballon apparait comme le jeu. Le ballon apparait comme l’incarnation du jeu. Le ballon apparait comme la peau du jeu. Le ballon apparait comme le globe de peau du jeu. Le ballon apparait comme la planète de peau du jeu.

 

 

 

 

 

« Une chevelure attache patiemment les objets. »

 

Attacher son ombre avec ses cheveux. L’épouvante attache à chaque instant son ombre avec ses cheveux.

 

 

 

« Durant la nuit les cheveux sont des fils qui cousent notre tête. »

 

Les cheveux cousent des ailes sur notre tête. Les cheveux cousent des ailes d’ombres sur notre tête. Les cheveux cousent des ailes de sourires sur notre tête, des ailes ombres souriantes sur notre tête.

 

 

 

« Accroche des ailes à tout ce que tu prends. »

 

Incruster des ailes à chaque chose perdue. Incruster des ailes d’ombre à chaque chose perdue. Incruster des ailes de hasard à chaque chose perdue. Incruster des ailes d’ainsi à chaque chose perdue. Incruster des ailes de sourires à chaque chose perdue. Incruster des ailes d’au revoir à chaque chose perdue.

 

 

 

 

 

« Peigner la tête des fleurs. »

 

Peigner la tête des fleurs avec son souffle. Peigner la tête des fleurs avec le sifflet de son souffle. Peigner la tête des fleurs avec le silicium de son souffle. Peigner la tête des fleurs avec le sifflet de silicium de son souffle. Peigner la tête de fleurs avec le yoyo de son souffle, avec le yoyo de silicium de son souffle. Peigner la tête de fleurs avec le poignard de son souffle, avec le poignard de silicium de son souffle. Peigner la tête de félicité des fleurs. Peigner la tête de félicité de fleurs avec le poignard de silicium de son souffle.

 

 

 

« Les enfants sont toujours des coiffeurs à l’envers quand ils se consacrent à la métaphysique. »

 

Les métaphysiciens peignent les chapeaux. Les métaphysiciens peignent la calvitie des chapeaux. Les métaphysiciens peignent la vérité des chapeaux. Les métaphysiciens peignent la calvitie de vérité des chapeaux.

 

 

 

« Dans ce pays, on porte sa chaise sur la tête quand on va entendre de la poésie. »

 

Celui qui marche un chapeau à la main ressemble à celui qui porte une tête posée sur une chaise. Celui qui marche un chapeau à la main cherche à rencontrer celui qui marche une tête posée sur une chaise.

 

 

 

« Parfois nous sommes debout sur nos cheveux. »

 

Le pendu essaie de tenir debout sur les cheveux du vide. Le pendu essaie de tenir debout sur les cheveux de hurlement du vide. Le pendu essaie de tenir debout sur les hurlements de cheveux du vide. Le pendu essaie de tenir debout attaché aux cheveux du vide, attaché par les cheveux de hurlement du vide, attaché par les hurlements de cheveux du vide.

 

 

 

Le pendu exclame le rire du rituel. Le pendu exclame le rire taciturne du rituel. Le sexe du pendu exclame le rire taciturne du rituel. Le sexe-clef du pendu exclame le rire taciturne du rituel.

 

 

 

« Les pendus ont un chemin autour du cou. »

 

Le pendu improvise un collier de cous. Le pendu improvise le collier de cous du vide. Le pendu improvise le collier de cous du zéro. Le pendu compose un collier de cous. Le pendu compose le collier de cous du vide. Le pendu compose le collier de cous du zéro. Le pendu ausculte un collier de cous. Le pendu ausculte le collier de cous du vide. Le pendu ausculte le collier de cous du zéro.

 

 

 

« Tirer une tête par un seul cheveu reste la définition de tout poème. »

 

Extraire plusieurs têtes d’un seul et unique cheveu. Extraire d’innombrables têtes d’une seule et unique phrase. Extraire une suite de têtes d’un seul et unique sourire. Extraire une suite de têtes innombrables d’un seul et unique sourire. Extraire une suite de têtes innombrables d’un seul et unique hurlement de sourire. Extraire une suite de têtes innombrables du hurlement de sourire de la solitude. Extraire une suite de têtes innombrables d’un seul et unique ballon. Extraire une suite de têtes innombrables du ballon de la solitude. Extraire une suite de têtes innombrables du hurlement de sourires d’un ballon, du hurlement de sourires du ballon de la solitude.

 

 

 

 

 

« Soif d’une carte attachée par les cheveux. »

 

Esquisser la carte de géographie de la soif. Esquisser la carte de géographie de la soif avec ses cils. Esquisser la carte de géographie de la soif avec son squelette. Esquisser la carte de géographie de la soif avec les cils de son squelette.

 

 

 

« L’os ouvert d’un avion. »

 

L’avion ouvre l’os du vide. L’avion écartèle l’os du vide. L’avion écartèle l’ossature du vide. L’avion ouvre le squelette du vide. L’avion ouvre le squelette de sourires du vide. L’avion écartèle le squelette de sourires du vide. L’avion ouvre l’ainsi du vide. L’avion ouvre le squelette d’ainsi du vide. L’avion écartèle le squelette d’ainsi du vide.

 

 

 

 

 

« Seul le vin est sobre, seul le vin est saoul. »

 

Saouler le vin avec le verre d’eau. Saouler le vin avec le sourire du verre d’eau. Saouler la sobriété du vin. Saouler la sobriété du vin avec le sourire du verre d’eau. Saouler la statue du vin. Saouler la statue du vin avec le sourire du verre d’eau. Saouler la statue de vitesse du vin. Saouler la statue de vitesse du vin avec le sourire d’ascèse du verre d’eau. Saouler la statue de vitesse du vin avec le sourire de sobriété du verre d’eau. Saouler la statue de vitesse du vin avec le sourire de hurlement du verre d’eau.

 

 

 

« Donner à boire du lait et du vin aux marches des maisons. »

 

Donner à boire de l’alcool aux escaliers. Donner à boire des verres d’alcool aux mains de l’escalier. Donner à boire des sourires d’alcool aux mains de l’escalier. Donner à boire les verres d’alcool de l’évidence aux mains d’amnésie de l’escalier. Donner à boire les verres d’alcool de l’évidence aux mains de l’imminence. Donner à boire les verres d’alcool de l’au revoir aux mains d’imminence de l’escalier. Donner à boire les verres d’alcool  de l’au revoir aux mains d’amnésie de l’escalier.

 

 

 

 

 

« Ne nomme pas ta main et attend qu’elle te nomme. »

 

Savoir comment prénommer sa main. Savoir comment prénommer sa main avec son silence. Savoir comment prénommer la parole de sa main. Savoir comment prénommer la parole de sa main avec la bouche de son silence. Savoir comment prénommer la parole de féerie de sa main. Savoir comment prénommer la parole de féerie de sa main  avec la bouche de chute de son silence.

 

 

 

« L’intérieur de la main est une carte de géographie qui inachève les directions. »

 

A l’intérieur de la main apparait incrustée la carte de géographie de l’utopie. A l’intérieur de la main apparait incrustée la géographie de poussière de l’utopie.

 

 

 

« La poésie est une voleuse de mains pour les travaux qu’elle fait de l’autre côté d’elle-même. »

 

Le travail de l’oisiveté affirme le jeu de voler des mains. Le travail de l’insouciance affirme le jeu de voler des mains. Le travail de l’oisiveté affirme le jeu de voler des mains à la poussière du soleil. Le travail de l’oisiveté affirme le jeu de voler des mains aux pulsations de la poussière. Le travail de l’oisiveté affirme le jeu de voler des mains aux pulsations de poussière du soleil.

 

 

 

« Les doigts sont des allumettes mouillées. »

 

Les doigts attendent comme les allumettes mouillées de la monotonie. Les doigts attendent comme les allumettes mouillées de l’imminence. Les doigts attendent comme les allumettes mouillées de l’imminence de la monotonie.

 

 

 

 

 

« Qui dispose d’un marteau voit partout des clous. »

 

Savoir marteler avec le clou de l’éclair. Ecrire comme savoir marteler avec le clou de l’éclair. Savoir marteler avec le clou de facilité de l’éclair. Savoir marteler avec le clou d’extrême facilité de l’éclair. Ecrire comme savoir marteler avec le clou d’extrême facilité de l’éclair.

 

 

 

« Les statues sculptent les marteaux. »

 

Les statues sculptent les marteaux du sommeil. Les statues sculptent les marteaux de monotonie du sommeil. Le sourire des statues sculpte les marteaux du sommeil. Le sourire de tonnerre des statues sculpte les marteaux de monotonie du sommeil.

 

 

 

« Faire fumer les statues. »

 

Savoir comment fumer les statues. Savoir comment fumer la statue de son sourire. Savoir comment fumer la statue de son hurlement. Savoir comment fumer la statue de hurlement de son sourire. Fumer la statue de hurlement de son sourire comme la cigarette de son ombre. Fumer la statue de hurlement de son sourire comment la cigarette de certitude de son ombre.

 

 

 

Savoir comment marteler la fumée. Savoir comment marteler les statues de la fumée. Savoir comment exciter les statues de la fumée. Savoir comment exciter les statues de la fumée avec la voix. Savoir comment caresser les statues de la fumée. Savoir comment caresser les statues  de la fumée avec la voix. Savoir comment caresser les statues de la fumée avec le sommeil de la voix. Savoir comment caresser les statues de certitude de la fumée avec le sommeil de silence de la voix. 

 

 

 

Savoir comment caresser les statues de fumée de l’ascèse. Savoir comment caresser les statues de fumée de l’ascèse avec le sommeil d’aisance de la voix. Savoir comment caresser les statues de fumée de l’ascèse avec le sommeil de facilité de la voix. Savoir comment caresser les statues de fumée de l’ascèse avec le sommeil de facilité du sang. Savoir comment exciter les statues de fumée de l’ascèse. Savoir comment exciter les statues de fumée de l’ascèse avec le sommeil de facilité du sang. Savoir comment calligraphier les statues de fumée de l’ascèse. Savoir comment calligraphie les statues de fumée de l’ascèse avec le sommeil de facilité du sang.

 

 

 

« Verser un sac de labyrinthe devant la statue d’un seul cadavre. »

 

Transformer les statues en sacs de labyrinthes. Transformer les statues en sacs de labyrinthe de l’ainsi. Transformer les statues en sacs de labyrinthes de ça. Transformer les statues en sacs de labyrinthe de l’ainsi ça. 

 

 

 

 

 

« Se regarder dans les parfums. »

 

Se regarder à l’intérieur de la pandiculation d’un parfum. Se regarder à l’intérieur de la pandiculation de démence d’un parfum. Se regarder à l’intérieur de la pandiculation de parfum du futur. S’admirer à l’intérieur de la pandiculation de son odeur. S’admirer à l’intérieur de la pandiculation de démence de son odeur. S’admirer à l’intérieur de l’hypothèse de démence de son odeur. S’admirer à l’intérieur de la pandiculation d’odeur du futur. S’admirer à l’intérieur de l’hypothèse d’odeur du futur. S’admirer à l’intérieur de l’hypothèse de parfum du futur.

 

 

 

Formuler des graffitis de parfum. Formuler des graffitis mystiques de parfum. Formuler des graffitis mystiques de parfum avec le hurlement de son ombre. Formuler des graffitis mystiques de parfum avec le sourire de son ombre, avec le hurlement de sourire de son ombre.

 

 

 

« L’horizon roule une cigarette de tabac gris ; la rose qui fait semblant d’exister nous apprend la géographie des parfums. »

 

Fumer la cigarette de l’horizon afin d’apprendre la géographie des parfums. Fumer la cigarette de regards de l’horizon. Fumer la cigarette de regards de l’horizon afin d’apprendre la géographie de parfums de l’utopie.

 

 

 

 

 

« Toute écoute est une chair qui parle. »

 

L’écoute apparait comme une parole. L’écoute apparait comme une parole perdue. L’écoute apparait comme une parole perdue avec exactitude.

 

 

 

« L’oreille parle de ce qui est absent. »

 

L’oreille parle de ce qui disparait. L’oreille parle de ce qui disparait en dehors même de l’absence.

 

 

 

« Les oreilles sont des lèvres arrachées à la bouche d’un mort. »

 

Les oreilles sont des lèvres arrachées à la bouche du vide. Les oreilles sont des lèvres arrachées à la bouche du zéro. Les oreilles révèlent la bouche du zéro. Les oreilles révèlent la bouche d’eau du zéro. Les oreilles révèlent le yoyo du zéro. Les oreilles révèlent la bouche-yoyo du zéro. Les oreilles révèlent le sourire du zéro. Les oreilles révèlent le sourire de yoyo du zéro.

 

 

 

« L’intérieur de l’oreille a la forme du dessin d’un fœtus. »

 

La cire de l’oreille dessine le fœtus du feu. La cire de l’oreille sculpte le fœtus du feu. La cire de l’oreille incruste le fœtus du feu. La cire de l’oreille imprime le fœtus du feu. La cire de l’oreille imprime le fœtus de miel du feu.

 

 

 

 

 

« Tout mot est une bouche extrême. »

 

Chaque mot survient comme une bouche aléatoire. Chaque mot survient comme une bouche de hasard. Chaque mot survient comme une bouche in extremis. Chaque mot survient comme  une bouche de hasard in extremis.

 

 

 

« Un baiser invente toujours sa bouche. »

 

Le baiser invente l’à bientôt de la bouche. Le baiser invente la joue d’à bientôt de la bouche. Le baiser invente le toujours de la bouche. Le baiser invente la joue de toujours de la bouche. Le baiser invente l’à bientôt de toujours de la bouche. Le baiser invente la joie de la bouche. Le baiser invente l’étonnement de la bouche. Le baiser invente la joie d’étonnement de la bouche. Le baiser invente l’étonnement d’à bientôt de la bouche. Le baiser invente l’étonnement de toujours de la bouche. Le baiser invente la joie à bientôt toujours de la bouche. Le baiser invente l’étonnement d’à bientôt toujours de la bouche.

 

 

 

« Les choses veulent des baisers pour inventer les bouches qui les disent. »

 

Embrasser les choses. Embrasser les choses avec le crâne. Embrasser les choses avec la bouche du crâne. Embrasser les choses avec la chute du crâne. Embrasser les choses avec la bouche de chute du crâne. Embrasser les choses avec la bouche d’extase du crâne. Embrasser les choses avec la chute d’extase du crâne. Embrasser les choses avec la bouche de chute extatique du crâne.  Embrasser les choses avec la bouche d’illisibilité du crâne. Embrasser les choses avec la bouche de chute illisible du crâne. Embrasser les choses avec la bouche d’extase illisible du crâne. Embrasser les choses avec la bouche d’extase illisible du crâne. Embrasser les choses avec la bouche de chute extatique du crâne, avec la bouche de chute extatique illisible du crâne. 

 

 

 

 

« Parler c’est inachever la moisson d’une bouche en lui laissant ses baisers. »

 

Parler inachève la moisson de la bouche. Parler inachève la moisson des baisers. Parler inachève la moisson de silence des baisers. Parler inachève la moisson de draps des baisers. Parler inachève la moisson de verre de baisers. Parler inachève la moisson de draps hyalins des baisers. Parler inachève la moisson de miracles des baisers. Parle inachève la moisson de miracles hyalins des baisers. Parler inachève la moisson de bonjours des baisers. Parler inachève la moisson de bonjours hyalins des baisers. Parler inachève la moisson de bonjours ambidextres de baisers. Parler inachève la moisson de bonjours ambidextres hyalins des baisers. Parler inachève la moisson de bonjours miraculeux des baisers, la moisson de bonjours miraculeux ambidextres hyalins des baisers.

 

                                          

 

 

 

« Pour un drapeau de voix. »

 

La langue incruste le drapeau de la voix. La langue pétrit le drapeau de la voix. La langue incruste le drapeau de sang de la voix. La langue pétrit le drapeau de sang de la voix. La langue ourle le drapeau de la voix. La langue ourle le drapeau de sang de la voix. La langue  pétrit le drapeau de muqueuses de la voix. La langue incruste le drapeau de muqueuses de la voix. La langue ourle le drapeau de muqueuses de la voix. La langue pourlèche la voix. La langue pourlèche le drapeau de la voix. La langue pourlèche le drapeau de sang de la voix. La langue pourlèche le drapeau de verre de la voix. La langue pourlèche le drapeau de sang hyalin de la voix.

 

 

 

« Travailler une langue c’est aussi l’appauvrir. »

 

Travailler le luxe de pauvreté de la parole. Savoir comment travailler le luxe de pauvreté de la parole. Ecrire comme travailler le luxe de pauvreté de la parole.

 

 

 

« Fabrique des paroles en forme de sphères puis joue au football sans cage ni gardien. »

 

Projeter les paroles comme des ballons. Projeter les paroles comme les ballons du feu. Projeter les paroles comme les ballons du silence. Projeter les paroles comme les ballons de feu du silence. Projeter les paroles de feu du désespoir. Projeter les paroles comme les ballons de feu de l’aisance. Projeter les paroles comme les ballons de feu du désespoir aisé.

 

 

 

 

 

« Inverse l’œil du cyclope et fait l’archer. »

 

Toucher le silence avec l’arc du crâne. Toucher le silence avec l’arc cyclopéen du crâne. Toucher le hurlement de sourire du silence. Toucher le hurlement de sourire du silence avec  l’arc cyclopéen du crâne.

 

 

 

« Le silence a les orchestres qu’il peut. »

 

Le silence a autant d’orchestres qu’il veut. Le silence a de multiples orchestres à son arc. Le silence à d’innombrables orchestres à son arc. Le silence à d’innombrables orchestres à son arc de sang.

 

 

 

« Les mots sont remplis de dieux hors d’usage. »

 

Le silence apparait saturé d’usages de tabous. Le silence apparait comme geste d’usage du tabou. Le silence déclare le tabou de la certitude. Le silence déclare l’usage de tabou de la certitude. Le silence projette le tabou de la certitude. Le silence projette l’usage de tabou de la certitude.

 

 

 

« Toute parole est une pierre que l’on monte au sommet de la montagne afin qu’elle devienne la main qui l‘a montée. »

 

Le silence transforme la main en pierre. La parole transforme la pierre en main. Le silence transforme la main de l’obscur en pierre de la clarté. La parole transforme la pierre de l’obscur en main de la clarté.

 

 

 

« Le silence assis sur une chaise se met à parler aux murs. »

 

Savoir comment asseoir le silence sur la chaise du vide. Savoir comment asseoir le silence sur la chaise du vide afin de parler aux murs. Savoir comment asseoir le silence sur la chaise du vide afin de parler aux sourires des murs. Savoir comment asseoir le silence sur la chaise du vide afin de parler aux hurlements des murs. Savoir comment asseoir le silence sur la chaise de certitude du vide afin de parler aux sourires de hurlements des murs comme aux hurlements de sourires des murs.

 

 

 

 

 

« Toute phrase tend à aller plus loin que les mots qu’elle contient. »

 

Chaque phrase dort à la fois plus vite et plus lentement que les mots qui la composent. Les mots surviennent seulement comme les hasards rythmiques du sommeil de la phrase.

 

 

 

« Tout poème fonde une civilisation qui fouille celui qui la cherche. »

 

Ecrire comme esquisser une civilisation à chaque phrase. Ecrire comme esquisser à chaque phrase une civilisation au sommet du vide. Ecrire comme esquisser à chaque phrase une civilisation au sommet du sommeil du vide. 

 

 

 

Affirmer chaque phrase comme une civilisation de l’instant. Affirmer chaque phrase comme civilisation de la poussière. Affirmer chaque phrase comme civilisation de poussière de l’instant. Arquer chaque phrase comme civilisation de poussière de l’instant. Projeter chaque phrase comme civilisation de poussière de l’instant. Calligraphier chaque phrase comme civilisation de poussière de l’instant.

 

 

 

 

 

« Le calligraphe au repos contemple le papier, l’encrier et le bambou. »

 

Le calligraphe contemple le sourire du papier. Le calligraphe au repos contemple le sourire de paralysie du papier. Le calligraphe au repos contemple le sourire de vide du papier. Le calligraphe au repos contemple le vide de paralysie du papier. Le calligraphe au repos contemple le sourire de vide paralysé du papier.

 

 

 

« On n’apprend à écrire qu’en hiver. »

 

Ce qui provoque l’apparition de l’écriture c’est le blanc. Ce qui provoque l’apparition de l’écriture c’est le blanc de l’hiver. Ce qui provoque l’apparition de l’écriture c’est l’exaltation du blanc. Ce qui provoque l’apparition de l’écriture c’est la certitude du blanc, l’exaltation de certitude du blanc. Ce qui provoque l’apparition de l’écriture c’est l’exubérance du blanc, l’exubérance de certitude du blanc.

 

 

 

« L’espace entre les mots est la condition de l’indestructibilité du poème. »

 

Le blanc entre les phrases affirme la forme indestructible de l’écriture. Le blanc entre les phrases affirme la forme indestructible de la respiration. Le blanc entre les phrases affirme l’immortalité de la respiration, la forme d’immortalité de la respiration. Savoir arquer le blanc entre les phrases. Savoir arquer le blanc entre les phrases afin d’affirmer la forme d’immortalité de la respiration. Savoir arquer le blanc entre les phrases afin de déclarer la forme d’immortalité de la respiration. Savoir arquer le blanc entre les phrases afin d’affirmer le tabou de la respiration. Savoir arquer le blanc entre les phrases afin de déclarer le tabou d’immortalité de la respiration. Savoir arquer le blanc de sommeil entre les phrases. Savoir arquer le blanc de sommeil entre les phrases afin de déclarer le tabou d’immortalité de la respiration.

 

 

 

« Apprendre à respirer en lisant plus loin que sa respiration. »

 

Respirer à tu par le geste d’écrire plus loin que sa respiration. Respirer jusqu’à tu par le geste d’écrire plus loin que sa respiration. Respirer à tu par le geste d’écrire à proximité du lointain de sa respiration. Respirer jusqu’à tu par le geste d’écrire à proximité du lointain de sa respiration. Affirmer ainsi la démence de l’asthme. Affirmer ainsi l’ascèse de l’asthme, la démence d’ascèse de l’asthme.

 

 

 

« Jouer des gestes absolus dans les mots. »

 

Jouer des gestes absolus à l’intérieur des phrases. Jouer des gestes absolus à l’intérieur du fou-rire des phrases. Jouer des gestes absolus à l’intérieur du fou-rire de silence des phrases. Jouer des gestes absolus à l’intérieur de la roue de fou-rire des phrases. Jouer des gestes absolus à l’intérieur de la roue de silence des phrases. Jouer des gestes absolus à l’intérieur du toboggan des phrases. Jouer des gestes absolus à l’intérieur du toboggan de fou-rire des phrases. Jouer des gestes absolus à l’intérieur du toboggan de silence des phrases. Jouer des gestes absolus à l’intérieur du toboggan de fou-rire taciturne des phrases.

 

 

 

 

 

« Tout poème se mange plié. »

 

Manger l’écriture. Manger l’écriture avec le sang. Manger l’écriture avec le crâne du sang. Manger l’écriture avec le crâne de respiration du sang.

 

 

 

« Écrire un poème qui mange en même temps ce qu’il dit. »

 

Manger la parole avec le silence. Manger la parole avec le crâne du silence. Manger la poitrine de la parole avec le crâne du silence. Manger la poitrine de clarté de la parole avec le crâne d’obscurité du silence. Manger la poitrine de sourires de la parole avec le crâne de hurlements du silence. Manger la poitrine de hurlements de la parole avec le crâne de sourires du silence. Manger la poitrine d’herbes de la parole avec le crâne de feu du silence. Manger la poitrine de feu de la parole avec le crâne d’herbes du silence. Manger la poitrine de poussière de la parole. Manger la poitrine de poussière de la parole avec le crâne de sang du silence.

 

 

 

 

 

« Lire c’est délire. »

 

Lire c’est délirer à feu doux. Lire c’est délirer à feu aléatoire. Lire c’est délirer à feu aléatoire et doux. Lire c’est délirer à feu de sourires. Lire c’est délirer à feu de sourires doux. Lire c’est délirer à feu de douceur. Lire c’est délirer à feu de sourires de la douceur.

 

 

 

« Nous plions ce qu’il faut d’eau  pour boire dans un livre. »

 

Transformer les livres en éventails de l’eau. Transformer les livres en éventails du feu. Transformer les livres en éventail d’eau du feu. Transformer les livres en éventails de l’alcool. Transformer les livres en éventails du silence. Transformer les livres en éventails d’alcool du silence.

 

 

 

« Écrire des livres siamois. »

 

Calligraphier des livres siamois. Calligraphier les livres siamois du feu. Calligraphier les livres siamois du feu avec son sexe. Calligraphier les livres siamois du feu avec le sourire de son sexe. Calligraphier les livres siamois du feu avec la crucifixion de son sexe, avec le sourire de crucifixion de son sexe. Calligraphier les livres siamois du feu avec le sexe du sperme. Calligraphier les livres siamois du feu avec le sexe de sourire du sperme, avec le sexe de crucifixion du sperme. Calligraphier les livres siamois du feu avec le sourire de crucifixion du sperme, avec le sexe de sourire crucifié du sperme.

 

 

 

 

 

« Ce qu’on donne invente toujours sa façon de donner. »

 

Le geste du don invente la forme du don. Le geste du don imagine la forme du don. Le geste du don imagine la chose du don. Le geste de certitude du don imagine la chose de chute du don. Le geste de chute du don imagine la chose de certitude du don. Le geste de certitude du don imagine la chose d’insensé du don. Le geste d’insensé du don imagine la chose de certitude du don.

 

 

 

« Le grand oui du monde est un chien mort couché sur la paille. »

 

Le oui immense du monde apparait comme un silence crucifié à l’intérieur de l’iceberg du feu.

 

 

 

« Chevaucher les images. »

 

Chevaucher la métaphore. Chevaucher le feu. Chevaucher la métaphore du feu. Chevaucher le silence du feu. Chevaucher la métaphore de silence du feu. Chevaucher la métamorphose du feu. Chevaucher la métamorphose de silence du feu. Ecrire comme le Centaure du feu. Ecrire comme le Centaure de la métamorphose du feu. Ecrire comme le Centaure du silence du feu. Ecrire comme le Centaure de la métamorphose de silence du feu.

 

 

 

« Ne pas acheter la beauté ; la voler comme un fruit sur un arbre. »

 

Voler la beauté comme un fruit sur un arbre. Voler un fruit comme la beauté sur un arbre. Voler un arbre comme un fruit sur la beauté. Voler un arbre comme un fruit sur le sublime. Voler un arbre comme un fruit à la surface de la chute. Voler un arbre comme un fruit à la surface de la chute du sublime. Voler un arbre comme un fruit de foudre. Voler un arbre comme un fruit de foudre à l’intérieur de la chute du sublime.

 

 

 

 

 

« La poésie ne parle qu’à des « deux fois nés ». « Mais il ne s’agit pas de naitre une autre fois comme la première. Cette naissance sans mère doit être un « dé-naitre » comme le suggère Cioran. »

 

L’écriture parle à celui qui rature sa naissance. L’écriture parle à celui qui rature sa naissance par son apparition. L’écriture parle tacite à celui rature sa naissance par son apparition au monde. L’écriture parle tacite à celui qui rature le sens de sa naissance. L’écriture parle à celui qui sait comment raturer le sens de sa naissance par la forme de son apparition au monde, par la forme insensée de son apparition au monde.

 

 

 

« L’art est un rite de passage. »

 

L’art apparait comme un rite de paralysie. L’art apparait comme le geste rituel de paralyser la métamorphose du monde. L’art apparait comme le geste de paralyser la démesure du monde.  L’art apparait comme le geste rituel de paralyser les métamorphoses de démesure du monde.

 

 

 

« L’impossibilité du remerciement est celui du poème. »

 

L’écriture invente une forme de remerciement athée. L’écriture invente une forme de prière athée. L’écriture invente une forme de remerciement rituel athée. L’écriture invente une forme de prière rituelle athée. L’écriture invente une forme de remerciement infinitif, une forme de remerciement rituel infinitif athée. L’écriture invente une forme de prière infinitive, une forme de prière rituelle infinitive athée.

 

 

 

 

 

« Écrire chaque poème comme si on écrivait une lettre à quelqu’un pour la première fois. »

 

Ecrire comme adresser la première fois. Ecrire comme adresser la première fois au papier même. Ecrire comme adresser la première fois à la lettre même du papier. Ecrire comme adresser la première fois du feu. Ecrire comme adresser la première fois du feu à la lettre du papier. Ecrire comme adresser la première fois du feu à la lettre de vide du papier. Ecrire comme adresser le commencement du feu. Ecrire comme adresser le commencement du feu à la lettre du papier. Ecrire comme adresser le commencement d’immortalité du feu. Ecrire comme adresser le commencement d’immortalité du feu à la lettre de vide du papier.

 

 

 

« Devant un livre : tourner aussi ses mains et non les pages. »

 

Savoir comment tourner ses mains avec le papier. Savoir comme tourner ses mains avec la paralysie du papier. Savoir comment tourner ses mains avec le sourire de paralysie du papier. Savoir comment tourner ses mains avec le vide du papier. Savoir comment tourner ses mains avec le vide de paralysie du papier. Savoir comment tourner ses mains avec le sourire de vide du papier, avec le sourire de vide paralysé du papier. Savoir comment tourner ses mains avec le papier du feu. Savoir tourner ses mains avec le sourire de papier du feu. Savoir comment tourner ses mains avec la paralysie du feu, avec la paralysie de papier du feu.

 

 

 

 

 

« Expédie des boites aux lettres dans les enveloppes. »

 

Savoir comment timbrer une boite à lettres. Savoir comment timbrer une boite à lettres par le geste d’adresser une carte postale au vide. Savoir comment timbrer une boite à lettres par le geste d’envoyer une lettre d’amour au vide.

 

 

 

 « Placer l’enveloppe à l’intérieur d’un timbre et écrire dessus l’adresse du facteur. »

 

Disposer l’enveloppe à l’intérieur du timbre et écrire l’adresse du destinataire à la surface du timbre avec le sourire de sa voix. Disposer l’enveloppe à l’intérieur du timbre et écrire l’adresse du destinataire à la surface du timbre avec le sourire stellaire de sa voix, avec le sourire tacite de sa voix, avec le sourire stellaire tacite de sa voix.

 

 

 

« Inventer une maison d’édition où les livres seraient des boites aux lettres. L’appeler la Poste. » 

 

Utiliser les tombeaux comme boites aux lettres. Utiliser les tombeaux comme boites aux lettres des sourires. Utiliser les tombeaux comme boites aux lettres des sourires de l’ombre. Utiliser les tombeaux comme boites aux lettres de la roue des sourires. Utiliser les tombeaux comme boites aux lettres de la roue de sourires de l’ombre.

 

 

 

 

 

« Boire son sommeil. » 

 

Boire le sommeil avec ses phrases. Boire le sommeil avec les phrases du silence. Boire le sommeil avec le fou-rire du silence. Boire le sommeil avec les phrases de fou-rire du silence.  Boire le crâne de sang du sommeil. Boire le crâne de sang du sommeil avec les phrases de fou-rire du silence. Boire le crâne de respiration du sommeil. Boire le crâne de respiration du sommeil avec le fou-rire de phrases du silence.

 

 

 

« Chevaucher le monde et être vigilant pendant son sommeil afin que personne ne vole notre nouveau cheval. »

 

Chevaucher le monde avec son sommeil. Chevaucher le monde avec le chant de son sommeil. Chevaucher le monde avec le chant de silence de son sommeil. Chevaucher le monde avec le chant de sang de son sommeil. Chevaucher le monde avec le sang de silence de son sommeil.

 

 

 

« Les portes se retrouvent le soir quand les maisons sont fermées puis se transforment en tables au-dessus de ceux qui dorment. »

 

Savoir comment dormir sur la table du vent. Savoir comment dormir sur la table d’épaules du vent. Savoir comment dormir sur la table d’hypothèses du vent. Savoir comment dormir sur la table d’épaules hypothétiques du vent. Savoir comment dormir sur la table de désespoir du vent. Savoir comment dormir sur la table d’épaules désespérées du vent. Savoir comment dormir sur la table de translucidité du vent. Savoir comment dormir sur la table d’épaules translucides du vent. Savoir comment dormir sur la table des matières du vent. Savoir comment dormir sur la table des matières translucide du vent.

 

 

 

 

 

« Les têtes coupées des statues nous embrassent uniquement dans le sommeil car nous nous n’avons pas besoin de bras. »

 

Le sommeil embrasse la décapitation des statues. Le sommeil embrasse le noli tangere des statues. Le sommeil embrasse la décapitation de noli tangere des statues. Le crâne du sommeil embrasse la décapitation des statues. Le crâne de sang du sommeil embrasse la décapitation de noli tangere des statues.

 

 

 

Embrasser la décapitation des statues. Embrasser le sourire de décapitation des statues. Embrasser la décapitation des statues avec la clef du feu. Embrasser le sourire de décapitation des statues avec la clef de silence du feu. Embrasser le sourire de décapitation des statues avec la clef de cils du feu, avec la clef de cils phosphorescents du feu. Embrasser le cyclone de décapitation des statues. Embrasser le cyclone de décapitation des statues avec la clef de fou-rire du feu.

 

 

 

« Boire la nuit c’est traire des vaches dans les étoiles. »

 

Boire la nuit à l’intérieur de son crâne. Boire le magma de la nuit. Boire le magma de la nuit à l’intérieur de son crâne. Boire le magma de monotonie de la nuit. Boire le magma de monotonie de la nuit à l’intérieur de son crâne. Boire le magma de silence de la nuit. Boire le magma de silence de la nuit à l’intérieur de son crâne. Boire le magma de silence de la nuit à l’intérieur de l’extase de son crâne, à l’intérieur de l’extase de respiration de son crâne. Boire le silence de la nuit à l’intérieur du bol du crâne. Boire le magma de silence de la nuit à l’intérieur du bol de respiration du crâne. Boire le magma de silence de la nuit à l’intérieur  de la roue du crâne. Boire le magma silence de la nuit à l’intérieur de la roue de respiration du crâne. Boire le silence de la nuit à l’intérieur du toboggan du crâne. Boire le magma de silence de la nuit l’intérieur du toboggan de respiration du crâne. 

 

 

 

« La nuit vêtue, voutée, s’habille de pierres absolues et fonde d’autres maisons. »

 

Déshabiller la nuit. Déshabiller la nuit avec des chutes de pierres. Déshabiller la nuit avec des chutes de pierres absolues. Déshabiller la nuit avec des catastrophes de pierres. Déshabiller la nuit avec des catastrophes de pierres absolues. Déshabiller la nuit avec des séismes de sourires. Déshabiller la nuit avec des séismes d’herbes. Déshabiller la nuit avec les séismes de sourires de l’herbe.

 

 

 

 

 

« La patience de la nuit se pend aux arbres. »

 

L’épouvante de la nuit se pend aux arbres. L’insouciance de la nuit se pend aux arbres. L’insouciance d’épouvante de la nuit se pend aux arbres. L’insouciance d’épouvante de la nuit se pend à la chute debout des arbres. L’insouciance d’épouvante de la nuit se pend à la chute souveraine des arbres, à la chute de souveraineté des arbres, à la chute de souveraineté debout des arbres.

 

 

 

 

 

« Regarde ce qui est écrit sous la table et la chaise. »

 

Regarder ce qui apparait écrit à l’extrémité de la table. Regarder ce qui apparait écrit à l’extrémité de la chute de la table. Regarder ce qui apparait écrit à l’extrémité de la falaise de la table, à l’extrémité de la chute de falaise de la table. 

 

 

 

Savoir comment chevaucher la rivière. Chevaucher la rivière avec la chaise. Chevaucher la rivière avec le chant de la chaise. Chevaucher la rivière avec le sourire de la chaise. Chevaucher la rivière avec le chant de sourires la chaise. Chevaucher la rivière avec l’ascèse de la chaise. Chevaucher la rivière avec le sourire d’ascèse de la chaise. Chevaucher la rivière avec le chant d’ascèse de la chaise. Chevaucher la rivière du feu avec la chaise. Chevaucher la rivière du feu avec le sourire d’ascèse de la chaise. Chevaucher la rivière du feu avec le chant d’ascèse de la chaise. Chevaucher la rivière d’aisance du feu. Chevaucher la rivière d’aisance du feu avec le chant d’ascèse de la chaise. Chevaucher la rivière de hurlements du feu. Chevaucher la rivière de hurlements du feu avec le chant d’ascèse de la chaise. 

 

 

 

« Il est légitime d’enterrer les chaises et les tableaux, d’enterrer le couteau et le lit, d’enterrer la vaisselle, d’enterrer la porte de la maison  et la table où l’on ne mange plus. »

 

Enterrer les tables les chaises, les tables et les portes. Enterrer les tables, les chaises et les portes avec son sexe. Enterrer les tables, les chaises et les portes avec la règle rituelle de son sexe. Enterrer la chaise de son  aisance. Enterrer la chaise de son ascèse. Enterrer la chaise d’aisance de son ascèse. Enterrer la chaise d’aisance de son ascèse avec la règle rituelle de son sexe. Exclamer la chaise d’aisance de son ascèse. Exclamer la chaise d’aisance de son ascèse avec la règle rituelle de son sexe.

 

 

 

« Mange sur des portes couchées et ouvre des tables verticales. »

 

Manger sur des portes couchées avec les mains et ouvrir des tables verticales avec la bouche. Manger sur des portes couchées avec le hurlement de ses mains et ouvrir des tables verticales avec le sourire de sa bouche. Manger sur des portes couchées avec le hurlement de monotonie de ses mains et ouvrir des portes verticales avec le sourire de silence de sa bouche. Manger sur des portes couchées avec le hurlement de monotonie de ses mains et ouvrir des tables verticales avec le sourire de sommeil de sa bouche. Manger sur des portes couchées avec le hurlement de miracle de ses mains et ouvrir des tables verticales avec le sourire de monotonie de sa bouche. Manger sur des portes couchées avec le hurlement de miracle de ses mains et ouvrir des tables verticales avec le sourire de sommeil de sa bouche.

 

 

 

 

« Ecoute les analphabètes chanter. »

 

Chanter comme un analphabète ambidextre. Chanter comme l’analphabète de la certitude. Chanter comme l’analphabète ambidextre de la certitude. 

 

 

 

« Inachever le temps. »

 

 Inachever le temps à l’intérieur du oui. Inachever le temps à l’intérieur de la démesure du oui.

 

 

 

« Le secret du simple est le comment. »

 

La simplicité de l’énigme donne à sentir le comment du temps. La simplicité de l’énigme donne à sentir le sourire de comment du temps. La simplicité de l’énigme donne à sentir le hurlement de pourquoi du temps. La simplicité de l’énigme donne à sentir le sourire de comment du temps comme le hurlement de pourquoi de l’espace La simplicité de l’énigme donne à sentir le sourire de pourquoi du temps comme le hurlement de comment de l’espace. La simplicité de l’énigme donne à sentir le hurlement de comment du temps comme le sourire de pourquoi de l’espace. La simplicité de l’énigme donne à sentir le sourire de pourquoi du temps comme hurlement de comment de l’espace. La simplicité de l’énigme donne à sentir le sourire de clarté du temps comme le hurlement d’obscurité de l’espace. La simplicité de l’énigme donne à sentir le sourire d‘obscurité du temps comme hurlement de clarté de l’espace. La simplicité de l’énigme donne à sentir le hurlement de clarté du temps comme sourire d’obscurité de l’espace de l’espace. La simplicité de l’énigme donne à sentir le hurlement d’obscurité du temps comme sourire de clarté de l’espace.

 

 

 

« Le temps a soif comme le chat. »

 

Le temps a soif comme le chat des tempes. Le silence du temps a soif comme le chat des tempes.

 

 

 

 

 

« Tout ce qui se balance touche deux mondes ; de bord à bord on dépasse ce qu’on voit. »

 

Ce qui oscille touche deux mondes à l’intérieur du sourire du zéro. Ce qui oscille touche deux mondes bords à bords à l’intérieur de la bouche du zéro. Ce qui oscille touche deux mondes bord à bord à l’intérieur du sourire de silence du zéro.

 

 

 

« Les boiteux de la voix réinventent la bouche de Moïse. »

 

« Le non, ce zéro irrémédiable entre deux éclairs inversés. »

 

La bouche s’amuse à faire boiter la voix. La bouche s’amuse à faire boiter la voix entre deux éclairs. La bouche s’amuse à faire boiter le zéro de la voix. La bouche s’amuse à faire boiter le zéro de la voix entre deux éclairs de certitude. Le sourire du mépris s’amuse à faire boiter le zéro de la voix. Le sourire du mépris s’amuse à faire boiter le zéro de la voix ente deux éclairs de certitude. Le sourire d’ombre du mépris s’amuse à faire boiter le zéro de la voix. Le sourire d’ombre du mépris s’amuse à faire boiter le zéro de la voix entre un seul éclair, entre un seul éclair de certitude. Le sourire d’ombre du mépris s’amuse à faire boiter le zéro de la voix entre le seul éclair de silence de la certitude. Le sourire du mépris s’amuse à faire boiter le zéro du crâne. Le sourire d’ombre du mépris s’amuse à faire boiter le zéro de voix du crâne. Le sourire d’ombre du mépris s’amuse à faire boiter le zéro de voix du crâne entre le seul éclair de silence de la certitude.

 

 

 

« Le non, ce zéro irrémédiable entre deux éclairs inversés, »

 

Déclarer le zéro du oui. Déclarer le zéro du oui entre deux éclairs de certitude. Déclarer la certitude du oui. Déclarer la certitude du oui entre deux éclairs du zéro. Déclarer la certitude du oui par le seul éclair du zéro. Déclarer le crâne du oui. Déclarer le crâne du oui avec le seul éclair du zéro. Déclarer le crâne de certitude du oui. Déclarer le crâne de certitude du oui avec le seul éclair de silence du zéro. Déclarer le crâne de sang du oui. Déclarer le crâne de sang du oui avec le seul éclair de zéro du silence.

 

 

 

« Quand tu voles fais-le toujours deux fois en même temps sans tomber. »

 

Voler à l’intérieur du zéro fois. Voler à l’intérieur du zéro fois du temps. Savoir voler à l’intérieur du zéro fois du temps. Voler à l’intérieur de l’exclamation de zéro fois du temps. Voler à l’intérieur du sourire de zéro fois du temps. Savoir comment voler à l’intérieur du sourire de zéro fois du temps. Voler à l’intérieur de l’étonnement du temps. Voler à l’intérieur du sourire d’étonnement du temps. Voler à l’intérieur du zéro fois d’étonnement du temps.  Voler à l’intérieur du sourire de zéro fois étonné du temps. Savoir voler à l’intérieur du sourire de zéro fois étonné du temps. Voler à l’intérieur de la catastrophe du temps. Voler à l’intérieur de la catastrophe de zéro fois du temps. Voler à l’intérieur du sourire de catastrophe du temps. Voler à l’intérieur de la catastrophe de zéro fois étonné du temps. Voler à l’intérieur de la facilité de zéro fois du temps. Voler à l’intérieur de la facilité de zéro fois étonné du temps.  Voler à l’intérieur du sourire de facilité du temps. Voler à l’intérieur du sourire de facilité étonnée du temps. Savoir comment voler à l’intérieur du sourire de facilité étonnée du temps. Voler à l’intérieur du chant de zéro fois du temps. Voler à l’intérieur du chant d’étonnement du temps. Voler à l’intérieur du chant de zéro fois étonné du temps. Savoir comment voler à l’intérieur du chant de zéro fois étonné du temps. Voler à l’intérieur du feu de zéro fois du temps. Voler à l’intérieur du feu d’étonnement du temps. Voler à l’intérieur du feu de zéro fois étonné du temps. Savoir comment voler à l’intérieur du feu de zéro fois étonné du temps.

 

 

 

« Le ventre des oiseaux est rempli de zéros. »

 

Le ventre du zéro est rempli d’oiseaux. Le ventre du zéro est saturé de voix d’oiseaux. Le  ventre du zéro est saturé de chants d’oiseaux. Le ventre d’au revoir du zéro est saturé de chants d’oiseaux. Le ventre d’au revoir du zéro est saturé des chants d’oiseaux du hasard.

 

 

 

 

 

« Un vrai joueur ne joue que le jeu que le jeu ne connait pas. »

 

Jouer uniquement l’inconnu du jeu. Seule l’aisance de l’ascèse sait comment jouer uniquement l’inconnu du jeu. L’aisance d’ascèse du crâne sait comment jouer uniquement le jeu de nécessité de l’inconnu.

 

 

 

« Celui qui ne perd ni ne gagne fait la queue pour devenir la table d’un seul coup. »

 

Celui qui ne perd ni ne gagne essaie de jouer la table aux dés. Celui qui ne perd ni ne gagne essaie de transformer la table de jeu en mikado des dés.

 

 

 

Savoir jouer au mikado avec les dés. Seule l’aisance de l’ascèse sait comment jouer au mikado avec les dés.

 

 

 

« Nous sommes des joueurs autour d’une table en cercle où le jeu joue contre nous son propre trou. »

 

Faire tourner la table autour du jeu. S’amuser à faire tourner la table autour du vide du jeu. S’amuser à faire tourner la table autour du vide du jeu afin de transformer la table en toupie de l’utopie, afin de transformer la table en toupie de certitude de l’utopie.

 

 

 

« Jeu de cartes avec un œil (…), table autour de sa chaise. »

 

Quand la table joue les chaises aux cartes, demain devient le sourire du vide. Quand la table joue les chaises aux cartes, demain devient la main du vide. Quand la table joue les chaises aux cartes, demain devient la main de hasard du vide. Quand la chaise joue la table au dés, le futur devient le crâne de la nécessité. Quand la chaise joue la table aux dés, le futur devient le crâne de vide la nécessité. Quand la chaise joue la table aux dés, le futur devient le crâne de vide de la fatalité.

 

 

 

« Inventer une nouvelle pièce : celle qui vole. »

 

Inventer une nouvelle pièce de l’échiquier, celle qui erre, celle qui erre à la surface du vide, celle qui erre comme sourire du vide.

 

 

 

 

 

« Toute joie est grave. » « La joie ne rit pas : elle est une clairière abandonnée au milieu du rire. »

 

La joie apparait grave. La joie apparait comme la clairière de la gravité. La joie apparait comme la clairière de la gravité abandonnée à l’intérieur du rire. La joie apparait comme un abime de clarté. La joie apparait comme l’abime de clarté de la gravité. La joie apparait comme l’abime de clarté de la gravité abandonnée à l’intérieur du rire.

 

 

 

« Le rire est (…) un oiseau qui se moquerait de son propre vol. »

 

Le rire survient comme une fusée qui explose en vol. Rire comme faire exploser la fusée de son envol. Rire comme faire exploser la fusée de son envol avec le bégaiement de ses pieds. Rire comme faire exploser la fusée de son envol avec le bégaiement de ses orteils. Rire comme faire exploser  la fusée d’exactitude de son envol avec le bégaiement de poussière de ses pieds, avec le bégaiement de terre de ses orteils. Rire comme faire exploser la fusée de certitude de son envol avec le bégaiement de poussière de ses pieds.

 

 

 

« S’exercer à regarder rire ce qui ne rit pas : les arbres, un champ de nuages, deux gouttes d’eau dans la poussière. »

 

Contempler le rire de la poussière. Contempler le rire de la poussière au sommet du vide. Contempler le rire des arbres. Contempler le rire des arbres au cœur du vent.

 

 

 

« Dire avec Whitman : « Je me contredis, très bien, je me contredis, je suis vaste, je contiens des multitudes. »

 

Savoir comment contredire sa tristesse et savoir comment ne jamais contredire sa joie.

 

 

 

 

 

« Le désespoir est un allié qui nous fait les yeux différents. »

 

Le désespoir transforme les yeux en yoyos. Le désespoir transforme les yeux en yoyos du vide. Le désespoir transforme les yeux en yoyos de sourires du vide, en yoyos de hurlements du vide, en yoyos de sourires hurlés du vide.

 

 

 

« Il écrit sur le double maudit de sa page noire jusqu’à la joie de sa malédiction. »

 

Le désespoir peaufine la joie de la malédiction. Le sourire du désespoir peaufine la joie de la malédiction. Le sourire de hurlement du désespoir peaufine la joie de malédiction du papier.

 

 

 

« Prendre les cendres (...) et s’en servir pour saler la viande ou la soupe de poèmes. »

 

Utiliser les cendres pour saler le désespoir. Utiliser le sourire des cendres pour saler le désespoir. Savoir comment utiliser le sourire des cendres afin saler le pain du désespoir. Savoir comment utiliser le sourire d’ascèse des cendres afin de saler la mappemonde de pain du désespoir.

 

 

 

 

 

« Le hasard est le centre des brouillons. »

 

Le hasard survient comme le centre excentrique du vide. Le hasard survient comme le centre excentrique des ratures du vide. Le hasard survient comme l’ellipse du vide. Le hasard survient comme l’ellipse des ratures du vide.

 

 

 

« Choisir un jour dans le calendrier et le transformer en fête puis dédicacer un livre à un inconnu qu’on abandonne au hasard sur un banc public. »

 

Dédicacer le calendrier. Dédicacer le calendrier au hasard. Dédicacer le calendrier à sa mère. Dédicacer le calendrier au hasard de sa mère. Dédicacer le calendrier au ventre de sa mère. Dédicacer le calendrier au hasard du ventre de sa mère.

 

 

 

 

 

« Il suffit qu’un homme enchainé ferme les yeux pour qu’il puisse faire éclater le monde. » dit Octavio Paz. »

 

Quand un homme déjà libre ouvre les yeux à l’intérieur de l’obscurité il parvient ainsi à donner à sentir l’explosion de la nécessité, l’explosion de la nécessité du monde. Quand un homme déjà libre ouvre les yeux à l’intérieur de l’obscurité il touche à l’instant l’explosion de nécessité du monde.

 

 

 

« L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté » dit Rousseau. Ceci est aussi une des consignes pour improviser en free jazz. »

 

L’affirmation d’une règle insouciante invente la forme exacte de la nécessité. L’affirmation d’une règle d’insouciance invente la forme exacte d’une nécessité alibre.

 

 

 

« La liberté qui est hors de notre attention est plus grande que celle de notre attention. »

 

L’insouciance du destin apparait plus intense que la liberté du souci. L’insouciance du destin apparait plus intense que la liberté de l’attention.

 

 

 

« Les instants de notre liberté sont toujours de jeunes haches. »

 

Les instants de liberté apparaissent comme des haches de vieillesse. Les instants de liberté apparaissent comme des haches d’indécence, comme les haches de vieillesse de l’indécence. Les instants de liberté apparaissent comme des haches d’audace, comme les haches d’audace de l’indécence.

 

 

 

 

 

« Devenir un anarchiste ou un « anarchien » »

 

Devenir l’anarchiste des allumettes. Devenir l’anarchiste de son sourire. Devenir l’anarchiste des allumettes de son sourire. Seul l’ascète sait comment devenir l’anarchiste de son sourire. Seul l’ascète sait comment devenir l’anarchiste des allumettes de son sourire.

 

 

 

Savoir comment jongler avec les tombeaux. Seul l’ascète sait comment jongler avec les tombeaux. L’ascète jongle avec la tombola des tombeaux. L’ascète jongle avec les tombeaux comme une otarie. L’ascète jongle avec la tombola des tombeaux comme une otarie. L’ascète jongle avec le séisme des tombeaux. L’ascète jongle avec le séisme des tombeaux comme une otarie taciturne. L’ascète jongle avec la tombola des tombeaux comme l’otarie taciturne de l’insouciance. L’ascète jongle avec l’ébullition des tombeaux. L’ascète jongle avec la tombola d’ébullition des tombeaux. L’ascète jongle avec la tombola d’ébullition des tombeaux comme l‘otarie taciturne de l’insouciance, comme l’otarie de tonnerre de l’insouciance, comme l’otarie de tonnerre taciturne de l’insouciance. Seul l’ascète sait comment jongler avec le toboggan des tombeaux. Seul l’ascète sait comment jongler avec le toboggan d’ébullition des tombeaux. Seul l’ascète sait comment jongler avec le toboggan d’ébullition des tombeaux comme l’otarie de tonnerre taciturne de l’insouciance.

 

 

 

 

 

« Saouler les verres si tu veux te saouler. »

 

Savoir saouler l’ascèse. Savoir comment saouler les verres de l’ascèse. Provoquer le tournoiement de silence de la solitude. Provoquer le tournoiement de silence de la solitude au sommet du sommeil du vide. Provoquer le tournoiement de silence de la solitude au sommet du sommeil du vide afin saouler les verres de l’ascèse. Provoquer le tournoiement de silence de la solitude au sommet du sommeil du vide afin de saouler les verres de certitude de l’ascèse, afin de saouler les verres d’au-revoir de l’ascèse, afin de saouler les verres d’ainsi de l’ascèse. 

 

 

 

« Mets en présence un jongleur de plumes et un éleveur de rochers. » « Mille trous dans le vent. »

 

Jongler avec le vent. Savoir jongler avec le vent. Savoir comment jongler avec le vent. Savoir jongler avec le vent par le sourire de son ascèse. Savoir comment jongler avec le vent par le sourire d’aisance de son ascèse. Savoir comment jongler avec les yeux du vent. Savoir comment jongler avec la ribambelle d’yeux du vent. Savoir comment jongler avec le toboggan du vent. Savoir comment jongler avec le toboggan d’herbes du vent. Savoir comment jongler avec le toboggan d’herbes du vent par le sourire d’aisance de son ascèse.

 

 

 

 

 

« Le Christ (l’écrit) métaphore de la parole est un alphabet crucifié. »

 

Le Christ crucifie la parole. Le Christ crucifie la parole à l’intérieur de la lettre. Le Christ crucifie la parole à l’intérieur de la lettre de feu. Le Christ crucifie le miracle de la parole. Le Christ crucifie le miracle de la parole à l’intérieur de la lettre du feu. Crucifier le miracle de la parole à l’intérieur de la lettre de félicité du feu. Crucifier le miracle de la parole à l’intérieur de la roue du feu. Crucifier le miracle de certitude de la parole. Crucifier le miracle de certitude de la parole à l‘intérieur de la roue de félicité du feu.

 

 

 

« Quand tu vois le Bouddha : tue-le ! » « Si Jésus avait été empalé, imaginer le signe que tu aurais fait pour prier ! » dit un graffiti dans une église. »

 

Ascèse d’insouciance de l’athéisme : Savoir à la fois comment manger le Bouddha avec le Christ et sodomiser le Christ avec le Bouddha.

 

 

 

 

 

« Toute ombre enflammée titube dans la lumière saoule. »

 

L’ombre titube. L’ombre titube à l’intérieur de l’ivrognerie du rêve. L’ombre titube à l’intérieur de l’ivrognerie du sourire. L’ombre titube à l’intérieur de l’ivrognerie de l’éblouissement. L’ombre titube à l‘intérieur de l’ivrognerie de sourire de l’éblouissement.

 

 

 

« La terre boite : les morts lui tiennent un pied. »

 

Bégayer afin d’apprendre à boiter à l’étoile de la terre. Bégayer son ombre. Bégayer son ombre afin d’apprendre à boiter à l’étoile de la terre. Bégayer le sourire de son ombre afin apprendre à boiter à l’étoile de la terre. Bégayer le sourire de hurlement de son ombre. Bégayer le sourire de hurlement de son ombre afin d’apprendre à boiter à l’étoile de savoir de la terre.

 

 

 

« Faire d’un balai un drapeau et de tout drapeau un balai. »

 

Balayer son ombre avec un drapeau. Balayer son ombre avec le drapeau de son sourire. Balayer le hurlement de son ombre avec le drapeau de son sourire. Balayer le sourire de son ombre avec le drapeau de son hurlement.  Balayer l’ombre de son oubli avec le drapeau de son sourire. Balayer le hurlement d’ombre de l’oubli avec le drapeau de son sourire. Balayer le hurlement d’ombre de l’oubli avec le drapeau de poussière de son sourire.

 

 

 

Enrubanner son ombre. Enrubanner son ombre avec le hurlement de son sourire. Enrubanner son ombre avec le hurlement de poussière de son sourire. Enrubanner le miracle de son ombre. Enrubanner le miracle de son ombre avec le hurlement de poussière de son sourire. Enrubanner la main de miracle de son ombre. Enrubanner la main de miracle de son ombre avec le hurlement de poussière de son sourire.

 

 

 

« La lumière est une scie de verre. »

 

Marteler son ombre avec la scie du verre. Marteler le sourire de son ombre avec la scie du verre. Marteler le sourire de son ombre avec la scie de verre de l’éblouissement. Marteler le sourire de terreur de son ombre. Marteler le sourire de terreur de son ombre avec la scie de verre de l’éblouissement. Marteler le sourire de terreur de son ombre avec la scie de verre de l’évidence.

 

 

 

« Quand tu trouves une amphore cassée tu sais que la mer est morte dans un homme. »

 

L’amphore anaphorise son ombre. L’amphore anaphorise le sourire de son ombre. L’amphore anaphorise le hurlement de sourire de son ombre.

 

 

 

« Les hommes ruissellent d’ombre. »

 

Ruisseler d’ombre au sommet du vide. Ruisseler d’ombre au sommet du sourire du vide. Ruisseler de sourires. Ruisseler de sourires au sommet du vide. Ruisseler de sourires au sommet de l’ombre du vide. Ruisseler de sourires d’ombre. Ruisseler de sourires d’ombre au sommet du vide. Ruisseler de sourires d’ombres au sommet du sommeil du vide.

 

 

 

« Vouvoie toute chose dans son tu : (…) Vouvoie ta liberté. »

 

Tutoyer le sourire de son ombre. Tutoyer le sourire de son ombre avec la disparition de sa liberté. Tutoyer le sourire de son ombre avec la volatilisation de sa liberté. Tutoyer le sourire d’oubli de son ombre. Tutoyer le sourire d’oubli de son ombre avec la volatilisation souveraine de sa liberté.

 

 

 

 

 

« Il faut glisser des chaussures dans nos yeux et des yeux dans nos chaussures. »  

 

Incruster des yeux à l’intérieur de chaussures. Incruster des yeux à l’orée des chaussures. Incruster des yeux à l’orée des oreilles des chaussures. Incruster des yeux de fougères à l‘intérieur des chaussures. Incruster des yeux de fougères à l’orée des oreilles des chaussures. Incruster les yeux de fougères du feu à l’orée des oreilles des chaussures.

 

 

 

« Comble les ombres de tes pas en leur offrant des chaussures. »

 

Les champignons composent les chaussures des échelles. Les champignons composent les chaussures d’ombre des échelles. Les champignons palpitent les chaussures d’ombre des échelles.

 

 

 

« Les roues des bicyclettes descendent sous le pont comme des yeux sonores. »

 

Tamiser son ombre avec une bicyclette. Tamiser les sourires de son ombre avec une roue de bicyclette. Savoir tamiser son ombre avec une bicyclette. Savoir tamiser les hurlements de son ombre avec une roue de bicyclette. Savoir tamiser les hurlements d’épouvante de son ombre avec la roue de sourires d’une bicyclette.

 

 

 

La bicyclette aboie les étoiles de son ombre. La bicyclette aboie l’équilibre de son ombre. La bicyclette aboie l’équilibre d’étoiles de son ombre. La bicyclette distille son ombre. La bicyclette distille les étoiles de son ombre. La bicyclette distille l’équilibre d’étoiles de son ombre. La bicyclette libelle l’équilibre de son ombre. La bicyclette libelle les étoiles de son ombre. La bicyclette libelle l’équilibre d’étoiles de son ombre.

 

 

 

 

 

« La terre est saoule. »

 

 La terre apparait saoule de l’engourdissement du feu. La terre apparait saoule de la paralysie du feu. La terre apparait saoule des statues du feu. La terre apparait saoule des statues de certitude du feu. La terre apparait saoule du désespoir du feu. La terre apparait saoule des statues de désespoir du feu. La terre apparait saoule des statues de tranquillité du feu, des statues de désespoir tranquille du feu.

 

 

 

« La terre est plus réelle quand on la mange. »

 

Manger la terre. Manger la lucidité de la terre. Manger le tact de la terre. Manger le tact de lucidité de la terre. Manger le tact de lucidité de la terre avec la poitrine du sommeil. Manger le tact de lucidité de la terre avec le moulin du sommeil. Manger le tact de lucidité de la terre avec moulin de poumons du sommeil. Manger le tact de lucidité de la terre avec la roue de poumons du sommeil.

 

 

 

« Il est logique de pénétrer dans les intestins de la terre afin de célébrer le cerveau-vagin de la terre-mère. »

 

Pénétrer la terre-sœur plutôt que de célébrer la terre-mère. Pénétrer le crâne-vagin de la terre-sœur plutôt que de célébrer le cerveau-vagin de la terre-mère. L’insouciance de la démence affirme le geste de pénétrer le crâne-vagin de la terre-sœur. L’insouciance de démence de l’extase affirme le geste de pénétrer le crâne-vagin de la terre-sœur. L’insouciante de démence de l’extase affirme le geste de pénétrer le crâne-vagin de la terre-sœur afin de donner à sentir la démesure de la couleur. L’insouciante de démence de l’extase affirme le geste de pénétrer le crâne-vagin de la terre-sœur afin de donner à sentir la démesure du oui, afin de donner à sentir la démesure de couleur du oui.

 

 

 

« Enterre toi dans l’air et ne laisse sortir que ta tête. »

 

Savoir s’enterrer à l’intérieur de l’éther. Savoir s’enterrer tête nue à l’intérieur de l’éther. Savoir s’enterrer à l’intérieur des hurlements de l’éther. Savoir s’enterrer à l’intérieur des sourires de l’éther. Savoir s‘enterrer à l’intérieur des hurlements de sourires de l’éther. Savoir s’enterrer tête nue à l’intérieur des hurlements de sourires de l’éther.

 

 

 

« Les hommes ne boitent pas car la montagne et la pierre qu’ils portent pèsent le même poids dans chacune de leur poche. »

 

Marcher comme bégayer la montagne. Marcher comme apprendre à bégayer à la montagne. Marcher comme apprendre à la montagne comment bégayer au sommet du vide. Marcher comme apprendre à la montagne comment bégayer au sommet de sommeil du vide. Marcher comme apprendre à boiter aux étoiles. Marcher comme apprendre à boiter aux étoiles au sommet du vide. Marcher comme apprendre à boiter aux étoiles au sommet du sommeil du vide.

 

 

 

« La montagne se cache dans le plus petit caillou de ses cailloux. »

 

La montagne s’escalade à l’intérieur du plus petit des cailloux. La montagne s’escalade humoristiquement à l’intérieur du plus petit de ses cailloux. La montagne escalade humoristiquement le sommet du plus minuscule de ses cailloux.

 

 

 

La poussière joue au bilboquet avec la montagne. La poussière joue au bilboquet avec l’éclipse de la montagne. La bibliothèque de la poussière joue au bilboquet avec l’éclipse de la montagne. La bibliothèque de sourires de la poussière joue au bilboquet avec le tonnerre d’éclipses de la montagne. La bibliothèque d’éclipse de la poussière joue au bilboquet avec le tonnerre de sourires de la montagne.

 

 

 

« Une pierre tient un enfant par la main et l’empêche de tomber puis le jette contre une vitre. »

 

Une pierre tient un enfant par la main au sommet d’une fenêtre. Une pierre tient un enfant par la main au sommet du sourire d’une fenêtre. Une pierre tient un enfant par la main au sommet de la soif d’une fenêtre. Une pierre tient un enfant par la main au sommet du sourire de soif d’une fenêtre. Une pierre tient un enfant par la main au sommet du sourire de vide d’une fenêtre, au sommet de la soif de vide d’une fenêtre.

 

 

 

« C’est la bouche qui donne le baiser mais on peut apprendre à la pierre ou au fusil à ouvrir les lèvres. »

 

Apprendre à la pierre comment embrasser. Apprendre à la pierre comment embrasser la nudité saxifrage de l’herbe. Apprendre à la pierre comment embrasser le luxe saxifrage de l’herbe. Apprendre à la pierre comment embrasser le luxe de nudité de l’herbe, le luxe de nudité saxifrage de l’herbe. Apprendre à la pierre comment embraser le luxe d’inouï de l’herbe, le luxe d’inouï saxifrage de l’herbe. Apprendre à la pierre comment embrasser le luxe de miracle de l’herbe, le luxe de miracle saxifrage de l’herbe. Apprendre à la pierre comment embrasser le luxe de sourire de l’herbe, le luxe de sourire saxifrage de l’herbe.

 

 

 

 

« Parfois les arbres rentrent leurs ombres et les cachent dans leurs branches. »

 

Les arbres enrubannent leurs ombres à l’intérieur de leurs branches. Les arbres enrubannent et dérubannent leurs ombres à l’intérieur de la respiration de leurs branches. Les arbres enrubannent et dérubannent leurs ombres à l’intérieur du souffle comme de l’asphyxie de leurs branches. Les arbres enrubannent et dérubannent leurs ombres à l’intérieur des poumons de leurs frondaisons. Les arbres enrubannent et dérubannent leurs ombres à l’intérieur des poumons de bras de leurs frondaisons.

 

 

 

« Confonds les arbres et les hommes : ils ont la même ombre lorsqu’ils sont debout. »

 

Les hommes et les arbres n’ont jamais la même ombre quand ils apparaissent debout. En effet l’ombre de l’arbre apparait toujours beaucoup plus ample et plus complexe que celle de l’homme. L’ombre de l’arbre apparait plus complexe que celle de l’homme parce que c’est une ombre enracinée. L’ombre de l’homme apparait à l’inverse comme une ombre errante. L’ombre de l’arbre apparait plus complexe que celle de l’homme parce que c’est une ombre double, celle de la silhouette de l’arbre au dehors qui se projette à la surface de la terre et celle de la silhouette de l’arbre à l’intérieur de la terre, celle de la silhouette de ses racines à l’intérieur même de la terre qui se projette de manière invisible à la surface du ciel.

 

 

 

« Les arbres du dimanche rôdent autour de la maison. »

 

Les arbres du dimanche rôdent autour de la semaine de la maison. Les arbres du dimanche rôdent autour de la semaine de semence de la maison. Les arbres de tonnerre du dimanche rôdent autour de la semaine de semence de la maison. Les arbres de chansons du dimanche rôdent autour de la semaine de semence de la maison.

 

 

 

 

 

« Attache les cris des oiseaux avec des cordes dans les hypothèses des jardins. »

 

Planter l’hypothèse d’un drapeau. Planter l’hypothèse d’un drapeau à l’intérieur du hasard d’un jardin. Planter l’hypothèse d’un drapeau à l’intérieur de la fatalité d’un jardin, à l’intérieur du hasard fatal d’un jardin, à l’intérieur du hasard de fatalité d’un jardin. Planter l’hypothèse cruciale d’un drapeau à l’intérieur du hasard fatal d’un jardin. Planter l’hypothèse de crucifixion d’un drapeau à l’intérieur du hasard de fatalité d’un jardin. Planter le hasard d’un drapeau à l’intérieur de l’hypothèse d’un jardin. Planter le hasard fatal d’un drapeau  à l’intérieur de l’hypothèse cruciale d’un jardin. Planter le hasard de fatalité d’un drapeau  à l’intérieur de l’hypothèse de crucifixion d’un jardin.

 

 

 

« Le soir étend entre nos épaules un grand drapeau. »

 

Toucher le drapeau du ciel. Toucher le drapeau de sourires du ciel. Savoir comment toucher le drapeau de sourires du ciel. Toucher le drapeau de vide du ciel. Savoir comment toucher le drapeau de vide du ciel. Toucher le drapeau de sourires vides du ciel. Savoir comment toucher le drapeau de sourires vides du ciel. Approcher le drapeau de tact du ciel. Approcher le drapeau de tact vide du ciel. Savoir comment approcher le drapeau de tact vide du ciel.

 

 

 

« Les drapeaux jouent aux cartes »

 

 Les drapeaux jouent aux cartes avec le vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les sourires du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les yeux du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les sourires d’yeux du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les regards du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les sourires de regards du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec la roue du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec la roue de sourires du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec la roue de regards du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les statues du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les statues de sourires du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les statues de regards du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les statues d’herbes du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les sourires d’herbes du vent. Les drapeaux jouent aux cartes avec les regards d’herbes du vent.

 

 

 

« Le ciel tente un portrait de la lumière. »

 

Transformer le coccyx en ruche de coccinelles. Transformer le coccyx du sourire en ruche de coccinelles. Transformer le coccyx du ciel en ruche de coccinelles. Transformer le coccyx de sourire du ciel en ruches de coccinelles de l’incroyable.

 

 

 

 

 

« Le vent est saoul. » 

 

Le vent apparait saoul. Le vent apparait saoul de vide. Le vent apparait saoul de vide au sommet de l’arbre. Le vent apparait saoul de vide au sommet du sommeil de l’arbre. Le vent apparait saoul de vide à l’intérieur de l’arbre. Le vent apparait saoul de vide à l’intérieur des frondaisons de l’arbre. Le vent apparait saoul de vide à l’intérieur de frondaisons d’oubli de l’arbre. Le vent apparait saoul de vide à l’intérieur des frondaisons de silence de l’arbre. Le vent apparait saoul de vide à l’intérieur des frondaisons de sommeil de l’arbre. Le vent apparait saoul de vide à l’intérieur du sommeil de silence de l’arbre.

 

 

 

« Répéter un arbre jusqu’au ciel. Répéter un ciel jusqu’à son arbre. »

 

Répéter le sourire de l’arbre jusqu’au hurlement du ciel. Répéter le hurlement de l’arbre jusqu’au sourire du ciel. Répéter le sourire d’obscurité de l’arbre jusqu’au hurlement de clarté du ciel. Répéter le hurlement d’obscurité de l’arbre jusqu’au sourire de clarté du ciel. Répéter le sourire de clarté de l’arbre jusqu’au hurlement d’obscurité du ciel. Répéter le hurlement de clarté de l’arbre jusqu’au sourire d’obscurité du ciel.

 

 

 

« Le ciel est un double de nous qui laisse des traces dans le vouvoiement de nos noyades. »

 

Le ciel vouvoie la noyade du vent. Le ciel vouvoie la noyade de nuages du vent. Le ciel vouvoie la noyade d’arbres du vent. Le ciel vouvoie la noyade de frondaisons du vent. Le ciel vouvoie la noyade d’enthousiasme de vent. Le ciel vouvoie la noyade d’arbres enthousiastes du vent.

 

 

 

« Le vent s’éloigne avec ses roues tordues » « le papillon aux ailes de vide »

 

Le vent s’éloigne avec ses roues de visages. Le vent s’éloigne avec ses roues de vide. Le vent s’éloigne avec les roues de visage du vide. Le vent s’éloigne avec ses roues d’ailes. Le vent s’éloigne avec ses roues de visages ailés. Le vent s’éloigne avec ses roues de vide ailé. Le vent s’éloigne avec les roues de visages du vide ailé.

 

 

 

Le vent a plus d’un arc à son ventre. Le vent dispose d’une multitude d’arcs à l’intérieur de son ventre. Le vent dispose d’un vortex d’arcs à l’intérieur de son ventre. Le vent dispose d’un vortex d’arcs à l’intérieur du bégaiement de son ventre. Le vent dispose d’une ribambelle d’arcs à l’intérieur de la démence de son ventre. Le vent dispose d’un vortex d’arcs à l’intérieur de la démence de son ventre,  à l’intérieur du vide de son ventre, à l’intérieur du vide de démence de son ventre.

 

 

 

« Le soleil revient accompagné d’un arc. »

 

Le vent improvise des arches d’arcs. Le vent improvise les arches d’arcs du vide. Le vent improvise les arches d’arcs du zéro. Le vent compose des arches d’arcs. Le vent compose les arches d’arcs du vide. Le vent compose les arches de d’arcs du zéro. Le vent improvise des arches de flèches. Le vent improvise les arches de flèches du vide. Le vent improvise les arches de flèches du zéro. Le vent compose des arches de flèches. Le vent compose les arches de flèches du vide. Le vent compose les arches de flèches du zéro. Le vent calligraphie des arches de flèches. Le vent calligraphie les arches de flèches du vide. Le vent calligraphie les arches de flèches du zéro.

 

 

 

 

« Le vent trace des carrés longs. »

 

Le vent du temps projette des caresses de carrés. Le vent de sang du temps projette les  caresses de carrés du silence. Le vent d’au revoir du temps projette les caresses de carrés du silence. Le vent d’herbes du temps projette les caresses de carrés du silence. Le vent de sourires du temps projette les caresses de carrés du silence.

 

 

 

Le vent carillonne l’inachèvement du temps. Le vent carillonne le miracle du temps. Le vent carillonne le miracle d’inachèvement du temps. La main du vent carillonne l’inachèvement du temps. La main d’au revoir du vent carillonne le miracle d’inachèvement du temps.

 

 

 

Le vent carillonne les vagins de sang du temps. Le cyclone de silence du vent carillonne les vagins de sang du temps.

 

 

 

« La pornographie des nuages nous fait aimer le vent. »

 

Le vent donne à sentir l’orgie des nuages. Le vent donne à sentir l’orgie d’innocence des nuages. Le vent donne à sentir le magma des nuages. Le vent donne à sentir le magma de magnanimité de nuages. Le vent donne à sentir l’orgie d’innocence magnanime des nuages. Le vent donne à sentir le magma d’innocence des nuages, le magma d’innocence magnanime des nuages.

 

 

 

« Tout vent est un drapeau qui claque. »

 

Savoir porter le vent comme un chapeau. Savoir porter le vent comme un chapeau de vide. Savoir porter le vent comme un chapeau de syncope. Savoir porter le vent comme un chapeau d’évanouissement. Seuls les arbres savent porter le vent comme un chapeau d’évanouissement.

 

 

 

« Vouvoie les choses, la distance qui te sépare d’elles exposera dans le tutoiement de leur pornographie. »

 

Vouvoyer le vent et tutoyer la terre. Vouvoyer le vent et tutoyer la terre le jour. Tutoyer le vent et vouvoyer la terre la nuit.

 

 

 

« La roue du moulin fait un pain de vent qui n’a pas de bouche pour se manger. »

 

La roue du moulin orchestre le pain du vent. La roue du moulin orchestre le pain de poumons du vent. La roue de sourires du moulin orchestre le pain de poumons du vent. La roue de hurlements du moulin orchestre le pain de poumons du vent. La roue de sourires hurlés du moulin orchestre le pain de poumons du vent. La roue de sourires hurlés du moulin orchestre le pain de poumons paralysés du vent, le pain de poumons errants du vent, le pain de poumons paraboliques du vent, le pain de poumons paralysés errants paraboliques du vent.

 

 

 

 

 

« La cloche sonne dans la terre. »

 

La cloche sonne à l’intérieur du souterrain du ciel. La cloche sonne à la fois comme ciel enseveli et comme terre céleste. La cloche sonne comme ciel enseveli et comme cratère céleste. La cloche sonne comme souterrain du ciel. La cloche sonne comme cratère du ciel, comme cratère souterrain du ciel.

 

 

 

« Puis plier l’épée qui crée le son dans la cloche. »

 

La cloche brode une mosaïque d’épées. La cloche enrubanne une mosaïque d’épées. La cloche cueille une mosaïque d’épées. La cloche cueille la mosaïque d’épées du silence. La cloche cueille une mosaïque des couteaux. La cloche cueille la mosaïque de couteaux du silence. La cloche pétrit une mosaïque d’épées. La cloche pétrit la mosaïque d’épées du silence. La cloche pétrit une mosaïque de couteaux. La cloche pétrit la mosaïque de couteaux du silence. 

 

 

 

« Être assis sur la balançoire du vide. »

 

La cloche timbre le vide. La cloche timbre le vide à coups d’épées. La cloche timbre la balançoire du vide. La cloche timbre la balançoire du vide à coups d’épées. La cloche timbre la balançoire d’ombre du vide. La cloche timbre la balançoire d’ombre du vide avec des épées de paix. La cloche timbre la balançoire d’ombre du vide avec les épées de paix du miracle.

 

 

 

La cloche timbre le hurlement de sourire de son ombre. La cloche cueille le hurlement de sourire de son ombre. La cloche cueille le cercueil de sourire de son ombre. La cloche cercueille le hurlement de sourire de son ombre. La cloche hyperbolise le hurlement de sourire de son ombre. La cloche boit le hurlement de sourire de son ombre. La cloche boit de manière hyperbolique. La cloche boit de manière hyperbolique le hurlement de sourire de son ombre.

 

 

 

« Les cloches font tenir le vent debout. »

 

La cloche sculpte le vent. La cloche sculpte le vent du silence. La cloche sculpte le vent de l’extase. La cloche sculpte le vent de silence de l’extase. La cloche sculpte le vent debout de l’extase. La cloche sculpte le vent de silence debout de l’extase.

 

 

 

Les cloches lèchent le sexe du vent. Les cloches lèchent le sexe du vent debout. Les cloches lèchent le vagin du vent. Les cloches lèchent le vagin du vent debout. Les cloches lèchent le clitoris du vent. Les cloches lèchent le clitoris du vent debout. Les cloches cunilinguisent le glas du vent. Les cloches cunilinguisent le glas du vent debout. Les cloches lèchent le glas du vent. Les cloches lèchent le glas du vent debout. Les cloches lèchent le brouhaha du vent. Les cloches lèchent le brouhaha du vent debout. Les cloches lèchent le vagin de brouhaha du vent. Les cloches lèchent le vagin de brouhaha du vent debout.

 

 

 

 

 

« Tout couteau est aussi une blessure qui cherche sa blessure. »

 

Le couteau survient comme blessure inexorable. Le couteau survient comme blessure de la certitude, comme blessure inexorable de la certitude.

 

 

 

Le couteau apparait comme la certitude de la blessure. Le couteau apparait comme la certitude d’une blessure à la recherche d‘une blessure taboue. Le couteau apparait comme la blessure d’une certitude taboue. Le couteau apparait la blessure ambiguë d’une certitude taboue.

 

 

 

« Ne pas répéter la politesse du couteau. »

 

Répéter le couteau avec la clef. Répéter la politesse du couteau. Répéter la politesse du couteau avec l’enthousiasme de la clef. Répéter l’enthousiasme du couteau. Répéter l’enthousiasme du couteau avec la politesse de la clef.

 

 

 

« On recueille lentement ce qui est rouge. »

 

Cueillir la couleur avec la clef. Cueillir le hurlement de la couleur. Cueillir le hurlement de la couleur avec le sourire de la clef. Cueillir le hurlement de démesure de la couleur. Cueillir le hurlement de démesure de la couleur avec le sourire d’ascèse de la clef.

 

 

 

« Placer des cœurs au ralenti dans chaque chose puis arrache-les vivants avec un couteau. »

 

Projeter un cœur au ralenti à l’intérieur de chaque chose. Projeter le couteau d’un cœur à l’intérieur de chaque chose. Projeter le couteau au ralenti d’un cœur à l’intérieur de chaque chose. Projeter le couteau au ralenti d’un cœur à l’intérieur de chaque chose afin d’affirmer le crâne d’immortalité du sang. Projeter le couteau de lenteur d’un cœur à l’intérieur de chaque chose afin de donner à sentir le crâne d’immortalité de son sang.

 

 

 

 

 

« Les mots sont des bombes que l’on cache dans les berceaux. »

 

Bercer les bombes. Bercer les bombes avec le crâne. Bercer les bombes avec le sourire du crâne. Bercer les bombes avec le sourire d’ascèse du crâne. Bercer les bombes avec la roue du crâne. Bercer les bombes avec la roue de sourires du crâne. Bercer les bombes avec la roue d’ascèse du crâne. Bercer l’iceberg. Bercer l’iceberg avec le crâne. Bercer l’iceberg avec le sourire du crâne. Bercer l’iceberg avec la roue de sourires du crâne.

 

 

 

« Les bébés sont des planètes dans leur cycle. »

 

Les bébés apparaissent comme des planètes d’herbes. Les bébés apparaissent comme des planètes de sang. Les bébés apparaissent comme les planètes d’herbes du sang. Les bébés reposent comme les planètes d’herbes du sang. Ecrire comme une planète. Ecrire comme une planète d’herbes. Ecrire comme la planète du sang. Ecrire comme la planète d’herbes du sang.

 

« Nous attendons nos naissances dans des enfances fiancées. »

 

Fiancer l’enfance. Fiancer l’enfance au futur. Fiancer l’enfance au sourire du futur. Fiancer l’enfance au vide du futur. Fiancer l’enfance au sourire de vide du futur. Fiancer l’enfance à la roue du futur. Fiancer l’enfance à la roue de sourires du futur. Fiancer l’enfance à la roue de vide du futur. Fiancer l’enfance au zéro du futur. Fiancer l’enfance au sourire de zéro du futur. Fiancer l’enfance à la roue de zéro du futur. Fiancer l’enfance à l’érosion. Fiancer l’enfance à l’érosion du futur. Fiancer l’enfance au sourire d’érosion du futur. Fiancer l’enfance à la roue d’érosion du futur. Fiancer l’enfance au zéro d’érosion du futur. Fiancer l’enfance au feu du futur. Fiancer l’enfance au sourire de feu du futur. Fiancer l’enfance à la roue de feu du futur. Fiancer l’enfance au feu de vide du futur. Fiancer l’enfance au feu de zéro du futur. Fiancer l’enfance au feu d’érosion du futur.

 

 

 

 

 

« Le linge étendu peut être une écriture géante. »

 

S’adonner aux roues du linge. S’adonner aux roues de la fraicheur. S’adonner aux roues de linge de la fraicheur. Le vent à l’intérieur des arbres s’adonne aux roues de la fraicheur. Le vent à l’intérieur des arbres s’adonne aux roues de linge de la fraicheur.

 

 

 

« Les linges sanglants des labyrinthes sont des chapeaux. »

 

Pétrir le labyrinthe du linge. Pétrir le labyrinthe de linge de la certitude. Savoir comment pétrir le labyrinthe du linge de la certitude. Savoir comment pétrir le labyrinthe du linge avec le crâne. Savoir comment pétrir le labyrinthe de linge de la certitude avec le sourire du crâne. Savoir comment pétrir le labyrinthe de linge de la certitude avec le sourire d’ombre du crâne.

 

 

 

« Repasse la mort comme une chemise propre. »

 

Jeter son immortalité par terre comme un slip déchiré. Jeter son immortalité entre terre et ciel. Jeter son immortalité entre terre et ciel comme un slip déchiré. Jeter son immortalité entre terre et ciel comme le slip déchiré de l’impeccable. Jeter son immortalité entre terre et ciel comme le slip déchiré du silence impeccable.

 

 

 

 

 

« Faire la tournée des cimetières. »

 

Faire la tournée des cimetières avec le manège de l’océan. Faire la tournée des cimetières avec le manège de tapis-volants de l’océan. Faire la tournée des cimetières avec le manège de tapis-volants du volcan.

 

 

 

« Ouvre cette tombe, au fond tu verras la mer. »

 

Ouvrir la tombe afin d’y voir l’océan des os. Ouvrir la tombe afin d’y voir l’océan de tact des os. Ouvrir la tombe afin d’y découvrir l’océan d’étoiles des os. Ouvrir la tombe afin d’y découvrir l’océan d’insouciance des os. Ouvrir la tombe afin d’y découvrir l’océan de tact insouciant des os, l’océan d’étoiles insouciantes des os.

 

 

 

Les tombeaux bercent les squelettes. Les tombeaux bercent le sourire des squelettes. Les tombeaux bercent le sourire de l’homme approximatif. Les tombeaux bercent le sourire d’homme approximatif des squelettes.

 

 

 

« Envahir les cimetières et écrire au crayon des épitaphes sur des tombes prises au hasard. »

 

Savoir comme poser une tombe au sommet d’une épitaphe. Ecrire à la surface de la parole. Ecrire à la surface de la parole comme savoir poser une tombe au sommet d’une épitaphe. Ecrire à la surface de la parole comme poser le météore d’une tombe. Ecrire à la surface de la parole comme poser le météore d’une tombe au sommet du vide. Ecrire à la surface de la parole comme poser le météore d’insouciance d’une tombe au sommet du sommeil du vide.

 

 

 

 

 

« Un miroir est toujours le sourire d’un mort. »

 

Le miroir révèle le rire d’un mort. Le miroir révèle le rire muet d’un mort. Le miroir révèle le rire de mutisme d’un mort.

 

 

 

« La mort est notre ultime clairvoyance. »

 

Il n’y a pas de clairvoyance de la mort. Il n’y a pas de lucidité de la mort. La mort n’est qu’un événement, un événement banal et vulgaire qui ne révèle rien.

 

 

 

« Quand un mort commence-t-il à mourir ? »

 

Il n’y a pas de commencement de la mort. La mort est ce qui finit sans jamais commencer. La mort est ce qui finit sans avoir jamais commencé. La mort est ce qui omet le commencement. La mort est la folie d’omettre le commencement. La mort est la fatigue d’omettre le commencement. La mort est la fatigue infinie d’omettre le commencement.

 

 

 

« On ne nait parmi les morts qu’un seule fois. »

 

Savoir mourir parmi les non-naissances. Savoir mourir parmi les non-naissances par le zéro fois. Savoir mourir parmi les non-naissances à la suite du zéro fois. Savoir mourir parmi les non-naissances à la suite du sourire du zéro fois.

 

  

 

 

 

« Saisir tout le ciel et l’ajouter à une poubelle. »

 

Ebrouer le cerveau. Ebrouer le cerveau comme une poubelle. Ebrouer le cerveau comme poubelle du ciel. Ebrouer le cerveau comme poubelle radieuse du ciel. Ebrouer le cerveau comme poubelle de radiation du ciel. Ebrouer le cerveau comme poubelle d’éblouissements du ciel.

 

 

 

« Même dans une poubelle, le pain est toujours neuf. »

 

Utiliser la poubelle comme piedestal. Utiliser la poubelle comme piedestal du pain. Utiliser la poubelle du hurlement comme piedestal du sourire. Utiliser la poubelle du sourire comme piedestal du hurlement. Utiliser la poubelle de l’ombre comme piedestal du pain. Utiliser la poubelle de hurlement de l’ombre comme piedestal de sourire du pain. Utiliser la poubelle de sourire de l’ombre comme piedestal de hurlement du pain.

 

 

 

« Poubelle qu’il faut sortir devant la maison. »

 

Utiliser la poubelle de l’éblouissement comme paratonnerre de son ombre. Utiliser la poubelle de son ombre comme paratonnerre de sa parole, comme paratonnerre de sa parole tacite. Utiliser la poubelle de son ombre comme paratonnerre de son éloquence, comme paratonnerre de son éloquence tacite.

 

 

 

 

 

« Le soleil est une chaussure qui joue à la balle avec le chemin. »

 

Le soleil joue à la balle avec l’espace. Le soleil joue à la balle avec le ciel. Le soleil joue au ballon avec l’espace. Le soleil joue au ballon avec l’espace. Le soleil joue au ballon avec l’espace du ciel. Le soleil joue au ballon avec le temps du ciel. Le soleil joue au ballon avec l’espace de temps du ciel.

 

 

 

« Faire rouler le soleil au milieu de ses mégots. »

 

Rouler le soleil comme une cigarette. Rouler la cigarette du soleil. Rouler le ciel comme une cigarette. Rouler la cigarette du ciel. Le soleil roule la cigarette du ciel.

 

 

 

« Un charcutier désosse le soleil. »

 

Désosser le soleil avec son désir. Désosser le ciel avec la chance de son désir. Désosser le soleil avec le chant de son désir. Désosser le soleil avec la poussière de son désir. Désosser le soleil avec le chant de poussière de son désir. Désosser le soleil avec le chant de tact de son désir, avec le chant de hurlements de son désir, avec le chant de tact hurlé de son désir.

 

 

 

 

 

Les mâchoires chantent le repas des échelles. Les mâchoires chantent le repas de fumée des échelles. Les mâchoires chantent le repas d’étincelles des échelles. Les mâchoires chantent la fumée d’étincelles des échelles. La main des mâchoires chante le repas des échelles. La main d’harmonica des mâchoires chante la fumée d‘étincelles des échelles.

 

 

 

« Les boulangers ont parfois des ailes de pain. »  

 

Les boulangers ébrouent des ailes de pain. Les boulangers ébrouent les ailes de pain du désespoir. Les boulangers ébrouent les ailes de pain du bonheur. Les boulangers ébrouent les ailes de pain du bonheur désespéré. Les boulangers ébrouent les ailes de pain du désespoir heureux. 

 

 

 

 

 

« Nous vendangeons le vide : c’est ce que nous appelons voir. »

 

Le vagin vendange le vide. Le vagin vendange le vide du crâne. La main du vagin vendange le vide du crâne.

 

 

 

« Ouvrir des vagins de temps pour nommer le monde avec des règles menstruelles. »

 

Ouvrir des vagins de temps afin de prénommer le monde. Ouvrir les vagins de couleur du temps. Ouvrer les vagins de couleur du temps afin de prénommer le silence du monde. Ouvrir les vagins du temps afin de prénommer la démesure du monde. Ouvrir les vagins de couleur du temps afin de prénommer la démesure de silence du monde. 

 

 

 

Ouvrir des vagins de temps pour prénommer le monde. Ouvrir des vagins de temps pour prénommer le silence du monde. Ouvrir les vagins de sang du temps. Ouvrir les vagins de sang du temps pour prénommer le séisme de silence du monde. Ouvrir les vagins de sang du temps pour prénommer le cyclone de silence du monde.

 

 

 

 

 

« Peigner son sexe. »

 

Peigner son sexe avec son prénom. Peigner son sexe avec le sourire de son prénom. Peigner  le hurlement de son sexe avec le sourire de son prénom. Peigner le sourire de son sexe avec le hurlement de son prénom. Peindre son sexe avec son prénom. Peindre le hurlement de son sexe avec le sourire de son prénom. Peindre le sourire de son sexe avec le hurlement de son prénom. Calligraphier son sexe avec son prénom. Calligraphier le hurlement de son sexe avec le sourire de son prénom. Calligraphier le sourire de son sexe avec le hurlement de son prénom.

 

 

 

« Changer le sexe des choses pour changer de langue. »

 

Transformer le sexe des choses. Transformer le sexe des choses à l’intérieur du feu. Transformer le sexe des choses avec le hurlement du feu. Transformer le sexe des choses avec le sourire du feu. Transformer le sexe des choses avec les hurlements de sourires du feu. Transformer le sexe des choses à l’intérieur de la main du feu. Transformer le sexe des choses à l’intérieur de la main de démesure du feu. Transformer le sexe de hasard des choses. Transformer le sexe de hasard des choses à l’intérieur de la main de démesure du feu.

 

 

 

 

 

« Dans un visage il y a toujours un autre visage qui meurt. »

 

A l’intérieur d’un visage il y a toujours un autre visage qui meurt et un cul inconnu qui apparait immortel.

 

 

 

« L’hélicoptère et le cheval montent et descendent le long des poteaux et s’enculent dans la fête. »

 

Enculer le ciel avec l’hélicoptère. Enculer les yeux du ciel. Enculer les yeux du ciel avec l’hélicoptère. Enculer les yeux du ciel avec le sourire de l’hélicoptère. Enculer les yeux de vide du ciel avec le sourire de hurlement de l’hélicoptère.

 

 

 

« Ils ont les mains pleines de cheveux et de chewing-gum. »

 

Savoir comment lire un album de photos avec un hélicoptère de chewing-gums. Savoir comment décrypter un album de photos avec un hélicoptère de chewing-gums.

 

 

 

 

 

« Comment faire vomir un cerveau. »

 

 Le cerveau vomit des étincelles. Le cerveau vomit son ombre. Le cerveau vomit les étincelles de son ombre.

 

 

 

« Les déguisements rationnels n’ont pas de coutures. »

 

 Les déguisements rationnels ne sont portés que par les mannequins de la maladie. Les déguisements rationnels ne sont portés que par les mannequins des épidémies.

 

 

 

« Les hommes ne veulent pas avoir des souvenirs. Chaque matin ils enterrent le même oiseau dans le vent. »

 

Le souvenir ensevelit l’oiseau. Le souvenir ensevelit l’oiseau à l’intérieur du vent. Le souvenir ensevelit l’oiseau à l’intérieur de l’abolition du vent. Le souvenir ensevelit l’oiseau à l’intérieur de la surdité du vent. Le souvenir ensevelit l’oiseau à l’intérieur des yeux du vent. Le souvenir ensevelit l’oiseau à l’intérieur des yeux sourds-muets du vent. Le souvenir ensevelit l’oiseau à l’intérieur des yeux d’absurdité du vent.

 

 

 

 « Les lanternes n’entendent pas. »

 

Les lanternes restent sourdes. Les lanternes restent sourdes à la lumière qu’elles proposent. Les lanternes proposent une lumière sourde-muette.

 

 

 

 

 

« L’amande est notre amante. »

 

L’amande apparait comme l’amante du miracle. L’amande attend comme l’amante du miracle. L’amande aime le miracle. L’amande aime la toupie du miracle. L’amande aime la toupie allongée du miracle. L’amande aime l’attente du miracle. L’amande aime la toupie d’attente du miracle. L’amande aime la toupie d’attente allongée du miracle. L’amande aime  le tact du miracle. L’amande aime la toupie de tact du miracle. L’amande aime le tact allongé du miracle. L’amande aime la toupie de tact allongé du miracle.

 

 

 

« Les olives sont des monnaies que le vent vole dans les arbres. Le voleur et le volé conjuguent le verbe qui les unit d’un seul coup de corbeau à tous les temps. »

 

L’olive révèle l’œil du corbeau. L’olive révèle l’œil de rêve du corbeau.

 

 

 

« Une fleur tient un petit chien par la main. »

 

Seul le zéphyr sait comment tenir une fleur par la main. Seul le zéphyr ait comment tenir les paupières d’une fleur par la main.

 

 

 

« La honte peut être le privilège des fleurs. »

 

Etudier la honte de fleurs. Etudier la honte des fleurs avec le scalpel de ses cils. Etudier la honte des fleurs avec le hasard de ses cils. Etudier la honte des fleurs avec l’éternuement de ses cils. Etudier la honte des fleurs avec le hasard d’éternuement de ses cils. Etudier la honte des fleurs avec la frivolité de ses cils. Etudier la honte des fleurs avec le hasard de frivolité de ses cils. Etudier la honte des fleurs avec l’éternuement de frivolité de ses cils.

 

 

 

« Un champ de coquelicots peut devenir la pornographie de la lumière. »

 

La toupie ausculte la pornographie des coquelicots. La toupie ausculte le sourire de pornographie des coquelicots.

 

 

 

 

 

« Les abeilles fréquentent les ossuaires. »

 

Les abeilles auscultent les squelettes. Les abeilles auscultent les squelettes de l’ombre. Les abeilles auscultent les sourires de l’ombre. Les abeilles auscultent les squelettes de sourires de l’ombre. Les abeilles auscultent les statues. Les abeilles auscultent les statues de l’ombre. Les abeilles auscultent les statues de sourires de l’ombre.

 

 

 

« Les oiseaux font des bruits de volets ouverts. »

 

Les oiseaux volent avec des bruits de paupières. Les oiseaux volent avec des bruits de paupières éperdues. Les oiseaux volent avec des bruissements de paupières éperdues. Les oiseaux volent avec des bruissements de soie oisive. Les oiseaux volent avec des bruissements de soie oisive de paupières éperdues.

 

 

 

« Chaque corbeau est une photo qui vole dans le ciel des développements. »

 

Le corbeau vole comme un appareil photo. Le corbeau vole comme un papier carbone. Le corbeau vole comme un appareil-photo de papier carbone.

 

 

 

« Les chats jouent avec la lumière. »

 

Les chats jouent avec la clarté. Les chats jouent avec les sourires de la clarté. Les chats jouent avec les vortex de la clarté. Les chats jouent avec les vortex de sourires de la clarté. Les chats jouent avec les tourbillons de la clarté. Les chats jouent avec les tourbillons de sourires de la clarté. Les chats jouent avec les toupies de la clarté. Les chats jouent avec les toupies de sourires de la clarté. Les chats jouent avec le séisme de la clarté. Les chats avec le séisme de sourires de la clarté.

 

 

 

« Les chats lavent le dieu de l’obscurité en dormant. »

 

Les chats chantent l’obscurité avec leur sommeil. Les chats chantent l’obscurité avec le miracle de leur sommeil. Les chats chantent l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent le magma de terreur de l’obscurité. Les chats chantent le magma de terreur de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent le séisme de malédiction de l’obscurité. Les chats chantent le séisme de malédiction de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent la catastrophe de feu de l’obscurité. Les chats chantent la catastrophe de feu de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent la catastrophe de démence de l’obscurité. Les chats chantent la catastrophe de démence de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent le schéma de catastrophe de l’obscurité. Les chats chantent le schéma de catastrophe de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent le schéma de terreur de l’obscurité. Les chats chantent le schéma de terreur de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent le schéma de séisme de l’obscurité. Les chats chantent le schéma de séisme de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent le schéma de malédiction de l’obscurité. Les chats chantent le schéma de malédiction de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil. Les chats chantent le schéma de démence de l’obscurité. Les chats chantent le schéma de démence de l’obscurité avec le miracle de tact de leur sommeil.

 

 

 

« Pour raconter ses rêves il faut être infiniment éveillé. »

 

Raconter ses rêves à son chien et évoquer ses éveils à son chat. Raconter ses rêves uniquement à son chien et évoquer ses éveils uniquement à son chat. 

 

 

 

« Mélanger des aboiements à toutes les révolutions » « et ensuite faire un sandwich de réalité »

 

Aboyer jusqu’à inventer des sandwichs de verre. Aboyer jusqu’à inventer les sandwichs de la révolution. Aboyer jusqu’à inventer les sandwichs de verre de la révolution. Aboyer jusqu’à inventer les sandwichs de verre du rêve. Aboyer des chats dans la gorge. Aboyer des chats dans la gorge jusqu’à inventer les sandwichs de verre du rêve. Aboyer des chats sur la langue. Aboyer des chats sur la langue afin d’inventer les sandwichs de verre du rêve. Aboyer des chats sur la gorge de la langue comme sur la langue de la gorge afin d’inventer les sandwichs de verre du rêve.

 

 

 

« Parfois un escargot hallucinogène va plus vite qu’une seringue. »

 

Transformer l’escargot en seringue. Transformer l’escargot en seringue du silence.  Transformer l’escargot en seringue de l’orage. Transformer l’escargot en seringue de l’orgasme. Transformer l’escargot en seringue de l’extase. Transformer l’escargot en seringue de silence de l’orage. Transformer l’escargot en seringue de silence de l’orgasme. Transformer l’escargot en seringue de silence de l’extase. Transformer l’escargot en seringue de l’ascèse. Transformer l’escargot en seringue d’ascèse de l’orage. Transformer l’escargot en seringue d’ascèse de l’orgasme. Transformer l’escargot en seringue d’ascèse de l’extase. Transformer l’escargot en seringue de la sérénité. Transformer l’escargot en seringue de sourire de la sérénité. Transformer l’escargot en seringue de hurlement de la sérénité, en seringue de sourire hurlé de la sérénité. Transformer l’escargot en seringue de sérénité de l’orage. Transformer l’escargot en seringue de sérénité de l’orgasme. Transformer l’escargot en seringue de sérénité de l’extase.

 

 

 

« Aimer les ânes : ils sont les saxos qui annoncent le jour. »

 

 L’âne apparait comme le saxophone du pain. L’âne bégaie le saxophone du pain. L’âne bégaie le saxophone saxifrage du pain. L’âne bégaie le tonnerre du pain. L‘âne bégaie le saxophone de tonnerre du pain, le saxophone de tonnerre saxifrage du pain. L’âne bégaie le saxophone d’ascèse du pain, le saxophone d’ascèse saxifrage du pain. L’âne bégaie le saxophone de pain de l’ainsi. L’âne bégaie le saxophone d’ascèse de l’ainsi. L‘âne bégaie le saxophone de pain saxifrage de l’ainsi. L’âne bégaie le saxophone d’ascèse saxifrage de l’ainsi. 

 

 

 

« Le cul des vaches est un réservoir d’imaginaire. »

 

Le cul des animaux apparait comme le lieu de l’imagination. Le cul de animaux exclame le lieu de l’imagination. Le cul des animaux exclame l’avoir lieu de l’imagination. Le cul des animaux exclame le miracle de l’imagination. Le cul des animaux exclame le miracle d’avoir lieu de l’imagination.