Alcool

 

 

 

 

 

 

 

L’alcool timbre le désert.

 

 

 

L’alcool excite l’abattoir de sourires de la bonté.

 

 

 

L’alcool insinue des cathédrales d’inouï volé.

 

 

 

L’alcool affirme le maquillage d’ascèse du futur antérieur.

 

 

 

 

 

L’alcool affirme le handicap du lait.

 

 

 

L’alcool insinue la lévitation du zéro de l’immédiat.

 

 

 

L’alcool funambulise le zéro de translucidité de l’immédiat par la facilité de désespoir de l’ainsi.

 

 

 

L’alcool évoque l’euphorie de douleur affriolante des étoiles.

 

 

 

L’alcool affirme le feu de sourires inchoatifs de l’infirmament.

 

 

 

 

 

L’alcool déchire l’aléa de vide du lointain.

 

 

 

L’alcool métamorphose le lointain en colle de dissociation du hasard.

 

 

 

L’alcool convulse le handicap du vide par le hasard tabou de l’immédiat.

 

 

 

Le hasard de tragédie de l’alcool ravit l’alcôve de translucidité de l’au revoir.

 

 

 

L’alcool métamorphose la passion d’in extremis du crâne en pulsion d’esquive de l’au revoir.

 

 

 

 

 

L’oscillation de paupières de l’alcool embaume le labyrinthe de salive de l’ainsi.

 

 

 

L’alcool coudoie les gencives du cerveau avec des lapsus coagulés de lointain.

 

 

 

Le spasme de clandestinité de l’alcool immisce l’aléa d’alcôve immense de la monotonie.

 

 

 

La subtilité de monotonie de l’alcool catalyse l’errance d’à bientôt du crâne.

 

 

 

Les ailes de translucidité de l’alcool cartographient le feu de solitude du crâne.

 

 

 

La colonne vertébrale de l’alcool cueille la foudre de gel du futur antérieur à l’intérieur du crâne de silence de la certitude.

 

 

 

 

 

L’ivresse massacre les miroirs.

 

 

 

L’ivresse esquisse la musique de la salive.

 

 

 

L’ivresse formule les boucles d’oreilles de la langue.

 

 

 

L’ivresse insinue la trahison à vide de l’incroyable.

 

 

 

 

 

L’ivresse dissèque le vide.

 

 

 

L’incrédulité de l’ivresse dissèque la vivacité du vide.

 

 

 

L’ivresse révèle l’errance du vide à la surface du crâne.

 

 

 

L’ivresse révèle la ruine de virtuosité du vide.

 

 

 

L’ivresse insinue le viol de soif de l’inverse.

 

 

 

L’ivresse sans alcool scalpe le hasard du miracle.

 

 

 

L’alcool sans ivresse violente l’éclipse de la solitude.