Pensée

 

 

 

 

 

 

 

La pensée est la limite infinie du corps.

 

 

 

L’homme se tient plié au centre de son cerveau. L’homme simule l’élévation à travers le glissement recroquevillé de la pensée.

 

 

 

La lumière de la pensée ne tient pas l’homme debout, elle le détient penché et plié. La lumière de la pensée plie le corps en tant que simulacre de miroir. La lumière de la pensée plie le monde à l’infini pour l’obliger à avouer qu’il est un univers.

 

 

 

 

 

La pensée est la prison du mouvement perpétuel.

 

 

 

La pensée est la prison à l’air libre de la lumière. La pensée est la prison à l’air de rien libre de la lumière.

 

 

 

L’anonymat de la pensée est le corps du délit de la lumière.

 

 

 

La pensée est l’esclave futile de l’éternel retour de la lumière.

 

 

 

La pensée prostitue l’âme à la pureté de la lumière.

 

 

 

La torture d’aveux de la pensée désire anéantir le feu de ratures de l’innocence à travers la perfection d’erreur de la lumière.

 

 

 

 

 

La pensée croit en elle-même.

 

 

 

La pensée croit à la dignité de la vérité.

 

 

 

La pensée n’est pas une forme. La pensée renie la forme à travers l’information de l’infini.

 

 

 

La pensée n’est jamais une forme de la nécessité. Il n’y a pas de nécessité de la pure pensée.

 

 

 

La pensée est condamnée à reproduire le n’importe quoi de l’infini. Toute pensée est nihiliste. La pensée nie la sensation du destin.

 

 

 

La pensée ignore le goût et le dégoût. La pensée est l’acceptation indifférente de la lumière. La pensée accepte les informations de l’infini à travers l’éternel retard de l’a priori.

 

 

 

L’abjection de la pensée est d’oublier la forme de l’amour et de mémoriser exclusivement les informations de l’indifférence.

 

 

 

La pureté coupable de la pensée ignore la catastrophe de facilité de la bêtise.

 

 

 

 

 

La pensée est la stupeur d’être parasité à travers le rien du tout.

 

 

 

L’impossible ridicule de la pensée est d’être parasité à travers la lumière d’insomnie du rien du tout.

 

 

 

La pensée accomplit des ready-made d’absence.

 

 

 

La pensée est l’organe de résurrection du néant.

 

 

 

La pensée incarcère l’encyclopédie du néant.

 

 

 

La pensée révèle le sens d’un univers à l’homme à condition que cet homme n’existe pas.

 

 

 

 

 

La pensée est une prothèse de gomme.

 

 

 

La pensée enceint le corps de gomme.

 

 

 

La pensée porte le cerveau dans son ventre tel un foetus d’effacement.

 

 

 

La pensée enceint le corps d’excrhymen. La pensée enceint le corps de l’excrément de gomme de l’horizon.

 

 

 

La gomme de la pensée produit la virginité insignifiante de l’infini.

 

 

 

La pensée change le corps en ready-made de gomme de l’horizon.

 

 

 

 

 

La pensée est le moteur de gomme de l’horizon.

 

 

 

La pensée est le miroir ready-made de l’horizon.

 

 

 

La pensée est un miroir serpillière.

 

 

 

Le miroir arachnéen de la pensée arithmétise le quiproquo de l’adieu.

 

 

 

 

 

La pensée atteste la folie de la décision infinie.

 

 

 

La pensée parasite l’âme à travers le pur possible de l’interdit.

 

 

 

La pensée produit la prothèse d’horizon de l’identité.

 

 

 

La pensée parasite l’âme à travers le signe de dignité du visage.

 

 

 

 

 

La pensée désire le n’importe quoi de l’être.

 

 

 

La stupidité de la pensée est de croire que la vie n’est rien d’autre que le cadavre de l’être.

 

 

 

La pensée mime la lettre anonyme de la mort éternelle.

 

 

 

La pensée décide le sens de suicide de l’être.

 

 

 

La pensée ressuscite à chaque seconde la virginité de l’espèce de l’être.

 

 

 

La pensée produit un complot d’insuicides à travers la parthénogenèse du pur possible.

 

 

 

La pensée est un assassinat posthume. Il est obligatoire que l’assassin soit mort pour que le crime de la pensée survive.

 

 

 

La pensée engendre le pur possible de désirer l’être l’air de rien.

 

 

 

 

 

La pensée parasite le corps à travers la frénésie d’ignorance de l’infini.

 

 

 

La pensée parasite le rire du chaos à travers le masque de l’infini.

 

 

 

La pensée produit l’infini de la distraction.

 

 

 

La pensée fait fuir chaque fragment du monde à l’horizon et le change alors en objet. L’objet de la pensée ignore la proximité et le lointain de la présence. L’objet de la pensée subsiste en tant que simulacre à l’infini.

 

 

 

Croire à l’infini de la pensée est survivre en tant qu’insomnie de l’interdit.

 

 

 

La pensée produit la distraction de meurtre de l’insomnie.

 

 

 

 

 

L’ubiquité de transparence de la pensée anéantit la volonté d’apparaître de la matière.

 

 

 

La pensée habille d’un souci de dignité la catastrophe de jubilation du monde. La stupidité de la pensée est de désirer mettre un vêtement à l’abîme de la matière. La stupidité de la pensée est de désirer habiller l’apocalypse de nudité du monde.

 

 

 

La pensée abolit le miracle inconnu d’apparaître à l’intérieur du monde. La pensée interdit la posture d’immobilité de la chute. La pensée ignore la multitude des formes de la pesanteur.

 

 

 

La pensée relie arbitrairement la joue à l’étoile, ainsi l’espace rituel de la joue à l’étoile est anéanti. La pensée abolit l’espace taciturne du jour à travers la promiscuité spectrale de la lumière.

 

 

 

Il est nécessaire afin de jouir de la grâce d’exister de détruire le retard de stupeur de la pensée qui change la passion de désinvolture de la présence en signes de l’absence à travers l’obligation de sérieux de la distraction.

 

 

 

 

 

La pensée est le pouvoir de la volte-face. La folie de l’homme est de croire que lorsqu’il se retourne, il voit ce qui apparaît dans son dos.

 

 

 

La pensée anéantit le dos. La pensée anéantit l’extase de certitude du dos. La pensée anéantit la présence de disparition de la chair. La pensée anéantit le miracle du ça tombe debout de la chair au jour l’instant.

 

 

 

La pensée assassine le dos à travers la loi d’anonymat de la lumière.

 

 

 

La pensée masque le dos à travers le miroir du sens.

 

 

 

 

 

L’incertitude de la pensée croit se changer en vérité à travers l’acte de se masquer.

 

 

 

Le désir de cacher ce qui n’existe pas est le vice de virginité de la pensée.

 

 

 

 

 

La pensée est le retard du passé.

 

 

 

La pensée développe un pansement d’éternité sur le précipice du présent.

 

 

 

 

 

Celui qui prononce sa pensée écoute à travers le massacre de ses narines.

 

 

 

La pensée est le divertissement des riches qui font semblant d’avoir faim.

 

 

 

 

 

La lumière est l’automutilation du néant.

 

 

 

La lumière est le lapsus de mutisme de l’automutilation du néant. La lumière est le lapsus de mutisme de l’alphabet de virginité du néant.

 

 

 

La lumière engendre l’alibi de l’absence.

 

 

 

La lumière est le labyrinthe du rien du tout.

 

 

 

La lumière est la lettre anonyme de la mort.

 

 

 

La lumière engendre le quiproquo de vérité du suicide de la mort.

 

 

 

La lumière est l’hymen d’anonymat du suicide manqué de la mort.

 

 

 

La lumière est la résurrection comme si de rien n’était de la vérité.

 

 

 

La lumière atteste l’ultimatum de gomme de la totalité.

 

 

 

La lumière est la hâte de l’attente.

 

 

 

La lumière signifie la vitesse d’attente de l’air.

 

 

 

La lumière est la morsure du simulacre.

 

 

 

La lumière est le leurre de morsure de la distance.

 

 

 

La neutralité de la lumière est la fleur de suffocation de l’infini.

 

 

 

La lumière interdit l’apparition bestiale de la chair.

 

 

 

La lumière contamine la présence de la chair à travers l’obligation de pureté de la pensée.

 

 

 

L’ubiquité anonyme de la lumière est la puissance transcendante de la distraction. Lorsque l’homme voit la lumière, il n’a jamais la certitude d’apparaître à l’intérieur d’un lieu.

 

 

 

La lumière tient à distance le corps qu’elle révèle. La lumière est la médiation infinie.

 

 

 

Le corps totalement illuminé est vêtu à travers le néant, à travers le retard parthénogénétique du néant. Le corps totalement illuminé est vêtu à travers le néant de la vérité, à travers l’ultimatum de néant de la vérité.

 

 

 

Le corps illuminé subsiste hanté comme si de rien n’était à travers la transparence d’ubiquité de l’insomnie.

 

 

 

Le corps totalement illuminé n’est rien d’autre qu’un œil. Le corps totalement illuminé est changé en suppôt de peur de la transparence du pur possible. Un corps totalement illuminé est intouchable.

 

 

 

 

 

La vérité est le virus de la lumière.

 

 

 

La vérité est le parasite de lumière de l’être.

 

 

 

L’insomnie de la vérité est de n’avoir d’autre visage que le néant de la vitesse de la lumière.

 

 

 

La vérité atteste le miroir de l’horizon.

 

 

 

La lumière de la vérité est le travestissement de l’être humain.

 

 

 

La vérité doit pour subsister être redoublée d’une croyance qui est le signe même que cette vérité n’est pas une certitude.

 

 

 

La vérité censure l’événement du monde à travers la lumière du sens.

 

 

 

L’idiotie de la vérité est de digérer le sens de l’univers sans jamais manger le hasard du monde.

 

 

 

L’insignifiance de la vérité est de digérer et chier le masque d’ubiquité de la pensée.

 

 

 

L’insignifiance infinie de la vérité est de croire que tout est pensé sans jamais qu’une seule chose apparaisse écrite.

 

 

 

L’incertitude de la vérité est le stigmate de l’incognito.

 

 

 

L’incertitude d’anonymat de la vérité est le suicide de virginité de la lumière.

 

 

 

Celui qui dit toute la vérité et rien que la vérité ne parle à personne. Celui qui dit toute la vérité et rien que la vérité témoigne de l’anonymat de lumière de Dieu.

 

 

 

Dire la vérité est l’ennui de torturer le cadavre de Dieu pour lui faire avouer son nom.

 

 

 

Croire à la vérité dissimule l’extase de mourir à travers la gomme de virginité de la lumière.

 

 

 

Croire au sens de la vérité est l’insomnie d’être masqué à travers l’excrémanque de la lumière.

 

 

 

Lorsque le corps est conçu à travers l’obligation logique de la vérité il subsiste en tant que culpabilité explétive.

 

 

 

Vivre exclusivement en tant que corps de la vérité est identique à l’acte de simuler à chaque seconde le suicide éternel de son cadavre.

 

 

 

Connaître la vérité à son insu est la gloire abjecte d’observer sa pensée dans le miroir de ses excréments.

 

 

 

Employer la vérité pour se souvenir de la mort est croire au cerveau en tant que carte fidélité de la pornographie.

 

 

 

La paresse hypocrite de la vérité éternise le rictus d’ironie vertueuse des cadavres.

 

 

 

Le désir de vérité se masque à travers le suicide du crime.

 

 

 

La lumière de la vérité simutile la virginité du cadavre de Dieu.

 

 

 

La vérité atteste la tautologie de Dieu en tant que calendrier d’incognito de l’alphabet.

 

 

 

 

 

La lettre anonyme de la vérité atteste l’œuf d’adieu de la distraction.

 

 

 

La lettre anonyme de la vérité mime l’enveloppe de mutilation libre de la lumière.

 

 

 

La lettre anonyme de la lumière atteste le suicide manqué de l’éternité de la mort.

 

 

 

 

 

Le néant est l’etcaetera de l’interdit.

 

 

 

Le néant est l’œil de gomme infinie de la lumière.

 

 

 

Le néant vomit les miroirs.

 

 

 

Le nombril du néant digère le cerveau de la loi.

 

 

 

Il est possible de tout connaître à condition de n’être rien.

 

 

 

 

 

La conscience est le supplice de lumière du possible.

 

 

 

La fureur de fidélité de la conscience torture le cerveau à travers le souci de changer sans cesse l’insignifiance du possible en obligation de l’infini.

 

 

 

La conscience est la stupeur d’être l’espion de son absence.

 

 

 

La conscience signale chaque seconde en tant que divinité de l’incertitude.

 

 

 

La conscience est le cancer de l’espèce humaine. La conscience est l’a priori de l’espèce humaine en tant qu’elle s’identifie au rien du tout de l’être.

 

 

 

La conscience est le virus de vérité de l’espèce humaine. La conscience contamine le corps à travers la stupeur insignifiante de l’être. La conscience est de laisser croire que l’être humain est la divinité quotidienne de son propre corps. La conscience est le quiproquo abject de l’obligation « sois un homme ». La conscience est le diktat «sois un homme» qui dissimule l’impératif diabolique « sois un pur signal, sois le pur représentant du néant de l’espèce de l’être».

 

 

 

La conscience n’est qu’un calendrier. La conscience est le calendrier d’un criminel qui ne sait pas tuer. La conscience est le calendrier d’un criminel qui ignore si son crime a eu lieu ou non, le calendrier d’un criminel qui conçoit son crime en tant que façon de respecter le n’importe quoi.

 

 

 

La conscience change le temps en insomnie de dates de l’éternité.

 

 

 

La conscience efface la fin du monde.

 

 

 

La futilité de la conscience virgule la fin du monde.

 

 

 

Le conscience efface la fin du monde à travers la virgule d’origine de la vérité.

 

 

 

La conscience est l’insomnie d’être regardé exclusivement à travers l’alphabet de mutisme de la transparence.

 

 

 

La conscience ronge l’alphabet de transparence de l’horizon.

 

 

 

La conscience désire représenter la pure promiscuité incognito du rien du tout.

 

 

 

La conscience change le souffle en simulacre d’agonie du regard.

 

 

 

La conscience confond l’incognito et l’insomnie à travers le regard du rien du tout.

 

 

 

La conscience travestit le nombril de l’incognito à travers la lumière de l’insomnie.

 

 

 

La conscience est de croire qu’il est possible de gagner à la loterie même lorsqu’on n’y joue pas. La conscience est un jumeau en manque d’un frère infini. La conscience est de croire qu’il est possible de gagner à la loterie même lorsqu’on n’y joue pas un jumeau en manque d’un frère infini.

 

 

 

La conscience est d’être cocufié à travers le sacrifice. La conscience est identique à la Trinité. La conscience est le vaudeville de l’au-delà, le vaudeville des quiproquos d’interdits de l’éternité.

 

 

 

 

 

Il est futile de désirer abolir le doute de la pensée. En effet le doute de la pensée n’est rien d’autre que la pensée en tant qu’attestation infinie du rien du tout au centre de l’être.

 

 

 

L’insomnie du doute change le désir en impératif logique de la virginité.

 

 

 

Le scepticisme est l’immaculée conception de l’insignifiant.

 

 

 

La prière du scepticisme respecte la paresse du mal.

 

 

 

 

 

La raison est la religion du doute. La raison prouve la croyance en l’espèce de l’être à travers le signe de virginité du doute. La raison revendique le doute en tant que date de lumière de l’horizon.

 

 

 

La raison est le tribunal du doute. La raison est le tribunal des dates-idoles de l’incertitude.

 

 

 

La raison change le besoin en désir.

 

 

 

La raison est le tribunal exsangue du désir.

 

 

 

Lorsque le désir atteste la pureté de la raison le corps se change en excrément de virginité du cerveau.

 

 

 

Celui que la transparence de la raison ressuscite à chaque seconde n’est que l’excrément de gomme de son désir.

 

 

 

La raison croit à l’horizon. La raison prie l’horizon. La raison ne connaît d’autre oraison que l’horloge d’adieu de l’horizon.

 

 

 

La raison ignore la pulsion de l’approche. La raison doute à chaque seconde à une distance infinie du monde. L’enfer futile de la raison est de désirer capturer le monde à travers la médiation de lumière de la distance infinie. La raison incarcère le monde entre des absences de mains. La raison incarcère le monde entre les moignons de transparence du témoignage.

 

 

 

La raison vérifie l’horizon en tant qu’anonymat incognito de l’alphabet.

 

 

 

La raison prie la prison de la liberté.

 

 

 

La vérité fastidieuse de la raison produit la liberté anonyme de l’interdit.

 

 

 

La raison croit en l’être de la mort.

 

 

 

La raison conçoit chaque événement en tant que crime ou indice de crime. La raison croit que l’univers est engendré à chaque seconde à travers le crime du rien du tout.

 

 

 

La raison engendre la stupeur d’une vie qui désire la mort au second degré.

 

 

 

La raison désire aligner les odeurs.

 

 

 

L’abjection de la raison est de faire semblant d’avoir faim.

 

 

 

 

 

Le concept est une captation de l’œil.

 

 

 

Le concept saisit chaque objet à travers l’infini de la lumière.

 

 

 

Le concept est la croyance de virginité d’un cadavre.

 

 

 

 

 

L’infini est le divertissement de l’adieu.

 

 

 

L’infini est la futilité du tout.

 

 

 

L’infini est le suicide de la lumière.

 

 

 

L’infini change les mots en nombres de la lumière.

 

 

 

L’infini tautologise le suicide de gomme de la lumière.

 

 

 

Le signe de l’infini est la volte-face du néant.

 

 

 

Le signe de l’infini est le masque d’horizon du néant.

 

 

 

Le signe de l’infini entrelace l’œil-masque de l’éternel retour du rien.

 

 

 

L’infini n’est jamais comestible. La pensée digère l’infini sans jamais le manger.

 

 

 

Le signe de l’infini est l’œuf du cerveau.

 

 

 

Le signe de l’infini défèque le fœtus de l’horizon.

 

 

 

Le fœtus de l’infini n’échange rien d’autre que des miroirs.

 

 

 

Le fœtus hermaphrodite de l’infini témoigne du nœud d’ubiquité de la transparence.

 

 

 

Le fœtus de l’infini pense à croire que son corps est la limite du néant. Le fœtus de l’infini pense à croire que son corps est l’excrément d’insuicide de l’horizon.

 

 

 

 

 

La vitesse de la lumière change le corps en signe de l’infini.

 

 

 

La vitesse de la lumière signale le masque d’effacement de la vérité à travers l’incertitude insignifiante du désir.

 

 

 

La vitesse de la lumière engendre la vulgarité de l’interdit.

 

 

 

La vitesse trahit l’événement.

 

 

 

La stupidité de la vitesse de la lumière est de ne penser rien d’autre que le tout.

 

 

 

La vulgarité de la vitesse de la lumière est de penser éternellement à tout sans jamais sentir une chose particulière.

 

 

 

La vitesse de la lumière ignore la pulsion de démesure des apparences. La vitesse de la lumière dissimule le chaos d’équilibre du monde. La vitesse de la lumière anéantit l’apocalypse de paradis du monde à travers l’incertitude de vérité du sens de l’univers.

 

 

 

La vitesse de la lumière vomit l’etcaetera du néant.

 

 

 

La vitesse de la lumière avoue la gloire de l’anonymat.

 

 

 

La vitesse de la lumière travestit le regard de l’adieu.

 

 

 

La vitesse de la lumière atteste l’anus de l’adieu.

 

 

 

La vitesse de la lumière se viole au miroir.

 

 

 

 

 

Il n’y a d’intelligence qu’avec l’ennemi.

 

 

 

Au purgatoire, il n’y a pas d’autre secret que la pensée.

 

 

 

En enfer, chaque événement est secret excepté l’engendrement de la pensée.

 

 

 

Employer la transgression en tant que preuve du pardon est la stupidité de parodier le paradis.