Vent

 

 

 

 

 

 

 

Le vent disparaît sans s’effacer.

 

 

 

Le vent chante la force du superflu.

 

 

 

L’équilibre de brutalité du vent dissocie le désir et le vouloir en venir.

 

 

 

La naïveté du vent insinue la violence de disparaître au dos du temps.

 

 

 

 

 

Le vent favorise la force de s’évanouir.

 

 

 

Le vent déclare la translucidité souveraine de ravir la chute.

 

 

 

La démesure du vent esquive le vide de l’absolu.

 

 

 

La démesure du vent séduit la nudité du vide.

 

 

 

La parabole de joie du vent apparaît par l’anticipation de coma du vide.

 

 

 

La révulsion stellaire du vent mange la démence de vide du hasard.

 

 

 

La séduction de monotonie du vent affirme la catastrophe de vide de la volonté.

 

 

 

 

 

Le vent envisage le dehors de l’oubli.

 

 

 

Le vent imagine la violence de l’abandon.

 

 

 

La violence subtile du vent a l’audace de dormir au futur.

 

 

 

Le vent carillonne la pandiculation d’impureté du blanc.

 

 

 

 

 

Le vent survient comme le somnambule de la main de sa bouche.

 

 

 

Le vent projette la voix de l’espace par l’équarrissage du silence.

 

 

 

Le silence du vent insinue le rendez-vous de catatonie des voix.

 

 

 

 

 

La jubilation illisible du vent défenestre les révérences lascives du lointain.

 

 

 

L’imminence du vent hume l’odeur de pandiculation du temps avec la métamorphose par contumace de ses mains.

 

 

 

Les vertèbres d’au revoir du vent calligraphient l’ample impact de monotonie du tonnerre.

 

 

 

Les vertèbres d’abstraction du vent sculptent l’instinct d’anesthésie de la certitude comme improvisation d’habitude de l’inconnu.

 

 

 

Les révérences de bestialité du vent dévorent l’arbre de vertèbres de l’espace.

 

 

 

La paume de tonnerre du vent calligraphie la crampe de décapitation de l’au revoir.