Dos

 

 

 

 

 

 

 

Le dos incarne la disparition.

 

 

 

Le dos équilibre l’imminence de monotonie de la disparition.

 

 

 

Le dos affirme l’érection de l’oubli.

 

 

 

Le dos incarne la volonté de disparition de l’oubli.

 

 

 

Le dos incarne l’oubli debout du destin immédiat.

 

 

 

 

 

Le dos dévisage. Le dos dévisage par l’équilibre d’aveuglement de l’instinct.

 

 

 

Le dos déclare le don de l’aveuglement comme métaphore de l’instinct.

 

 

 

Le dos dort en érection qu’il ne rêve pas.

 

 

 

Le dos abstrait le sommeil debout de l’instinct en dehors du rêve.

 

 

 

 

 

Le dos incarne l’os de tabou à blanc de la volonté.

 

 

 

Le dos exclame la certitude par contumace du coma debout.

 

 

 

Le dos sculpte l’extase de clandestinité de l’anesthésie debout.

 

 

 

Le dos projette l’extase de terreur du blanc.

 

 

 

Le dos incarne l’os d’anesthésie de la nécessité comme catastrophe debout de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le dos déclare la dérobade surgie de la certitude.

 

 

 

Le dos incarne l’extase de certitude du don à oui.

 

 

 

 

 

L’indécence du dos cartographie l’innocence indésirable de l’espace.

 

 

 

L’éclair d’obscénité du dos déclare l’exaltation d’anesthésie de la chute.

 

 

 

La certitude d’injustice du dos calligraphie la souveraineté de s’évanouir à tu.

 

 

 

 

 

Le dos sculpte le volcan de voix de l’imminence de la monotonie.

 

 

 

La syncope de transhumance du dos chante l’habitude d’amnésie des étoiles.

 

 

 

Le dos sculpte le tonnerre de clarté virtuose de l’habitude de l’immédiat.

 

 

 

 

 

Chaque vertèbre surgit comme un visage qui hurle et bande d’oubli.

 

 

 

Chaque vertèbre chante le vertige lascif d’une étoile.

 

 

 

Les vertèbres respirent l’enclume de l’herbe comme une toupie.

 

 

 

Les vertèbres respirent l’enclume du vide comme toupie de l’au revoir.

 

 

 

 

 

Les vertèbres surgissent comme les bonbons de révérences de l’incendie, comme les bonbons de la brisure globale du ciel.

 

 

 

Les vertèbres surgissent comme des bonbons de révérences incendiées par le coma burlesque du gel.

 

 

 

Les vertèbres surgissent comme les bonbons de révérences incendiées de l’énigme d’aveuglement de la terreur.

 

 

 

 

 

Les coups de fusil contemplatifs des vertèbres caressent l’incendie de vide de la gravitation.

 

 

 

Le poignard impeccable des vertèbres exclame la souveraineté évanouie de la certitude.

 

 

 

La certitude des vertèbres hurle la plaisanterie tacite d’un crâne à boire.

 

 

 

Le poignard de gel des vertèbres défenestre le coma de la respiration à l’extrémité de l’apocalypse du cou.

 

 

 

La suite des vertèbres calligraphie la révérence de terreur du poignard du sommeil. La suite des vertèbres calligraphie la translucidité obscure du poignard de tonnerre du sommeil.

 

 

 

La suite des vertèbres joue aux dés en dehors du hasard. La suite des vertèbres joue aux dés à l’intérieur de la blessure à blanc du dos.

 

 

 

 

 

Les vertèbres injectent un iceberg de bicyclettes à l’intérieur de l’équilibre de l’inconnu.

 

 

 

La pulsation de paralysie des vertèbres exclame la dérobade de contemplation de l’instinct.

 

 

 

La voix d’ascèse des vertèbres insinue le tonnerre d’utopie cruciale du vent.

 

 

 

La constellation d’aveuglement des vertèbres contemple le hurlement de hasard du ciel.

 

 

 

Le viol de politesse des vertèbres exclame la toupie d’insouciance impeccable de la tragédie.

 

 

 

La voix d’utopie des vertèbres insinue l’éclair d’anesthésie du chant.

 

 

 

 

 

La colonne vertébrale apparaît composée d’un vortex de balles, d’un tourbillon de projectiles. La colonne vertébrale apparaît composée par les projectiles de lenteur de la nécécité de l’instinct.

 

 

 

La colonne vertébrale repose la trajectoire d’âme d’une suite de cous de feu.

 

 

 

La colonne vertébrale incruste la confiture de tonnerre funambule de l’amnésie du regard.

 

 

 

La colonne vertébrale calligraphie l’enclume de l’imminence comme mosaïque du coma.

 

 

 

La colonne vertébrale exclame le télescope d’ascèse du sang.

 

 

 

 

 

L’énigme de l’apparition ne se situe pas derrière l’objet qui vient face à la chair. L’énigme de l’apparition a lieu derrière le regard de la chair elle-même. L’énigme de l’apparition surgit par l’aveuglement debout du dos.

 

 

 

A l’intérieur de la nuit, le dos devient en même temps l’Atlas du monde et de sa disparition.

 

 

 

La coïncidence taboue des cinq sens surgit à l’intérieur du dos.