Ascèse

 

 

 

 

 

 

 

L’ascèse déclare l’extase taciturne du sommeil.

 

 

 

L’ascèse clandestine le minerai d’imminence du sommeil.

 

 

 

L’ascèse projette la cible d’habitude du hasard.

 

 

 

L’ascèse affirme la cible de recommencement de l’espace et du temps.

 

 

 

L’ascèse tente la demeure de nudité de l’existence.

 

 

 

 

 

L’ascèse affirme l’hypothèse de l’épouvante.

 

 

 

L’ascèse incendie le sourire du hasard.

 

 

 

L’ascèse affirme le hasard de coquetterie du handicap.

 

 

 

L’ascèse affirme la lévitation alibre du feu de l’érosion à l’instant l’instant.

 

 

 

L’ascèse calligraphie l’odeur du dos de la gravitation à souffle lu.

 

 

 

 

 

Le souffle de l’ascèse survient comme un clou d’extrême facilité.

 

 

 

La candeur de l’ascèse décapite le précipice de viande de l’inconnu.

 

 

 

L’au revoir tabou de l’ascèse épanouit le collier de lèvres de la décapitation.

 

 

 

La colonne vertébrale de l’ascèse affirme le volcan de coïncidences du coma.

 

 

 

Le gag d’orgueil de l’ascèse affirme le bégaiement de guillotine de l’à bientôt.

 

 

 

 

 

L’habitude de l’ascèse catapulte la bouche somnambule du crâne.

 

 

 

La pulsion de l’ascèse anticipe l’ombre à blanc de l’au revoir.

 

 

 

La crampe de l’ascèse affirme la désinvolture de tragédie de la contemplation.

 

 

 

La jubilation de l’ascèse projette la main du crâne comme lieu d’illusion du désordre.

 

 

 

La crampe de l’ascèse sauvegarde la frivolité du crâne comme auréole de hurlements.

 

 

 

La crampe de jubilation de l’ascèse pose le parachute de translucidité du crâne à l’extrémité du hasard d’humilité du tabou.

 

 

 

 

 

La main de l’ascèse parle avec la clef d’éclipse de l’inconnu.

 

 

 

La main de frivolité de l’ascèse repose à l’intérieur de la mystification de s’il vous plait de l’instant.

 

 

 

La frivolité d’anesthésie de l’ascèse pénètre la femme de soif de la moelle épinière.

 

 

 

La désinvolture de l’ascèse peaufine l’orgasme du comment ça va.

 

 

 

Le feu d’aphasie de l’ascèse insinue des planètes de respiration à l’intérieur du comment ça va de certitude de l’énigme.

 

 

 

Le drap de poignards de l’ascèse exclame la paralysie du hasard à l’intérieur de la poitrine du blanc.

 

 

 

 

 

L’acrobate de l’ascèse parle comme le cruciverbiste des vertèbres cervicales, le cruciverbiste du vortex de buée lucide des baisers.

 

 

 

L’acrobate de l’ascèse transforme l’ombre d’amnésie du regard en implosion d’utopie des mains.

 

 

 

Les acrobaties de l’ascèse caressent la respiration d’anesthésie des étoiles.

 

 

 

La convulsion d’oisiveté de l’ascèse insinue les paupières de monotonie du printemps.

 

 

 

 

 

L’ascèse appose le corps comme une armée composée de paix innombrables.

 

 

 

L’insouciance de l’ascèse dissèque la musique du désert.

 

 

 

La respiration de l’ascèse envisage la lévitation de terreur des os.

 

 

 

 

 

L’insouciance compose un festin de souffles.

 

 

 

L’insouciance insinue le sourire de soif de la source.

 

 

 

L’insouciance du travail hasarde la parure de virtuosité de l’habitude.

 

 

 

La respiration de l’insouciance suçote le parapluie de s’il vous plait du crâne.

 

 

 

 

 

Le handicap facile de l’ascèse surgit par l’absurdité stellaire du besoin.