Souveraineté

 

 

 

 

 

 

 

La souveraineté déclare la certitude alibre de la chute.

 

 

 

La souveraineté invente la posture d’immortalité du ça tombe.

 

 

 

La souveraineté invente la posture d’extase de l’inexorable.

 

 

 

La souveraineté déclare l’extase inexorable de la sensation.

 

 

 

La souveraineté déclare la jubilation de l’inexorable par la répétition d’aveuglement de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

La souveraineté de la grâce crée des miracles sans y croire. La souveraineté de la grâce sait comment détruire les miracles qu’elle provoque afin de sauvegarder la jubilation du calme. La souveraineté de la grâce rature les miracles qu’elle provoque par le sommeil debout du destin.

 

 

 

La souveraineté de la grâce affirme l’instinct d’exister en dehors de l’humanisme et du nihilisme.

 

 

 

La souveraineté de la grâce ne revendique pas le corps en tant que capital de lumière infinie. La souveraineté de la grâce affirme la chair comme aisance de clarté de la chute.

 

 

 

La souveraineté de la grâce détruit la responsabilité anonyme de l’information. La souveraineté de la grâce affirme l’irresponsabilité de l’existence comme réponse adressée au monde.

 

 

 

La souveraineté de l’innocence répond à l’apparition du monde par la grâce de sensualité irresponsable de la terreur.

 

 

 

La souveraineté de l’innocence affirme la passion de l’irresponsabilité comme posture d’une réponse particulière du destin.

 

 

 

La souveraineté n’est pas l’acte de s’opposer à l’oppression. En effet l’acte de s’opposer est la structure même de l’oppression. La souveraineté esquive l’oppression par la grâce de l’oubli. La souveraineté méprise le désir de liberté sans cependant accepter l’incarcération.

 

 

 

La souveraineté de la grâce ne renie pas l’imagination du crime. La souveraineté de la grâce affirme la volonté d’apparaître au monde de telle manière que la pensée du crime ne traverse jamais la chair. La souveraineté de la grâce n’omet pas le crime. La souveraineté de la grâce rature la pensée du crime par l’imagination du crime comme instinct de l’anesthésie.

 

 

 

La souveraineté affirme le geste d’incarner le scandale d’un enthousiasme en dehors du jugement de l’espèce de l’être. La souveraineté affirme l’instinct d’apparaître comme un monstre d’innocence en dehors du crime et de la loi.

 

 

 

 

 

La scandeur de la grâce oublie la loi par l’illusion du sang.

 

 

 

La scandeur de la grâce oublie la lumière de la loi par l’extase de terreur du sang.

 

 

 

La scandeur de la grâce oublie la lumière de la loi par la démesure clandestine de la neige du sang jusqu’à tu.

 

 

 

L’éclair d’alcool de la grâce calligraphie le bégaiement de bijoux du sang.

 

 

 

La scandeur de la grâce calligraphie le poignard d’innocence de la respiration du sang.

 

 

 

L’instinct d’illisibilité contorsionniste de la grâce éjacule le sommeil debout du visage du sang.

 

 

 

 

 

La nécessité de la grâce exclame le jaillissement d’extase de la pesanteur.

 

 

 

Le miracle d’inhumanité de la grâce répond à la pesanteur par la nudité d’exactitude du sang.

 

 

 

L’obscénité de la grâce affirme l’instinct d’apparaître paré par le brouillard de foudre de la gravitation.

 

 

 

La monstruosité de la grâce calligraphie le vide de la pesanteur comme éjaculation de ciel du calme.

 

 

 

Le gag de clarté de la grâce tombe en possession de l’instinct de terreur du hors-tout.

 

 

 

 

 

La souveraineté de la grâce déclare la jubilation du ça tombe à oui.

 

 

 

La souveraineté de la grâce donne à sentir la certitude de l’aujourd’hui par le déluge de sang du destin.

 

 

 

La souveraineté de la grâce déclare le ça tombe debout du sang comme instinct de l’aujourd’hui à oui tu sauf.

 

 

 

L’instinct de scandale de la grâce calligraphie le ça tombe à oui de la couleur du destin.

 

 

 

 

 

La grâce affirme le poignard de fragilité de l’inconnu.

 

 

 

La syncope de la grâce calligraphie l’indécence de calme de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La grâce affirme la catastrophe de désinvolture de la répétition.

 

 

 

La grâce affirme la répétition minérale du sang comme éclair de respiration du silence.

 

 

 

La désinvolture de sang de la grâce déclare l’immobilité illisible de l’immédiat.

 

 

 

La pulsion de répétition de la grâce provoque le gag debout du sang à ciel perdu.

 

 

 

 

 

La scandeur de la grâce calligraphie l’instinct de l’anesthésie.

 

 

 

La souveraineté de la grâce déclare la clandestinité à ciel ouvert du crâne comme instinct de sommeil du destin.

 

 

 

L’extase d’anesthésie de la grâce calligraphie la crucifixion d’incroyable du crâne.

 

 

 

Le crâne de clandestinité de la grâce déclare la joie de terreur du destin.

 

 

 

Le gag de clarté de la grâce sculpte le coma debout du silence de l’aujourd’hui.

 

 

 

La tragédie de désinvolture de la grâce déclare le coma de silence de l’aujourd’hui à tu.