Maison

 

 

 

 

 

 

 

La demeure affirme l’odeur d’incendie du silence.

 

 

 

La demeure déclare l’incendie d’amnésie du crâne.

 

 

 

La maison animale du silence apparaît comme la dévoration de l’extase du sang

 

à mains nues.

 

 

 

La maison animale du silence respire le feu de la conversation du crâne comme enthousiasme de terreur à blanc de la solitude.

 

 

 

Le miracle d’aphasie de la demeure dévore le hasard de monotonie de la douleur.

 

 

 

La maison contemple le miracle d’humour de demain disparaîtra.

 

 

 

 

 

La demeure apparait comme un poignard qui bénit. Le besoin d’avoir une demeure apparait comme un poignard qui bénit.

 

 

 

La demeure donne à sentir la clandestinité translucide du crâne comme source d'incendie de la certitude.

 

 

 

 

 

La demeure apparaît comme un habit. La demeure apparaît comme l’habit du vide de la chair.

 

 

 

Celui qui ne possède pas d’autre demeure que sa chair affirme la malédiction d’apparaître comme un dos de sang décapité par la mystification de la solitude.

 

 

 

 

 

Utiliser le vide du miracle afin de faire le ménage dans sa maison.

 

 

 

Posséder une maison par le crâne d’anesthésie de la nuit à l’instant.

 

 

 

Incarner l’incendie de sa demeure afin de clandestiner l’instinct d’apparaître comme l’arbre du sommeil en dehors de tout.