Mépris

 

 

 

 

 

 

 

L’orgueil méprise la gomme du sens.

 

 

 

L’orgueil ourle la chirurgie de chasteté.

 

 

 

La chasteté dédicace la charogne de l’orgueil.

 

 

 

L’orgueil écartèle l’océan à l’intérieur d’une goutte d’eau.

 

 

 

 

 

Le tact de l’orgueil a des yeux comme des yo-yo d’océan tacite.

 

 

 

L’odeur de déraison de l’orgueil déclare l’incendie d’indécence du sommeil.

 

 

 

La main hagarde de l’orgueil enterre le hasard d’anesthésie du nom.

 

 

 

 

 

La lucidité tisse les linceuls de l’illusion avec l’au revoir du vent.

 

 

 

Le maquillage de la lucidité calligraphie le miracle d’amnésie de l’âge.

 

 

 

L’euphorie d’épouvante de la fascination compose le bouquet de paupières de l’inconséquence.

 

 

 

L’instant explétif de l’éveil incruste la cicatrice de hasard de la lucidité sur la tempe révulsée du revolver.

 

 

 

 

 

La colère ordonne la bonté de l’épouvante.

 

 

 

La colère effectue le classement de souffles du feu.

 

 

 

 

 

Le mépris esquive le tout par les formules de politesse du feu.

 

 

 

Le mépris esquive le tout par la main de feu de l’érosion.

 

 

 

Le mépris esquive le tout par la crampe d’affectation du vide.

 

 

 

 

 

Le mépris bégaie l’abstraction de l’immédiat.

 

 

 

Le mépris détruit l’intelligence par un gag de pudeur à gober les murs.

 

 

 

Le mépris inhale l’espace indicible entre parler en son nom et écrire par l’inouï.

 

 

 

 

 

Le mépris apprend le christproquo de hasard du zéro.

 

 

 

Le mépris révèle le christproquo de zéro du crâne.

 

 

 

 

 

L’humilité ensevelit le regard du nom.

 

 

 

L’humilité pose la certitude par contumace du prénom.

 

 

 

L’humilité ensevelit le regard du nom avec la certitude par contumace du prénom.

 

 

 

L’humilité du mépris décapite le nom par le gag de tact de l’inouï.

 

 

 

Le labyrinthe de rendez-vous de l’humilité insinue l’énigme de vide de l’habitude.