Volonté

 

 

 

 

 

 

 

La volonté déclare la chair comme chose du destin immédiat.

 

 

 

La volonté affirme la certitude de la chair à la surface du destin.

 

 

 

La volonté pare l’aveuglement de la chair avec l’aisance de catastrophe du sang.

 

 

 

Le sommeil de la volonté déclare la cible d’hémorragie du crâne.

 

 

 

Le gag de sommeil de la volonté projette le strip-tease de translucidité du sang.

 

 

 

 

 

La volonté chante la chute d’anesthésie des odeurs.

 

 

 

La joie de la volonté séduit la venue du jour par le toboggan de gag tabou de l’oubli.

 

 

 

La volonté viole par la grâce de l’oubli. La volonté viole ce qui n’a pas de sexe et-ou ce qui a les deux sexes à la fois. La volonté possède un seul sexe à zéro fois. La volonté possède la répétition du sexe comme solitude du vide.

 

 

 

Le tact de terreur de la volonté anticipe le passé à blanc comme paralyse le vide du futur à l’intérieur de la posture de fou rire du sommeil.

 

 

 

 

 

La volonté oublie la vitesse.

 

 

 

La volonté ne révèle pas la vérité d’un jugement. La volonté ne révèle pas la neutralité de la justice. La volonté affirme l’invention de certitude de l’injustice. La volonté affirme l’injustice innocente de la valeur.

 

 

 

 

 

La passion bégaie le hapax du silence.

 

 

 

La passion repose l’ellipse d’habitude de l’ainsi.

 

 

 

La passion équilibre le chaos en deçà de l’ordre et du désordre.

 

 

 

 

 

La passion de l’instant s’insinue comme un précipice papillon.

 

 

 

La passion de l’instant s’insinue comme un abîme maquillé par une aile comme une aile éludée par un abîme.

 

 

 

La passion de disparaître maquille la respiration du sang avec la guillotine du regard.

 

 

 

 

 

Le désespoir dévore le repos du vide à la lettre.

 

 

 

Le désespoir survole le tact de dévoration de l’instinct.

 

 

 

Le hasard d’utopie immédiate du désespoir détruit le souci diabolique de l’ubiquité.

 

 

 

L’équilibre du désespoir cartographie l’explosion du prénom au dos du visage.

 

 

 

 

 

La passion du désespoir compose l’habitude de l’utopie.

 

 

 

Seule la passion du désespoir sait comment palindromiser une seule lettre.

 

 

 

L’humour mystique du désespoir dort à l’intérieur du zéro à la lettre de la toupie.

 

 

 

La parabole d’aisance du désespoir envisage le brouillard de flèches de l’hébétude.

 

 

 

 

 

La santé du désespoir lave l’assassinat de la vérité dans l’eau de ses larmes.

 

 

 

La pulsion des larmes noie le noyau d’amnésie du temps.

 

 

 

L’aléa de démence des larmes épuise l’œil du soleil.

 

 

 

L’évidence du verre d’eau hallucine le râle de tact irresponsable du désespoir.

 

 

 

 

 

Le désordre est l’ordre qui désire.

 

 

 

L’ordre est le désordre qui dort.

 

 

 

 

 

La déraison projette l’équilibre.

 

 

 

La déraison donne la règle de sensation de l’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

La démence effectue des raisonnements d’odeurs.

 

 

 

La démence incarcère les sons selon la ligne droite des odeurs.

 

 

 

 

 

Les gencives de la déraison suggèrent le hasard d’un cercueil.

 

 

 

Le sourire de hasard de la déraison envisage le vide du temps entre les noms.

 

 

 

L’élégance de la déraison respire avec le yo-yo de guillotine du regard.

 

 

 

 

 

L’utopie affirme le désordre de la paix.

 

 

 

La respiration de l’utopie défenestre le jour debout de l’anesthésie.

 

 

 

L’utopie insinue le yo-yo de s’il vous plait de l’ascèse.

 

 

 

La crampe de l’utopie catapulte le sourire de l’érosion.

 

 

 

Le hasard de l’utopie projette le tact de l’invisible sur la page noire du corps.

 

 

 

 

 

La pulsion de l’utopie borde le merci beaucoup de l’océan.

 

 

 

La pulsion de lenteur de l’utopie borde le merci beaucoup de l’océan comme livre de lèvres de l’à bientôt.