Il est mimeur d'ombres. Son rêve est un verre d'eau.

 

 

 

Le minuscule survient comme sa besogne de spasmes. C’est pourquoi  il embaume le gigantesque avec la cible de merci beaucoup de ses yeux.

 

 

 

Sa déraison est inchoative. Il taillade comme il dodeline. Il effectue les révérences de c'est-à-dire de l’au revoir.

 

 

 

Il ne rêve pas, il préfère enterrer des voix.

 

 

 

Il ne rêve pas. Il dort la violence. Il mange comme il marche afin que sa démarche devienne la trajectoire de sa demeure.

 

 

 

 

 

Le matin, il est ordonnateur d'odeurs, le midi incinérateur de sons et le soir dynamiteur de dés.

 

 

 

Dans son jardin il a planté en alternance un os, une fleur, une mémoire, un crime.

 

 

 

Il utilise son linceul comme mouchoir de l'arc en ciel.

 

 

 

Il est si mondain qu'il métamorphose les révolutions en révérences.

 

 

 

A chaque fois qu'il met un objet dans sa poche, il perd un de ses gouffres célestes.

 

 

 

Il s'est fracturé la jambe à l'instant où il regardait un point-virgule au télescope.

 

 

 

Sa pensée est un chewing-gum de précipices et sa passion une constellation de confettis.

 

 

 

 

 

Il est pendu par les pieds a quelque chose d’inconnu. Cet inconnu ressemble à l’éternuement de son prénom.

 

 

 

Il ne sait pas marcher sans crier. Il parle seulement quand il se tient allongé. C’est pourquoi il n’aime écrire que sur les draps de l’explosion de son lit.

 

 

 

Son prénom révèle la désinvolture de sa tombe. Son prénom compose les acrobaties de son cercueil. C’est pourquoi son odeur handicape à coup de rires l'insinuation de hasard de son destin.

 

 

 

Il dispose de deux prénoms. Un prénom quand il est présent et un autre lorsqu’il est absent. L’alliance de ses deux prénoms est l’outil avec lequel il essaie de toucher la bouche d’au revoir du ciel.

 

 

 

Il provoque un tremblement de terre à chaque fois qu’il oublie son nom.

 

 

 

A l’instant où il écrit son nom, il dispose de deux bouches et d’une seule oreille. A cet instant, le rire du temps embrasse le chaos de l’équilibre dans le cou.

 

 

 

Il embrasse le hasard de sa naissance sur l’autre joue. Il bénit ainsi le visage de son nom.

 

 

 

Il a besoin d’une clé pour ouvrir sa bouche et d’un marteau pour fermer parfois le cratère d’enthousiasme de son crâne.

 

 

 

Il confond la gravitation et l’utopie. Sa bouche apparait comme la bombe d’herbes de son silence.

 

 

 

Il est heureux depuis le jour où il a offert ses vertèbres à un tremblement de terre et son cerveau à la dérive des continents.

 

 

 

Son échine apparait comme un échiquier d’éclairs folâtres. Sa conversation a l'odeur des habitudes du vent.

 

 

 

Il considère qu’avant de faire l’amour, il est préférable d’envelopper sa chair à l’intérieur d’un scaphandre de feu, le scaphandre de feu inventé par le voyage de paralysie de sa voix.

 

 

 

Son sexe a la forme d’un sourire. Son crâne embrasse les arbres d’hémorragie du vide. Sa bouche donne rendez-vous au volcan d’érosion des voix.

 

 

 

 

 

Il demeure à l’intérieur de son visage et son visage demeure à l’intérieur du vent.

 

 

 

Son visage poste l'équilibre du vent. Ses mains dissocient le désir et la volonté comme elles symbolisent l’oubli et l'instinct.

 

 

 

Sa blessure apparait comme la métamorphose de sa demeure, il semble séduit à chaque instant par le labyrinthe de son souffle.

 

 

 

Son insouciance surgit comme une énigme paradoxale à la surface des multiples crampes de son visage. C’est comme si les crampes de crudité mentale de son visage baignaient à l’intérieur du calme inexorable du dehors.

 

 

 

A force de tourbillonner sa langue au dos de sa bouche à la manière d’une roue de terreur exclamative, son regard est devenu semblable au vertige de gel de sa respiration. Il a ainsi enseveli son visage à l’intérieur du ravissement de son crâne. Son visage y dort par mépris souterrain.

 

 

 

Il a enseveli sa tête décapitée par l'exactitude de ses paroles à l'intérieur du silence d'au revoir de son crâne. Ainsi son mépris surgit toujours in extremis comme bombe à anticipation de la pudeur à l'instant.

 

 

 

Le hasard de son désir révèle le jeu inconséquent de l’ainsi. Il jongle avec des guillotines de cerveaux et des extraits de chair que ces guillotines ôtent de temps à autre à son désespoir. Un jour viendra où  il ressemblera à un tourbillon en lévitation de guillotines et de fragments de chair c’est-à-dire à une auréole de râles exubérants qui détruira le bruit de liberté de la lumière.

 

 

 

A l'intérieur de son œil, il y a une oreille, et à l'intérieur de son oreille une bouche. A l'intérieur de sa bouche, il y a un crâne et à l'intérieur de son crâne un visage. Ainsi le rire de sa terreur survient comme la peau de sa respiration.

 

 

 

Il est défiguré par la force de sa pensée. La débauche de sa lucidité inscrit à chaque instant sur son visage la cicatrice zigzagante d’une coquetterie de foudre.

 

 

 

Il adresse la parole afin de la transformer en pain de mercure de son épuisement. La forme de sa conversation ressemble à la chirurgie de dévoration de l’au revoir.

 

 

 

Il parle fasciné par le feu d'utopie de sa respiration. C'est pourquoi la femme qu'il aime à l'intérieur de son crâne est plus belle que le crime incroyable de ce qu'il oublie n'est mystérieux.

 

 

 

 

 

Chaque fragment de sa peau est un précipice, le précipice de l’au revoir, le précipice qui exclame le bégaiement de l’au revoir.

 

 

 

La parole de sa passion révèle l’épidémie de son tact. Sa peau voyage à travers tous les pays. Elle rencontre chaque habitant du monde excepté lui.

 

 

 

Sa peau est le trait d’esprit d’une planète. Sa peau est un mur d’étoiles qui tourne tranquillement sur lui-même, un nuage d'épouvante devenu plaisanterie du bonjour comment ça va à bientôt.

 

 

 

 

 

Son regard est interdigital. Son regard révèle le vent mystique de la prolifération de l’espace entre ses doigts.

 

 

 

Un incendie de cicatrices déambule à l’intérieur de la facilité de son regard.  Là ou une chair apparait touchée par cet incendie s’incruste à jamais le flair mystique d’une flamme, comme l’odeur d’équilibre d’un trait d’esprit.

 

 

 

Ses paupières semblent faire de la spéléologie à l’intérieur des télescopes.

 

 

 

Ses paupières parlent aux cercueils. C'est pourquoi sa lucidité littéralise l'insinuation hagarde de l'ascèse comme illusion de l’ainsi.

 

 

 

Il porte un œuf en équilibre sur chacune de ses paupières et il multiplie les œillades aux femmes qu’il rencontre. Il prétend qu’il complexifie ainsi l’éternuement d’espace du temps.

 

 

 

 

 

Il est l’architecte cynique de son œuf. Il sourit décalqué selon la psalmodie de cercueil de son cœur.

 

 

 

Il est utopiquement infidèle. Il a perdu son parapluie à l’intérieur du rendez-vous du hasard. Son sourire révèle l’ivresse de salive de son amour.

 

 

 

 

 

Son travail est semblable à sa patience. Son œuvre est de faire un enfant d’arbre à la disparition du feu.

 

 

 

Il est studieux comme le désert. Il dessine les traits de son visage avec des sentiments de nombres.

 

 

 

Il reste des jours et des nuits à méditer avec exubérance sur la disparition du vide. Il se tientpresque seul simplement accompagné par le désert des dés.

 

 

 

Entre chaque instant de son existence repose un désert de pierres précieuses. C’est une forme de féerie humoristique. En effet, il n’est pas là pour regarder ces pierres précieuses, il est seulement là pour leur parler. Il n’est ni triste, ni joyeux, il travaille comme il respire la prolifération d’évidence du temps.

 

 

 

Il considère que travailler est le luxe de pauvres. Il a le sentiment d’avoir une multitude d’autres choses à effectuer. Ses amis lui disent qu’il perd son temps. Malgré tout il préfère inscrire à la surface de la terre la désinvolture de sa violence. En effet il a la certitude qu’il n’est pas inutile de parvenir à retrouver chaque fragment de son corps, et que ce n’est pas parce que la fin du monde a eu lieu qu’il devrait se laisser intimider.

 

 

 

 

 

Il ne voit en chaque événement que la forme de son désespoir. C’est pourquoi il considère qu’un geste a lieu uniquement  après avoir été effectué une centaine de fois. Et quand ce geste a enfin eu lieu il devient ainsi tabou à jamais. Il apparaît alors apte à accomplir la décapitation de ses deux têtes à l’intérieur des orbites de ses yeux.

 

 

 

Il n’a pas d’autre nourriture que le précipice du désespoir. Il désire uniquement dévorer ce qu’il s’amuse à écrire au fond du gouffre. Le palindrome de paupières de ses yeux donne ainsi une forme à la destruction de l’horizon.

 

 

 

 

 

Il est dépecé par la mélodie de sa politesse.

 

 

 

A chaque fois que son odeur semble dépecée par à chaque fois, il examine le labyrinthe de chewing-homme de sa gloire avec l’éventail de voix cannibales de son ombre.

 

 

 

Il porte la fêlure d'une fenêtre sur son dos. Il a abandonné la fenêtre elle-même à l'intérieur d'un lieu tranquille en marge du chaos des sentiments. Il porte la fêlure de cette fenêtre en dehors du visible et de l'invisible. La fêlure de cette fenêtre attend comme l'insinuation de félinité alibre de sa respiration.

 

 

 

Au lieu d'effectuer du porte à porte pour vendre des morceaux de son cerveau, il affecte du fenêtre à fenêtre afin de jeter le sommet de sommeil de son sexe à l’instant où il vise l'âge de s’il vous plait du vide. II dissèque le désert avec l’excitation de ses yeux. Quand pendant son travail, il repose la malédiction de rencontrer un os, il le regarde comme s'il était l'indice même de l'appel au secours de la fin du monde. Il ne parle jamais à cet os, il préfère que l'épilepsie de savoir de ses poils lui adresse le hasard de maquillage de l’ascèse. Ainsi comme un cyclope insinue le hurlement de tact de son nom, il tait l'au revoir et à bientôt d'un grain de sable et utilise par là-même avec le dos de sa main la disparition d'inconnu du ciel.

 

 

 

Il ne sait détruire que ce qui somnole entre les cils et l'index ou entre le ciel et l'exil. A chaque fois qu'il effectue un clin d'œil au hasard de son ombre, il incite la chute du vide à survenir comme souvenir à la lettre.

 

 

 

Il exclame les murs de sa prison. C'est pourquoi il ne possède aucune mémoire tactile. Ses souvenirs ce sont les étoiles.

 

 

 

Des étoiles il possède l'exclamation de tact inouï. Le cérémonial de son souffle est de toujours savoir comment commencer. Il est réveillé par des funérailles d'éternuements ou bien encore somnolé par des affectations de déserts.

 

 

 

Il n'est pas simple de le saisir en flagrante lecture d'infirmité. Sa candeur est la frayeur de sa ruse. Il brûle de quoi il parle. Il mâche la cendre de son regard avec le tact d’exil de son amnésie.

 

 

 

Il ne joue que lorsqu'il est en danger de mort. Il parie par l'ellipse de handicap de sa langue. Sa politesse apparait ainsi comme l’indice d’une évidence sans pardon.

 

 

 

Son apparence est la forme posthume de son désir. C'est pourquoi l'à bientôt de ses mains deviendra impardonnable après sa mort.

 

 

 

 

 

Il ne possède aucun os. Il possède seulement des parchemins stellaires de soif, des crampes de déserts ailés.

 

 

 

Son squelette est composé uniquement de paroles. Son squelette est uniquement composé de paroles touchées au vol par l’éclair de son souffle.

 

 

 

Son excitation n'est pas celle de son corps et elle n'est pas celle de son cerveau. Cette excitation est celle de son squelette ou plutôt de son squelettre, de la syntaxe de lettres de ses os.

 

 

 

Il tient debout à coups de miracles. Son squelette affirme la catastrophe de candeur du vent comme règle du jeu de l’équilibre.

 

 

 

Il parvient à tenir son corps en équilibre uniquement avec l’élan de sa pensée. Dès que le geyser de lave de son cerveau disparait, il est forcé de s’allonger par terre.

 

 

 

Il confond la rhétorique de son regard avec l’allure de son squelette. C’est pourquoi il ne parvient à tenir debout qu’à l’instant où il regarde la poitrine du ciel.

 

 

 

Son squelette affirme le séisme de sa distinction. Il écoute les phrases d’amnésie de son destin comme une conversation composée par un incendie de dés.

 

 

 

Il rit uniquement avec son squelette. Quand il rit son squelette devient un tonnerre d’étoiles, cependant le reste de son corps ne tremble pas, le reste de son corps reste paralysé et impassible.

 

 

 

Il a installé un ascenseur à l’intérieur de son squelette afin que le son de ses pas puisse monter de ses pieds jusqu’à sa tête. Il prétend que sinon il ne s’entend pas marcher, et qu’il confond le bruit de ses pas avec les battements de son cœur.

 

 

 

La tête en bas, en équilibre sur les mains, ses pieds jonglent avec le cerveau de la disparition de sa mémoire.

 

 

 

Le jour, il a autant confiance en son squelette qu’il se méfie de ses muscles. La nuit, il a autant confiance en ses muscles qu’il se méfie de son squelette. C’est le contorsionniste ducomment ça va tabou.

 

 

 

 

 

Il ne nage pas avec ses jambes et ses bras, il nage avec ses ongles, avec l’impulsion éperdue de ses ongles.

 

 

 

Quand il se trouve face à la gorge de sourcils de l'énigme, il essaie seulement de savoir qui parle au hasard du vide à l’instant où l'odeur de la foudre le regarde.

 

 

 

Il est le fiancé oculaire des morsures du souffle. L’énigme de son habitude compose la fable de sa déraison.

 

 

 

Un magma abstrait de gags stellaires repose entre son visage et son nom. Et entre la disparition de son nom et le charme de ses os joue à vieillir le miracle dérisoire d'un cercueil d'ailes.

 

 

 

La coquetterie de passion de sa bouche repose coagulée au regard de translucidité de ses os. Son équilibre exhume les confidences de hasard du lointain. Son nom ressemble aux fables de rendez-vous d’un désert de nombres.

 

 

 

Son corps est une machine à pulsions apocryphes de chemins. Son futur ressemble ainsi au repos de sa fatalité.

 

 

 

 

 

Son seul problème est de savoir si la ruse est l’archéologie de la clarté ou la clarté l’archéologie de la ruse.

 

 

 

Depuis toujours, il tombe. Il tombe sans inquiétude et sans douleur. Chaque jour développe sa chute. Depuis toujours, il tombe et chaque jour la taille de son corps grandit d’autant qu’il tombe.

 

 

 

Il combat par nonchalance. Il combat comme il pétrit le feu d’artifice de la farine. Il combat comme il pétrit le pain qu’il devient.

 

 

 

Après avoir donné pendant des jours et des jours, des années et des années, d’innombrables coups de marteaux sur le soleil, au milieu de sa vie il découvre soudain qu’il existe un ciel.

 

 

 

Il a perdu un autre jour à l'intérieur d'un cercueil de tact qui travaille à creuser son oreille. En vérité il n'a plus de tympans. Il possède au lieu des tympans la bouche d’une voix lactée qui acquiesce à l'épouvante invulnérable du ciel.

 

 

 

Son épouvante pullule de traits d‘esprit. Sa chevelure ressemble à un désert de dentelles.

 

 

 

Son épouvante reste invulnérable. En effet, son odeur imprègne à jamais l’intégralité des lieux où il est apparu.

 

 

 

 

 

La subtilité libertine de sa terreur est de caresser le maquillage des femmes sans jamais toucher les femmes.

 

 

 

Il dispose avec tact et distinction des poitrines de femmes en équilibre à l’intérieur même de leur vagin. Ce bouquet impeccable apaise l’exubérance d’ascèse de sa demeure.

 

 

 

Il possède un savoir clandestin. Il sait que la couleur de la bouche des femmes révèle la forme inachevée de leur sexe et que l’équilibre du sexe des femmes révèle la forme invulnérable de leur bouche.

 

 

 

Il contemple avec le télescope de son sexe les ébauches de disparitions taboues de la lune. Ainsi l’énigme de son désespoir somnole comme une posture de son prénom.

 

 

 

 

 

Il mange la viande avec subtilité comme si la viande était une sécrétion du vent.

 

 

 

Sa faim ressemble à une étoile qui pourrit. Sa faim est le stigmate d’une étoile indésirable au centre de son front.

 

 

 

Le regard de sa mémoire existe uniquement à l’instant où l’immortalité de sa faim frôle l’immortalité de sa soif.

 

 

 

Son unique plaisir est de boire un verre d’eau. Ainsi il ne sait pas pourquoi d’innombrables hommes et femmes désirent le rencontrer à l’intérieur de la disparition d’un tribunal.

 

 

 

L’oscillation révèle la forme de sa virtuosité. Il sait ainsi que selon les doigts du cœur, composer de la musique hypothétise le geste d’insinuer la mosaïque d’alcool de l’inouï et selon le cou de l’âme, le geste de boire le coma de désinvolture d’un verre d’eau.

 

 

 

Il est idéaliste lorsqu’il dédaigne et matérialiste quand il aime. C’est pourquoi la douceur de son regard reste sans lendemain.