Destin

 

 

 

 

 

 

 

Le destin déclare la posture d’apocalypse de la couleur.

 

 

 

Le destin donne à sentir le ça tombe de la matière du monde jusqu’à l’apocalypse d’aujourd’hui de la couleur.

 

 

 

Le destin donne à sentir la projection de matière du monde comme tas d’extase de la couleur.

 

 

 

Le destin déclare la chute projectile de la matière du monde comme apocalypse de silence impeccable de la couleur.

 

 

 

 

 

Le destin dénude le crâne de lointain du sang.

 

 

 

Le destin déclare la parure projectile de la respiration du sang.

 

 

 

La scandeur du destin éjacule le visage du sang.

 

 

 

Le scandale d’innocence du destin éjacule le crâne de translucidité de l’aveuglement.

 

 

 

Le destin déclare l’instinct de dormir à oui tu sauf.

 

 

 

 

 

Le destin donne le hasard.

 

 

 

Le hasard vole le destin.

 

 

 

Le destin scandalise la vérité.

 

 

 

 

 

Le destin surgit comme le prestidigitateur des pulsions. Le destin joue à faire apparaître et disparaître les pulsions par le miracle d’anesthésie inexorable du ça tombe jusqu’à tu.

 

 

 

L’instinct du destin apparaît à l’intérieur du séisme in extremis de la bouche debout du sommeil.

 

 

 

L’instinct du destin calligraphie le coma comestible des étoiles.

 

 

 

L’instinct du destin sculpte un nuage gisant debout au dos du visage du sang.

 

 

 

L’instinct d’aveuglement du destin déclare la parabole de paralysie de la certitude comme crâne d’apocalypse de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

L’instinct du destin détruit la croyance en l’espèce de l’être.

 

 

 

La pulsion de parabole du destin détruit le vice de virginité de l’être.

 

 

 

Le scandale d’immobilité du destin détruit la raison de croire en l’être de la mort.

 

 

 

 

 

Le silence du destin projette la joie d’apparaître à l’intérieur du monde.

 

 

 

Le silence bestial du destin imagine l’extase de terreur du sommeil.

 

 

 

Le blanc bestial de la nécécité déclare la chute en érection du crâne.

 

 

 

Le blanc bestial de la nécessité calligraphie la clandestinité à ciel ouvert du sang.

 

 

 

Le blanc bestial de la nécessité marche à l’intérieur de l’arbre de sommeil du sang.

 

 

 

La répétition de silence du destin transforme le hasard du jour en miracle d’habitude de la nuit.

 

 

 

La trajectoire de silence du destin calligraphie le tas d’extase de la couleur.

 

 

 

 

 

Le sommeil du destin calligraphie l’hémorragie de joie du visage.

 

 

 

L’indécence d’anesthésie du destin calligraphie l’instinct de grâce taciturne de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le gag de sommeil du destin abandonne l’arbre d’ascèse du crâne au déluge de sang de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

La jubilation immédiate du destin détruit l’éternel retour de la virginité.

 

 

 

Le fou rire de bêtise du destin calligraphie l’extase d’anesthésie des vertèbres du sang.

 

 

 

L’obscénité impeccable du destin déclare la respiration de sang de l’âme.

 

 

 

 

 

La désinvolture aveugle du destin méprise la lumière éternelle de la mort.

 

 

 

La désinvolture du destin donne à manger à l’homme qui a soif et à boire à l’animal qui a faim.

 

 

 

La désinvolture du destin déclare le bonjour contorsionniste du sommeil à l’instant l’instant.

 

 

 

La frivolité du destin sculpte les confidences de la foudre à l’intérieur de la bouche funambule de sommeil.

 

 

 

L’aveuglement frivole du destin calligraphie le strip-tease de certitude de l’amnésie comme fenêtre de sang du crâne.

 

 

 

 

 

Le visage d’envol de la nécessité épanouit la crampe de sang de la grâce.

 

 

 

Le miracle d’habitude de la nécessité projette le gag de la respiration par la chute debout de la bouche à l’intérieur de la clandestinité inexorable du sommeil.