Crâne

 

 

 

 

 

 

 

Le crâne dort la solitude.

 

 

 

Le crâne dort la solitude par la translucidité aveugle de la main à l’instant l’instant.

 

 

 

Le crâne dort le projectile de la solitude le jour et la cible de la solitude la nuit.

 

 

 

Le crâne déclare le besoin alibre de la solitude. Le crâne apparaît comme l’outil du besoin alibre de la solitude.

 

 

 

Le crâne déclare la respiration de l’inconnu.

 

 

 

 

 

Le crâne calligraphie l’incendie alibre du silence.

 

 

 

Le crâne danse défenestré par l’odeur du silence.

 

 

 

Le crâne déclare le tohu-bohu de certitude du silence.

 

 

 

Le crâne calligraphie la couleur d’anesthésie du ciel.

 

 

 

Le crâne déclare la pulsion d’illisibilité du calme.

 

 

 

Le crâne déclare la parabole d’extase du blanc.

 

 

 

 

 

Le crâne salue le projectile gisant de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le crâne enracine le ventre satellite de l’évanouissement.

 

 

 

Le crâne sauvegarde l’érection gisante du gel.

 

 

 

Le crâne cueille le tonnerre de translucidité du coma.

 

 

 

 

 

Le crâne clandestine l’habitude de l’apocalypse.

 

 

 

Le crâne jongle avec l’apocalypse du sommeil.

 

 

 

Le crâne dévore le vide de la suite des jours.

 

 

 

Le crâne dévore les acrobaties du hasard.

 

 

 

Le crâne déclare la bêtise du destin. 


 

 

Le crâne déclare la pandiculation de frivolité de la certitude.

 

 

 

Le crâne projette la parure de paralysie du précipice.

 

 

 

Le crâne incruste la pandiculation de paralysie de la nuit.

 

 

 

 

 

Le crâne vole debout par la respiration aveugle du sang.

 

 

 

Le crâne équilibre l’anarchie minérale des sentiments.

 

 

 

Le crâne envisage l’envol du vide à l’intérieur de l’écran de la terre.

 

 

 

 

 

Le crâne donne la cible. Le crâne donne le sommeil de la cible.

 

 

 

Le crâne dort la cible des projectiles du temps à mains nues.

 

 

 

Le crâne prend des bains de cibles.

 

 

 

Le crâne prend les bains de cibles du mépris.

 

 

 

Le crâne méprise le bain de cibles de l’abandon.

 

 

 

 

 

Le crâne incruste la tralalagédie d’un calinceul.

 

 

 

Le crâne incruste le chaos de coquetterie du vide.

 

 

 

Le crâne exclame le chaos de la soif au dos de la vitre du vide.

 

 

 

Le crâne incruste le strip-tease de vide de la décapitation des pendus.

 

 

 

 

 

Le crâne donne à sentir la connivence absolue de la création et du sommeil.

 

 

 

Le crâne touche le vide impardonnable de l’anesthésie afin d’affirmer le scandale d’inconnu de la sensation.

 

 

 

 

 

Le crâne déclare le gouffre funambule de l’anesthésie.

 

 

 

Le crâne respire le cyclone de coïncidences de la certitude par la pandiculation de mains de l’amnésie.

 

 

 

Le crâne cueille l’amnésie du désert comme cou de nudité du destin.  

 

 

 

 

Le crâne bande à feu d’immobilité bue.

 

 

 

Le crâne catapulte le handicap de diamant du tabou immédiat.

 

 

 

Le crâne incruste le toboggan de linceuls du vide tabou.

 

 

 

Le crâne déclare l’exubérance de la certitude par l’extase tacite du tabou à mains bues.

 

 

 

 

 

Le silence du crâne peaufine le feu de poussière de la respiration.

 

 

 

Le silence du crâne incruste le coma de facilité du feu.

 

 

 

Le silence du crâne exclame le dos d’incroyable de l’odeur.

 

 

 

Le silence du crâne crucifie la parabole d’amnésie de la main.

 

 

 

Le silence de sang du crâne calligraphie la certitude impeccable du ciel.

 

 

 

 

 

Le silence du crâne décapite la parole du sang à l’intérieur de la contemplation par contumace des nuages.

 

 

 

Le silence du crâne sculpte le coma cosmétique de la certitude à l’intérieur de la neige debout du sang.

 

 

 

Le silence du crâne dit bonjour au feu de la conversation à l’intérieur de l’habitude de hurlements de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La certitude du crâne déclare l’anesthésie debout de la gravitation.

 

 

 

La certitude du crâne déclare l’aisance d’anesthésie de l’instinct.

 

 

 

La certitude du crâne incruste la vitre d’extase du sang.

 

 

 

La certitude du crâne déclare le hasard tabou de l’inconnu.

 

 

 

La certitude du crâne prénomme la cathédrale de tact de l’inconnu.

 

 

 

La certitude du crâne mange à donner la chute du silence.

 

 

 

La scandeur de certitude du crâne calligraphie le déluge de sang du paradis.

 

 

 

La certitude du crâne cueille les révérences d’apocalypse de l’extase du sang.

 

 

 

La certitude de sang du crâne déclare l’arbre de tonnerre tacite de la catastrophe facile de respirer.

 

 

 

La certitude du crâne calligraphie le rituel de respirer à l’intérieur de l’extase du sang.

 

 

 

 

 

La respiration du crâne décapite le vide du sang.

 

 

 

La respiration du crâne décapite le couteau du vide.

 

 

 

La respiration d’incroyable du crâne décapite le couteau d’ainsi du vide.

 

 

 

La respiration du crâne enracine le vide de paralysie du ciel.

 

 

 

La respiration du crâne apparaît au dos du ciel comme le strip-tease de terreur de la translucidité.

 

 

 

La respiration taciturne du crâne envisage la chute contorsionniste de l’incendie.

 

 

 

La respiration d’aveuglement du crâne déclare le vol à bouche nue du ça tombe de la grâce.

 

 

 

La respiration de terreur du crâne évanouit le magma de neige du sang.

 

 

 

 

 

La crampe taciturne du crâne projette la plaisanterie mystique du feu de la conversation.

 

 

 

La crampe de vide du crâne épanouit l’équilibre d’envol de l’instinct.

 

 

 

La crampe de sang du crâne affirme l’évanouissement souverain du tabou immédiat.

 

 

 

 

 

La crampe de respiration du crâne calligraphie l’errance de paralysie de l’érosion.

 

 

 

La crampe de respiration du crâne calligraphie l’apocalypse de calme de la certitude.

 

 

 

La crampe de respiration du crâne sculpte l’imminence de monotonie burlesque du destin.

 

 

 

La crampe de respiration du crâne caresse le rythme par contumace de l’instinct à tu.

 

 

 

 

 

Le coma impeccable du crâne respire l’extase illisible du sang.

 

 

 

Le blanc in extremis du crâne tombe en possession de la posture d’immobilité du sang.

 

 

 

Le blanc debout du crâne parabolise le coma impeccable de la certitude du sang.

 

 

 

Le coma d’apocalypse du crâne déclare la pandiculation de sang du destin.

 

 

 

 

 

La volonté évanouie du crâne sculpte le tonnerre d’anesthésie de la clarté.

 

 

 

Le sommeil sans rêve du crâne déguste les bombes comme des bonbons.

 

 

 

Le sommeil sans rêve du crâne déguste la sagesse des bombes comme un strip-tease de bonbons.

 

 

 

La respiration de sommeil du crâne suçote les bonbons de vertige des vertèbres.

 

 

 

La respiration d’aveuglement du crâne exclame les bonbons d’extase du tabou.

 

 

 

 

 

Le sommeil du crâne inhume le hasard du ciel par des contorsions d’anesthésie bue.

 

 

 

L’érection d’anesthésie du crâne calligraphie l’écran de clandestinité de l’immense.

 

 

 

L’apocalypse de sommeil du crâne projette l’écran de frivolité de l’inexorable.

 

 

 

Le sommeil debout du crâne déclare l’apocalypse impeccable de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

La bouche du crâne calligraphie la neige du sang.

 

 

 

La bouche du crâne calligraphie le fruit d’illisibilité du silence.

 

 

 

La bouche du crâne ensevelit le vent à l’intérieur de l’arbre.

 

 

 

La bouche du crâne ensevelit le vide du tabou à l’intérieur du tact de terreur de l’au revoir.

 

 

 

La bouche du crâne déclare la pandiculation de la poussière.

 

 

 

La bouche du crâne déclare l’incendie d’imminence de l’habitude.

 

 

 

La bouche du crâne sculpte l’incendie de candeur du coma.

 

 

 

La bouche du crâne catapulte l’habitude de hasard de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La bouche debout du crâne respire la répétition d’immobilité du silence.

 

 

 

La bouche debout du crâne projette l’orgie de silence du bonjour.

 

 

 

La bouche debout du crâne exclame la tragédie de désinvolture du bonjour.

 

 

 

La bouche debout du crâne dort à l’intérieur de la demeure d’errance de l’incendie.

 

 

 

La bouche debout du crâne calligraphie la respiration de silence cul-de-jatte de l’incendie.

 

 

 

La bouche debout du crâne dort parée par le feu de silence de la gravitation.

 

 

 

 

 

La bouche enracinée du crâne contemple l’éclat de rire du puits.

 

 

 

La bouche in extremis du crâne baigne à l’intérieur du cyclone de subtilité de l’inconnu.

 

 

 

La bouche en érection du crâne calligraphie l’obscénité de joie translucide de la tragédie.

 

 

 

 

 

Les lèvres du crâne survolent le hasard de la certitude.

 

 

 

Les lèvres du crâne contemplent le bonjour à comment ça va du ciel.

 

 

 

Les lèvres du crâne immiscent le cataclysme minuscule de dire merci à s’il vous plait.

 

 

 

Les lèvres de clarté frivole du crâne sculptent le magma fragile de l’imminence de la monotonie.

 

 

 

La lascivité de la lévitation surgit à l’instant où les lèvres du crâne hument la catastrophe du silence à l’intérieur de la musculature d’in extremis des os.

 

 

 

Les lèvres d’in extremis du crâne ôtent le linceul de hasard de la respiration par l’éclair de silence de l’au revoir.

 

 

 

 

 

La main du crâne hurle la fraîcheur de frivolité de la disparition.

 

 

 

La main debout du crâne contemple l’énigme de vide du temps.

 

 

 

 

 

La main du crâne surgit au dos de la bouche.

 

 

 

La main du crâne exclame la bouche d’anesthésie de l’habitude.

 

 

 

La main du crâne compose le bouquet d’abîme du hasard.

 

 

 

La main du crâne catapulte le totem de vide de l’obscénité.

 

 

 

 

 

La main du crâne incruste le charnier de blancheur de l’extase.

 

 

 

La main du crâne incruste la parabole d’ascèse de l’enthousiasme.

 

 

 

La main du crâne donne le scandale de la réponse à oui.

 

 

 

La main du crâne projette la répétition de l’amnésie debout à oui.

 

 

 

 

 

La main du crâne sculpte la pulsion de la désinvolture comme catastrophe taciturne du sang.

 

 

 

La main du crâne méprise la lumière du sens par l’extase de poussière du sang.

 

 

 

La main du crâne épanouit le handicap du sang par la crampe de respiration de l’extase.

 

 

 

La main d’aveuglement du crâne calligraphie le coma de la terre comme marge du ciel à tu.

 

 

 

La main du crâne projette le bégaiement d’hémorragie de l’obscurité à l’intérieur du sommeil d’indécence du destin.

 

 

 

La main à sang nu du crâne respire la poussière de clandestinité du destin au jour la nuit l’instant.

 

 

 

 

 

La main du crâne cartographie le hasard tabou de l’instinct.

 

 

 

La main du crâne envisage les acrobaties du brouillard avec le tonnerre du s’il vous plait de l’instinct.

 

 

 

La main de sommeil du crâne décapite le couteau du sang au dos de la respiration du silence.

 

 

 

La main du crâne maquille le comment ça va de l’au revoir par la candeur de vide de la gravitation.

 

 

 

 

 

La main du crâne immisce un éventail de racines à l’intérieur de l’enclume du miracle.

 

 

 

La main du crâne projette l’ascèse du nuage par la désinvolture de la pierre.

 

 

 

La main du crâne pose le papier de la parole à l’intérieur du feu.

 

 

 

La main de solitude du crâne incruste la coïncidence végétale du feu de la conversation avec le coma de l’inouï.

 

 

 

 

 

La volonté d’aveuglement du crâne projette le ciel gisant de l’extase.

 

 

 

La volonté d’aveuglement du crâne drape la nudité de l’espace avec la respiration projectile du sang.

 

 

 

 

 

La pandiculation du crâne improvise le bonjour comestible du silence.

 

 

 

La pandiculation de vide du crâne invente la projection rituelle du dos comme parabole de la chose de l’âme.

 

 

 

L’équilibre de handicap du crâne hume la trajectoire de silence du ciel que le miracle de l’envol ne sait pas comment toucher.

 

 

 

La pandiculation de braises du crâne exclame les bonbons de vertèbres du coma.

 

 

 

La pandiculation de certitude du crâne déclare la fusillade funambulesque des étoiles.

 

 

 

La pandiculation d’inconnu du crâne pare le sourire de la terreur avec la foudre de l’au revoir.

 

 

 

 

 

La pulsion du crâne sculpte le tas de visages rituels de la respiration.

 

 

 

La pulsion d’ascèse du crâne sculpte le tonnerre d’amnésie de la respiration.

 

 

 

La pulsion de paralysie du crâne palpe le tonnerre de contemplation du comment ça va.

 

 

 

 

 

L’instinct du crâne sculpte l’arbre de poussière du sang.

 

 

 

L’extase du crâne abandonne le paradis à l’intérieur du feu de la conversation du sommeil.

 

 

 

Le scandale du crâne calligraphie le vouloir en venir du sommeil debout à la fenêtre de terreur de la nuit.

 

 

 

Le scandale d’extase du crâne sculpte l’arbre de bestialité de l’apocalypse par la précision d’inconnu du coma.

 

 

 

L’instinct d’anesthésie du crâne savoure le brasier d’extase burlesque du coma de l’inconnu.

 

 

 

 

 

L’enthousiasme minéral du crâne danse comme il dort.

 

 

 

L’imminence minérale du crâne méprise le cerveau de la vérité.

 

 

 

La poussière de sang du crâne provoque la pluie de lévitation lascive du coma.

 

 

 

Le minerai d’illusion du crâne savoure l’indécence de certitude de l’inconnu.

 

 

 

 

 

Le tonnerre impeccable du crâne envisage le scandale de candeur de la certitude.

 

 

 

Le tonnerre inouï du crâne cartographie la peau de clarté projectile de la terreur comme pain de blessures de l’anesthésie.

 

 

 

 

 

L’éclair du crâne cueille le silence d’anesthésie du sang.

 

 

 

L’éclair de respiration du crâne calligraphie le totem de tonnerre du silence.

 

 

 

L’éclair de certitude du crâne calligraphie le sommeil de vide de l’au revoir.

 

 

 

 

 

Le feu de solitude du crâne projette l’abstraction d’un dé en dehors du hasard.

 

 

 

Le feu de solitude du crâne calligraphie l’arbre de chute du sommeil.

 

 

 

L’incendie de silence du crâne sculpte le visage d’aujourd’hui du destin.

 

 

 

 

 

Le crâne de l’inouï savoure le vide de clarté de la douleur.

 

 

 

Le crâne de l’inouï projette l’instinct palindromique des astres à l’intérieur de la bouche du silence.

 

 

 

Le crâne d’ascèse de l’inouï scie les associations d’idées du hasard.

 

 

 

Le crâne contorsionniste de l’inouï dénude le poignard de poussière tacite de la respiration.

 

 

 

 

 

Le couteau contemplatif du crâne enracine le nuage d’hémorragie du silence.

 

 

 

L’hémorragie de bijoux du crâne improvise la respiration de paralysie de la certitude.

 

 

 

Le geyser de bijoux du crâne utilise un sexe cyclopéen comme parapluie.

 

 

 

 

 

La chute debout du crâne écartèle les cuisses de tonnerre saoul du silence.

 

 

 

L’avalanche de paralysie du crâne catapulte le mosaïque de transhumance de la respiration.

 

 

 

Le charnier de blancheur du crâne déclare le s’il vous plait de monotonie du destin.

 

 

 

 

 

Le gag de translucidité du crâne incruste l’étoile littérale du hurlement.

 

 

 

Le gag d’aveuglement du crâne bégaie la cible de vent de l’anesthésie.

 

 

 

Le rire du crâne sculpte le silence projectile du coma de l’instinct.

 

 

 

La plaisanterie de paralysie du crâne remue la plaie du vide dans le couteau du sang.

 

 

 

La jubilation inouïe du crâne apparaît quand la respiration du sang transforme le ça de l’incendie en démesure de gel de tu.

 

 

 

 

 

La soif de frivolité du crâne insinue la main de translucidité de l’amnésie.

 

 

 

La désinvolture du crâne cartographie l’excitation de translucidité de l’habitude.

 

 

 

La désinvolture du crâne dort dévorée par la bouche debout du sang de l’aujourd’hui.

 

 

 

La désinvolture du crâne danse la source de l’incendie.

 

 

 

La frivolité de déraison du crâne dévore la toupie d’aphasie du feu.

 

 

 

 

 

L’indécence d’anesthésie du crâne donne l’érosion du jour à la certitude de l’instant.

 

 

 

La passion du crâne affirme le jeu d’apparaître pendu à la métamorphose d’ascèse de la bouche.

 

 

 

L’exubérance d’exactitude du crâne surnage le besoin d’incroyable du comment ça va.

 

 

 

 

 

Seule la scandeur du crâne a l’audace de répondre au silence de la nuit.

 

 

 

Seule la scandeur du crâne sait comment toucher le bouquet de cibles du feu à mains nues.

 

 

 

Quand la chair possède la sensation de la connivence de la terre, de l’eau, de l’air et du feu, le crâne déclare le sommeil de solitude du destin.

 

 

 

 

 

La voix du crâne calligraphie la désinvolture de tragédie du coma.

 

 

 

La voix du crâne révulse la main d’anesthésie de l’extase.

 

 

 

La voix du crâne contemple la dénudation de sang de l’inouï à tabou ouvert.

 

 

 

 

 

L’ascèse du crâne calligraphie la foudre de voix taciturnes de la respiration.

 

 

 

L’érosion de clandestinité du crâne calligraphie le face à fesses du silence.

 

 

 

Le vol en éclats de clandestinité du crâne imagine l’audace indécente de dormir à l’intérieur de la chute debout du sang.

 

 

 

 

 

La racine d’errance du crâne affirme le frou-frou de catastrophe de la certitude.

 

 

 

La roue d’anesthésie du crâne marche la cathédrale de lèvres du silence.

 

 

 

Le coma d’utopie du crâne imagine la coïncidence de la roue du sang et de la trajectoire du visage.

 

 

 

L’arbre d’inouï du crâne sculpte le nuage de terreur paradoxale du paradis.

 

 

 

 

 

La déchirure cruciale du crâne cartographie les impacts de pain du sourire.

 

 

 

La démesure taciturne du crâne éjacule des étoiles cul-de-jatte de la nécessité.

 

 

 

Le futur antérieur du crâne exclame la parure d’alcool de l’anesthésie.

 

 

 

La toupie contorsionniste du crâne affirme l’exactitude d’inconnu tactile du visage.

 

 

 

Le toboggan d’utopie du crâne déclare le sang d’anesthésie de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La boîte à lettres du crâne invente l’habitude de l’inouï.

 

 

 

Le hasard lucide du crâne enracine la cloche du vent à l’intérieur de la bouche de la voix.

 

 

 

Le miracle d’imminence du crâne calligraphie la révérence de neige de l’hémorragie.

 

 

 

 

 

La jubilation du crâne déclare le vide du visage.

 

 

 

La jouissance du visage révèle le vide du crâne.

 

 

 

La tête tient debout le sexe de tact siamois du vide.

 

 

 

Le vide du crâne dort au jour la chute à l’intérieur de l’instinct de la terre.

 

 

 

La crudité de vide du crâne catalyse les improvisations d’inouï du coma.

 

 

 

 

 

Le salut par suite du crâne décapite la démence de vide du ciel.

 

 

 

Le bonjour debout du crâne bégaie les bijoux de silence contorsionniste de l’incendie.

 

 

 

 

 

Le totem du crâne incruste le cimetière d’imminence du sommeil.

 

 

 

Le totem du crâne dort comme l’astronaute de l’inconnu.

 

 

 

 

 

Les tempes peaufinent le coma d’utopie de la respiration.

 

 

 

Les tempes peaufinent la toupie de coma de l’âme.

 

 

 

La danse de translucidité des tempes dort à voler bonjour à l’intérieur du hasard tabou.