Monstre Innocence

 

 

 

 

 

 

 

La monstruosité de l’innocence donne le monde à oui.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare l’extase du ça tombe à oui.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence invente la parabole de certitude de l’extase comme don du monde à oui.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence imagine la désinvolture de nécessité de l’extase comme don du monde à oui.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence ne dit pas oui au monde. Il est inutile d’acquiescer au monde, il est inutile de le nier. La monstruosité de l’innocence déclare la posture d’extase du ça tombe comme don du monde à oui.

 

 

 

La jubilation de terreur du don à oui détruit la lumière de vulgarité de Dieu.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare le gag de clarté de donner le monde à oui.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare la démesure de catastrophe du don à oui. La monstruosité de l’innocence déclare la démesure du don à oui comme projection au jour la nuit l’instant du destin.

 

 

 

 

 

La monstruosité déclare le fruit d’immanence du destin.

 

 

 

La monstruosité affirme l’instinct d’apparaître par la volonté clandestine à ciel ouvert du ça tombe aveugle du destin.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare l’instinct d’apparaître à l’intérieur du déluge de sang du destin.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare les postures de sang contorsionniste de l’aujourd’hui comme jubilation du destin.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare l’instinct d’incarner la posture d’extase immanente de la couleur du destin.

 

 

 

 

 

La monstruosité de l’innocence bande comme elle tombe.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare l’immobilité jaillie du ça tombe.

 

 

 

La monstruosité déclare la chair comme répétition d’innocence de la chute.

 

 

 

La monstruosité affirme la démesure de l’innocence en dehors du visible et de l’invisible.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence tombe en dehors de la conscience et de l’inconscient.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare l’extase du ça tombe en dehors de l’être et du néant.

 

 

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare que le possible n’existe pas.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare que la lumière du possible n’existe pas.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence joue à détruire d’un seul geste le possible et l’impossible par l’immédiat de la nécessité.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare le geste de détruire le possible et l’impossible au jour la nuit l’instant.

 

 

 

Le gag de grâce de la monstruosité joue à détruire d’un seul geste le possible et l’impossible à sang nu.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence affirme la parabole de l’apparition de la chair en dehors de la lumière du sens.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence affirme la parabole d’aveuglement de la nécessité.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare chaque événement comme miracle du ça tombe de la nécessité.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare l’apparition de chaque fragment du monde par la jubilation aveugle du ça tombe de la nécessité.

 

 

 

 

 

La joie injuste de l’innocence abandonne lieu au vouloir en venir de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le monstruosité de l’innocence apparaît clandestinée par la répétition alibre de l’aujourd’hui.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare la volonté évanouie d’apparaître à l’intérieur de l’avalanche de grâce de l’aujourd’hui.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare l’extase inexorable de l’aujourd’hui à oui tu sauf.

 

 

 

 

 

La monstruosité sculpte l’apparaître nocturne de la clarté.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence imagine le tonnerre de clarté de la catastrophe à sang nu.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare la pulsation immobile de la répétition comme silence de l’instinct au jour la nuit.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence rature le désir de gomme de la vérité par la certitude d’apparaître au jour la nuit l’instant.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence exclame l’extase d’apparaître nu à l’instant l’instant en dehors de tout.

 

 

 

 

 

La monstruosité de l’innocence détruit la pureté de la vérité par la certitude obscène du sang.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence détruit la vitesse de la lumière du sens par la démesure de lenteur de la respiration du sang.

 

 

 

Le scandale de la candeur imagine le silence de l’inconnu avec l’avalanche du sang.

 

 

 

Le scandale de l’innocence vole à l’intérieur de la blessure debout du sang.

 

 

 

Le scandale de grâce de l’innocence destine la parabole de certitude du sang à l’instinct d’anesthésie du crâne.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare le sang de l’extase comme posture de silence tacite du destin.

 

 

 

Le monstre de l’innocence apparaît à l’intérieur du crâne de sommeil du sang. Le monstre de l’innocence apparaît allongé à l’intérieur du crâne à dormir le ciel de la parabole de décapitation du sang.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence calligraphie la jubilation debout du sang à l’intérieur de la couleur du destin.

 

 

 

 

 

La monstruosité de l’innocence détruit la dignité du visage.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence ne croit pas à la vérité transcendante du visage.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence affirme le hasard de nécessité du visage. La monstruosité de l’innocence affirme le hasard de nécessité du visage comme fragment de chute de la chair.

 

 

 

Le monstre déclare le visage comme pulsation du ça tombe debout. Le monstre déclare le coma projectile du visage. Le monstre déclare le visage comme syncope de souveraineté de la blessure.

 

 

 

Le scandale de la candeur déclare la musculature de lointain du visage.

 

 

 

L’impureté de l’innocence sculpte le visage du sang à l’intérieur du tonnerre de clarté de la terreur.

 

 

 

L’instinct alibre du scandale immobilise le visage de sang de l’innocence.

 

 

 

La monstruosité déclare le geste de dévorer la certitude du visage à sang nu.

 

 

 

La monstruosité déclare l’apparition du visage comme symbole d’extase de la catastrophe rituelle d’exister.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence calligraphie le cyclone de couleur du sommeil avec le couteau de clandestinité du visage.

 

 

 

La monstruosité déclare la posture d’apocalypse du visage comme couleur d’innocence du destin.

 

 

 

 

 

L’extase tacite du monstre déclare l’innocence immortelle de la chute du paradis.

 

 

 

Le monstre méprise à la fois l’origine et le terme de la chute. Le monstre n’est pas le coupable qui regarde la lumière de Dieu lorsqu’il tombe. Le monstre n’est pas non plus le criminel qui regarde l’endroit de la vérité insignifiante de sa condamnation. Le monstre contemple la trajectoire de translucidité de la chute elle-même. Le monstre déclare la scandeur d’extase de la chute immobile du paradis.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence imagine les postures de tabou du paradis.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare les postures de grâce du handicap à l’intérieur du paradis.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence affirme l’apocalypse du paradis.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence tombe à l’intérieur du déluge de sang du paradis.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare la répétition de solitude de l’extase comme paradis de terreur de la chute.

 

 

 

 

 

Le monstre incarne le miracle sans y croire. Le monstre incarne la bêtise incroyable du miracle.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence savoure l’apparition de la chair comme miracle inexorable de la bêtise.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence donne à sentir la bombe à anticipation de la chair.

 

 

 

La chair du monstre apparaît comme crâne sagittaire du destin, comme cheval arc flèche cible de l’aujourd’hui à tu.

 

 

 

 

 

La monstruosité de l’innocence a lieu par la pulsion de repos de l’anesthésie.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence calligraphie le feu de nécessité du sommeil.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare la joie de dormir à l’extrémité de l’arbre de la chute.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence apparaît à l’intérieur de l’arbre de coma de l’apocalypse.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence sculpte le fou rire cosmétique de l’âme à l’intérieur de la bouche debout du coma.

 

 

 

 

 

Le scandale de précision de l’innocence affirme l’avalanche de s’il vous plait de la paralysie.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence préfère la paralysie de la chair à l’ennui de la pensée.

 

 

 

L’homme mélancolique pense qu’il est inutile de respirer, de vouloir et de manger étant donné que son corps a été jeté sans savoir pourquoi dans un espace de milliard d’étoiles. Le monstre de l’innocence a la sensation tranquille d’apparaître jeté au monde et il affirme malgré tout la terreur inhumaine de la joie par la tentative de respirer, de vouloir et de manger ces milliards d’étoiles jusqu’à ce que l’hémorragie de mourir surgisse au jour la nuit l’instant à l’intérieur de l’immortalité.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence affirme la transfinitude de la chair à l’intérieur de la transfinitude du cosmos. La monstruosité de l’innocence affirme la volonté de donner une posture de certitude à la transfinitude des apparences.

 

 

 

La souveraineté de l’innocence a la volonté de sentir d’un seul geste la chose qui apparaît donnée comme la chose qui apparaît perdue. La souveraineté de l’innocence a la volonté de sentir la chose qui apparaît par la grâce de l’abandon.

 

 

 

 

 

Le scandale de l’innocence sait comment imaginer le mal sans croire à sa transcendance.

 

 

 

La souveraineté de l’innocence déclare le geste d’apparaître en deçà du bien et du mal.

 

 

 

La souveraineté de l’innocence invente la posture d’extase par laquelle la chair ne rencontre jamais le témoignage du bien et le jugement du mal.

 

 

 

 

 

Le scandale de la monstruosité affirme l’instinct d’apparaître innocent face à la mort.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence affirme l’instinct d’anticiper sur le miracle d’illusion de mourir.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence déclare l’instinct de mourir à blanc.

 

 

 

Le scandale de la monstruosité incarne le paradoxe de savoir comment détruire sans désirer tuer.

 

 

 

Le scandale de la monstruosité affirme l’instinct de mépriser la mort sans désirer la tuer. Le scandale de la monstruosité affirme l’instinct de dissocier la mort du mal qu’elle fait aux autres et à elle-même. Le scandale de la monstruosité distingue d’un seul geste la mort et le mal afin d’esquiver à la fois la croyance en l’infini du mal et en la vérité de la mort. Le scandale de la monstruosité affirme la volonté d’apparaître destiné à l’innocence immortelle de la chute du

 

paradis.

 

 

 

 

 

Le monstre ne demeure pas à l’intérieur du labyrinthe. Le monstre mange le labyrinthe. Le monstre mange le labyrinthe par la catastrophe de facilité de la bouche debout de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le monstre mange le maquillage du labyrinthe par l’instinct impeccable de l’inexorable.

 

 

 

 

 

Le monstre donne la clandestinité de la main à l’instinct du hasard inconnu.

 

 

 

Le monstre mange la certitude du miracle à mains nues.

 

 

 

Le monstre projette la solitude de la main à l’intérieur de la répétition du sang.

 

 

 

Le monstre montre le sommeil de clarté de la main par le crâne de respiration du sang.

 

 

 

Le monstre projette la solitude de la main à la surface de clarté de la nuit afin de provoquer une posture d’aisance de la chair en dehors de tout.

 

 

 

Le monstre savoure la projection de solitude de la main par le crâne de respiration du sang comme il tient en équilibre son visage à l’extrémité de la bouche de silence de la chute.

 

 

 

 

 

La souveraineté de l’innocence affirme la désinvolture de la terreur.

 

 

 

La souveraineté de l’innocence affirme le hasard de l’épouvante comme syncope de l’instinct.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence méprise la haine par la pulsion du calme.

 

 

 

La monstruosité de l’innocence projette la souveraineté de la joie comme certitude du sommeil.