Ciel

 

 

 

 

 

 

 

Le ciel apparaît comme une brisure globale.

 

 

 

Le ciel apparaît comme le symbole de la marge.

 

 

 

L’immanence affirme la marge du ciel. L’immanence affirme la tragédie de la terre comme marge d’extase du ciel.

 

 

 

Le ciel apparaît comme la brisure globale de la marge du vide.

 

 

 

Le ciel apparaît comme l’alliance de la déchirure du vide au jour l’instant.

 

 

 

Le ciel apparaît comme le lieu incroyable des métamorphoses. Le ciel apparaît comme lieu d’euphorie de la terreur c’est à dire espace d’abstraction d’une solitude inconnue.

 

 

 

La seule fois de la marge du ciel détruit le labyrinthe de stupeur de la vérité.

 

 

 

 

 

Le ciel tombe en possession des apparences.

 

 

 

Le hasard du ciel survient comme un couteau.

 

 

 

Le vide de paralysie du ciel contemple l’apparition de l’innocence à coups de couteaux.

 

 

 

L’amnésie du ciel compose la disparition du vide.

 

 

 

La politesse du ciel pose le miracle de vide de la passion.

 

 

 

 

 

La main du ciel déclare l’hémorragie d’anesthésie de l’immense.

 

 

 

La main de certitude du ciel exclame la trajectoire d’amnésie de l’immense.

 

 

 

La main de catastrophe du ciel exclame la source de cible de l’espace.

 

 

 

La main d’exclamation tacite du ciel compose le crâne de syncope de la respiration.

 

 

 

 

 

La révérence d’au revoir du ciel dévore les tempes d’explosion du lointain.

 

 

 

La vitre d’ascèse du lointain sauvegarde la passion de désinvolture de l’espace.

 

 

 

La révérence de dévoration du lointain cueille le crâne de lèvres de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La crudité du ciel exclame l’alcool de l’inouï.

 

 

 

La câlinerie du ciel catalyse la mosaïque d’alcool de l’espace.

 

 

 

Le vent d’inouï du ciel sauvegarde l’exaltation de verre de l’anesthésie.

 

 

 

 

 

L’habitude du ciel invente l’abattoir des nuages.

 

 

 

Le ciel à l’abandon repose comme l’abattoir de candeur lascive des nuages.

 

 

 

La solitude à quatre pattes du ciel calligraphie le fou rire de translucidité de l’instinct.

 

 

 

La décapitation impeccable du ciel peaufine l’exactitude de sang d’imaginer à tu.

 

 

 

 

 

Le sommeil du ciel imagine le besoin de tragédie des étoiles.

 

 

 

Le sommeil du ciel apparaît à l’intérieur du silence par suite de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

La pandiculation d’aveuglement de la terre respire la main de décapitation du ciel.

 

 

 

Le visage d’inouï de la terre jappe le vagin de tonnerre de la clarté.

 

 

 

L’extase du ciel tombe en possession du besoin de frivolité de la terreur.