Quand

 

 

 

 

 

 

 

Entre les mots il y a les visages et entre les visages le temps comme le miracle de terreur de l’oubli.

 

 

 

Entre les mots il y a les visages et entre les visages le scandale de naïveté du ciel comme la jubilation de terreur de l’oubli jusqu’à tu.

 

 

 

Entre les paroles et la chair repose l’humour d’un hasard d’oubli. Entre la chair et le temps survient le gel projectile de l’au revoir.

 

 

 

Entre les mots surgit la révérence inexorable des lèvres et entre les visages surgit la chute en érection des choses. Ainsi le crâne de naïveté de l’instinct imagine les poignards de draps de la certitude.

 

 

 

Entre les visages surgit la terre debout comme le ciel allongé. Entre les instants surgit la terre allongée comme le ciel debout.

 

 

 

Entre les mots il y a les visages, entre les visages les instants et entre les instants le ciel. C’est à dire bonjour donne le miracle tabou de mourir avec sauf.

 

 

 

 

 

Quand le partage de la chair et du prénom plaisante le hasard de miracle de la monotonie, le tact de l’oubli détruit le tribunal de vérité du désir.

 

 

 

Quand la chair apparaît abandonnée par l’habitude d’incroyable de l’oubli, le besoin devient la métaphore impeccable de chaque geste de la respiration.

 

 

 

Quand la voix apparaît de connivence avec la chair, le crâne projette l’écran d’ascèse du sang.

 

 

 

Quand la chair apparaît comme la chute en lévitation de la voix, la respiration du crâne survient comme pulpe de galaxie du calme.

 

 

 

Quand le fou rire de l’inexorable sculpte la crampe de vide de la voix, la fenêtre de la bouche calligraphie le coma de connivence taciturne de la terre et du ciel.

 

 

 

 

 

Quand le vent envisage la certitude, l’arbre tombe en possession de l’au revoir.

 

 

 

Quand la chair joue avec le vent, le visage disparaît au dos de l’inouï du crâne.

 

 

 

Quand le vent sculpte le visage, la démesure du paradoxe projette l’extase d’un silence tacite.

 

 

 

Quand le visage donne à sentir l’équilibre du vide, la lenteur de la joie anticipe l’imminence d’utopie du sommeil.

 

 

 

Quand le visage apparaît comme le vagin de verre de la sagesse, le hasard de la certitude a lieu à l’extrémité des doigts.

 

 

 

Quand le visage décapite le ventre, la bouche debout du sang contemple par contumace l’odeur de silence des étoiles.

 

 

 

Quand le ventre décapite le visage, la bouche debout du cou contemple par contumace le tonnerre d’anesthésie du sang.

 

 

 

Quand le coma du visage décapite le ciel, le cou de silence du sang dort l’apocalypse du paradis.

 

 

 

Quand la bouche debout du coma contemple par contumace l’odeur taciturne des étoiles, le visage décapite le ciel au jour la nuit l’instant.

 

 

 

 

 

Quand les falaises se frôlent comme des hirondelles, la voix cristallise le vent.

 

 

 

Quand la voix viole l’oubli qu’elle sera, l’injustice d’innocence du rire envisage le tact d’anesthésie de la respiration.

 

 

 

Quand le visage apparaît comme le gisement de paroles de la voix, les vertèbres incrustent l’aura d’obscurité de la bouche du silence.

 

 

 

Quand le crâne apparaît comme la trajectoire de translucidité du plaisir, l’instinct porte la chair en équilibre à l’extrémité du vide du visage comme auréole d’extase de la pesanteur.

 

 

 

Quand la parole survient comme la source de s’il vous plait de la pesanteur, le visage décapite le vide.

 

 

 

Quand le crâne transforme l’œuf en flèche, le regard de la voix devient la musculature d’anesthésie du lointain.

 

 

 

 

 

Quand le cou invente le couteau, la main de la respiration projette le crâne du sang.

 

 

 

Quand le cou sauvegarde le couteau, le gag de grâce de la solitude devient l’outil d’inouï du sang.

 

 

 

Quand la joie remue la plaie dans le couteau, une journée disparaît en dehors de toujours.

 

 

 

Quand la blessure crée le sabre survient le silence aveugle du visage de l’aujourd’hui.

 

 

 

Quand le calme éjacule un fou rire d’étoiles, le silence guillotine le sang.

 

 

 

Quand le sang marche, l’équilibre incendie le coma.

 

 

 

Quand le sang marche, la jubilation du crâne incendie l’équilibre et le charme de la terreur clandestine l’instinct.

 

 

 

Quand le sang marche, l’arbre d’anesthésie du crâne incendie l’équilibre et la danse de blessures du charme clandestine l’instinct.

 

 

 

Quand l’extase de sang de l’instinct sculpte la respiration de paralysie de la clarté, dehors écarte les cuisses du visage de l’aujourd’hui.

 

 

 

Quand un bouquet de blessures apparaît à la surface du poignard, l’aube du silence dort comme déluge du sang.

 

 

 

 

 

Quand la proximité des yeux tombe à l’intérieur du lointain des os, la déhiscence du sommeil calligraphie la danse de l’instinct.

 

 

 

Quand le ciel tombe en possession des apparences, la neige incruste la respiration d’amnésie de l’inouï.

 

 

 

Quand l’aveuglement tombe à l’intérieur de la bouche du silence, les mains ouvrent la neige du sang jusqu’à tu.

 

 

 

Quand le temps tombe à l’intérieur de la matière, le rire surgit comme le minerai d’imminence de l’immédiat.

 

 

 

Quand le plaisir apparaît immobile à l’intérieur du sang, la bouche du crâne sauvegarde la pandiculation de paradis du destin.

 

 

 

 

 

Quand la chute de silence du toucher écartèle l’au revoir, la terreur de subtilité de l’oubli bande au sein du ciel.

 

 

 

Quand le silence affirme le feu de paralysie de la respiration, le coma du ciel montre le dos du sang.

 

 

 

Quand les mains inachevées de la mémoire immiscent le télescope de frivolité des os, la respiration irresponsable du silence dort debout.

 

 

 

Quand le sommeil danse, la bouche dénude l’hébétude jusqu’à la terreur de translucidité du dehors.

 

 

 

Quand le sommeil danse, l’amnésie dénude l’offrande de féerie des muscles à l’intérieur de l’ascèse de lointain des os.

 

 

 

 

 

Quand le dehors gèle, le sexe devient un outil de la sensation.

 

 

 

Quand le dehors gèle, le sexe hume l’anesthésie des odeurs.

 

 

 

Quand le dehors gèle, le sexe devient l’escargot de terreur sensuelle du gag de la certitude.

 

 

 

Quand le brouillard râle le tabou de l’oubli, le sexe calligraphie le vide du visage.

 

 

 

Quand le brouillard arque le hurlement du tabou, la trajectoire du sperme esquisse la posture de translucidité du visage.

 

 

 

Quand le brouillard bande le râle du tabou, le sexe esquisse la trajectoire d’arbre du visage.

 

 

 

Quand l’aube bande à l’intérieur du regard de l’escargot, le sommeil éjacule des étoiles cul-de-jatte.

 

 

 

Quand le cul devient l’aura des hurlements, bander déclare la banquise des bicyclettes.

 

 

 

Quand le cul écoute l’oscillation des étoiles, la bouche éjacule les linceuls du sang.

 

 

 

Quand la chair surgit en équilibre sur l’érection du sexe, la main du crâne contemple le silence cosmétique du ciel.

 

 

 

Quand la chair surgit en équilibre sur l’érection du sexe, la main du crâne déclare l’apocalypse de paralysie de la mystification du coma.

 

 

 

Quand le hasard du sexe surgit comme la parole d’utopie de l’ascèse, le futur antérieur du miracle reste fidèle au lait de feu de l’amnésie.

 

 

 

Quand le sexe d’utopie du crâne contemple le silence du feu, la chute alibre de la bouche calligraphie une conversation de fenêtres avec la fumée animale d’une femme.

 

 

 

 

 

Quand le rire cartographie la neige, la bouche a des paupières de toupie.

 

 

 

Quand l’orage contente le ciel, la peau de l’anticipation cueille la déchirure du crâne.

 

 

 

Quand le silence caresse le crâne, les couilles cueillent des cous d’étoiles.

 

 

 

Quand l’orage catapulte un oreiller de racines, la vitre d’extase de la voix sauvegarde la paralysie de l’au revoir comme s’il vous plait de l’oubli.

 

 

 

 

 

Quand l’ascèse devient le sourire de la chute, le miracle de l’anesthésie hurle un visage qui décapite le ciel.

 

 

 

Quand l’ascèse devient le sourire de la chute, l’euphorie de la terreur esquisse l’habitude de hasard de la féerie.

 

 

 

Quand mourir survient comme un miracle, la pesanteur ressemble à un parfum.

 

 

 

 

 

Quand la respiration offre le feu, la main jette l’âme à l’intérieur de la roue de lèvres du silence.

 

 

 

Quand l’utopie du papier jette la mémoire au feu, le fou rire du destin apparaît à la surface du crâne.

 

 

 

Quand le mystère surgit comme l’éclair de la bêtise, la chair sculpte le sexe du sang à l’intérieur du tonnerre de clarté des os.

 

 

 

Quand le destin donne déraison au besoin, l’hébétude de l’au revoir touche le rendez-vous de vide du tabou.

 

 

 

Quand l’ascèse coïncide avec l’instinct, la parole abandonne l’espace d’une main, une main d’océan. Cette main exclame le silence, elle répond oui perdu.

 

 

 

 

 

Quand la légende du geste repose comme le regard illisible du souffle, jouer avec le feu survient comme la réponse de fragilité d’une fenêtre.

 

 

 

Quand la main apostrophe la fenêtre, l’au revoir insinue les vertèbres du sang.

 

 

 

Quand la respiration apostrophe la foudre, le sommeil mange le ciel à sang nu.

 

 

 

Quand le ciel apparaît humecté par le déséquilibre de déjà, le visage de la main cartographie la sagesse cosmétique de l’incroyable.

 

 

 

 

 

Quand la fascination offusque, l’eau envisage.

 

 

 

Quand la fascination offusque le ciel, le sentiment de l’eau envisage le vide de l’âme.

 

 

 

Quand la paume timbre le puits, l’eau paralyse le ciel.

 

 

 

Quand le puits envisage le ciel, la main paralyse l’âme.

 

 

 

Quand le puits envisage le ciel, la main du vide paralyse l’amnésie de l’âme.

 

 

 

 

 

Quand le tact de l’habitude insinue la terreur de l’à bientôt, le sexe contemple l’odeur du tonnerre.

 

 

 

Quand l’odorat survient crucifié par le tact, la lévitation d’indécence de l’amnésie allaite la volonté.

 

 

 

Quand la gorge a des paupières de souffle, le sourire du lointain hallucine la révérence du viol.

 

 

 

Quand la bataille touche le vide de l’équilibre, chaque brin d’herbe devient la flèche de bonté de l’incroyable.

 

 

 

Quand le pain apparaît à l’intérieur de l’herbe et la chair apparaît à l’intérieur du pain, survient la passion impeccable du comment ça va.

 

 

 

 

 

Quand le cœur écoute, le crâne respire comme une toupie.

 

 

 

Quand le regard parle, le cœur écoute comme une toupie.

 

 

 

Quand le regard écoute, le crâne respire comme un stéthoscope.

 

 

 

 

 

Quand l’hiver vole le désespoir, la pulsion apaise la scie.

 

 

 

Quand la pulsion apaise la scie, le silence guillotine le sang.

 

 

 

Quand la respiration pénètre la scie, la foudre de l’habitude transforme le crâne en gag de l’extase illisible.

 

 

 

Quand l’hiver arque les cloches, la main du crâne clandestine une lessive paradoxale de comment ça va.