Sexe

 

 

 

 

 

 

 

Le sexe affirme le satellite d’exil du crâne.

 

 

 

Le sexe sauvegarde la blessure d’exil du crâne.

 

 

 

La certitude du sexe projette le crâne de translucidité aveugle du sang.

 

 

 

 

 

Le sexe affirme l’explosion de simplicité du visage.

 

 

 

Le sexe affirme la prolifération de syncope du visage.

 

 

 

Le sexe affirme la crampe de coma du visage comme viande d’exil de la translucidité.

 

 

 

 

 

L’érection du sexe donne à sentir l’excès de l’équilibre.

 

 

 

Le sexe crève l’œil en dehors du regard et de l’aveuglement.

 

 

 

Le sexe excite le tabou sauf d’un œil crevé à blanc.

 

 

 

Le sexe tait la bouche à l’extrémité du sommeil de l’arbre de la chute.

 

 

 

Le sexe sculpte le hasard de ciel de l’utopie.

 

 

 

 

 

Le sexe exile la certitude.

 

 

 

Le sexe sculpte l’exil du vide.

 

 

 

Le sexe calligraphie l’exil du vide à ça tu.

 

 

 

Le sexe calligraphie l’exil du vide à ça tu de pénétrer face à dos en dehors de tout.

 

 

 

 

 

Le sexe hasarde l’escrose de l’exil à l’instant.

 

 

 

La luxure hallucine la lecture de l’exil.

 

 

 

Le selon du sexe envisage le hasard d’exil du vide.

 

 

 

L’exil de vide d’un sexe reste inviolable sauf par le sommeil de certitude d’une voix.

 

 

 

 

 

Le sexe cartographie la courbure de la terre.

 

 

 

Le sexe survient comme le stéthoscope de la monotonie in extremis.

 

 

 

Le stéthoscope du sexe calligraphie la révérence de l’instinct.

 

 

 

 

 

La liberté habille le sexe. La nécessité dénude le sperme.

 

 

 

L’insouciance de paralysie du sexe affirme la pandiculation de certitude du sperme.

 

 

 

Le sperme révèle l’ange du handicap. Le sperme révèle l’ange du handicap à respiration nue. Le sperme révèle un ange aux ailes coupées par son envol. Le sperme révèle une colle de lévitation, la colle de dissociation cyclopéenne du vide.

 

 

 

Les ailes cul-de-jatte de l’éjaculation déclarent la translucidité taboue du gris.

 

 

 

 

 

La respiration du sperme transforme le labyrinthe des os en arbre alibre du feu.

 

 

 

La respiration du sperme transforme la main du crâne en bicyclette d’herbes éblouies.

 

 

 

La respiration du sperme transforme le Centaure en sculpture de sommeil du destin.

 

 

 

La naïveté sans rêve du sperme scalpe l’imminence par contumace du paradis.

 

 

 

L’insouciance de monotonie du sperme provoque l’épouvante de subtilité du paradis.

 

 

 

L’éclair de papier du sperme palindromise la lettre d’amour de la respiration des vertèbres.

 

 

 

Le visage du foutre affirme l’aura invulnérable du futur antérieur.

 

 

 

 

 

Inutile de nier, l’inverse d’un vagin est un vagin.

 

 

 

Le vagin vagabonde l’ombre des larmes.

 

 

 

Le vagin coagule un volcan d’algues à jeun.

 

 

 

 

 

Le sexe de la femme apparaît comme un bouquet de rivières illisibles.

 

 

 

Le sexe de la femme immisce la fente de somnolence d’une boîte à lettres en érection.

 

 

 

Le sexe de la femme repose comme le paradis paradoxal du vide.

 

 

 

A l’intérieur du sexe des femmes, l’insouciance cueille des océans.

 

 

 

La femme formule les rendez-vous de regards de l’incroyable avec la robe de cils de son sexe.

 

 

 

La femme inexorable écarte les cuisses comme la catastrophe de facilité du calme sculpte le pain de paralysie de l’extase.