Joie

 

 

 

 

 

 

 

La joie déclare l’orgie de l’innocence.

 

 

 

L’exactitude de la joie affirme l’orgie d’irresponsabilité du sang.

 

 

 

La joie exclame la jonglerie sans pardon de l’innocence du sang.

 

 

 

La joie enracine le nuage du calme.

 

 

 

Le nuage de sang de la joie enracine la couleur à l’intérieur du destin.

 

 

 

 

 

La joie jongle avec l’extase du ça tombe.

 

 

 

La joie jongle avec la certitude de terreur facile de la gravitation.

 

 

 

La joie tombe en possession de la plaisanterie de hasard du destin.

 

 

 

La joie affirme la pandiculation de bestialité du ça tombe à oui.

 

 

 

 

 

La joie respire le gisement d’équilibre de la nécessité.

 

 

 

Le déluge de la joie jongle avec les bonjours ensevelis du besoin.

 

 

 

Le déluge de la joie sculpte l’imminence de gésir debout avec ça en dehors de tout.

 

 

 

Le déluge de terreur de la joie projette la scandeur de certitude du sang allongé jusqu’à debout.

 

 

 

La bestialité impeccable de la joie projette la crampe de respiration de l’âme.

 

 

 

 

 

La joie méprise la pensée à vertèbres nues.

 

 

 

La joie méprise la peur par le tomber lieu de la métamorphose.

 

 

 

La catastrophe de la joie affirme la finitude illimitée des apparences.

 

 

 

L’extase de terreur de la joie détruit la lumière d’éternité de l’être par la pulsion d’immobilité de la répétition.

 

 

 

 

 

La sagesse de terreur de la joie affirme la volonté d’apparaître comme une pierre qui tombe à l’intérieur de l’eau noire d’un puits.

 

 

 

L’injustice de la joie affirme la candeur du noir comme l’impureté du blanc.

 

 

 

La joie projette la marge noire du ciel sur le papier de décapitation du sang.

 

 

 

 

 

La douleur frivole de l’euphorie suçote le visage de hasard de la voix.

 

 

 

L’extase de la joie projette la chair comme funambule de l’érosion du feu.

 

 

 

La pandiculation de la joie mange l’immobilité des étoiles à la petite cuillère.

 

 

 

La joie mange le miracle de la terreur afin de le métamorphoser en vide burlesque de la douleur.

 

 

 

 

 

La jubilation calligraphie l’habitude de translucidité de l’extase.

 

 

 

La jubilation donne à sentir l’hémorragie de gel de l’aujourd’hui.

 

 

 

Le tonnerre de certitude de la jubilation détruit l’éternité de la lumière par l’hémorragie de gel de l’aujourd’hui.

 

 

 

La parabole de bêtise de la jubilation mange le savoir de tranquillité du désespoir.

 

 

 

La parabole de bêtise de la jubilation incarne l’extase d’aveuglement de l’imagination.

 

 

 

L’innocence d’injustice de la jubilation calligraphie la tragédie de bestialité de l’âme.