Etoiles

 

 

 

 

 

 

 

Les étoiles courtisent le ciel.

 

 

 

Les étoiles jonglent l’équilibre taciturne du ciel.

 

 

 

La respiration des étoiles peaufine l’érosion taciturne du ciel.

 

 

 

Les étoiles exclament les plaisanteries de tact du hasard inconnu.

 

 

 

 

 

Les étoiles révèlent le tact de salive du ciel.

 

 

 

La pendaison contemplative des étoiles hurle le lustre de salive du ciel.

 

 

 

Les étoiles clavecinent le lustre de salive paradoxale de l’anesthésie du ciel.

 

 

 

Les lapsus de tact des étoiles tissent les sourires de décapitation du ciel.

 

 

 

Les étoiles composent la pandiculation de salive tacite du hasard inconnu.

 

 

 

 

 

La main de l’étoile contemple la respiration taciturne de la paralysie.

 

 

 

Les étoiles tombent en possession du ciel par la respiration de vertèbres de l’anesthésie.

 

 

 

Les étoiles incrustent l’érosion érotique du ciel à l’intérieur de la voix de vertèbres de l’au revoir.

 

 

 

 

 

La clarté taciturne des étoiles cartographie l’épouvante frivole de l’hiver.

 

 

 

La clarté taciturne des étoiles calligraphie la paralysie désinvolte de la respiration.

 

 

 

La clarté taciturne des étoiles calligraphie le coma d’utopie cosmétique du ciel.

 

 

 

La clarté taciturne des étoiles excite la pandiculation de clandestinité de l’espace.

 

 

 

La clarté taciturne des étoiles peaufine le diadème impeccable du décapité.

 

 

 

 

 

Les étoiles éternuent le tact du ciel.

 

 

 

Les étoiles éternuent des sourires de surdité.

 

 

 

L’éternuement tente de déposer la trajectoire du ciel à l’intérieur d’un cercueil d’étoiles.