Jusqu’à

 

 

 

 

 

 

 

Boire l’illisible.

 

 

 

Souverain, s’évanouir.

 

 

 

Déclarer tu à oui.

 

 

 

Blanc debout répond perdu.

 

 

 

 

 

Suivre le silence à mains nues.

 

 

 

Sculpter le vent enseveli du silence.

 

 

 

Contempler le silence avec la bouche debout du crâne.

 

 

 

Suivre la trajectoire du vent avec les lèvres du crâne.

 

 

 

Suivre l’avalanche du silence avec le crâne de la main.

 

 

 

 

 

Sculpter la paralysie projectile de l’oubli.

 

 

 

Oublier en dehors du labyrinthe. Improviser des habitudes d’oubli en dehors du labyrinthe.

 

 

 

Apprendre l’oubli par sang en dehors du cœur.

 

 

 

Tomber en possession de l’oubli à l’intérieur de la cloche de brouillard des arbres.

 

 

 

Métamorphoser l’oubli en souterrain stellaire du vide tabou.

 

 

 

Dire l’oubli à tu jusqu’à sauvegarder le vide du tabou à l’intérieur de la main du crâne.

 

 

 

Par le sourire de la mémoire immiscer des yeux au lieu des oreilles. Par le fou rire de l’amnésie projeter des épaules au lieu des mains.

 

 

 

 

 

Mourir au dos de l’oubli.

 

 

 

Taire le silence à l’instant l’instant.

 

 

 

Taire le silence au dos du destin.

 

 

 

Réécrire l’inconnu de l’immédiat.

 

 

 

 

 

Dormir à l’intérieur du sang.

 

 

 

Dormir décapité à coups de cils.

 

 

 

Dormir dévoré par l’imminence.

 

 

 

Dormir maquillé par la dévoration du silence.

 

 

 

Dormir à l’intérieur du tohu-bohu de révérences du sang.

 

 

 

Dormir à l’intérieur du sang afin que la connivence du crâne et de la main compose le chaos d’équilibre de l’au revoir.

 

 

 

Dormir à l’intérieur du sang afin que la prestidigitation du crâne compose le dos d’amnésie de l’immédiat.

 

 

 

Dormir un bouquet de décapitations à l’extrémité de la langue.

 

 

 

Dormir à l’intérieur de la bouche de vertèbres d’un magma d’étoiles tacites.

 

 

 

Dormir à l’intérieur des exclamations de lascivité du ciel.

 

 

 

Dormir lové au sein de l’avalanche de souffle de l’évidence.

 

 

 

Dormir par l’orgueil de translucidité du tabou.

 

 

 

Dormir par l’indécence d’oublier les miracles.

 

 

 

Dormir déshabillé par l’aura de bêtise des nuages.

 

 

 

Dormir à l’intérieur de la danse d’une maison.

 

 

 

Dormir par le hasard tabou de l’habitude afin de transformer le crâne en bonbon de séisme de l’anesthésie.

 

 

 

Dormir la déclaration du destin à l’intérieur de à oui.

 

 

 

Dormir le destin à oui jusqu’à dénuder la chair à l’intérieur du sang.

 

 

 

Dormir jusqu’à raturer le ciel par le crâne de sang du silence à oui.

 

 

 

Dormir à l’extrémité du crâne de l’arbre de la chute afin d’abandonner le paradis à la grâce du destin.

 

 

 

 

 

Imaginer par la déhiscence de la monotonie comme dormir au sein de l’imminence du dehors. Imaginer par l’imminence de la monotonie comme dormir au sein de la déhiscence du dehors.

 

 

 

Déclarer le magma d’extase du sommeil comme anticipation de lenteur de l’immobile.

 

 

 

Projeter le sommeil comme le gag de grâce de la démesure à mains nues.

 

 

 

Abandonner le jeu du sommeil à destination du feu jusqu’à affirmer la féerie de terreur d’exister en dehors de la conscience et de l’inconscient.

 

 

 

Déclarer la suite des sommeils comme une œuvre d’art. Entasser les postures de respiration clandestine du sommeil jusqu’à composer une sculpture de syncope lascive à la nuit la nuit. Entasser la suite des sommeils jusqu’à projeter la parabole d’apocalypse de l’aujourd’hui.

 

 

 

Calligraphier le séisme de frivolité du sommeil comme déluge de peaux du sang.

 

 

 

Calligraphier la pluie de silence impeccable du sommeil comme fou rire de sang

 

du destin.

 

 

 

 

 

Respirer la répétition irresponsable du silence.

 

 

 

Respirer comme scier le vide.

 

 

 

Respirer comme pénétrer une scie.

 

 

 

Respirer comme pénétrer la plaisanterie d’illusion mystique d’une scie.

 

 

 

Respirer comme pénétrer la scie du silence.

 

 

 

Respirer le miracle d’amnésie de l’âme comme pénétrer la moelle épinière de la répétition.

 

 

 

Respirer le coma de désinvolture debout de la tragédie comme pénétrer le dos de translucidité illisible d’une scie.

 

 

 

Respirer les préférences minérales de l’au revoir.

 

 

 

Respirer comme abstraire l’arbre minéral des blessures souveraines.

 

 

 

Palper la respiration à l’intérieur du puits projectile du blanc. Palper la transhumance tacite de la respiration à l’intérieur du poignard de blessures du blanc.

 

 

 

Respirer par le handicap du blanc jusqu’à peaufiner le calme injuste du tabou.

 

 

 

Contempler la peau de la respiration comme marge d’imminence du ciel.

 

 

 

Contempler la respiration à coups de marteaux. Contempler la respiration du ciel à coups de poussière de marteaux.

 

 

 

Respirer la répétition de l’immédiat avec les tympans de l’utopie.

 

 

 

Respirer avec le cercueil d’utopie des tympans.

 

 

 

Provoquer l’utopie de la respiration par l’odeur de la clarté.

 

 

 

Respirer la poussière du sang comme dévorer le lointain de l’inouï par les acrobaties de tact de la clarté.

 

 

 

Respirer ça tu à suivre sauf.

 

 

 

Respirer le rituel de frivolité du désespoir à l’intérieur de la soif taciturne du feu.

 

 

 

Respirer l’enthousiasme du désespoir avec la foudre à califourchon d’un brin d’herbe.

 

 

 

Respirer le fou rire de silence de la nudité jusqu’à devenir le cosmonaute du cyclone d’un verre d’eau.

 

 

 

Projeter la crampe de la respiration à l’intérieur de la bouche debout du dehors jusqu’à ce que l’enthousiasme contorsionniste de l’incendie survienne comme la nourriture d’inouï de l’arbre de la chute.

 

 

 

Nourrir les phrases de la respiration avec les fruits volés au hasard. Envoyer ainsi des lettres d’amour aux miracles de vide de l’aveuglement.

 

 

 

 

 

Manger les fruits du hasard au dos du destin.

 

 

 

Manger la main du regard jusqu’à transformer la certitude de la bouche en bonbon de tragédie translucide de l’amnésie.

 

 

 

Manger comme marcher afin que la démarche devienne la vivacité de la demeure.

 

 

 

Marcher comme dormir la violence à l’intérieur de la paume d’épouvante aisée de l’espace.

 

 

 

Manger l’anesthésie du ciel jusqu’à évanouir le hasard de l’inconnu.

 

 

 

Manger le bonjour d’extase de ses vertèbres jusqu’à devenir le visage de gag du comment ça va.

 

 

 

Manger demain jusqu’à paralyser l’immobile à l’intérieur de la roue d’arbres de la répétition de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Moudre le charme du ciel à vertèbres bues.

 

 

 

Détruire l’horizon par le geste d’y adosser le regard.

 

 

 

Détruire l’horizon par la précision d’aveuglement d’une plaisanterie.

 

 

 

Détruire l’horizon par le s’il vous plait de paralysie tacite de l’érosion.

 

 

 

 

 

Exister par l’en deçà in extremis du hasard.

 

 

 

Exister comme l’architecte de la ruine, le funambule virtuose de la disparition.

 

 

 

Ensevelir le silence du vent à l’intérieur des braises impeccables des vertèbres.

 

 

 

Adresser le bouquet de vertèbres de l’au revoir comme un missile d’illusions intactes.

 

 

 

Exclamer les vertèbres comme les coups de fusil de la contemplation.

 

 

 

Exclamer les vertèbres par les révérences d’inouï de l’ascèse.

 

 

 

Transformer le dos en geyser de certitude de la frivolité.

 

 

 

Boire l’abîme par les épaules d’euphorie de la terreur.

 

 

 

 

 

Ravir le tonnerre avec la main d’hémorragie illisible de l’illusion.

 

 

 

Ravir le tonnerre jusqu’à le lover à l’intérieur de la toupie impeccable du coma.

 

 

 

Contempler l’instinct cosmétique du silence par la fenêtre d’extase du visage.

 

 

 

Sculpter le visage évanoui du tonnerre à l’intérieur de la fenêtre d’illusion du sang.

 

 

 

Respirer par dissociation d’idées le handicap épanoui de la coïncidence de la terre et du ciel.

 

 

 

Dénuder le coma de connivence de la terre et du ciel au jour la nuit l’instant.

 

 

 

 

 

Sculpter le ciel par l’imminence minérale du sommeil.

 

 

 

Contempler par contumace l’euphorie de douleur frivole du ciel.

 

 

 

Regarder la marge de douleur joyeuse du ciel avec la main de la bouche.

 

 

 

Contempler le sourire du ciel avec l’odeur de futur antérieur de ses mains.

 

 

 

 

 

Cercueillir le hasard de la sidération à bras ouverts.

 

 

 

Transhumer le vide du hasard comme psalmodier le déséquilibre de l’oubli.

 

 

 

Séduire le vide du hasard par la mystification de blancheur de l’aujourd’hui.

 

 

 

Donner l’incrédulité de sa confiance au hasard afin que le sommeil de la candeur compose la paralysie de vide de la fatalité.

 

 

 

 

 

Parler avec précision aux pierres jusqu’à ce qu’elles pulsent comme de l’herbe.

 

 

 

Parler à l’autre comme à un volcan de voix.

 

 

 

Parler à l’architecture de l’autre comme à l’avalanche de voix de l’au revoir.

 

 

 

Parler comme une toupie à l’intérieur de la cible du hasard.

 

 

 

Parler comme adresser un feu de cendres au hasard du tabou.

 

 

 

Parler avec les coups de fusil contemplatifs du sourire taciturne des étoiles.

 

 

 

Parler seulement afin de révéler une colère ou afin d’inventer un amour.

 

 

 

Parler comme éternuer la crucifixion de verre de son visage au dos de l’amnésie de son amour.

 

 

 

 

 

Contempler la parole avec les mains.

 

 

 

Nourrir les sentiments avec des gags de miracle.

 

 

 

Jeter une chose jusqu’à c’est-à-dire hors-tout.

 

 

 

Caresser l’amnésie de terreur de la certitude jusqu’à dormir le déluge de l’immédiat.

 

 

 

Taire l’immédiat de demain jusqu’à abandonner oui au scandale d’innocence du sommeil.

 

 

 

Savourer la mystification du monde comme une cathédrale de gel évanoui.

 

 

 

Imaginer le miracle du monde par le geste de l’abandonner à oui.

 

 

 

Destiner l’illusion de l’instinct à tu afin de goûter le miracle d’apparaître mortel à la surface de l’immortalité.

 

 

 

Posséder le sang de l’anesthésie par la parure de gravitation de la suite des phrases.

 

 

 

Apparaître destiné à l’apocalypse de l’aujourd’hui par la grâce de souveraineté de la répétition.

 

 

 

Projeter le tas de phrases de la certitude à l’intérieur du coma debout de l’extase.

 

 

 

Projeter le coma debout de l’extase à l’intérieur du déluge de couleur du sang de l’aujourd’hui.

 

 

 

Projeter la bouche d’aveuglement de ses mains jusqu’à inventer le crâne de sang du ça tombe sauf.

 

 

 

Raturer le langage par le tas d’extases de l’aujourd’hui jusqu’à déclarer l’instinct de destin du ça tombe à oui.

 

 

 

Affirmer la bestialité d’apparaître debout comme l’élégance d’apparaître allongé.

 

Affirmer la posture de la certitude comme besoin de parure du destin.

 

 

 

Paralyser l’immobilité de l’inconnu jusqu’à inventer la sculpture d’extase du destin. Paralyser l’immobilité de l’inconnu jusqu’à déclarer la pulsion de respiration minérale du destin.

 

 

 

Calligraphier la coïncidence de la respiration du sang et de la couleur du destin à l’intérieur du tas d’extase de l’aujourd’hui. Calligraphier la posture de connivence de la poussière du sang et de la couleur du destin à l’intérieur de la parabole par suite de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Donner uniquement rendez-vous au verso du temps.

 

 

 

Donner uniquement rendez-vous à la rature du vent.

 

 

 

Donner uniquement rendez-vous à l’habitude de clarté illisible de l’oubli.

 

 

 

Esquiver des fontaines d’échafauds avec le maquillage d’alcool des rendez-vous de l’au revoir.

 

 

 

Donner uniquement rendez-vous à la sagesse d’amnésie du visage de l’autre.

 

 

 

Donner seulement rendez-vous à la gueule stellaire de la voix de l’autre comme cible de l’à bientôt.

 

 

 

Donner rendez-vous à l’instant de chanter son odeur.

 

 

 

Savourer l’avalanche d’inouï du chant.

 

 

 

Inhumer le cimetière d’un sourire au dos d’une odeur.

 

 

 

Déchirer le vide à l’intérieur de la voix jusqu’à ce que la bouche devienne la main d’au revoir du chant.

 

 

 

Chanter jusqu’à devenir la bouche transhumante d’une odeur de monde.

 

 

 

 

 

Parler avec les oreilles.

 

 

 

Ecouter avec la bouche.

 

 

 

Danser avec le regard.

 

 

 

Respirer avec le sexe.

 

 

 

Ejaculer avec le crâne.

 

 

 

Contempler avec le cul.

 

 

 

Ecouter le silence avec la bouche.

 

 

 

Respirer la parole avec le sexe.

 

 

 

Ejaculer le sexe avec le crâne.

 

 

 

Contempler le miracle avec le cul.

 

 

 

 

 

Apparaître en équilibre sur le sexe à l’instant de l’à bientôt.

 

 

 

Utiliser le sexe comme un fusil somnambule.

 

 

 

Utiliser la fable du sexe comme le fusil somnambule de l’ascèse.

 

 

 

Ejaculer comme jouer au yo-yo avec l’enclume de lait de l’illusion.

 

 

 

Jouer au yo-yo avec la décapitation de sang paradisiaque de l’anesthésie.

 

 

 

Improviser le sommeil jusqu’au sperme de pierre de l’inconnu.

 

 

 

Improviser le sommeil de demain par la respiration d’anesthésie du crâne jusqu’à tu.

 

 

 

 

 

Nager le tabou.

 

 

 

Nager l’instinct d’anesthésie de l’aujourd’hui à tu.

 

 

 

Bander le repos à l’intérieur de la passion du vide.

 

 

 

Aimer le lointain comme l’invention de vide de la solitude.

 

 

 

Aimer comme la chute d’une pierre à l’intérieur de l’eau noire d’un puits.

 

 

 

 

 

Ecrire avec le couteau alibre de la blessure debout du coma.

 

 

 

Ecrire avec le couteau alibre par contumace de la blessure debout du coma comme jubilation inexorable de l’instinct.

 

 

 

Cueillir le tourbillon de verre de l’incroyable par le hasard de hurlement.

 

 

 

Projeter les prénoms du hasard inconnu à tombeau ouvert.

 

 

 

Marcher le charme d’incroyable de la paralysie avec la montagne de braises de la bouche.

 

 

 

Projeter la paume du regard par la prolifération de coïncidences cyclopéennes de l’ascèse.

 

 

 

Improviser la paralysie avec l’ascèse de l’obscur.

 

 

 

Pendre un précipice par la langue avec l’excitation d’ascèse du cœur.

 

 

 

Voyager par la prestidigitation de paralysie de son odeur.

 

 

 

Plaisanter avec le crâne du lointain afin de transformer la racine de l’errance en vertèbre de la clarté.

 

 

 

Extraire les paupières de la tranquillité afin de les transformer en petites culottes de l’au revoir.

 

 

 

Border le sommeil de son lit comme composer le pain de la solitude à l’intérieur d’un brouillard de cloches.

 

 

 

Composer une cathédrale de hurlements avec le tohu-bohu de silence des arbres.

 

 

 

Calligraphier une demeure par la dévoration au futur antérieur des tympans afin de la transformer ainsi en trampoline de la féerie.

 

 

 

 

 

Lessiver un cou avec la musique du sang.

 

 

 

Se laver les mains avec la certitude innommable du cyclone.

 

 

 

Clandestiner la syncope du visage à l’intérieur de la neige du sang.

 

 

 

Savonner le visage de l’amour avec le vide du tabou.

 

 

 

 

 

Goûter l’élan de la guillotine.

 

 

 

Exciter les étoiles avec la guillotine d’au revoir de ses doigts.

 

 

 

A l’intérieur du sang, goûter une guillotine décapitée par un visage. A l’intérieur du sang, goûter la gaieté d’une guillotine décapitée par le coma d’un visage.

 

 

 

Parer la chair avec le handicap de l’inconnu. Parer la chair avec le fou rire de handicap de l’inconnu.

 

 

 

Parer la chair avec la poussière de vol du handicap comme sommeil de sang de l’inconnu.

 

 

 

Immiscer la déchirure de l’insouciance comme mystification de l’au revoir.

 

 

 

Incruster le totem de nonchalance noire du hasard inconnu.

 

 

 

 

 

Toucher la suite de la solitude à l’intérieur de la catastrophe de frivolité du silence.

 

 

 

Toucher les postures du feu de la conversation par le coma d’utopie du silence.

 

 

 

Immiscer le hasard de terreur de la main par la catastrophe de subtilité de l’érosion.

 

 

 

Utiliser une main d’utopie immédiate afin d’offrir l’apocalypse de papier de l’ascèse.

 

 

 

Transformer chaque chose que l’ombre touche en une lettre envoyée à la main d’amnésie du vide.

 

 

 

Toucher l’odeur du temps comme la parabole de jonglerie de l’espace.

 

 

 

Projeter la main à l’intérieur de la disparition du vide afin d’ouvrir l’approche de la clef.

 

 

 

 

 

Devenir la cible des dérobades.

 

 

 

Rêver afin de devenir le chirurgien des révérences.

 

 

 

Devenir la cible d’au revoir de la translucidité du vent.

 

 

 

Cartographier l’ouragan de linceuls de l’hébétude.

 

 

 

Projeter l’orgie de la nécessité à l’intérieur de la cible de l’anesthésie.

 

 

 

Détruire à la fois l’incarcération et la liberté par la scandeur d’anesthésie illisible du brouillard.

 

 

 

Inhumer le fou rire de l’anesthésie à l’intérieur de l’indécence de l’âme.

 

 

 

 

 

Tourner autour du temps comme un brouhaha d’odeurs à bras ouverts.

 

 

 

Intimer des rendez-vous à tombeau ouvert à la toupie du crâne.

 

 

 

Brûler le brouhaha du cœur à l’intérieur des rendez-vous à tombeau ouvert du hasard.

 

 

 

Cueillir l’arbre du sang afin d’embrasser le brouhaha d’anesthésie du ciel.

 

 

 

 

 

Pétrir la statue d’obscurité de la respiration.

 

 

 

Sculpter la respiration des os en désespoir de pose.

 

 

 

Palper l’érosion des pierres avec la politesse absurde de la parole.

 

 

 

Parer la silhouette de la parole avec la certitude des os afin d’immiscer la mosaïque de la respiration à l’intérieur de la paralysie de l’utopie.

 

 

 

Projeter les gestes d’aisance de l’ascèse avec la respiration des os afin d’inventer le paradoxe d’élégance d’une joie sans pardon.

 

 

 

 

 

Saluer le feu de l’amnésie à souffle lu.

 

 

 

Cartographier l’offrande cosmétique du secret.

 

 

 

Apprendre les gestes du verre avec les gencives d’insinuation du sourire.

 

 

 

Cartographier la féerie iliaque du futur avec les tempes de la parole.

 

 

 

Savourer la musculature de l’alcool à la surface d’un cheval de verre.

 

 

 

Danser à l’intérieur de la soif de hasard inconnu du feu.

 

 

 

 

 

Dessiner des coups de lointain sur les formules de politesse de son front.

 

 

 

Métamorphoser la pourriture du vide en fenêtre rituelle du hasard inconnu.

 

 

 

Fasciner une fenêtre avec le feu de coquetterie souterraine des sourcils afin de provoquer ainsi l’ascèse de féerie d’un regard.

 

 

 

Caresser le feu tacite d’une fenêtre avec le maquillage d’implosion de son crâne afin de provoquer ainsi la crampe d’utopie d’un sourire.

 

 

 

Faire l’amour avec une fenêtre afin de la métamorphoser en roue de crucifixion de la paralysie.

 

 

 

 

 

Adresser la parole avec des éventails d’échafauds.

 

 

 

Utiliser le vitrail de ses os comme stéthoscope des saisons.

 

 

 

Improviser la parole des saisons avec le jardin de son regard.

 

 

 

 

 

Coudre l’horizon avec ses narines.

 

 

 

Effectuer l’équarrissage de la sagesse avec l’oscillation de mâchoires de ses paupières.

 

 

 

Maquiller le rire de vide des os avec la crampe de soif de l’érosion.

 

 

 

Maquiller l’équilibre de pain de la respiration avec les problèmes d’imminence mathématique de la monotonie.

 

 

 

 

 

Parler les impacts de l’ombre avec le piano de ses paupières.

 

 

 

Ecouter l’approximation de l’ombre avec le tonnerre de ses mains.

 

 

 

Transformer l’outil de sa colère en miracle de son ombre.

 

 

 

Transhumer le tact d’à bientôt de l’ombre à l’intérieur du crâne de révérences de la solitude.

 

 

 

Construire une bibliothèque au cœur du hasard de son ombre à blanc.

 

 

 

 

 

Contempler l’existence comme un paysage de neige.

 

 

 

Composer son visage par la trajectoire de ses pas.

 

 

 

Contempler l’herbe du pré afin d’imaginer la globalité des événements qui ont lieu à l’instant dans le monde.

 

 

 

Graver à la surface de l’eau la jubilation d’ascèse de son regard. Graver à la surface de l’eau le sein écartelé de soif de la sagesse.

 

 

 

Contempler les nuages jusqu’à transformer le sentiment par contumace de son squelette en mosaïque d’os à la lettre d’une crucifixion de facilité.

 

 

 

 

 

Fermer les yeux à l’intérieur de la bouche et fermer la bouche à l’intérieur du sang afin que la main déclare la blancheur bestiale de la nécessité.

 

 

 

Fermer les yeux à l’intérieur de la bouche et fermer la bouche à l’intérieur du sang afin que la main du crâne ouvre le dos de l’obscur à la neige d’inouï de l’immédiat.

 

 

 

Fermer les yeux à l’intérieur de la bouche et fermer la bouche à l’intérieur du crâne afin que la main ouvre la neige d’obscénité de l’obscur.

 

 

 

Fermer les yeux à l’intérieur de la bouche et fermer la bouche à l’intérieur du crâne afin que le dos ouvre le vide à l’obscur comme la main ouvre le silence à la neige du sang.

 

 

 

 

 

Allier l’ascèse du tigre à l’exubérance de l’escargot.

 

 

 

Allier la tragédie du brin d’herbe à la désinvolture de la baleine.

 

 

 

Sculpter le sexe du Bouddha à la surface d’une toupie.

 

 

 

Offrir l’oubli comme un bonbon à un enfant.

 

 

 

Offrir un enfant comme un bonbon à l’oubli.

 

 

 

 

 

Avoir un sourire à guillotiner les nuages.

 

 

 

Sculpter la parole par le scandale tacite du sourire.

 

 

 

Ouvrir une fenêtre de respiration à l’intérieur du volcan des voix.

 

 

 

Au réveil, voler le hasard. Au coucher, mendier l’énigme.

 

 

 

Avoir un nid d’hirondelles à l’intérieur du coude.

 

 

 

Hurler des outils. Hurler des outils par miracle contumace.

 

 

 

Abstraire des outils d’illusion afin d’hurler le vide du hasard.

 

 

 

Utiliser l’âme monotone du lait comme seul explosif.

 

 

 

Jouer le jour et la nuit aux dés.

 

 

 

Apparaître déshabillé par le sourire de souffle d’une femme.

 

 

 

Inhaler des conversations fluides comme des fenêtres de menthe.

 

 

 

Chanter une robe à coups de hache.

 

 

 

Ouvrir une clef avec un fou rire.