Peau Parure

 

 

 

 

 

 

 

La peau épanouit l’implosion de la lenteur.

 

 

 

 

 

La peau affirme la pandiculation du crâne.

 

 

 

La crudité projectile de la peau imagine le totem d’improvisation du crâne.

 

 

 

La pudeur de la peau surgit comme une apocalypse de verre entre chaque parole de l’instinct.

 

 

 

 

 

La peau improvise le brouillard de l’habitude à la surface de l’envol de l’anesthésie.

 

 

 

Le hurlement d’envol de la peau sauvegarde le crâne de respiration du sang à l’intérieur du déluge d’immobilité de l’aujourd’hui.

 

 

 

L’apocalypse d’anesthésie de la peau écrit des livres uniquement lisibles par la chute impeccable du fruit.

 

 

 

 

 

La parure subtilise la particularité insensée de la peau.

 

 

 

La parure transforme la peau en parole de vide de l’habitude.

 

 

 

La plaisanterie inexorable de la parure donne à sentir la clarté alibre de l’instinct.

 

 

 

 

 

La parure de certitude de la peau calligraphie l’extase de frivolité de la tragédie.

 

 

 

La parure de certitude de la peau tente de décapiter le suicide de la mort.

 

 

 

Le geste de s’habiller et de se déshabiller chaque jour donne forme à un incendie abstrait. Le geste de s’habiller et de se déshabiller chaque jour donne forme à l’habitude d’une extase qui essaie de décapiter le suicide de la mort.