Hasard

 

 

 

 

 

 

 

Le tact du hasard tue à blanc.

 

 

 

Le hasard tue la décision avec le vide du temps.

 

 

 

Le tact du hasard affirme le dos d’une odeur.

 

 

 

Le tact du hasard attise le sourire du vide.

 

 

 

Le sourire intact du hasard insinue la guillotine galante du lointain.

 

 

 

Le rire du hasard repose à l’intérieur du dos taciturne de la certitude.

 

 

 

 

 

Le hasard acquiesce au zéro de l’inconnu.

 

 

 

Le vide du hasard insinue la mystification de la fatalité.

 

 

 

L’amnésie du hasard affirme le zéro de désinvolture du destin.

 

 

 

Le vide du hasard défenestre le tact de métamorphose du feu.

 

 

 

 

 

La nécessité n’apparaît pas comme un hasard parmi d’autres. La nécessité déclare l’apparition du hasard en dehors du sens et du non-sens. La nécessité déclare l’apparition du hasard comme immobilité absolue.

 

 

 

L’offrande du hasard affirme le minerai d’imminence de la nécessité.

 

 

 

Les fruits de terreur désinvolte du hasard détruisent la distraction de liberté du désir.

 

 

 

La pauvreté stellaire du hasard apprend le luxe de vieillesse du vide.

 

 

 

La tragédie du hasard survient à l’intérieur de l’amnésie par contumace du vide.

 

 

 

L’habitude du hasard berce la plaisanterie de nudité des étoiles.

 

 

 

L’habitude du hasard affirme la coïncidence de solitude de l’inconnu.

 

 

 

 

 

Le hasard n’envoie pas les lettres qu’il écrit. Le hasard envoie seulement leur déchirure.

 

 

 

Le hasard envoie des lettres par la virtuosité du souffle à l’extrémité des os.

 

 

 

Le hasard ne sait pas quoi dire de la résurrection de suicide de Dieu. L’ homme ne sait pas quoi dire du tact de crucifixion du hasard.

 

 

 

 

 

L’affectation du hasard révèle un labyrinthe d’œufs.

 

 

 

L’affectation du hasard révèle la source de soif de l’absurdité.

 

 

 

L’affectation du hasard méprise le vrai et le faux par le geste d’insinuer la nécessité de l’illusion.

 

 

 

 

 

Les ailes souterraines du hasard dessinent l’hallucination de cerveau du cœur.

 

 

 

L’incrédulité du hasard révèle l’humour du cœur en dehors de la mémoire.

 

 

 

Le cri de somnolence du hasard révèle l’anarchie de charme de l’ainsi.

 

 

 

L’alcool du hasard tourbillonne l’habitude de l’à bientôt.

 

 

 

 

 

Les dés reculent cruellement.

 

 

 

Les dés séduisent les œufs de décapitation de l’afîni.

 

 

 

Entre chaque dé jeté, le sommeil cosmétique du crâne rythme la passion d’utopie du sang.

 

 

 

 

 

La coïncidence donne à sentir l’errance cosmétique de la certitude.

 

 

 

La coïncidence adonne le cercueil de sourire du ciel.

 

 

 

Le cercueil de la contingence acquiesce à la lettre cinématographique des os.

 

 

 

 

 

La chance reste sans pardon.

 

 

 

La chance révèle la boucherie du bonheur.

 

 

 

La chance révèle la chasteté de l’absurde.

 

 

 

 

 

Le miracle parle à ciel perdu.

 

 

 

Le hasard exhume le ciel à coups de miracles perdus.

 

 

 

L’imminence du miracle insinue l’humour de monotonie du hasard.

 

 

 

Le miracle transforme le hasard en fable éblouie du vide.

 

 

 

Le miracle affirme la cible de hasard de l’ascèse.

 

 

 

Le miracle survient comme la nécessité du hasard inconnu.

 

 

 

 

 

Le vide du miracle immisce la toupie de sommeil du temps.

 

 

 

Le charme de terreur du miracle affirme le minerai de nécessité du coma.

 

 

 

L’habitude du miracle déclare l’instinct à crâne ouvert du bonjour avec l’au revoir.

 

 

 

 

 

Le hasard du miracle cisaille ce qu’il indique parmi la démence de l’intact.

 

 

 

La musculature d’alcool du miracle détruit le désir d’imitation de la liberté.