Blanc

 

 

 

 

 

 

 

La neige incruste le silence de la certitude.

 

 

 

La neige improvise le tonnerre de clarté du coma.

 

 

 

La neige incruste l’anesthésie de la sensualité à la surface de l’instinct de l’extase.

 

 

 

L’aisance tacite de la neige déclare l’extase de la terreur sauve.

 

 

 

La neige d’indécence de la nécessité déclare la certitude de clandestinité du calme.

 

 

 

L’innocence obscène de la neige calligraphie la clandestinité à ciel ouvert de la jouissance du calme.

 

 

 

 

 

L’hiver calligraphie la crampe taciturne de la contemplation.

 

 

 

L’anesthésie frivole de l’hiver ouvre une fenêtre de surdité à l’intérieur de l’amnésie du silence.

 

 

 

L’improvisation d’habitude de l’hiver boit la lascivité de terreur du silence.

 

 

 

L’instinct d’anesthésie de l’hiver calligraphie le silence debout de la volonté du crâne.

 

 

 

La terreur vulnérable de l’hiver catapulte l’odeur de savon du vide.

 

 

 

A l’intérieur du ravissement de solitude de l’hiver, le ciel repose comme l’enclume d’imminence du vide. A l’intérieur du ravissement de solitude de l’hiver, la respiration du crâne déclare le hasard de l’anesthésie.

 

 

 

La respiration projectile de l’hiver abandonne le crâne de silence de la volonté à l’extase de paralysie du sang.

 

 

 

 

 

Le silence du froid imagine le crâne de la respiration.

 

 

 

A l’intérieur du froid le besoin exclame l’équilibre de la volonté.

 

 

 

A l’intérieur du froid, les lèvres inventent l’au revoir de la langue.

 

 

 

A l’intérieur de la mystification du froid, l’odeur du vide décapite l’ossature d’inouï de l’espace.

 

 

 

Le frou-frou d’incroyable du froid caresse la crampe de respiration de l’espace.

 

 

 

L’offrande du froid imagine des cathédrales de cris.

 

 

 

 

 

Le calme affirme la plaisanterie de l’apocalypse.

 

 

 

Le calme affirme la frivolité de la catastrophe.

 

 

 

Le calme éjacule un linceul d’étoiles.

 

 

 

Le calme déclare l’errance taciturne des étoiles.

 

 

 

Le calme évanouit la pulsion par la répétition tacite du plaisir.

 

 

 

Le calme donne la répétition de la terreur par le silence de la joie.

 

 

 

 

 

L’impureté du calme compose les trajectoires de la candeur.

 

 

 

La jubilation du calme transforme les vertèbres en toupies.

 

 

 

L’exubérance du calme immisce un ouragan à l’intérieur d’un bijou.

 

 

 

La gueule stellaire du calme respire le gag de poussière de la certitude.

 

 

 

La terreur inachevée du calme calligraphie la violence désinvolte de l’anesthésie.

 

 

 

L’indécence du calme calligraphie la scandeur de sang du crâne.

 

 

 

Le crâne de scandale du calme catapulte le ciel d’anesthésie du sang.

 

 

 

L’éclair de lait du calme enracine le rire de la main comme crâne d’anesthésie du silence.

 

 

 

Le crâne d’ascèse du calme imagine l’incendie de clandestinité du destin.

 

 

 

 

 

Le blanc déclare la pulsion alibre de la paralysie.

 

 

 

Le blanc donne à sentir la parure de vide de la paralysie.

 

 

 

Le blanc calligraphie l’exactitude injuste de la syncope. Le blanc déclare la pulsation du sang comme paralysie de l’immobile. Le blanc ouvre l’érection du coma à l’instant l’instant.

 

 

 

Le blanc détruit l’infini des possibles par l’aisance du tabou.

 

 

 

Le blanc abandonne l’imminence de l’immanence à l’intérieur du ça tombe tabou du destin.

 

 

 

La chute du blanc abandonne la chose de la certitude à la mystification d’anesthésie du destin.

 

 

 

Le blanc intime une chose à l’âme sans l’obliger. Le blanc n’intime pas à l’âme un ordre. Le blanc n’intime pas à l’âme un désordre. Le blanc intime à l’âme le bonjour de l’oubli. Le blanc intime à l’âme la règle rituelle de l’oubli au jour l’instant. Le blanc intime à l’âme la bestialité immobile de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le blanc projette la translucidité de l’obscur comme certitude de joie de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

La nudité aveugle du blanc donne à sentir le tohu-bohu de la translucidité.

 

 

 

La blessure d’anesthésie du blanc peaufine la prolifération de certitude de l’espace.

 

 

 

La bouche aveugle du blanc dénude le coma d’extase du silence.

 

 

 

La bouche aveugle du blanc éjacule l’érection d’anesthésie du gel.

 

 

 

Le blanc partage la jubilation du dehors jusqu’à l’anesthésie debout de tu.

 

 

 

 

 

La catastrophe du blanc cartographie l’énigme de la paralysie au dos de l’oubli.

 

 

 

La nécessité obscène du blanc tombe en possession de la paralysie du ciel.

 

 

 

L’oubli tabou du blanc abstrait la chair de hasard du destin.

 

 

 

L’abîme projectile du blanc palpe le vent enseveli de l’immédiat.

 

 

 

La réponse taboue du blanc déclare l’anesthésie désinvolte de la tragédie.

 

 

 

 

 

La jubilation du blanc calligraphie la trajectoire d’immobilité de la chute.

 

 

 

L’habitude évanouie du blanc envisage la crampe d’équilibre de la respiration.

 

 

 

La crampe de disparition du blanc déclare la mystification de feu de l’espace.

 

 

 

La crampe d’obscénité du blanc déclare la catastrophe de jubilation de l’aujourd’hui.

 

 

 

La crampe de jubilation du blanc calligraphie le brouillard de sang de la certitude.

 

 

 

 

 

Le rire bestial du blanc affirme le vide en érection du tabou.

 

 

 

Le rire tabou du blanc dort à l’intérieur de l’instinct de désinvolture du destin.

 

 

 

 

 

L’iceberg berce l’orgie de gags du blanc.

 

 

 

L’immobilité déclare la bombe de désinvolture du blanc.