Jackson Pollock, Apocalypse du Calme.

 

 

 

 

 

 

 

Pollock approche l’espace par projection. Pollock affirme la projection comme approche de l’espace.

 

 

 

Pollock présente la projection comme il projette la présence. Pollock donne à sentir la présence projectile du monde. La peinture de Pollock jaillit comme silence projectile du cosmos.

 

 

 

Pollock peint comme il multiplie des trajectoires de silence. Pollock peint comme il multiplie les trajectoires de silence de la couleur.

 

 

 

Pollock peint la paix illimitée de la chute. Pollock peint le courage de paix d’apparaitre jeté ici-bas. Pollock peint le courage de paix illimitée d’apparaitre jeté au monde par miracle.

 

 

 

Pollock projette l’approche. Pollock projette la chute. Pollock projette l’approche de la chute. Pollock projette l’alcool de la chute, l’approche d’alcool de la chute. Pollock projette l’approche de chute de la couleur.

 

 

 

Pollock projette le repos du lieu, le repos d’alcool du lieu. Pollock projette le repos de la chute, le repos d’alcool de la chute, le repos de chute de la couleur.

 

 

 

Il y a une obscénité sublime de Pollock. Pollock invente la forme sublime de l’obscénité comme la forme obscène du sublime. Pollock parvient à donner une forme à l’espace par éjaculation. Pollock parvient à donner une forme à l’espace par éjaculation de couleurs. Pollock parvient à donner une forme à la trajectoire d’immobilité de l’espace par éjaculation tournoyante de couleurs, par éjaculation tourbillonnante de couleurs.

 

 

 

 

 

Pollock ne jette pas la peinture à l’intérieur de l’espace, Pollock jette plutôt l’espace comme peinture.

 

 

 

Pollock improvise l’espace. Pollock improvise la projection de l’espace. Pollock improvise l’éjaculation de l’espace. Pollock improvise la projection de l’espace par le geste de provoquer le tournoiement d’alcool du temps.

 

 

 

Pollock improvise l’espace par le geste de viser l’espace avec volupté, par le geste de viser l’espace avec la volupté du sang. Pollock improvise l’espace par le geste de viser l’espace avec l’éjaculation du sang, avec l’éjaculation d’alcool du sang.

 

 

 

Pollock improvise le calme. Pollock improvise le calme de l’espace. Pollock architecture le calme par le tourbillon. Pollock architecture l’apocalypse du calme par un tourbillon d’improvisations, par un tourbillon d’improvisations taboues. Pollock improvise le calme de l’espace par le geste d’architecturer le tourbillon de l’alcool, par le geste d’architecturer le tourbillon de tabous de l’alcool, par le geste d’architecturer le tohu-bohu de l’alcool, par le geste d’architecturer le tohu-bohu de la couleur, par le geste d’architecturer le tohu-bohu d’alcool de la couleur.

 

 

 

Pollock peint la pulsion de l’espace, la pulsion d’apparaitre l’espace. Pollock peint la pulsion d’apparaitre de l’espace comme une cathédrale gothique, une cathédrale gothique rythmée par l’enthousiasme du temps.

 

 

 

Pollock affirme la pulsion de vouloir en venir de l’espace. Pollock affirme la pulsion de vouloir en venir de l’espace comme tourbillon de virtuosité, comme tourbillon de virtuosité de l’alcool, comme tourbillon de virtuosité de la démesure.

 

 

 

Pollock s’adonne à l’espace. Pollock s’adonne à la prolifération de l’espace. Pollock s’adonne à la prolifération d’alcool de l’espace. Pollock s’adonne à la démesure de l’espace, à la démesure d’alcool de l’espace. Pollock s’adonne à la démesure de l’espace par la volupté d’alcool du temps.

 

 

 

Pollock extrapole le vol en éclats de l’espace. Pollock extrapole le volcan de l’espace, le volcan de vol en éclats de l’espace.

 

 

 

Pollock catapulte l’alcool de l’espace. Pollock catapulte les trajectoires d’alcool de l’espace. Pollock catapulse les trajectoires d’alcool de l’espace.

 

 

 

Pollock approche l’espace par les trajectoires de la démesure. Pollock approche l’espace par les trajectoires d’alcool de la démesure. Pollock approche l’espace de l’intérieur. Pollock approche l’espace de sa marge intérieure, de sa marge d’alcool intérieure.

 

 

 

Pollock pare l’espace avec des projections de paralysie. Pollock pare l’espace avec des vortex de paralysie, avec des vortex de paralysie projectile. Pollock pare l’espace avec des trajectoires de paralysie, avec des trajectoires d’alcool, avec des trajectoires d’alcool paralysé, avec des trajectoires d’alcool paralysé projectile.

 

 

 

Pollock pare l’espace avec des explosions de paralysie, avec des implosions de paralysie, avec des explosions de paralysie superflues, avec des implosions de paralysies superflues.

 

 

 

Pollock projette des coïncidences de paralysie, des coïncidences de paralysies superflues. Pollock projette des coïncidences d’alcool, des coïncidences d’alcool superflues, des coïncidences de paralysie alcoolisées, de coïncidences de paralysie alcoolisées superflues.

 

 

 

Pollock paraphe l’espace avec le vertige de la force de gravitation. Pollock paraphe l’espace avec l’évanouissement de la force de gravitation, avec la syncope de la force de gravitation, avec la syncope d’alcool de la force de gravitation.

 

 

 

 

 

Pour Pollock, le fil apparait comme l’ouverture, le fil apparait comme la déchirure. Pour Pollock, la disparition de l’espace apparait comme le fil de la déchirure, comme le fil de démesure de la déchirure. Pour Pollock, le fil affirme l’immense, le fil affirme la déchirure de l’immense.

 

 

 

Pour Pollock, l’espace s’embobine à l’intérieur de son déroulement même. Pour Pollock, l’espace s’embobine à l’intérieur du déroulement démesuré de sa syncope, à l’intérieur du déroulement démesuré de son vertige.

 

 

 

Pour Pollock, le temps et l’espace apparaissent comme deux forces d’une seule ouverture,    l’ouverture d’envol de la paralysie, l’ouverture de l’immobilité projectile, l’ouverture d’envol de l’immobilité projectile. Pour Pollock, le temps et l’espace apparaissent comme deux forces de la démesure de l’ouvert, de la démesure d’envol de l’ouvert.

 

 

 

A l’intérieur de la peinture de Pollock, l’espace tombe à la fois à l‘intérieur de son dos comme à l‘intérieur du ventre de sa disparition.

 

 

 

Pollock écoute le bruit de l’espace à l’intérieur du dos de la couleur. Pollock écoute le bruit de source de l’espace à l’intérieur du dos d’alcool de la couleur. Pollock peint le tas de sources de l’espace, le séisme de sources de l’espace, le tas de sources de l’espace jailli à l’intérieur du dos d’aveuglement de l’alcool, à l’intérieur du dos d’aveuglement de la couleur, à l’intérieur du dos d’aveuglement de l’alcool comme de la couleur.

 

 

 

Pollock trajecte l’espace jusqu’à ce que l’espace apparaisse comme surface de profil de l’alcool, comme surface de profil de la couleur, comme surface de profil et parfois même surfil de proface de l’alcooleur.

 

 

 

 

 

Pollock attouche l’espace. Pollock projette les attouchements de l’espace. Pollock projette la prolifération d’attouchements de l’espace, la prolifération d’attouchements alcooliques de l’espace.

 

 

 

Pollock attouche l’espace avec le lasso de son pinceau. Pollock attouche l’espace avec le lasso-microscope de son pinceau. Pollock attouche la projection de l’espace avec le toboggan-télescope de sa main.

 

 

 

Pollock essaie d’attraper l’espace au lasso. Pollock essaie d‘attraper l’espace avec le lasso de sa lascivité, avec le lasso de lascivité de l’alcool, avec le lasso de l’éjaculation, avec le lasso de lascivité de l’éjaculation, avec le lasso de lascivité de l’alcool éjaculé.

 

 

 

La peinture de Pollock affirme la forme paradoxale d’un vouloir non-saisir, d’un vouloir toucher sans posséder. Pollock ne possède pas l’espace, Pollock tombe en possession de l’espace. Pollock tombe en possession de l’alcool de l’espace, des aléas d’alcool de l’espace. Pollock tombe en possession des herbes de l’espace, des herbes d’alcool de l’espace. Pollock tombe en possession de la démesure de l’espace, de la démesure d’alcool de l’espace. Pollock tombe en possession comme en pamoison de la démesure d’alcool de l’espace, de la démesure de tact saoul de l’espace.

 

 

 

 

 

Pollock projette la pulsation de la monotonie, la pulsation d’alcool de la monotonie.

 

 

 

Pollock projette les pulsations de la volonté, les pulsations d’alcool de la volonté. Pollock projette l’insouciance de la volonté, les pulsations d’insouciance de la volonté, les pulsations d’alcool insouciant de la volonté.

 

 

 

Pollock projette la sensualité de l’épouvante. Pollock catapulse l’épouvante. Pollock catapulse l’aisance de l’épouvante, la candeur de l’épouvante, l’aisance de candeur de l’épouvante.

 

 

 

Pollock projette l’élan de la lenteur. Pollock projette l’alcool de la lenteur, l’élan d’alcool de la lenteur. Pollock projette la pesanteur. Pollock projette l’extase de la pesanteur, l’extase d’alcool de la pesanteur.

 

 

 

Pollock catapulte la chute. Pollock catapulte l’alcool de la chute. Pollock catapulte la coquetterie de la chute, la coquetterie d’alcool de la chute. Pollock catapulte la coquetterie d’alcool de la pesanteur. Pollock catapulse la coquetterie d’alcool de la pesanteur.

 

 

 

Pollock improvise le geste de s’envoler par terre. Pollock improvise la jubilation de s’envoler par terre. Pollock improvise la bestialité heureuse de s’envoler par terre.

 

 

 

Pollock répond par le vertige. Pollock répond par l’alcool du vertige, par l’alcool de vertige de la couleur. Pollock répond par la syncope. Pollock répond par la syncope de la couleur, par la syncope d’alcool de la couleur. Pollock répond par la syncope de l’apocalypse. Pollock répond par la syncope d’apocalypse de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock donne à sentir la nébuleuse d’imminence de l’espace. Pollock donne à sentir la nébuleuse de déchirures de l’espace, la nébuleuse de déchirures imminentes de l’espace.

 

 

 

Pollock donne à sentir la pudeur de l’espace. Pollock donne à sentir la pudeur de l’espace par le geste de multiplier des trajectoires d’alcool, des trajectoires d’alcool catapulsé, par le geste de multiplier les trajectoires d’alcool catapulsé de la couleur. Pour Pollock, la pudeur de l’espace n’est pas une pudeur du visage, la pudeur de l’espace apparait comme une pudeur du dos.

 

 

 

Pour Pollock, l’espace prend un bain à l’intérieur de la trajectoire de l’alcool, à l’intérieur de la trajectoire de la couleur. Pour Pollock, l’espace prend un bain de syncopes à l’intérieur de la trajectoire d’alcool de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock éjacule la prolifération de coïncidences de l’espace.

 

 

 

Pollock éjacule l’espace comme trajectoire de la couleur. Pollock éjacule l’espace comme trajectoire de l’alcool, comme trajectoire d’alcool de la couleur.

 

 

 

Pollock éjacule la peau de l’espace. Pollock éjacule la peau d’alcool de l’espace. Pollock éjacule la peau d’alcool de l’espace comme déhiscence de la démesure, comme déhiscence de la démesure immédiate. Pollock éjacule la peau d’alcool de l’espace comme trajectoire de silence de la couleur.

 

 

 

Pollock éjacule la cathédrale de l’espace. Pollock éjacule la cathédrale d’alcool de l’espace. Pollock éjacule la cathédrale de syncopes de l’espace. Pollock éjacule la cathédrale d’alcool  syncopé de l’espace.

 

 

 

Pollock éjacule la candeur cyclopéenne de l’alcool. Pollock éjacule la lascivité cyclopéenne de l’alcool, la candeur de lascivité cyclopéenne de l’alcool.

 

 

 

Pollock éjacule le cyclone. Pollock éjacule le cyclone du sang. Pollock éjacule le cyclone d’alcool du sang. Pollock éjacule le sang du dehors. Pollock éjacule le cyclone de sang du dehors. Pollock éjacule la démesure de sang du dehors. Pollock éjacule le volcan du dehors, le volcan d’alcool du dehors.

 

 

 

Pollock éjacule la syncope du calme. Pollock éjacule l’apocalypse du calme. Pollock éjacule la syncope d’apocalypse du calme.

 

 

 

Pollock éjacule l’alcool d’apocalypse du calme. Pollock éjacule l’apocalypse de la couleur. Pollock éjacule l’apocalypse de calme de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock projette la syncope de l’espace comme visage du temps. Pollock projette la syncope d’alcool de l’espace comme visage de sang du temps.

 

 

 

Pollock sculpte la respiration de l’espace avec l’hémorragie du temps. Pollock sculpte la respiration de l’espace avec l’éjaculation du temps, avec l’éjaculation de sang du temps, avec l’éjaculation d’alcool du temps. Pollock sculpte la respiration de l’espace par l’avalanche de solitude du temps.

 

 

 

Pollock éjacule l’espace. Pollock éjacule l’espace comme trajectoire du temps, comme trajectoire d’apocalypse du temps. Pollock éjacule l’espace comme scandale du temps, comme scandale d’hémorragie du temps, comme scandale d’alcool du temps.

 

 

 

Pollock envisage le temps par le geste d’éjaculer l’espace. Pollock envisage le temps par le geste d’éjaculer le sang de l’espace. Pollock éjacule le visage du temps comme sang de l’espace et le sang de l’espace comme visage du temps.

 

 

 

Pollock peint le cyclone de l’espace. Pollock peint le cyclone d’imminence de l’espace. Pollock peint le cyclone d’imminence de l’espace à l’abandon. Ou plutôt pour Pollock, le cyclone de l’imminence apparait comme l’enthousiasme de ce qui s’immisce entre le temps et l’espace par prolifération d’esquives monstrueuses. Pour Pollock, le cyclone de l’imminence affirme comme prolifération d’esquives monstrueuses à la fois le temps par l’espace et l’espace par le temps. Pollock insinue ainsi la cataracte d’hémorragie de l’immortalité.

 

 

 

 

 

Pollock éjacule l’approche. Pollock éjacule la caresse. Pollock éjacule l’approche de la caresse. Pollock affirme le geste de caresser avec l’éjaculation. La syncope projectile de Pollock affirme le geste de caresser avec le sperme.

 

 

 

Pollock essaie d’éjaculer sa pudeur. Pollock essaie d’affirmer l’éjaculation comme forme de la pudeur. Pollock essaie de donner à voir la forme de sa pudeur par le tourbillon de ses éjaculations.

 

 

 

Pollock envisage l’éjaculation de la chute comme il éjacule le visage de la lévitation, le visage de l’érection, le visage de la lévitation en érection.

 

 

 

Pollock éjacule la démesure. Pollock éjacule la paix de la démesure. Pollock éjacule la frivolité de la démesure, la frivolité de paix de la démesure. Pollock éjacule la démesure du calme, la démesure d’alcool du calme.

 

 

 

Pollock répète l’espace comme éjaculation du sommeil, comme démesure du sommeil, comme éjaculation de démesure du sommeil.  Pollock répète l’espace comme éjaculation d’alcool du sommeil, comme éjaculation de démesure alcoolisée du sommeil.

 

 

 

Pollock caresse l’espace avec pudeur. Pollock caresse l’apocalypse de l’espace avec une extrême pudeur. Pollock caresse l’imminence de monotonie de l’espace, l’imminence de monotonie de l’apocalypse avec une extrême pudeur.

 

 

 

 

 

Pollock projette la précision. Pollock projette le cyclone de la précision, le cyclone de précision de l’apocalypse. Pollock improvise le cyclone de la précision. Pollock improvise le cyclone de précision de l’apocalypse.

 

 

 

Pollock compose des cyclones d’acquiescements. Pollock compose les cyclones d’acquiescements de l’espace. Pollock compose les cyclones de paralysie de l‘espace.

 

 

 

Pollock improvise des cyclones contemplatifs. Pollock improvise les cyclones contemplatifs  de l’apocalypse. Pollock éjacule les cyclones du calme. Pollock éjacule les cyclones d’exaltation du calme. 

 

 

 

Pollock projette le cyclone de l’alcool. Pollock projette le noli tangere de l’alcool, le cyclone de noli tangere de l’alcool.

 

 

 

Pollock projette le cyclone de paralysie de l’alcool, le cyclone de paralysie de l’apocalypse, le cyclone de paralysie de la couleur.

 

 

 

Pollock rythme l’espace avec des sourires de cyclones. Pollock encense l’espace avec des sourires de cyclones, avec les sourires de cyclones de la couleur.

 

 

 

Pollock sculpte des cyclones. Pollock sculpte des cyclones d’alcool. Pollock sculpte des cyclones d’alcool à mains bues. Pollock sculpte les cyclones de l’apocalypse. Pollock sculpte les cyclones d’alcool de l’apocalypse. Pollock sculpte les cyclones d’alcool de l’apocalypse à mains bues.

 

 

 

Pollock projette la syncope de l’alcool. Pollock projette la syncope d’alcool de l’apocalypse. Pollock projette la syncope d’alcool de l’apocalypse à mains bues.

 

 

 

 

 

Pollock projette le tact de l’apocalypse. Pollock projette le tact d’alcool de l‘apocalypse. Pollock projette la calligraphie de l’apocalypse. Pollock projette la calligraphie de l’alcool, la calligraphie d’alcool de l’apocalypse.

 

 

 

Pollock projette les révérences de tact de l’apocalypse. Pollock éjacule le tact de l’apocalypse, le tact de démesure de l’apocalypse. Pollock compose les éjaculations de tact de l’apocalypse, les éjaculations de démesure de l’apocalypse, les éjaculations de tact démesuré de l’apocalypse. Pollock compose les éjaculations de sommeil de l’apocalypse, les éjaculations de sommeil démesuré de l’apocalypse, les éjaculations de tact alcoolisé, de tact alcoolisé démesuré de l’apocalypse.

 

 

 

Pollock projette le bonjour de la main comme tact d’abandon de l’apocalypse.

 

 

 

Pollock apparait comme l’acrobate de l’apocalypse. Pollock apparait comme l’acrobate de jubilation de l’apocalypse, l’acrobate d’obscénité de l’apocalypse, l’acrobate de jubilation obscène de l’apocalypse.

 

 

 

 

 

Pollock éjacule les herbes de l’apocalypse. Pollock éjacule les herbes d’alcool de l’apocalypse. Pollock éjacule l’aveuglement de l’apocalypse, les herbes d’aveuglement de l’apocalypse, l’alcool d’aveuglement de l’apocalypse, les herbes d’alcool aveugle de l’apocalypse. 

 

 

 

Pollock éjacule le calme. Pollock éjacule le chaos du calme. Pollock éjacule le chaos impeccable du calme. Pollock éjacule l’alcool du calme, l’alcool d’apocalypse du calme, l’alcool d’apocalypse impeccable du calme.

 

 

 

Pollock improvise le calme. Pollock improvise la démesure du calme. Pollock improvise l’alcool du calme, la démesure d’alcool du calme.

 

 

 

Pollock projette l’apocalypse du calme. Pollock improvise l’apocalypse du calme. Pollock improvise le cyclone du calme. Pollock improvise le cyclone d’apocalypse du calme. Pollock éjacule le cyclone d’apocalypse du calme.

 

 

 

 

 

Pollock donne à sentir l’apocalypse de l’innocence, l’apocalypse du plaisir, l’apocalypse d’innocence du plaisir. Pollock donne à sentir l’apocalypse d’innocence du calme, l’apocalypse d’innocence du plaisir calme.

 

 

 

Pollock affirme l’apocalypse de la simplicité, l’apocalypse projectile de la simplicité. Pollock donne à sentir l’apocalypse de la simplicité par la prolifération d’esquives de l’alcool.

 

 

 

Pollock palindromise l’apocalypse. Pollock palindromise l’apocalypse par la trajectoire du silence, par la trajectoire d’alcool du silence.

 

 

 

Pollock caresse l’apocalypse. Pollock caresse l’apocalypse par la couleur. Pollock caresse l’apocalypse par l’alcool de la couleur, par la trajectoire d’alcool de la couleur. Pollock caresse l’apocalypse par l’enthousiasme de la couleur. Pollock caresse l’apocalypse par l’éjaculation de la couleur, par l’éjaculation d’alcool de la couleur.

 

           

 

Pollock caresse l’espace jusqu’à provoquer l’incroyable du calme, jusqu’à provoquer la démesure du calme, la démesure incroyable du calme.

 

 

 

 

 

Pollock projette la sauvagerie du sommeil. Pollock projette le sommeil de la couleur, la sauvagerie de sommeil de la couleur.

 

 

 

Pollock projette la pandiculation giratoire du sommeil. Pollock projette la pandiculation d’alcool du sommeil, la pandiculation d’alcool giratoire du sommeil.

 

 

 

Pollock compose par pandiculation-éjaculation. Pollock compose par pandiculation-éjaculation d’alcool, par pandiculation-éjaculation du sommeil, par pandiculation-éjaculation d’alcool du sommeil.

 

 

 

Pollock improvise la pandiculation de l’apocalypse. Pollock improvise l’éjaculation de l’apocalypse, la pandiculation-éjaculation de l’apocalypse. Pollock improvise la pandiculation-éjaculation d’alcool de l’apocalypse. Pollock improvise la pandiculation-éjaculation d’apocalypse du sommeil.

 

 

 

Pollock improvise l’apocalypse du calme. Pollock improvise la pandiculation d’apocalypse du calme. Pollock improvise l’éjaculation d’apocalypse du calme, la pandiculation-éjaculation d’apocalypse du calme.

 

 

 

 

 

Pollock projette le déluge impeccable du paradis. Pollock projette le déluge impeccable du paradis comme trajectoire d’alcool de la couleur. Pollock projette le déluge de l’alcool comme paradis de la pudeur, pudeur du geste de tomber, pudeur du geste de projeter la chute.

 

 

 

Pollock projette le chaos du paradis. Pollock projette le chaos d’alcool du paradis. Pollock projette le tact du paradis, le chaos de tact du paradis. Pollock projette le tact d’alcool du paradis, le chaos de tact alcoolisé du paradis. Pollock projette le noli tangere du paradis, le chaos de noli tangere du paradis, le noli tangere d’alcool du paradis, le chaos de noli tangere alcoolisé du paradis.

 

 

 

Pollock projette le paradis comme déluge d’alcool du temps. 

 

 

 

 

 

Pollock donne à respirer le silence projectile de la couleur. Pollock provoque l’existence de l’espace par le silence projectile de la couleur.

 

 

 

A l’intérieur de la peinture de Pollock, il n’y a pas d’espace ou de temps antérieurs à la trajectoire de la couleur. A l’intérieur de la peinture de Pollock, il n’y a pas d’espace ou de temps antérieurs à la trajectoire d’alcool de la couleur, à la trajectoire de silence de la couleur.

 

 

 

Pollock éjacule l’espace comme coma du temps et éjacule le temps comme coma de l’espace. Pollock éjacule l’entrelacs de l’espace et du temps comme coma de démesure du cosmos.

 

 

 

Pollock projette l’explosion de silence de la couleur. Pollock éjacule l’espace par la trajectoire d‘alcool de la couleur. Pollock éjacule l’espace comme explosion de silence de la couleur.

 

 

 

Par la trajectoire d’alcool de la couleur, Pollock affirme à la fois la gravitation du monde et l’élan de sa lévitation. Par la trajectoire d’alcool de la couleur, Pollock affirme la gravitation d’aisance du monde comme l’élan d’esquive de sa lévitation.

 

 

 

Pollock provoque un magma de lointains projectiles qui détruit la ligne de l’horizon par grâce alibre de la couleur.

 

 

 

Pollock détruit l’horizon avec les coïncidences de l’alcool. Pollock détruit l’horizon avec le sperme de l’alcool, avec les coïncidences de sperme de l’alcool. Pollock détruit l’horizon avec les coïncidences d’alcool de la couleur.

 

 

 

Pollock détruit l’horizon de manière paisible. Pollock détruit l’horizon par le geste d’éjaculer l’espace, par le geste d’éjaculer l’espace avec une violente pudeur.

 

 

 

Pollock détruit le labyrinthe de l’horizon avec le cyclone du sang, avec le cyclone d’alcool du sang.

 

 

 

 

 

Pollock projette des laps d’alcool. Pollock projette les laps d’alcool de la syncope.

 

 

 

Pollock projette la crampe épanouie de l’alcool. Pollock déploie la musculature épanouie d’une paix d’alcool afin de charmer l’espace à coups de syncopes, afin d’envouter l’espace à coups de syncopes, afin de psalmodier l’espace à coups de syncopes.

 

 

 

Pollock improvise des crampes d’alcool. Pollock improvise les crampes d’alcool de la syncope, les crampes d’alcool de la syncope projectile.

 

 

 

Pollock projette la politesse de l’alcool, la politesse d’exubérance de l’alcool, la politesse  d’extase de l’alcool, la politesse d’enthousiasme de l’alcool.

 

 

 

Pollock jette l’espace au visage de l’alcool. Pollock jette l’espace au visage d’équilibre de l’alcool. Pollock calligraphie la projection d’alcool de l’équilibre.

 

 

 

Pour Pollock, l’espace apparait comme un visage à quatre pattes. Pour Pollock, l’espace apparait comme un visage accroupi, un visage éjaculé, un visage éjaculé accroupi. Pour Pollock, l’espace apparait comme le visage éjaculé accroupi de l’alcool, comme le visage éjaculé accroupi de la couleur.

 

 

 

Pollock tombe par la provocation de ses mains. Pollock tombe par la provocation d’alcool de ses mains. Pollock tombe uniquement par la provocation de pudeur de ses mains, par la provocation de pudeur alcoolisée de ses mains.  

 

 

 

La posture de peindre de Pollock apparait comme celle d’un accroupissement qui bande, comme une forme d’érection accroupie, comme une forme d’accroupissement en érection. Pollock affirme l’érection accroupie de l’alcool, l’érection accroupie d’une paix d’alcool, l’accroupissement en érection d’une paix d’alcool.

 

 

 

Pollock affirme l’obscénité de boire qui multiplie, provoque d’innombrables gestes de pudeur. Pour Pollock, chaque geste apparait comme un geste de pudeur sauf le geste de boire qui apparait comme un geste de féerie obscène.

 

 

 

Pollock a soif d’espace. Pollock a faim de temps. Pollock invente les trajectoires par lesquelles il boit l’espace qui le mange comme il mange le temps qui le boit.

 

 

 

Pollock jette ce qu’il boit au dehors comme esquive catapulsée de la faim. Pollock trajecte à chaque instant les entrailles d’alcool de l’espace. Pour Pollock, l’espace apparait comme la démesure d’un ventre, la démesure d’un ventre qui déguste ses gestes, la démesure d’un ventre qui savoure la multiplicité de ses gestes, la multiplicité des gestes par lesquels il le boit.

 

 

 

Le cosmos d’alcool de Pollock apparait comme un magma d’esquives désinvoltes, un magma d’esquives entrelacées, un magma d’esquives désinvoltes entrelacées. Le cosmos d’alcool de Pollock apparait comme un magma de syncopes, un magma de syncopes désinvoltes entrelacées en dehors de tout.

 

 

 

La peinture de Pollock esquive à la fois la force de gravitation du soleil et la force de gravitation de la terre. La peinture de Pollock apparait ainsi adonnée à la force de gravitation de l’alcool.

 

 

 

 

 

Pollock calligraphie les caresses de l’alcool. Pollock calligraphie les caresses de l’apocalypse, les caresses d’alcool de l’apocalypse.

 

 

 

Pollock calligraphie l’aurapture de l’alcool, l’aurapture d’alcool de l’apocalypse.

 

 

 

Pollock brode des puits. Pollock brode des puits d’alcool. Pollock brode les puits d’alcool de l’apocalypse.

 

 

 

Pollock brode des puits d’alcool avec des crachats de pudeur. Pollock brode les puits de silence de la couleur avec les crachats d’alcool de la pudeur, avec les éjaculations d’alcool de la pudeur. 

 

 

 

 

 

Pollock ouvre l’alcool. Pollock ouvre la peau de l’alcool. Pollock ouvre la peau de l’alcool  par l’aisance de sa poitrine, par l’aisance catapultée de sa poitrine, par les coïncidences de son thorax, par les coïncidences de sang de son thorax.

 

 

 

Pollock peint avec le pouce-index de l’alcool, avec le pouce-index de l’alcool ouvert. Pollock peint avec le pouce-index du thorax. Pollock peint avec le pouce-index du thorax à alcool ouvert.

 

 

 

Pollock entasse à alcool ouvert. Pollock entasse les trajectoires d’hémorragie de la peau à alcool ouvert.

 

 

 

 

 

Pollock entrelace le pôle nord et le pôle sud. Pollock entrelace le pôle nord et le pôle sud à la surface du noli tangere de l’alcool, à la surface de l’utopie de l’alcool, à la surface du noli tangere d’utopie de l’alcool. Pollock entrelace le pôle nord et le pôle sud à la surface du noli tangere surlapsé de l’alcool, à la surface de l’utopie surlapsée de l’alcool. Pollock entrelace le pôle nord et le pôle sud à l’intérieur de la trajectoire surlapsée de l’alcool, à l’intérieur de la trajectoire de noli tangere surlapsé de l’alcool, à l’intérieur de la trajectoire d’utopie surlapsée de l’alcool.

 

 

 

Pour Pollock, la peau de l’alcool apparait comme l’unique pôle de la terre. Pour Pollock, la peau de l’alcool apparait comme l’unique pôle où s’abandonnent par rendez-vous paradoxaux le pôle sud et le pôle nord. 

 

 

 

Pollock pousse le précipice à l’intérieur de l’alcool. Pollock pousse le précipice à l’intérieur de noli tangere de l’alcool, à l’intérieur de l’utopie de l’alcool, à l’intérieur du noli tangere d’utopie de l’alcool. Pollock surlapse le précipice. Pollock surlapse le précipice à l’intérieur de l’alcool. Pollock surlapse le précipice à l’intérieur du noli tangere d’utopie de l’alcool, à l’intérieur du noli tangere d’utoupie de l’alcool.

 

 

 

Pollock pétrit le précipice. Pollock pétrit le précipice de l’alcool. Pollock pétrit le lointain. Pollock pétrit le précipice du lointain, le précipice de lointain de l’alcool. Pollock pétrit le vent. Pollock pétrit le vent de l’alcool, le précipice de vent de l’alcool, le vent de lointain de l’alcool, le précipice de vent lointain de l’alcool.

 

 

 

Pollock catapulse le précipice. Pollock catapulse la précision urinaire du précipice. Pollock catapulse la pisse de précision du précipice à l’intérieur de la surface de profil de l’alcool.

 

 

 

Pollock surlapse l’alcool. Pollock surlapse le précipice de l’alcool. Pollock surlapse le noli tangere de l’alcool, le précipice de noli tangere de l’alcool. Pollock surlapse le précipité de l’alcool, le précipité de noli tangere de l’alcool.

 

 

 

Pollock pisse le coma. Pollock pisse le coma de l’alcool. Pollock pisse la syncope. Pollock pisse l’alcool de la syncope. Pollock surlapse la pisse de précision du précipice, la pisse de précision de l’alcool, la pisse de précision du précipice de l’alcool.

 

 

 

Pollock surlapse l’excitation du repos. Pollock surlapse l’excitation de l’alcool, l’excitation de repos de l’alcool.

 

 

 

Pollock surlapse le tohu-bohu. Pollock surlapse le tohu-bohu de la couleur comme apocalypse du silence, comme apocalypse d’alcool du silence.

 

 

 

Pollock psalmodie le tohu-bohu du silence. Pollock psalmodie le tohu-bohu de l’alcool, le tohu-bohu d’alcool du silence.

 

 

 

Pollock saoule l’alcool. Pollock saoule le précipice de l’alcool. Pollock surlapse le précipice du sang. Pollock surlapse le précipice du sang jusqu’à saouler l’alcool.

 

 

 

 

 

Pollock télescope des esquives. Pollock télescope les esquives du repos. Pollock télescope les esquives de l’alcool, les esquives de repos de l’alcool.

 

 

 

Pollock peint à la surface du télescopage. Pollock peint à l’intérieur du télescopage. Pollock peint à l’intérieur du télescopage de l’espace et du temps. Pollock peint à l’intérieur du télescopage d’alcool de l’espace et du temps. Pollock peint à l’intérieur du télescopage de l’espace et du temps jusqu’au silence impeccable du feu, jusqu’au silence impeccable de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock peint des explosions de murs. Pollock peint des murs d’explosions. Pollock peint les murailles cyclopéennes de la couleur. Pollock peint des murs rayés par les explosions de la couleur, par les explosions de silence de la couleur.

 

 

 

Pollock peint sur le mur du sol. Pollock peint sur la muraille cyclopéenne du sol, sur la muraille cyclopéenne de la terre. Pollock catapulte la muraille cyclopéenne du vide. Pollock catapulte la muraille cyclopéenne du vide entre terre et ciel.

 

 

 

 

 

La peinture de Pollock retrouve l’art du vitrail. La peinture de Pollock retrouve l’art du vitrail gothique. Le dripping c’est du vitrail projectile.

 

 

 

Pollock essaie de transformer le volcan en vitrail. Pollock projette le volcan de vitrail de la terre. Pollock éjacule le volcan de vitrail de la terre.

 

 

 

Pollock donne à sentir le magma de l’espace. Pollock donne à sentir le vitrail de l’espace, le magma de vitrail de l’espace. Pollock donne à sentir le magma de déchirures de l’espace, le vitrail de déchirures de l’espace, le magma de vitrail déchiré de l’espace.

 

 

 

Pollock transforme l’espace en vitrail de la peau. Pollock transforme l’espace en vitrail d’alcool de la peau, en vitrail de catapulsion de la peau, en vitrail d’alcool catapulsé de la peau.

 

 

 

Pollock entasse des trajectoires de surfaces. Pollock entasse des trajectoires de surfaces par la vitre d’implosion de la peau. Pollock entasse des trajectoires de surfaces par la vitre d’implosion de l’alcool, par la vitre d’implosion de l’espace comme peau d’alcool, comme hémorragie de peau de l’alcool.

 

 

 

Pollock peint comme il entasse des trajectoires à la surface de l’alcool, à la surface du vortex de l’alcool, à la surface du vortex de vide de l’alcool.

 

 

 

Pollock entasse des trajectoires de surfaces jusqu’à l’apocalypse du silence. Pollock entasse les trajectoires de surfaces de l’alcool jusqu’au surlaps d’apocalypse du silence, jusqu’à la syncope d’apocalypse du silence.

 

 

 

 

 

Un tableau de Pollock ressemble à une cathédrale gothique. Un tableau de Pollock ressemble à une cathédrale gothique allongée par terre après avoir trop bu. Un tableau de Pollock apparait comme une cathédrale gothique allongée par terre parce qu’elle a trop bu de temps, parce qu’elle a trop bu l’alcool du temps, l’alcool de silence du temps.

 

 

 

Pollock catapulte des cathédrales gothiques allongées, Pollock catapulte des cathédrales gothiques gisantes à l’intérieur de l’hémorragie de l’immanence, à l’intérieur de l’hémorragie de certitude de l’immanence.

 

 

 

Pollock éjacule les cathédrales d’exaltation de la paix. Pollock éjacule les cathédrales athées du calme. Pollock éjacule les cathédrales d’exaltation athée du calme. Pollock éjacule les cathédrales d’exaltation gothique, d’exaltation gothique athée du calme.

 

 

 

Pollock provoque des cathédrales d’alcool par explosions de politesse. Pollock provoque des cathédrales de syncope avec des explosions de politesse. Pollock provoque les cathédrales d’alcool de la syncope avec les explosions de politesse de la couleur.

 

 

 

Pollock improvise les cathédrales de la couleur. Pollock improvise les cathédrales d’évanouissement de la couleur, les cathédrales de syncope de la couleur, les cathédrales d’alcool de la couleur.

 

 

 

Pollock éjacule les cathédrales de lave de l’apocalypse. Pollock éjacule les cathédrales d’alcool de l’apocalypse. Pollock éjacule les cathédrales d’apocalypse de la couleur.

 

 

 

Pollock compose de la confiture de cathédrales. Pollock compose la confiture de cathédrales de l’apocalypse, la confiture de cathédrales de la couleur. Pollock éjacule la confiture de cathédrales de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock amalgame le dessin et la couleur. Pollock amalgame le dessin et la couleur afin d’affirmer la trajectoire de l’espace, afin d’affirmer la trajectoire d’alcool de l’espace, afin d’affirmer la catastrophe de paix de l’espace.

 

 

 

Pollock détruit la différence ligne-couleur par confusion, par amalgame, par magma, par avalanche. Pollock transforme la distinction ligne-couleur en trajectoire d’alcool. A l’intérieur de la peinture de Pollock, la couleur devient coule-heurt, la couleur devient heurt de la coulure comme coulure du tact, coulure du tact jeté. A l’intérieur de la peinture de Pollock, la couleur devient coulure de tact projectile de l’alcool. Pollock peint ainsi à la fois comme un couluriste et un alcooloriste.

 

 

 

Pollock coule la couleur. Pollock coule la couleur à l’intérieur de la trajectoire de l’alcool, à l’intérieur de la catapulsion de l’alcool, à l’intérieur de la trajectoire de catapulsion de l’alcool, à l’intérieur de la trajectoire de catapulsion surlapsée de l’alcool.

 

 

 

Pour Pollock, la trajectoire de la couleur invente une forme de nœud-télescope. Peindre pour Pollock c’est contempler l’odeur de l’espace avec le nœud-télescope de la couleur. Pour Pollock, les loopings de la couleur surviennent comme des loupes afin d’examiner l’odeur de l’espace, l’odeur de silence de l’espace.

 

 

 

Pollock contemple comme vise l’odeur de silence de l’espace. Pollock transforme l’espace en cible, en cible de l’envol, en cible de reptation de l’envol, en cible de reptation d’envol de la couleur, en cible de reptation d’envol de l’alcooleur.

 

 

 

Pollock essaie de transformer l’océan en flèche comme de transformer la flèche en océan.

 

 

 

Pollock tourne autour comme à l’intérieur de l’océan du temps afin d’inventer une avalanche tactile de l’espace, afin d’inventer une avalanche peaufinée de l’espace.

 

 

 

Pollock projette la flèche-cible de l’espace. Pollock peint des flèches de chutes projectiles, des flèches de chutes projectiles qui tournent tranquillement sur elles-mêmes afin de former l’océan de cibles du temps.

 

 

 

Pollock tisse des pluies de flèches à ciel perdu. Pollock tisse les pluies de flèches de l’alcool à ciel perdu.

 

 

 

 

 

Pollock trajecte l’espace comme un tourbillon de peau, comme un tourbillon de sang, comme le tourbillon de peau du sang. Pollock trajecte l’espace comme surlaps de peau, comme surlaps de l’alcool, comme surlaps de peau de l’alcool. Pollock trajecte l‘espace comme tourbillon de l’utopie, comme tourbillon surlapsé de l’utopie, comme tourbillon de peau de l’utopie, comme tourbillon de peau surlapsée de l’utopie, comme tourbillon de sang de l’utopie, comme tourbillon de sang surlapsé de l’utopie, comme tourbillon d’alcool de l’utopie, comme tourbillon d’alcool surlapsé de l’utopie.

 

 

 

Pollock insinue les trajectoires de peau de l’alcool entre terre et ciel.

 

 

 

Pollock surlapse des hémorragies de peau. Pollock surlapse les hémorragies de peau de l’alcool, les hémorragies de peau de la couleur, les hémorragies de peau de l’alcooleur.

 

 

 

Pollock provoque la chute de peau du sang. Pollock projette la chute de peau du sang.  Pollock tombe la trajectoire d’alcool de la peau comme vortex de silence du sang.

 

 

 

Pollock projette la catastrophe de la peau, la catastrophe de paix de la peau. Pollock projette la catastrophe de paix de la peau comme magma de trajectoires de l’alcool, comme magma de trajectoires du silence, comme magma de trajectoires du sang.

 

 

 

Pollock transforme les strates de la poussière en trajectoires du sang. Pollock transforme les strates de terreur de la poussière en trajectoires d’alcool du sang.

 

 

 

Pollock respire le tas de paraboles du sang. Pollock respire le tas de paraboles du sang à l’intérieur du tourbillon de noli tangere de l’alcool, à l’intérieur du tourbillon de pudeur de l’alcool, à l’intérieur du tourbillon de tabous de l’alcool.

 

 

 

Pollock parvient à tenir debout par le geste de projeter son sang à l’intérieur de la démesure de l’espace.

 

 

 

Pollock donne à sentir le sang de la crucifixion. Pollock donne à sentir le vertige de sang de la crucifixion, la syncope de sang de la crucifixion.

 

 

 

Pollock éjacule la peau de l’espace. Pollock éjacule la peau d’alcool de l’espace. Pollock éjacule la peau d’alcool de l’espace comme déhiscence de la démesure, déhiscence de la démesure immédiate. Pollock éjacule la peau d’alcool de l’espace comme trajectoire de silence de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock apparait comme le léopard de l’alcool. Pollock apparait comme le léopard d’alcool du silence.

 

 

 

Pollock apparait comme le tigre du noli tangere, le tigre de noli tangere de l’alcool. Pollock apparait comme le léopard du noli tangere, le léopard d’éclaboussures du noli tangere, le léopard d’enthousiasme du noli tangere, le léopard d’éclaboussures enthousiastes du noli tangere, le léopard de noli tangere de l’alcool.

 

 

 

Quand il peint, Pollock se déplace comme un léopard qui traine sa proie à l’intérieur de sa gueule en bondissant à reculons afin de dévorer cette proie ensuite en paix. Pollock apparait comme le tigre de l’alcool, le tigre de la paix, le tigre d’alcool de la paix.

 

 

 

Pollock apparait comme le puma du coma, le puma de calme du coma. Quand Pollock peint c’est le recul même qui bondit et par ce bondissement du recul sa peinture apparait comme le projectile de l’abandon.

 

 

 

Pour Pollock, l’espace apparait comme l’avalanche du temps peaufinée par le tigre de la caresse, par le tigre projectile de la caresse, par le tigre éjaculé de la caresse.

 

 

 

Pollock compose de la dentelle projectile comme un léopard éjacule parmi les braises, comme un léopard éjacule à l’intérieur du feu.

 

 

 

 

 

Les tableaux de Pollock ressemblent à des pelages, des pelages de dépecé. Les tableaux de Pollock ressemblent aux pelages du calme dépecé, aux pelages de calme dépecé de l’alcool, aux pelages de calme dépecé du noli tangere de l’alcool.

 

 

 

Pollock projette l’espace comme peau de vertige. Pollock projette l’espace comme pelage d’alcool, comme pelage de la syncope, comme pelage d’alcool de la syncope. Pollock projette l’espace comme pelage de vol en éclats de la syncope, pelage de vol en éclats alcoolisé de la syncope.

 

 

 

Pour Pollock, l’espace apparait comme un pelage de pudeur, un pelage d’éjaculation, un pelage de pudeur éjaculée, un pelage de tact, un pelage de tact éjaculé. Pour Pollock, l’espace apparait comme un pelage d’alcool éjaculé, un pelage de pudeur alcoolisée, un pelage de pudeur alcoolisée éjaculée.

 

 

 

Pollock peint avec la peau du sexe. Pollock peint avec la peau d’alcool du sexe, avec la peau d’éjaculation du sexe, avec la peau d’alcool éjaculé du sexe. Pollock peint avec la peau de visage du sexe, avec la peau de visage alcoolisé du sexe, avec la peau de visage alcoolisé éjaculé du sexe.

 

 

 

Pollock peint avec la loque de peau de l’alcool, avec la loque de peau du sexe, avec la loque d’alcool du sexe, avec la loque de peau alcoolisée du sexe. Pollock peint avec le pelage du sexe, avec le pelage d’alcool du sexe. Pollock peint avec la peau éjaculée du sexe, avec la peau d’alcool éjaculé du sexe.

 

 

 

Pollock peint avec un bâton de peau. Pollock peint avec le bâton d’une hémorragie de peau. Pollock peint avec un bâton de peau qui bande paradoxalement vers le bas, qui bande jusqu’à l’en deçà, qui bande jusqu’à la terre, qui bande jusqu’au magma de feu à l’intérieur de la terre, jusqu’au magma de feu soufflé à l’intérieur la terre, qui bande jusqu’au magma de feu soufflé qui boit l’apocalypse du silence à l’intérieur de la terre.

 

 

 

Pollock peint avec le sexe surlapsé de l’alcool. Pollock peint avec le vol plané du sexe, avec le vol plané de la retombée marginale de l’excitation. Pollock peint avec un sexe excité par son repos, avec un sexe qui se repose à l’intérieur même de l’excitation. Pollock peint avec le sexe d’alcool de l’excitation au repos comme avec le sexe d’alcool du repos à l’excitation.

 

 

 

 

 

Marginalité magnanime du geste de Jackson Pollock.

 

 

 

La trajectoire d’une main pendant l’intégralité d’une existence, voilà ce que tente de peindre J. Pollock.

 

 

 

Le geste de peindre de Pollock esquive la différence entre le pouce et l’index. Le geste de peindre de Pollock affirme le geste de pactiser, d’allier en une seule chair, en une seule pulsion de chair le pouce et l’index. La couleur catapulsée de Pollock apparait à la fois poussée par l’index comme indiquée par le pouce. A l’intérieur de la main de Pollock pouce et index apparaissent ainsi amalgamés en une seule avalanche de tact. Et les autres doigts de Pollock surviennent par-là même entrelacés en faisceaux de souffles. A l’intérieur de la main de Pollock, le majeur, l’annulaire et l’index prolifèrent comme foudres de souffle.

 

 

 

Pollock projette le tact. Pollock projette l’éclaboussure du tact, l’éclaboussure impeccable du tact. Pollock projette l’éclaboussure d’alcool du tact, l’éclaboussure d’alcool impeccable du tact.

 

 

 

Pollock projette le noli tangere. Pollock métamorphose le noli tangere en projectile de la couleur. Pollock métamorphose le noli tangere de l’alcool en transe projectile de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock calligraphie le chaos de la paix. Pollock calligraphie le chaos d’alcool de la paix.

 

 

 

Pollock projette la colère de la paix. Pollock projette l’alcool de la paix, la colère d’alcool de la paix, la colère d’alcool de l’innombrable paix. Pollock projette l’anarchie de la paix, l’anarchie d’alcool de la paix. Pollock projette la paix d’alcool de l’espace.

 

 

 

Pollock peint comme le Moloch de la paix, le Moloch de la paix projectile. Pollock peint comme le Moloch de la paix transformée en balle perdue, en balle perdue du destin, en balle d’alcool perdu du destin.

 

 

 

 

 

Pollock rythme l’espace avec des trajectoires. Pollock rythme l’espace avec des trajectoires d’alcool. Pollock improvise l’ample ruissellement du rythme. Pollock improvise l’ample ruissellement de la syncope. Pollock projette l’ample ruissellement de rythme de la syncope.

 

 

 

Pollock élance la lumière. Pollock jette la lumière. Pollock déchire la lumière. Pollock rythme la lumière. Pollock affirme l’élan de langueur de la lumière. Pollock rythme la lumière par des cyclones de couleur, par les cyclones d’alcool de la couleur.

 

 

 

Pollock rythme la lumière par le geste de projeter l’hémorragie de peau de l’espace. Pollock rythme la lumière par le geste de projeter la peau de sang de l’espace. Pollock rythme la lumière par le geste de profuser l’hémorragie d’alcool de la peau par l’entrelacs de déchirures de l’espace.

 

 

 

Pollock rythme la lumière par la danse. Pollock rythme la lumière par la danse de l’hémorragie, par la danse de peau de l’hémorragie. Pollock rythme la lumière par la catapulsion de l’hémorragie, par la catapulsion de peau de l’hémorragie.

 

 

 

Pollock accomplit le geste de rythmer la lumière par la danse en marge de la toile, par la danse autour de la toile. Pour Pollock, la danse apparait comme ce qui provoque le geste de peindre. La peinture de Pollock apparait comme la trajectoire de ce qui tombe en deçà de la danse. La peinture de Pollock apparait comme une retombée de la danse, comme une retombée éjaculatoire de la danse, comme une retombée alcoolisée de la danse, comme une retombée éjaculatoire alcoolisée de la danse. La peinture de Pollock apparait comme la trajectoire d’alcool de la danse, comme l’hémorragie de peau de la danse, comme l’hémorragie de peau surlapsée de la danse. La peinture de Pollock projette les surlaps d’alcool de la danse, les surlaps de coma de la danse, les surlaps de coma alcoolisé de la danse, les retombées d’alcool de la danse, les retombées de coma de la danse, les retombées de coma alcoolisé de la danse.

 

 

 

Pollock peint les laps du chaos. Pollock peint le chaos qui tombe et rebondit à la surface de l’alcool, à la surface de l’alcool du coma, à la surface du zéro de feu du coma.

 

 

 

Pollock projette les trajectoires d’alcool du coma. Pollock projette les trajectoires d’alcool du coma jusqu’au feu à l’intérieur de la terre, jusqu’au zéro de feu à l’intérieur de la terre.

 

 

 

La peinture de Pollock donne à sentir le tremblement de l’alcool à l’intérieur de la terre, le tremblement du feu à l’intérieur de la terre, le tremblement d’alcool du feu à l’intérieur de la terre. La peinture de Pollock donne à sentir le cyclone de l’alcool à l’intérieur de la terre, la cataracte de l’alcool à l’intérieur de la terre, la cataracte d’alcool du feu à l’intérieur de la terre.

 

 

 

La peinture de Pollock donne à sentir l’alcool que la terre boit, l’alcool que la terre boit au cœur du zéro de feu de sa chute. La peinture de Pollock donne à sentir l’alcool que la terre imagine comme volonté souveraine, comme volonté souveraine évanouie, comme volonté souveraine évanouie d’apparaitre en deçà du visible et de l’invisible, comme volonté souveraine évanouie d’apparaitre à l’intérieur du zéro du feu, à l’intérieur du cataclysme de zéro du feu, à l’intérieur de la cataracte de zéro du feu, à l’intérieur du cyclone de zéro du feu.

 

 

 

Pollock bondit par reptation de l’alcool. Pollock bondit par reptation de l’alcool à l’intérieur du coma du feu. Pollock bondit par reptation d’alcool de la terre, par reptation d’alcool de la terre à la surface du coma du feu, à la surface de la parabole du feu, à la surface de la parabole de coma du feu.

 

 

 

Pollock danse autour du dehors. Pollock danse autour de l’équilibre du dehors, autour de l’équilibre d’alcool du dehors. Pollock danse autour du totem du dehors, autour du totem d’alcool du dehors.

 

 

 

Pollock danse autour du ça tombe de la couleur. Pollock danse autour de l’alcool de la couleur, autour du ça tombe d’alcool de la couleur. Pollock danse autour du tact de la couleur, autour du totem de tact de la couleur. Pollock danse autour du tact projectile de la couleur, autour du totem de tact projectile de la couleur.

 

 

 

Pollock peint comme il provoque le tourbillon de l’espace par l’hémorragie d’alcool de la peau. Pollock peint comme il tourne autour de la planète de la peau avec le silence du sang. Pollock peint comme il tourne autour de la planète d’alcool de la peau avec le silence de sang de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock calligraphie la tendresse de l’impur. Pollock calligraphie la tendresse projectile de l’impur, la candeur projectile de l’impur.

 

 

 

Pollock projette l’intact. Pollock projette l’impureté de l’intact. Pollock projette le cyclone de l’intact, le cyclone d’impureté de l’intact. Pollock projette le cyclone d’alcool de l’intact, le cyclone d’alcool impur de l’intact. Pollock projette le cyclone de pudeur de l’intact, le cyclone de pudeur impure de l’intact, le cyclone de pudeur alcoolisée, alcoolisée impure de l’intact.

 

 

 

Pollock harmonise l’impur. Pollock harmonise le vent de l’impur, le vent de terreur de l’impur. Pollock projette le vent d’épouvante du calme.

 

 

 

 

 

Pollock peint par vol plané de couleur. Pollock peint par reptation d’incendie.

 

 

 

Pollock peint par reptation-trampoline. Pollock peint par reptation-trampoline de l’alcool. Pollock peint par reptation-trampoline du tonnerre de respirer. Pollock peint par reptation- trampoline de la poitrine, par reptation-trampoline de la poitrine de l’alcool.

 

 

 

Pollock rampe debout. Pollock rampe debout à la surface de l’alcool. Pollock rampe debout à l’intérieur de l’alcool du silence, à l’intérieur de l’alcool de la couleur, à l’intérieur de l’alcool de silence de la couleur. Pollock rampe debout à l’intérieur du coma, à l’intérieur du coma de l‘apocalypse, à l’intérieur du coma de la couleur, à l’intérieur du coma d’apocalypse de la couleur.

 

 

 

Pollock multiplie la syncope. Pollock multiplie la syncope à mains bues. Pollock multiplie la syncope à mains bues par l’alcool.

 

 

 

Il n’y a aucune pulsion osseuse à l’intérieur de la peinture de Pollock. Pollock peint comme un Picasso désossé. Pollock peint comme un Picasso qui aurait détruit l’os du sexe par l’alcool de la sensation. Pollock métamorphose l’os du sexe de Picasso en télescopage d’esquives de l’alcool comme en musculature d’alcool de la respiration.

 

 

 

 

 

Pollock calligraphie les coïncidences du vent. Pollock calligraphie les coïncidences d’alcool du vent.

 

 

 

Pollock calligraphie le vent de la couleur. Pollock calligraphie le vent de paralysie de la couleur. Pollock calligraphie le vent de paralysie projectile de la couleur.

 

 

 

Pollock compose la confiture du feu. Pollock compose la confiture du vent, la confiture de feu du vent. Pollock compose la confiture de l’alcool. Pollock compose la confiture d’alcool du feu, la confiture d’alcool du vent.

 

 

 

Pollock boit le feu du vent. Pollock boit le feu d’alcool du vent. Pollock boit le feu du vent comme roue de l’alcool. Pollock boit le feu de noli tangere du vent comme roue d’immobilité de l’alcool.

 

 

 

Pollock calligraphie le feu qui dort à l’intérieur du vent comme le vent qui dort à l’intérieur du feu. Pollock calligraphie le feu qui imagine des trajectoires de sommeils à l’intérieur du vent comme le vent qui dort des trajectoires d’imagination à l’intérieur du feu.

 

 

 

Pollock boit le feu du vent avec la pulsation du thorax, avec la pulsation de pouces du thorax. Pollock boit le feu de noli tangere du vent avec la pulsation de pouces de la poitrine.

 

 

 

 

 

Pollock peint des flux de neurones. Pollock peint les flux de neurones du feu, les flux de neurones du vent, les flux de neurones du feu comme du vent. Pollock peint les flux de neurones de la disparition du cerveau. Pollock peint les flux de neurones de la disparition du cerveau à mains bues.

 

 

 

Pollock peint les flux de neurones de la respiration de l’alcool. Pollock peint les flux de neurones du noli tangere de l’alcool, les flux de neurones de la respiration de noli tangere de l’alcool.

 

 

 

Pollock affirme le geste d’abstraction sauvage de peindre les flux de neurones de la disparition du cerveau. Pollock peint le coït des neurones en dehors du cerveau, le coït des neurones qui surgissent en dehors du cerveau. Pollock peint le coït inhumain des neurones de l’alcool. Pollock peint le coït inhumain de l’hémorragie de l’alcool, de l’hémorragie de peau de l’alcool.

 

 

 

 

 

Pollock peint par projection rituelle. Pollock peint par projection de la nature, par projection rituelle de la nature, par projection rituelle de la nature comme par projection naturelle du rite.

 

 

 

Pollock projette la nature par le rite du repos. Pollock projette la nature par le rite d’excitation du repos jusqu’à la respiration de noli tangere de l’alcool.

 

 

 

La peinture de Pollock affirme la tentation d’apparaitre transi par le magma de la nature, par le magma de terreur de la nature. La peinture de Pollock affirme la tentation d’apparaitre transi par le magma de terreur de la nature jusqu’à ce que la nature survienne comme parabole de respiration immédiate de l’apocalypse, comme parabole de projection immédiate de l’apocalypse, comme parabole d’éjaculation immédiate de l’apocalypse, comme parabole de respiration immédiate de la couleur, comme parabole de respiration immédiate de l’apocalypse de la couleur.

 

 

 

 

 

Pollock compose des éruptions. Pollock tisse des éruptions. Pollock compose le tissu d’éruptions de l’espace, le tissu d’explosions de l’espace. Pollock compose la tapisserie d’éruptions l’espace, la tapisserie d’explosions de l’espace.

 

 

 

Pollock ritualise l’explosion. Pollock auréole l’espace avec des tourbillons rituels. Pollock auréole l’espace avec les tourbillons rituels de l’alcool, avec les tourbillons rituels de la couleur, avec les tourbillons rituels de l’alcooleur.

 

 

 

Pollock invente une forme de volcanisme sans profondeur, une forme de volcanisme superficiel, une forme de volcanisme de la superfluité. Pollock invente le volcanisme de l’acquiescement, le volcanisme du vouloir acquiescer.

 

 

 

Pollock tisse des éruptions d’alcool. Pollock tisse des volcans d’aisance, les volcans d’aisance de l’alcool. Pollock tisse des explosions de calme, les explosions d’alcool du calme. Pollock tisse les totems du calme, les totems d’alcool du calme. Pollock tisse la lave du calme, la lave d’alcool du calme, la lave d’alcool totémique du calme.

 

 

 

 

 

Pollock affirme l’alcool du tact. Pollock affirme la polémique du tact, l’alcool polémique du tact. Pollock affirme l’alcool du calme, la polémique du calme, l’alcool polémique du calme.

 

 

 

Pollock projette la pulsion polémique de l’alcool, la pulsion polémique du calme, la pulsion polémique de l’alcool calme. Pollock donne à sentir le tourbillon de l’extrême calme.

 

 

 

Pollock affirme l’extrême pudeur d’épanouir la confusion de la clarté. Pollock affirme l’extrême pudeur d’épanouir la confusion du calme, la confusion de clarté du calme.

 

 

 

Pollock épanouit la confusion de la clarté. Pollock épanouit la confusion de surfaces de la clarté. Pollock affirme la confusion polémique des surfaces de la clarté.

 

 

 

Pollock épanouit la confusion du calme. Pollock épanouit la confusion d’alcool du calme. Pollock épanouit le chaos du calme. Pollock épanouit le chaos d’alcool du calme.

 

 

 

Pollock épanouit des impacts de subtilité. Pollock épanouit des impacts de caresses. Pollock épanouit les impacts de caresses de l’alcool, les impacts de caresse du calme, les impacts de caresses de l’alcool calme.

 

 

 

A l’intérieur de la peinture de Pollock, le chaos apparait de face. A l’intérieur de la peinture de Pollock, l’équilibre du chaos apparait comme un visage. A l’intérieur de la peinture de Pollock, l’équilibre du chaos apparait comme visage du calme.

 

 

 

 

 

Pollock donne à sentir les surfaces comme trajets. Pollock donne à sentir les surfaces comme trajets de projections. Pollock projette la couleur afin de donner à sentir des trajets de surfaces. Pollock projette la couleur afin de donner à sentir les trajets de surfaces de l’alcool.

 

 

 

Pollock transforme le filet en funambule. Pollock transforme le filet de l’espace en funambule de l’alcool. Pollock transforme le filet de l’espace en funambule de la couleur, en funambule  des trajectoires de la couleur, en funambule d’alcool de la couleur, en funambule des trajectoires d’alcool de la couleur. Pollock transforme le filet de l’espace en funambule des trajectoires à boire de la couleur, des trajectoires de la couleur jusqu’à temps, des trajectoires à boire de la couleur jusqu’à temps.

 

 

 

 

 

Pollock invente une forme de lascivité paradoxale. Pollock invente une forme d’entrelacs de la lascivité, une forme d’entrelacscivité.

 

 

 

Pollock entrelace la liberté. Pollock entrelace les nœuds de la liberté. Pollock entrelace l’alcool de la liberté, les nœuds d’alcool de la liberté. Pollock entrelace la liberté à l’équilibre. Pollock entrelace l’alcool de la liberté à la brusquerie de l’équilibre, les nœuds de la liberté au tact de l’équilibre, les nœuds d’alcool de la liberté au tact de brusquerie de l’équilibre.

 

 

 

Pollock compose de la dentelle d’utopie projectile. Pollock improvise de la dentelle d’utopie projectile. Pollock improvise de la dentelle d’utopie projectile avec la nageoire dorsale d’une baleine.

 

 

 

 

 

Pollock utilise le bâton avec lequel il peint comme un encensoir.

 

 

 

Pollock acquiesce avec un bâton. Pollock encense avec un bâton. Pollock acquiesce avec l’encensoir du bâton. Pollock encense avec l’acquiescement du bâton.

 

 

 

Pollock improvise une débauche d’acquiescements. Pollock improvise la débauche d’acquiescement de la pudeur, la débauche d’acquiescements projectiles de la pudeur.

 

 

 

Pollock invente des formes de bénédictions dionysiaques. Pollock propose une bacchanale de bénédictions.

 

 

 

 

 

Pollock peint comme un impressionniste de l’épouvante, comme un impressionniste de la terreur. Pollock peint comme un Monet explosif. Pollock peint les nymphéas du feu. Pollock peint les nymphéas du volcan.

 

 

 

Pollock peint comme le Stravinski des trajectoires, comme le Stravinski de l’alcool, comme le Stravinski des trajectoires de l’alcool. Pollock peint comme le Stravinski des séismes, comme le Stravinski des séismes de l’alcool.

 

 

 

 

 

Pollock recroqueville la dérive des continents. Pollock recroqueville les asymptotes de la dérive des continents. Pollock recroqueville les asymptotes d’alcool de la dérive des continents.

 

 

 

Pollock recroqueville la dérive des continents comme confiture d’imminence de la monotonie. Pollock recroqueville la dérive de continents comme confiture de l’alcool, comme confiture d’alcool de la monotonie, comme confiture de monotonie de la couleur, comme confiture d’imminence de la couleur, comme confiture de monotonie imminente de la couleur.

 

 

 

Pollock recroqueville la dérive de continents à l’intérieur du hurlement de sa paume. Pollock recroqueville l’alcool de la dérive de continents à l’intérieur du hurlement de pudeur de sa paume.

 

 

 

 

 

Pollock projette la croupe du temps. Pollock projette la croupe de paix du temps. Pollock projette la croupe de paix osée du temps. Pollock projette la croupe d’alcool du temps, la croupe de paix alcoolisée, alcoolisée osée du temps.

 

 

 

Pollock catapulte la croupe du temps. Pollock catapulte la croupe de dehors du temps. Pollock catapulte la croupe d’alcool du temps, la croupe de dehors alcoolisé du temps. Pollock catapulte le dehors du temps jusqu’à envisager l’espace. Pollock catapulte la croupe de dehors du temps jusqu’à envisager l’alcool de l’espace, jusqu’à envisager l’apocalypse de l’espace, jusqu’à envisager l’alcool d’apocalypse de l’espace.

 

 

 

 

 

Pour Pollock, peindre c’est projeter la chute. Pour Pollock, peindre c’est projeter la bouche de la chute, la bouche de sang de la chute. 

 

 

 

Pollock architecture le sperme. Pollock architecture le sperme afin de projeter la bouche de l’espace, afin de projeter la bouche d’alcool de l’espace, afin de projeter la bouche d’immobilité de l’espace, la bouche d’alcool immobile de l’espace, la bouche d’immobilité tourbillonnante de l’espace. Pollock architecture le sperme afin de projeter la bouche d’immobilité cyclonique de l’espace comme silence d’alcool de la couleur.

 

 

 

Pollock projette une pluie de bouches cycloniques. Pollock projette la pluie de bouches cycloniques de l’espace. Pollock projette la pluie de bouches cycloniques de l’alcool. Pollock projette la pluie de bouches cycloniques de l’apocalypse, la pluie de bouches cycloniques du sommeil, la pluie de bouches cycloniques de l’apocalypse du sommeil.