Tact

 

 

 

 

 

 

 

Le tact reste tacite.

 

 

 

Le tact hasarde le tabou de l’ainsi.

 

 

 

 

 

Le tact cartographie la féerie de la respiration.

 

 

 

La fenêtre du tact cueille la crampe d’extase de la respiration.

 

 

 

Le tact hypothétise le rapt de certitude de l’amnésie.

 

 

 

Le rituel du tact inhume l’incinération du sourire.

 

 

 

Le tact insinue le sourire en érection de l’anesthésie.

 

 

 

 

 

Le tact provoque les métamorphoses de la paix.

 

 

 

Le tact tatoue l’œuf de hasard apocryphe de l’hallucination.

 

 

 

Le tact dépose le trait d’âme tacite de la pourriture.

 

 

 

 

 

Le précipice du tact porte un sourire sur ses épaules.

 

 

 

L’exaltation du tact martèle les affriolantes épaules d’éclipse de l’escalier.

 

 

 

La violence ensevelie du tact écartèle le cercueil de soif de l’océan.

 

 

 

L’apostrophe apocryphe du tact envisage l’architecture chirurgicale des rendez-vous.

 

 

 

 

 

Seule l’élégance sait comment enculer une guillotine.

 

 

 

Le hasard de sagesse de l’élégance esquisse la chirurgie minérale de l’au revoir.