Lenteur

 

 

 

 

 

 

 

La lenteur mange le brouhaha de la clarté.

 

 

 

Le coma de temps de la lenteur contemple la répétition de la clarté.

 

 

 

Le coma de temps de la lenteur contemple la déchirure globale de la certitude comme répétition de silence de la clarté.

 

 

 

 

 

La lenteur affirme le repos d’illusion de la paralysie.

 

 

 

Le plaisir inexorable de la lenteur projette la chair comme repos d’extase de la paralysie.

 

 

 

L’extase d’immobilité de la lenteur déclare l’existence comme apocalypse impeccable de l’aujourd’hui.

 

 

 

L’extase d’anesthésie de la lenteur exclame le crâne d’indécence du sang.

 

 

 

La respiration de la lenteur affirme l’amnésie de la nécessité.

 

 

 

La respiration de la lenteur déclare le crâne de candeur de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La paralysie caresse l’explosion.

 

 

 

La paralysie préfère ce qu’elle donne à disparaître.

 

 

 

La paralysie affirme la volonté évanouie de la terreur.

 

 

 

 

 

La pulsion de la paralysie affirme le paradoxe de féerie de l’équilibre.

 

 

 

La passion d’équilibre de la paralysie cartographie le tabou de translucidité de l’oubli.

 

 

 

La pulsation de certitude de la paralysie improvise l’éjaculation d’anesthésie de la démesure du sang.

 

 

 

 

 

Le hasard de la paralysie remue la plaie dans le couteau du calme.

 

 

 

L’ellipse lascive de la paralysie sculpte la crampe des os à la surface de l’au revoir du sang.

 

 

 

La fraîcheur affriolante de la paralysie équilibre la poussière de scandale de la respiration du sang.

 

 

 

Le sang de la paralysie offre les formules de politesse du feu à l’écran du crâne.

 

 

 

 

 

La respiration de la paralysie affirme l’acrobatie à blanc du rire de la terreur.

 

 

 

Le charnier de blancheur de la paralysie affirme l’extase de désinvolture d’apparaître debout à la surface du vide de la terreur.

 

 

 

La joie de la paralysie affirme le vertige d’indécence d’apparaître à l’intérieur de la poussière de sang du destin.

 

 

 

 

 

La parabole d’immobilité de la paralysie compose la passion d’aveuglement de l’espace.

 

 

 

La parabole d’immobilité de la paralysie affirme le fou rire de silence de la monstruosité.

 

 

 

La parure de coïncidences de la paralysie envisage les fesses de facilité de l’envol.

 

 

 

 

 

L’avalanche tombe en possession de la jubilation d’aveuglement de l’espace.

 

 

 

La révérence de l’avalanche improvise le tonnerre de la paralysie.

 

 

 

La violence impeccable de l’avalanche catapulte la respiration d’inconnu du crâne.

 

 

 

 

 

Le chaos caresse l’extase de nudité de l’équilibre.

 

 

 

Le gag de courtoisie du chaos bégaie le ventre d’un sourire à tombeau ouvert.

 

 

 

L’indestructible somnole maquillé à chaque instant par l’imminence du désastre.

 

 

 

La volupté du désastre improvise la tendresse d’anesthésie du ciel.

 

 

 

 

 

Le séisme multiplie les sourires de terreur de la terre.

 

 

 

Le cimetière des cyclones chante accroupi sur le toboggan des gencives.

 

 

 

Le séisme immisce la boulangerie des malédictions. 

 

 

 

 

 

L’habitude de la catastrophe surgit à la fois en dehors du sens et du non-sens.

 

 

 

La paume ouverte de la catastrophe méprise la vérité fermée de la mort.

 

 

 

La facilité de la catastrophe caresse la mystification de coma de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le frou-frou d’anesthésie de la catastrophe calligraphie la respiration de nécessité de la nudité.

 

 

 

 

 

Le charme de la terreur oublie la vérité de la peur par l’habitude du miracle.

 

 

 

L’extase de la terreur imagine une architecture de couteaux à l’intérieur du ventre.

 

 

 

L’extase de la terreur donne à sentir le miracle d’un plaisir sans pardon.

 

 

 

La crampe de certitude de la terreur respire le sommeil de désinvolture de l’inouï.

 

 

 

La parabole de la terreur décapite le coma impeccable du miracle par l’enfantillage taciturne du feu.

 

 

 

L’énigme de sang de la terreur calligraphie le fou rire de clarté du tonnerre.

 

 

 

Le crâne de solitude de la terreur compose le tas de zéro immédiat du tonnerre comme cathédrale de clarté de l’inconnu.

 

 

 

 

 

L’imminence hasarde la main du miracle.

 

 

 

L’imminence insinue l’énigme de la monotonie.

 

 

 

L’imminence évoque l’exubérance tacite de la monotonie.

 

 

 

L’imminence immisce le désert minuscule de l’incroyable.

 

 

 

 

 

La main de l’imminence dort dévorée par la syncope taciturne des étoiles.

 

 

 

La féerie de l’imminence favorise le séisme du visage entre chaque battement de cils de l’à bientôt.

 

 

 

La monotonie donne à sentir l’immensité de l’imminence.

 

 

 

Le tonnerre de candeur de la monotonie déclare l’exubérance de calme du destin.

 

 

 

 

 

L’hébétude catapulte l’imminence alibre du sommeil.

 

 

 

L’hébétude brode le brouillard de flèches du crâne.

 

 

 

L’hébétude affirme l’extase de subtilité du besoin.

 

 

 

Le tourbillon d’amnésie de l’hébétude repose la solitude de l’âme en deçà du hasard du visage.

 

 

 

La jubilation tacite de l’hébétude arque une banquise d’abstraction à l’intérieur de la paume du regard.

 

 

 

Les braises d’imminence de l’hébétude reposent à l’intérieur du magma de plaisanteries de l’espace.

 

 

La désinvolture de l’hébétude méprise le désir de vérité par la crucifixion facile du paradis.