Ame

 

 

 

 

 

 

 

Il n’existe pas de profondeur de l’âme. Seule la matière apparaît profonde. Malgré tout l’âme possède une forme de gravitation. Chaque posture de l’âme envisage comme apparaît envisagée par un style particulier de pesanteur.

 

 

 

 

 

L’âme épanouit la grâce du handicap.

 

 

 

L’âme déclare le handicap cosmétique de la chute.

 

 

 

L’âme affirme le chant d’habitude de la chute.

 

 

 

L’âme déclare la certitude inexorable du ça tombe.

 

 

 

La lenteur illimitée de l’âme projette la parure tacite du vide de la gravitation.

 

 

 

L’âme imagine la posture d’incendie de la trajectoire immobile de la terre.

 

 

 

L’âme imagine la parure de coma impeccable du feu de l’érosion.

 

 

 

L’âme possède la sensation de la venue de la terre comme trajectoire de paralysie

 

de la chute du ciel.

 

 

 

L’arbre de sang de l’âme calligraphie la syncope d’apocalypse du paradis.

 

 

 

 

 

L’âme apparaît comme la posture d’illimité de la chair.

 

 

 

L’âme affirme l’animalité d’apparaître comme de disparaître. L’âme n’organise pas la chair, l’âme n’identifie pas la chair. L’âme affirme la posture d’apparition de la chair au jour la nuit. L’âme affirme la posture d’apparition de la chair par le sommeil de sang du destin.

 

 

 

L’âme abandonne l’apparition de la chair à l’instant. La chair abandonne la disparition de l’âme au dos de l’instant.

 

 

 

L’âme apparaît par la répétition impeccable de l’instinct.

 

 

 

L’âme clandestine l’animalité d’apparaître jusqu’à l’immortalité de l’aujourd’hui.

 

 

 

L’âme affirme la lenteur illimitée de l’instinct comme anesthésie de sang de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

L’âme touche le silence à sang nu.

 

 

 

L’âme jongle avec la chute alibre du sang.

 

 

 

L’âme déclare la crampe d’anesthésie lascive de la respiration du sang.

 

 

 

La lenteur virtuose de l’âme tombe en possession de la tragédie d’insouciance du sang.

 

 

 

L’hémorragie de neige de l’âme calligraphie la certitude cosmétique du coma.

 

 

 

L’hémorragie de silence de l’âme calligraphie le cyclone d’herbes de l’hébétude.

 

 

 

Le sang de nécessité de l’âme donne lieu à l’extase de désinvolture de la chair.

 

 

 

L’âme déclare la pulsation de paralysie du sang à l’intérieur l’apocalypse d’aujourd’hui du destin.

 

 

 

 

 

La parabole d’imminence de l’âme éjacule le diadème d’anesthésie du décapité.

 

 

 

La pandiculation d’anesthésie de l’âme catapulte le diadème de jubilation du décapité.

 

 

 

Le sang debout de l’âme projette la tête décapitée de la certitude comme animal mythologique de l’au revoir.

 

 

 

 

 

L’âme hurle la débauche du blanc.

 

 

 

L’âme clandestine le coma cosmétique de la certitude.

 

 

 

L’âme déclare l’obscénité à blanc de la certitude.

 

 

 

Le silence de l’âme encule l’enclume de la décapitation.

 

 

 

L’âme déclare l’instinct de clandestiner le sommeil de l’aujourd’hui à l’intérieur de tu.

 

 

 

Le charnier de blancheur de l’âme incruste le coma d’étoiles cosmétiques de la certitude à l’intérieur de la bouche sagittaire du crâne.

 

 

 

Le miracle d’obscénité de l’âme projette le coma de la volonté à l’intérieur du crâne de bonjour de l’inconnu.

 

 

 

 

 

L’âme apparaît comme la tentation d’extase de la bêtise.

 

 

 

La grâce de l’âme apparaît en dehors du témoignage et du jugement.

 

 

 

Le tact inachevé de l’âme détruit l’alibi de liberté de la lumière.

 

 

 

L’âme apparaît comme le miracle de clarté de la rature.

 

 

 

L’hébétude de l’âme projette l’aura de terreur de la joie.

 

 

 

La jubilation de monstruosité de l’âme détruit le pur possible de l’insomnie.

 

 

 

 

 

Lorsque deux hommes partagent une même pensée, ils oublient presque toujours que les trajectoires par lesquelles ils sont parvenus à cette même pensée ne sont pas identiques. L’âme affirme la trajectoire de la pensée. L’âme donne à sentir la matière du tabou.

 

 

 

La distraction interdit l’apparition de l’âme. L’âme apparaît extrêmement vulnérable, n’importe quoi peut l’interdire, malgré tout l’âme surgit de manière indestructible. L’âme affirme la volonté d’exister à l’abandon comme apparition de certitude du destin.

 

 

 

L’âme blesse le langage par le silence de la nécessité. La sagesse transforme cette blessure en sourire.

 

 

 

 

 

L’âme repose comme une bombe à anticipation.

 

 

 

L’âme apparaît comme une bombe qui tombe à l’intérieur du coma.

 

 

 

L’âme apparaît comme une bombe de conversations qui tombe à l’intérieur de l’aura du coma.

 

 

 

 

 

Le mystique déchire son âme avec l’élan de sa démarche.