Sommeil

 

 

 

 

 

 

 

Le sommeil calligraphie l’avalanche de la monotonie.

 

 

 

Le sommeil vole par la bouche debout de la chute.

 

 

 

Le sommeil suce la chute de silence de la nuit.

 

 

 

Le sommeil jardine l’incendie du jusqu’à.

 

 

 

Le sommeil incendie l’habitude de l’extase.

 

 

 

Le sommeil rature l’extase de mourir à blanc.

 

 

 

 

 

Le sommeil affirme la désinvolture de la violence.

 

 

 

Le sommeil déclare la posture d’errance de l’immobilité.

 

 

 

Le sommeil sauvegarde la posture de clandestinité du destin.

 

 

 

Le sommeil affirme l’avalanche d’ascèse du destin.

 

 

 

 

 

Le sommeil déclare la statue d’hémorragie du silence.

 

 

 

Le sommeil projette la cible de silence de l’herbe.

 

 

 

Le sommeil mange le miracle au dos de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Le sommeil joue avec la terreur.

 

 

 

Le sommeil intime le désordre du calme.

 

 

 

Le sommeil a confiance dans le feu de solitude de l’amour.

 

 

 

Le sommeil a confiance dans le feu de conversation du destin.

 

 

 

 

 

Le sommeil clandestine la certitude de l’instinct.

 

 

 

Le sommeil clandestine la clarté de la chair à tu.

 

 

 

Le sommeil jongle avec le tas d’extase de la suite des jours.

 

 

 

Le sommeil calligraphie le magma de gestes du silence au dos de l’instinct du destin.

 

 

 

 

 

Le sommeil dénude le tonnerre de la translucidité.

 

 

 

Le sommeil calligraphie le feu de certitude du crâne comme mystification de sang de l’instinct.

 

 

 

Le sommeil calligraphie le crâne d’extase de la translucidité à l’intérieur des mains de tonnerre du sang.

 

 

 

 

 

Le sommeil déclare l’immense à l’intérieur de l’imminence et tait l’imminence à l’intérieur de l’immense.

 

 

 

Le sommeil calligraphie le tourbillon de viande stellaire de la métamorphose.

 

 

 

Le sommeil exclame la féerie du tabou jusqu’aux cendres d’excitation de l’espace.

 

 

 

Le sommeil peaufine de l’à bientôt de l’oubli avec le s’il vous plait du vide.

 

 

 

Le sommeil montre le sommet d’illusion de l’inconnu.

 

 

 

 

 

L’imminence du sommeil insinue l’ascèse de l’immédiat.

 

 

 

L’imminence du sommeil osculpte la parure d’anesthésie du visage.

 

 

 

L’imminence du sommeil immisce l’au revoir de ciel de la monotonie.

 

 

 

L’imminence du sommeil affirme le silence taciturne de la monotonie du sang.

 

 

 

L’imminence cyclopéenne du sommeil sculpte la bouche de ratures debout de la certitude comme scandeur de clarté du silence.

 

 

 

La démesure d’imminence du sommeil calligraphie la demeure d’incendie du destin.

 

 

 

 

 

Le sang aveugle du sommeil déclare l’immobilité désinvolte du destin.

 

 

 

La crampe de sang du sommeil calligraphie le scandale de désinvolture du destin.

 

 

 

La flèche de sang du sommeil envisage le vide de la liberté comme le hasard d’une cible.

 

 

 

L’hémorragie de révérences du sommeil dévore la main de hasard tabou du blanc.

 

 

 

 

 

La monstruosité d’innocence du sommeil oublie le possible et l’impossible à l’intérieur de la clandestinité de l’immédiat.

 

 

 

La certitude du sommeil calligraphie le gag d’extase de paralyser l’immobilité à l’intérieur de tu.

 

 

 

La certitude à l’abandon du sommeil calligraphie le déluge de grâce taciturne de l’aujourd’hui.

 

 

 

L’aisance de tragédie du sommeil arque l’extase taciturne de l’ascèse comme cheval de sang de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Le crâne du sommeil sculpte l’élan de la monotonie.

 

 

 

Le crâne du sommeil déclare la cible d’imminence de la monotonie.

 

 

 

Le crâne du sommeil calligraphie le séisme de succulence du lointain.

 

 

 

Le crâne de bijoux du sommeil plaisante l’excès d’équilibre du vide.

 

 

 

Le crâne du sommeil invente le hasard du vide avec le visage de poignard de l’inouï.

 

 

 

Le crâne du sommeil joue à toucher le ça par contumace à blanc.

 

 

 

Le crâne du sommeil déclare le zéro debout du silence de l’inconnu.

 

 

 

Le crâne de sang du sommeil déclare le tonnerre de clarté de l’aveuglement.

 

 

 

Le crâne de translucidité du sommeil sauvegarde la conversation de gags du destin.

 

 

 

Le crâne de sang du sommeil imagine la chute d’innocence de l’immortalité à tu.

 

 

 

 

 

L’enthousiasme minéral du sommeil éjacule des étoiles cul-de-jatte.

 

 

 

L’enthousiasme du sommeil incendie le hasard de la certitude jusqu’à minéraliser l’au revoir du temps comme magma de gags de la respiration.

 

 

 

La pierre épanouie du sommeil jette le visage du sang à l’intérieur du crâne

 

d’au revoir de la bouche.

 

 

 

L’extase taciturne du sommeil sculpte le dos de certitude du paradis.

 

 

 

Le silence debout du sommeil déclare l’extase d’illisibilité du destin.

 

 

 

La clandestinité contorsionniste du sommeil déclare le coma debout de l’aujourd’hui à tu.

 

 

 

La jubilation injuste du sommeil sculpte la scandeur aveugle du ça tombe à oui.

 

 

 

L’extase de clandestinité du sommeil calligraphie l’incendie de gel du silence de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

La roue d’arbres du sommeil paralyse le scandale de l’immobile à l’intérieur de à oui.

 

 

 

La roue de sang du sommeil imagine le ça tombe debout de la respiration de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

La statue de tonnerre du sommeil donne à manger le crâne de sauvagerie de l’équilibre.

 

 

 

La chute en érection du sommeil déshabille le crâne à boire in extremis de l’instinct.

 

 

 

L’assentiment de terreur du sommeil affirme le strip-tease de hasard de la lucidité.

 

 

 

La terreur impeccable du sommeil écartèle d’équilibre l’arbre d’insouciance minérale de l’incendie.

 

 

 

L’apocalypse du sommeil calligraphie la souveraineté évanouie du monde à l’intérieur du silence du destin.

 

 

 

La bouche d’apocalypse du sommeil catapulte le brouillard de vertèbres de la respiration du sang.

 

 

 

L’orage d’inconnu du sommeil donne à sentir le tact de l’espace à l’intérieur du crâne et la blessure de l’herbe à l’intérieur du pain.

 

 

 

La désinvolture de terreur du sommeil calligraphie la pandiculation par contumace de la neige du sang jusqu’à tu.

 

 

 

 

 

Le gag du sommeil sculpte la tragédie de l’insouciance.

 

 

 

Le gag de clarté du sommeil calligraphie l’exubérance d’exactitude de l’érection.

 

 

 

La foudre du sommeil imagine le jardin où s’embrassent les cibles.

 

 

 

Le feu d’anesthésie du sommeil sculpte l’hémorragie de certitude du silence.

 

 

 

Le fou rire du sommeil calligraphie le tigre de la solitude à tombeau ouvert.

 

 

 

Le fou rire taciturne du sommeil calligraphie la foudre comestible du brouillard.

 

 

 

Le fou rire du sommeil projette le cou d’enthousiasme des blessures du sang.

 

 

 

Le fou rire de tonnerre du sommeil sculpte le visage tacite d’un vagin à l’intérieur de l’arbre d’anesthésie du sang.

 

 

 

 

 

L’avalanche d’extase du sommeil transhume l’imminence de monotonie de la tragédie.

 

 

 

La banquise d’exubérance du sommeil calligraphie la pulsion de paralysie des visages.

 

 

 

Le cyclone de fenêtres du sommeil sculpte la catastrophe de désinvolture du paradis.

 

 

 

 

 

A l’intérieur du feu de la conversation du coma, le couteau possède un visage d’ascèse inexorable. A l’intérieur du feu de la conversation du coma, le crâne savoure l’extase de dormir seul à tu.

 

 

 

A l’intérieur du zéro d’inconnu du sommeil, les amants s’embrassent avec la parure d’amnésie de leurs mains.

 

 

 

La main alibre du sommeil abandonne la respiration par contumace des vertèbres au silence de la voix.

 

 

 

 

 

La frivolité du sommeil sculpte la crampe d’équilibre de la respiration.

 

 

 

La subtilité du sommeil abandonne le vide de la chair à l’intérieur de l’abattoir du calme.

 

 

 

 

 

La parabole de violence du sommeil envisage le déluge de poussière de la paralysie.

 

 

 

La pulsation de paralysie du sommeil respire le blanc bestial de la nécessité.

 

 

 

La parabole de fou rire du sommeil funambulise le vide tabou de l’oubli.

 

 

 

 

 

La sauvagerie du sommeil sauvegarde la neige du sang à tu.

 

 

 

La sauvagerie du sommeil jette le goût du regard à l’intérieur de la tragédie taciturne du crâne.

 

 

 

La sauvagerie du sommeil abstrait le tohu-bohu satellite du comment ça va.

 

 

 

 

 

Le hasard du sommeil survient comme un vide auréolé de viande.

 

 

 

Les coïncidences du sommeil calligraphient le feu de la conversation de l’instinct.

 

 

 

Les coïncidences du sommeil calligraphient les mains de feu de l’arbre du sang.

 

 

 

Le miracle indécent du sommeil apparaît comme un nuage qui enracine le scandale du dehors.

 

 

 

Le miracle indécent du sommeil apparaît comme un nuage qui enracine le silence du sang à l’intérieur de l’apocalypse de la couleur.

 

 

 

 

 

Il n’existe pas de forme humoristique de sommeil. Dormir affirme le geste de tragédie de tomber lieu au jour la nuit.

 

 

 

Dormir à l’intérieur d’un tribunal affirme le gag d’orgasme de l’ascèse. Dormir à l’intérieur d’un tribunal affirme la jubilation d’incarner l’insouciance de la douleur.

 

 

 

Mémoriser la forme du sommeil est un crime. La scandeur de la grâce oublie la forme du sommeil à tabou ouvert.

 

 

 

Décider de dormir sans le vouloir est la distraction de Dieu. Vouloir dormir sans le décider apparaît comme la tragédie d’innocence du monstre.

 

 

 

 

 

La somnolence provoque la gentillesse de la guillotine.

 

 

 

La somnolence révèle le palindrome des rires et le palimpseste des larmes.

 

 

 

 

 

L’évanouissement tombe en possession du vide.

 

 

 

L’évanouissement affirme l’événement d’amnésie du tabou.

 

 

 

L’évanouissement abandonne l’invention d’apparaître à la respiration du destin.

 

 

 

L’instinct d’évanouir provoque l’apocalypse de verre du bonjour à l’instant l’instant.

 

 

 

 

 

La syncope envisage la pendaison de la terre comme la décapitation du ciel.

 

 

 

La parure d’anesthésie de la syncope décapite l’imminence de s’il vous plait du ciel.

 

 

 

La syncope peaufine le brouillard de la foudre.

 

 

 

La syncope imagine les tempes des étoiles à sang nu.

 

 

 

La syncope exclame le vortex de coups de fusil de la respiration.

 

 

 

Le besoin alibre de la syncope improvise la sculpture de pluie de la bouche.

 

 

 

La syncope transforme l’espace en visage où la métamorphose coïncide avec l’anesthésie.

 

 

 

La syncope imagine le pacte de désinvolture de la tragédie à l’intérieur de la prolifération d’innocence de l’au revoir.

 

 

 

 

 

L’anesthésie affirme l’imminence hyaline de la certitude.

 

 

 

L’anesthésie sauvegarde la vitre de terreur lascive de la certitude.

 

 

 

L’anesthésie affirme l’imminence de vide du destin.

 

 

 

L’anesthésie affirme la posture de vide de la sensation.

 

 

 

 

 

L’affect de l’anesthésie affirme le naufrage de feu de l’équilibre.

 

 

 

L’instinct de l’anesthésie esquive d’un seul geste la vérité de la vie et la fausseté de la mort.

 

 

 

L’instinct tacite de l’anesthésie imagine la désinvolture de mourir à blanc.

 

 

 

 

 

La parure de l’anesthésie affirme le vide de la pesanteur.

 

 

 

La parure impeccable de l’anesthésie calligraphie la parabole de clandestinité de la certitude.

 

 

 

La mystification d’immobilité de l’anesthésie vole l’enfance du feu au sourire de la fatalité.

 

 

 

Seule la translucidité debout de l’anesthésie sait comment ravir l’ombre du vide.

 

 

 

L’orage taciturne de l’anesthésie hurle le miracle tabou de l’imminence comme dos d’hébétude de l’à bientôt.

 

 

 

 

 

Le coma sculpte la couleur de l’anesthésie.

 

 

 

Le coma calligraphie le ciel accroupi du silence.

 

 

 

Le coma sculpte l’arbre de gel des coïncidences du sang.

 

 

 

 

 

La bouche debout du coma sculpte le silence brusque de l’imminence.

 

 

 

La bouche debout du coma déclare la certitude du sang comme respiration du crâne et la certitude du crâne comme respiration du sang.

 

 

 

Le bonjour du coma bégaie le crâne de silence du sang.

 

 

 

La respiration de clandestinité du coma pénètre la démesure d’exactitude du sang.

 

 

 

La main du coma catapulte la révérence de paralysie de l’âme.

 

 

 

 

 

Les vertèbres du coma imaginent des icebergs de bicyclettes.

 

 

 

Le tonnerre d’anesthésie du coma incruste la bouche de terreur debout du blanc.

 

 

 

La certitude du coma déclare la transhumance de translucidité de l’ascèse.

 

 

 

La certitude du coma déclare le tohu-bohu de silence du destin.

 

 

 

Le charnier de blancheur du coma abandonne la marge de terreur du ciel à oui.