Bonjour

 

 

 

 

 

 

 

Bonjour évanouit tu.

 

 

 

Bonjour tombe jusqu’à tu.

 

 

 

Bonjour tombe jusqu’à tu comme l’habitude de la grâce boit la cible à l’abandon des nuages.

 

 

 

Bonjour apparaît enseveli debout par l’errance inexorable et taciturne des nuages.

 

 

 

 

 

Bonjour sauvegarde la violence évanouie du blanc.

 

 

 

Bonjour calligraphie l’évidence par contumace du blanc.

 

 

 

Bonjour calligraphie le blanc bestial de la nécessité.

 

 

 

La répétition du bonjour peaufine la gueule d’aveuglement du blanc.

 

 

 

Bonjour calligraphie l’éjaculation de sang du visage de la certitude.

 

 

 

Bonjour déclare le visage de tonnerre du coma debout.

 

 

 

Bonjour déclare le visage de tabou à blanc du hasard inconnu.

 

 

 

 

 

Le bonjour n’est pas une forme de connaissance. Le bonjour n’est pas une forme de reconnaissance. Le bonjour déclare la forme de la conversation de l’inconnu. Le bonjour déclare la forme de la conversation du jour de l’inconnu avec le sommeil du destin. Le bonjour ne salue pas l’autre. Le bonjour salue la conversation du jour de l’inconnu et du sommeil du destin à l’intérieur du besoin d’extase du ça tombe à tu.

 

 

 

Bonjour respire l’innocence monstrueuse du ça tombe jusqu’à tu.

 

 

 

Bonjour catapulte la crampe du dehors à la surface de ça tu à oui.

 

 

 

Bonjour calligraphie l’hémorragie du blanc à oui tu sauf.

 

 

 

 

 

Bonjour improvise l’hémorragie de bijoux de la paralysie.

 

 

 

Bonjour calligraphie le bain de jonglerie des hurlements.

 

 

 

Bonjour provoque le magma de charme du silence.

 

 

 

Bonjour improvise la neige de la syncope au dos du destin.

 

 

 

 

 

Bonjour calligraphie le fou rire de silence du crâne.

 

 

 

Bonjour imagine l’incendie de vide du crâne.

 

 

 

Bonjour calligraphie une avalanche de précision à l’extrémité de la bouche tacite du crâne.

 

 

 

Le coma comestible du bonjour projette la suite des phrases par les postures bestiales du crâne.

 

 

 

L’aveuglement du bonjour calligraphie le sommeil de la volonté par la scandeur du crâne.

 

 

 

 

 

Bonjour exclame l’improvisation de vide de l’habitude.

 

 

 

Bonjour projette l’alcool d’habitude du lointain.

 

 

 

Bonjour mange le sommeil de terreur du ciel.

 

 

 

 

 

Bonjour clandestine le pain impeccable du coma jusqu’au fruit de certitude du sang.

 

 

 

La clandestinité à ciel ouvert du bonjour envisage le coma debout de la respiration du sang.

 

 

 

L’orgie d’habitude du bonjour respire le tohu-bohu des arbres à l’intérieur du sang.

 

 

 

La pandiculation du bonjour déclare le sommeil de terreur du silence comme planète impeccable du sang.

 

 

 

 

 

Bonjour clandestine le hasard tabou de l’oubli comme ruine souveraine du miracle.

 

 

 

La pulsion de dire bonjour à l’oubli imagine l’apocalypse de sommeil de la respiration.

 

 

 

Bonjour abandonne le visage tabou du hasard au lieu d’une main et la bouche debout de l’aujourd’hui au lieu du visage.

 

 

 

 

 

Bonjour arque la translucidité obscure du toucher jusqu’à l’hémorragie de bijoux de l’amnésie.

 

 

 

La flèche du bonjour calligraphie la cible d’habitude du silence.

 

 

 

La flèche efficace du bonjour envisage la cible de la terreur à l’abandon.

 

 

 

La désinvolture de tragédie du bonjour calligraphie la révérence d’ascèse de l’au revoir.

 

 

 

 

 

Le visage du bonjour déclare la viande d’extase de l’illusion.

 

 

 

La main aveugle du bonjour projette les tempes d’exclamation de l’instinct.

 

 

 

Bonjour à comment ça va maquille la disparition des paupières avec l’imminence de s’il vous plait du ciel.