Silence

 

 

 

 

 

 

 

Le silence dort à l’intérieur du sang.

 

 

 

Le silence déclare la clandestinité à ciel ouvert du sang.

 

 

 

Le silence calligraphie la neige du sang.

 

 

 

Le silence projette l’extase impeccable du sang.

 

 

 

Le silence déclare le tohu-bohu d’anesthésie du sang.

 

 

 

Le silence bégaie l’incendie de blessures du sang.

 

 

 

Le silence ensevelit la certitude de l’instinct à l’intérieur de l’immortalité du sang.

 

 

 

Le silence calligraphie le sang de nécessité de l’inconnu.

 

 

 

 

 

Le silence n’est pas révélé par le passage d’un ange. Le silence surgit par l’immobilité paradisiaque d’une bête.

 

 

 

Le silence détruit la dignité du visage et déclare la gueule d’obscénité du mourir.

 

 

 

Le silence déclare la gueule du blanc comme aura d’immortalité du mourir.

 

 

 

Le silence déclare l’aveuglement debout de l’âme.

 

 

 

Le silence projette le scandale du visage à l’intérieur de l’ouverture du dos.

 

 

 

 

 

Le silence affirme la fascination seule de l’instinct.

 

 

 

Le silence déclare la grâce de terreur de la sensation.

 

 

 

Le silence calligraphie la sensation du destin.

 

 

 

 

 

Le silence déclare la syncope projectile de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le silence déclare la scandeur inexorable de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le silence calligraphie l’avalanche de sang translucide de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le silence détruit l’horizon au jour la nuit.

 

 

 

Le silence calligraphie la suite des jours à la surface du destin.

 

 

 

Le silence donne à sentir la pulsation de l’aujourd’hui à la surface du destin.

 

 

 

Le silence calligraphie le déluge d’aujourd’hui du destin.

 

 

 

 

 

Le silence apparaît debout par les vertèbres de la bouche.

 

 

 

Le silence sculpte l’instinct d’apparaître pendu à la bouche de la jubilation.

 

 

 

Le silence déclare la jubilation illisible de la volonté.

 

 

 

Le silence abandonne le vent à l’intérieur du sommeil de la volonté.

 

 

 

 

 

Le silence remue la plaie dans le couteau de l’oubli.

 

 

 

Le silence projette la cible d’inconnu de l’oubli.

 

 

 

Le silence affirme le don d’oubli obscène d’apparaître au jour la nuit l’instant en dehors de la conscience et de l’inconscient.

 

 

 

 

 

Le silence apparaît en dehors du visible et de l’invisible.

 

 

 

Le silence apparaît impur en dehors de la vérité.

 

 

 

Le silence boit le déséquilibre à la surface de l’équilibre.

 

 

 

Le silence déclare la certitude immédiate des apparences en deçà du bien et du mal.

 

 

 

 

 

Le silence déclare la démesure de la monotonie.

 

 

 

Le silence insinue le don de décapitation du désespoir.

 

 

 

Le silence décapite l’âme à coups de cils.

 

 

 

Le silence transforme les outils du hasard en totems du destin.

 

 

 

Le silence transforme les outils de hasard de l’ascèse en totems d’obscénité du destin.

 

 

 

 

 

Le silence exclame un océan de salutations distinguées.

 

 

 

Le silence invente un orage d’herbes lascives.

 

 

 

Le silence survient comme l’animal cosmétique du coma.

 

 

 

Le silence survient comme le bijoutier des bégaiements, le brusque voleur d’hiver des sommeils éblouis.

 

 

 

 

 

Le silence affirme le feu d’exclamation de l’inconnu.

 

 

 

Le silence projette le strip-tease de la respiration.

 

 

 

Le silence déclare le brouhaha d’incendie de la respiration.

 

 

 

Le silence donne rendez-vous au charnier de blancheur de la syncope.

 

 

 

Le silence calligraphie l’iceberg d’orgasmes du tabou.

 

 

 

 

 

Le scandale du silence déclare l’innocence impure du ça tombe à l’instant l’instant.

 

 

 

Le scandale du silence calligraphie le déluge de grâce bestiale d’apparaître à l’instant l’instant.

 

 

 

Le scandale du silence guillotine le déluge du sang à l’intérieur de à oui.

 

 

 

L’immortalité fragile du silence affirme la certitude du besoin par la jubilation de l’anesthésie.

 

 

 

Le scandale du silence calligraphie l’innocence immortelle de la chute du paradis.

 

 

 

 

 

Le sang perdu par hasard déclare la certitude insensée de l’oubli.

 

 

 

Le sang perdu par l’anesthésie du hasard déclare le rituel de solitude d’un miracle d’oubli.

 

 

 

II n’y a pas de degré du sang. Le sang n’existe ni au premier degré, ni au second degré, ni au degré zéro. Le sang apparaît comme démesure. Le sang apparaît comme démesure impeccable de la chair. Le sang apparaît comme démesure de la chute debout de la chair à l’intérieur du destin.

 

 

 

 

 

Le sang dort à l’intérieur de la roue de l’immobilité.

 

 

 

Le sang respire le fou rire du destin.

 

 

 

Le sang déclare la monstruosité cosmétique du destin.

 

 

 

Le sang déclare la règle irresponsable du coma.

 

 

 

Le sang déclare l’incendie de s’il vous plait beaucoup du coma.

 

 

 

Le sang symbolise la chute de la chair de l’aujourd’hui à oui tu sauf.

 

 

 

 

 

L’hémorragie neige l’instinct tacite du bonjour.

 

 

 

La neige du sang dort à l’intérieur de la certitude du dos.

 

 

 

La joie de l’hémorragie sculpte le gel d’obscénité du calme.

 

 

 

Le silence du sang apparaît debout à la surface du destin.

 

 

 

L’hémorragie de nudité du silence transforme l’horizon de lumière de la vérité en certitude d’aveuglement du destin.

 

 

 

Le silence éjaculé du sang sculpte la parure impeccable du gel.

 

 

 

Le silence éjaculé du sang déclare le tonnerre tacite de sauf.

 

 

 

Le silence éjaculé du sang projette le crâne de l’au revoir à l’intérieur du coma du destin.

 

 

 

 

 

La certitude tacite du sang dort l’exclamation inexorable du crâne.

 

 

 

La certitude tacite du sang affirme la force de gravitation à blanc de la respiration.

 

 

 

L’aisance inexorable du sang calligraphie la respiration de paralysie du bonjour.

 

 

 

L’injustice innocente du sang calligraphie le crâne de bonjour du coma debout.

 

 

 

La joie d’injustice du sang arque le cheval de certitude de l’instinct.

 

 

 

La souveraineté du sang catapulte le désespoir de la bêtise.

 

 

 

 

 

Le scandale du sang déclare la certitude d’extase du ça tombe à oui.

 

 

 

L’injustice innocente du sang calligraphie le sommeil de clandestinité de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le ça tombe immobile du sang calligraphie les métamorphoses animales du silence de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le ça tombe aveugle du sang sculpte le crâne de coma debout de la respiration à l’intérieur de l’extase d’innocence inconnue de à oui tu sauf.

 

 

 

 

 

Le blanc bestial du sang déclare l’indécence impeccable du calme.

 

 

 

La brusquerie de lenteur du sang enracine le nuage de calme de l’inexorable.

 

 

 

Le sommeil de certitude du sang parabolise la démesure désinvolte de la chair au jour la nuit l’instant.

 

 

 

La sagesse projectile du sang imagine la posture de volonté rituelle du coma.

 

 

 

Le coma aveugle du sang calligraphie le tohu-bohu de silence de l’anesthésie du feu.

 

 

 

La jouissance de calme du sang déclare le couteau de gel de la certitude.

 

 

 

L’éjaculation de coma du sang calligraphie le visage de scandale de la certitude.

 

 

 

Le bonjour d’anesthésie du sang éjacule le visage de l’innocence jusqu’à dormir

 

le silence du ciel.

 

 

 

 

 

L’habitude bestiale du sang transforme chaque jour le visage de l’oubli en fragment d’écorce d’un arbre de clarté.

 

 

 

Le handicap épanoui du sang sculpte le crâne de silence de la clarté.

 

 

 

La guillotine galante du sang déclare les cosmonautes commissures du rire.

 

 

 

L’ellipse de nécessité du sang poignarde le geste de solitude de l’illusion.

 

 

 

La parabole du sang esquisse le visage d’amnésie de l’habitude.

 

 

 

La parabole du sang envisage le coma impeccable de l’instinct à oui.

 

 

 

 

 

La respiration du sang tombe en possession de la paralysie de l’immobile.

 

 

 

La respiration du sang esquive les coups de poignards de bonheur de l’immobilité du vent.

 

 

 

La respiration de paralysie du sang bande l’oubli à tu.

 

 

 

L’extase du sang nage à l’intérieur du silence de l’inconnu.

 

 

 

L’extase de respiration du sang nage à l’intérieur du coma debout de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La crampe de respiration du sang donne à sentir la syncope de certitude du blanc.

 

 

 

La poussière d’obscénité du sang catapulte le vide de terreur inexorable de la respiration.

 

 

 

La crampe de poussière du sang projette le silence d’inconnu du crâne.

 

 

 

L’apocalypse de poussière du sang éjacule les étoiles cul-de-jatte du crâne.

 

 

 

 

 

La répétition de silence du sang détruit la loi et l’absence de loi.

 

 

 

La répétition de silence du sang surgit en dehors de la loi et de la transgression de la loi. La répétition de silence du sang surgit à oui. La répétition de silence du sang surgit à la surface de l’aujourd’hui du destin.

 

 

 

La répétition de silence du sang calligraphie les tympans de vertèbres de l’instinct.

 

 

 

La répétition de silence du sang exclame le gag d’inconnu impeccable de la certitude.

 

 

 

L’extase de silence du sang projette le cosmos cosmétique du ça tombe à oui.

 

 

 

 

 

Seule la scie du silence sait comment décapiter le sommeil.

 

 

 

Le sommeil du silence calligraphie le magma de précision du crâne.

 

 

 

La syncope debout du silence projette l’arbre minéral des blessures souveraines du sang.

 

 

 

La pandiculation de sommeil du silence sculpte la catastrophe d’équilibre de la suite du sang à tu.

 

 

 

L’érection de sommeil du silence catapulte les poignards de draps de la certitude.

 

 

 

L’érection de sommeil du silence calligraphie le froufrou d’anesthésie de la certitude du sang.

 

 

 

 

 

Le coma du silence vole l’hiver des hurlements.

 

 

 

Le coma debout du silence éjacule le couteau de translucidité du crâne.

 

 

 

Le coma cosmétique du silence éjacule le visage inexorable du sang.

 

 

 

Le coma cosmétique du silence respire la poussière d’anesthésie du sang.

 

 

 

 

 

Le crâne du silence tombe en possession de la paralysie du sang en dehors de

 

tout.

 

 

 

Le crâne du silence marche par l’utopie de peau cruciale des vertèbres du vent.

 

 

 

Le crâne du silence calligraphie l’éclipse d’herbes de l’hébétude.

 

 

 

Le crâne du silence danse à l’intérieur de la roue de paralysie de la respiration du sang.

 

 

 

Le crâne d’inconnu du silence dort à l’intérieur de l’enclume de lèvres de l’inexorable.

 

 

 

Le crâne d’inconnu du silence incruste la chute alibre de la bouche à l’intérieur du sommeil du destin.

 

 

 

Le crâne de respiration du silence déclare la parabole d’illisibilité du coma comme chute debout du destin.

 

 

 

 

 

Le crâne du sang exclame l’auréole taciturne de l’au revoir.

 

 

 

Le crâne du sang répète l’instinct de désinvolture du tabou.

 

 

 

Le crâne du sang éjacule le coma du destin.

 

 

 

 

 

Le crâne de respiration du sang déclare la parure de silence de l’instinct.

 

 

 

Le crâne sagittaire du sang projette le coma impeccable du silence.

 

 

 

Le crâne d’aveuglement du sang sculpte le coma de souveraineté de l’inexorable.

 

 

 

Le crâne debout du sang calligraphie le sommeil de silence de la respiration.

 

 

 

Le crâne de respiration de sang épanouit le handicap taciturne du ça tombe à oui.

 

 

 

 

 

Les lèvres du silence improvisent la neige du sang.

 

 

 

Le crâne de lèvres du silence improvise l’éclair de neige du sang.

 

 

 

La crampe de lèvres du silence donne à sentir la pandiculation lascive de l’herbe à l’intérieur de l’éclair d’hébétude de la bouche.

 

 

 

 

 

La bouche du silence déclare le plaisir d’immobilité du sang.

 

 

 

La bouche du silence abandonne la racine affriolante du sommeil à la chute debout du sang.

 

 

 

La bouche debout du silence sculpte l’obscurité translucide de l’au revoir.

 

 

 

La bouche debout du silence projette le crâne d’apocalypse du coma.

 

 

 

La bouche debout du silence calligraphie l’aura de terreur de l’érosion comme grâce d’anesthésie du crâne.

 

 

 

 

 

La bouche de vertèbres du silence calligraphie la certitude de translucidité du sang.

 

 

 

La bouche de vertèbres du silence déclare le coma contorsionniste du ciel.

 

 

 

La bouche de vertèbres du silence parabolise la brusque exubérance de monotonie de la nuit.

 

 

 

 

 

Le plaisir translucide du silence rature le désir d’éternité de la lumière.

 

 

 

L’instinct cosmétique du silence détruit le tribunal d’incertitude de la vérité.

 

 

 

Le miracle de terreur du silence détruit la stupeur de lumière de l’insomnie.

 

 

 

 

 

La main projectile du silence peaufine la gueule de fou rire du blanc.

 

 

 

Le tonnerre du silence marche avec les mains au dos de la chute.

 

 

 

La main de tonnerre du silence demeure à l’intérieur de l’éventail d’épouvante de la poitrine.

 

 

 

La main de tonnerre du silence sauvegarde la poussière d’extase de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Le vent enseveli du silence apparaît entre la main de la lucidité et la bouche de l’aveuglement.

 

 

 

Le vent enseveli du silence exclame le coma cosmétique de l’instinct.

 

 

 

La monstruosité impeccable du silence pénètre le dos d’envol de la nécessité du sang.

 

 

 

 

 

Le cyclone du silence sauvegarde le sommeil du destin.

 

 

 

Le cyclone du silence éjacule le diadème du décapité.

 

 

 

Le déluge du silence dort à l’intérieur de la certitude du paradis.

 

 

 

 

 

L’arbre de certitude du silence surnage le déluge de poussière du sang.

 

 

 

Les vertèbres de sang du silence exclament la pandiculation d’utopie impeccable des étoiles.

 

 

 

L’arbre de sang du silence démesure le crâne d’immédiat du destin.

 

 

 

 

 

La pierre épanouie du silence donne le hasard de la parole à la nécessité du besoin.

 

 

 

L’âme accroupie du silence envisage la révérence de plaisanterie de la dévoration.

 

 

 

Le ciel à quatre pattes du silence happe le coma de respiration du sang.

 

 

 

 

 

La peau du silence projette la démesure impeccable du destin.

 

 

 

La danse de sommeil du silence déclare le besoin de clarté du destin.

 

 

 

L’aura d’alcool du silence sauvegarde la sidération de désinvolture de l’inconnu.

 

 

 

 

 

Le rire du silence envagine le visage de l’illisible.

 

 

 

Le rire de racines du silence abandonne l’anesthésie du lieu au scandale du destin.

 

 

 

Le fou rire du silence calligraphie l’extase de clandestinité du feu.

 

 

 

Le fou rire du silence ouvre la conversation du sang à l’intérieur de l’anesthésie du feu.

 

 

 

Le fou rire du silence projette la blessure du visage comme poignard du sang.

 

 

 

 

 

Le poignard de précision du silence déclare le cou de calme de la certitude.

 

 

 

La flèche de sang du silence calligraphie l’ascèse de frivolité du visage.

 

 

 

La flèche de peau du sang envisage la cible d’âge tabou du vide.

 

 

 

Le poignard de pandiculation du sang salue le coma de couleur de la nuit.

 

 

 

La dénudation d’extase du sang imagine l’instinct d’évanouir le sommeil en deçà du noir.