Instinct

 

 

 

 

 

 

 

Le tu de l’instinct tombe debout.

 

 

 

L’instinct affirme l’innocence de la terreur.

 

 

 

L’instinct sculpte la chair par le coma de charme du destin.

 

 

 

 

 

L’instinct possède l’oubli à plaisir.

 

 

 

La posture de l’instinct anticipe les gestes du temps.

 

 

 

La sensation de l’instinct apparaît clandestinée par la démesure du temps.

 

 

 

Le gag d’élégance de l’instinct affirme le jeu de posséder autant de postures de respirations qu’il existe de formes d’amnésie du temps.

 

 

 

 

 

Le scandale de l’instinct déclare le tact de dévoration du silence.

 

 

 

La rature de candeur de l’instinct mange la main d’extase de la respiration.

 

 

 

Le silence d’obscénité de l’instinct démesure la peau de certitude du sang.

 

 

 

La scandeur de l’instinct déclare la parure de paralysie de la respiration du sang.

 

 

 

 

 

La scandeur de frivolité de l’instinct sculpte l’œuf de silence du feu.

 

 

 

L’extase de candeur de l’instinct défenestre le feu de coïncidences du crâne.

 

 

 

La jubilation de l’instinct parabolise le fruit d’anesthésie du ça tombe à oui.

 

 

 

La scandeur de l’instinct transhume la couleur d’anesthésie du destin.

 

 

 

 

 

La certitude de l’instinct calligraphie le mourir sauf de l’aujourd’hui.

 

 

 

La certitude d’injustice de l’instinct calligraphie le déluge de sang de l’aujourd’hui.

 

 

 

La certitude de l’instinct déclare le geste de voler clandestin à la surface du mourir comme de tomber impeccable à la surface du destin.

 

 

 

La certitude de l’instinct exclame l’incendie de l’inconnu.

 

 

 

La certitude d’amnésie de l’instinct cartographie l’aisance d’aveuglement de l’inconnu.

 

 

 

La certitude de l’instinct déclare le gag d’indécence de dormir au sein de la solitude du monde.

 

 

 

 

 

L’exactitude de l’instinct affirme l’avalanche d’anesthésie du ciel comme bouche de clandestinité de la terre.

 

 

 

La clarté de l’instinct calligraphie à chaque instant le dos de futur d’une clef apocryphe à l’intérieur de la terreur du sommeil.

 

 

 

 

 

La volonté de lenteur de l’instinct catapulte la passion de repos du crâne.

 

 

 

La paralysie de l’instinct abandonne la chute debout du crâne à l’arbre d’extase de la respiration.

 

 

 

Le sommeil de l’instinct sculpte la banquise d’exubérance des visages évanouis.

 

 

 

Le calme sans pardon de l’instinct éjacule le visage de silence du vent.

 

 

 

Le sommeil de l’instinct calligraphie la scandeur debout du visage de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Le coma cosmétique de l’instinct déclare la respiration de sang de la certitude.

 

 

 

Le coma de désinvolture de l’instinct clandestine la chute innocente de la chair comme apocalypse du paradis.

 

 

 

 

 

Le ciel à suivre de l’instinct calligraphie le coma d’inouï du vent.

 

 

 

La clandestinité à ciel ouvert de l’instinct déclare la respiration de certitude du ça tombe à oui.

 

 

 

La démesure taciturne de l’instinct cartographie le frou-frou d’habitude de la catastrophe.

 

 

 

La démesure de clandestinité de l’instinct calligraphie la chute de clarté du silence.

 

 

 

 

 

Le cyclone tacite de l’instinct exclame les colliers de cous de la certitude.

 

 

 

Le tohu-bohu d’ascèse de l’instinct calligraphie l’érosion de feu de l’inexorable.

 

 

 

 

 

La grâce de l’instinct apparaît par la bêtise sublime du sommeil.

 

 

 

La grâce de l’instinct clandestine l’âme par l’aisance impeccable de la bêtise.

 

 

 

La grâce de l’instinct projette l’aura de blessures du sang.

 

 

 

La grâce de l’instinct calligraphie la chute aveugle du sang à l’intérieur de à tu.

 

 

 

La grâce de l’instinct mange la lumière avec la bouche debout de la certitude.

 

 

 

La grâce de l’instinct calligraphie une avalanche d’éclairs à l’intérieur de la bouche debout de l’aveuglement.

 

 

 

La grâce de l’instinct imagine la nécessité souveraine d’apparaître à l’intérieur du crâne de sang du silence.

 

 

 

 

 

Le crâne de l’instinct incruste le vent enseveli du silence.

 

 

 

Le crâne de l’instinct déclare le séisme de silence du ciel.

 

 

 

Le crâne de l’instinct respire le tonnerre des cendres par la translucidité du feu.

 

 

 

Le crâne de l’instinct sculpte le tas d’extases du silence comme tonnerre de ratures de la clarté.

 

 

 

La bouche d’extase de l’instinct imagine le crâne de sommeil de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La respiration de l’instinct déclare le charme in extremis de la certitude.

 

 

 

La réponse de l’instinct paralyse le plaisir de l’immédiat.

 

 

 

L’habitude de l’instinct tombe lieu par la plaisanterie de calme de l’apocalypse.

 

 

 

 

 

La parabole de l’instinct méprise la question de l’identité.

 

 

 

La parabole de l’instinct répond par la respiration de terreur de la grâce.

 

 

 

La parabole de l’instinct métamorphose le tabou de vide du crâne en besoin d’illusion de tomber au jour l’instant.

 

 

 

La parabole d’aveuglement de l’instinct calligraphie la posture de clandestinité du paradis.

 

 

 

 

 

Le rituel de l’instinct affirme le tonnerre de clarté de la chair.

 

 

 

La terreur sensuelle de l’instinct détruit la croyance au sexe en tant que signe transcendant du corps.

 

 

 

Le rituel de l’instinct sublime la vulgarité de la pensée par la posture d’extase tacite de l’imagination.

 

 

 

 

 

A l’instant de l’instinct, la contemplation d’illisibilité de la peau déclare la bestialité sublime du visage.

 

 

 

La flèche de peau de l’instinct envisage la cible de viande du vide.

 

 

 

La parure de l’instinct peaufine le dos de feu de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La voix ensevelie de l’instinct déclare la friandise d’aisance de la foudre.

 

 

 

La tragédie désinvolte de l’instinct éjacule les cosmonautes commissures du rire.

 

 

 

Le fou rire taciturne de l’instinct calligraphie la catastrophe d’alcool du ciel.

 

 

 

L’enthousiasme de tragédie de l’instinct déclare l’ascèse contorsionniste de l’inconnu.

 

 

 

 

 

La séduction de l’instinct insinue le séisme de verre du miracle.

 

 

 

L’énigme de l’instinct calligraphie le squelette de hurlements de la respiration.

 

 

 

La désinvolture mystique de l’instinct touche l’odeur d’anesthésie des étoiles.

 

 

 

Le charme de l’instinct savoure le sommeil du temps à la surface du destin.