Danse

 

 

 

 

 

 

 

La danse séduit la pesanteur.

 

 

 

La danse câline le dédale de l’imminence.

 

 

 

La danse dessine l’imminence de vide de la gravitation.

 

 

 

La danse pare la pesanteur avec la disparition du vide.

 

 

 

La danse projette l’exactitude de la chair comme le satellite de sa disparition.

 

 

 

 

 

La danse adonne la crampe de lévitation contorsionniste de l’espace.

 

 

 

La danse provoque l’épidémie de charme de la chair à l’intérieur de la passion par contumace de l’espace.

 

 

 

La danse insinue la soif de fenêtres des muscles à l’intérieur de la passion de désinvolture de l’espace.

 

 

 

La danse scandalise le miracle de l’espace avec les éventails de viande de l’au revoir immédiat.

 

 

 

La danse calligraphie la révérence taciturne du lointain par le cyclone de cils de l’espace.

 

 

 

L’orgie de vide de la danse exclame le déluge d’ascèse de l’espace à l’instant l’instant.

 

 

 

 

 

La danse cartographie l’oubli tabou du temps.

 

 

 

La danse cartographie la connivence de la terre et du ciel à l’intérieur du tact d’indécence du temps.

 

 

 

La danse affirme la chute en lévitation de l’espace à l’extrémité du temps.

 

 

 

La pandiculation de la danse pétrit la désinvolture d’ascèse de l’espace à l’extrémité du temps.

 

 

 

 

 

Le désespoir facile de la danse équilibre le ciel défenestré du hasard.

 

 

 

La crucifixion frivole de la danse improvise la certitude inexorable du sang.

 

 

 

Le hasard de tragédie de la danse sculpte la translucidité d’aveuglement de l’incendie.

 

 

 

Le gouffre de frivolité de la danse évoque le handicap épanoui de l’immédiat.

 

 

 

La désinvolture de tragédie de la danse affirme la syncope d’ascèse par contumace de l’immédiat.

 

 

 

 

 

La danse insinue la déchirure minérale du charme à l’intérieur de l’élan d’utopie de l’intact.

 

 

 

La danse donne à apparaître la chair comme projectile d’immanence du destin.

 

 

 

Le charme taciturne de la danse clandestine la démarche de blessures du sang.

 

 

 

 

 

A l’intérieur de la danse, la révulsion des os insinue la révérence des muscles.

 

 

 

A l’intérieur de la danse, l’au revoir tacite des os exclame le cercueil de hasard lascif des muscles.

 

 

 

La danse inhume la musculature de la respiration à l’intérieur de l’ossature d’incendie de l’au revoir.

 

 

 

La musculature d’affectation de la danse bande l’équilibre de la volonté à l’abandon.

 

 

 

 

 

La danse adonne la viande du vent.

 

 

 

La danse incarne la paralysie projectile du vent.

 

 

 

La danse adonne la rencontre de la viande du calme avec la lave du vent.

 

 

 

La danse esquisse le tonnerre de transhumance du vide.

 

 

 

A l’intérieur de la danse, la pudeur de la viande dessine l’indécence du vide.

 

 

 

L’instinct de translucidité de la danse sculpte la dénudation de l’aveuglement par les vertèbres de désinvolture de l’extase.

 

 

 

 

 

La pandiculation de la danse jette le vide de la viande à proximité de la respiration d’ascèse de l’instinct.

 

 

 

L’avalanche de cuisses de la danse abandonne l’imminence de la monotonie à la virtuosité alibre de l’instinct.

 

 

 

L’incendie de vulnérabilité de la danse cartographie les révérences d’ascèse du viol.

 

 

 

La danse adonne la révérence aléascive du viol par le salut de démesure de l’érosion.

 

 

 

 

 

La danse inhume la musique à l’intérieur de la translucidité des tympans.

 

 

 

La danse jette l’apparition de la chair jusqu’à l’énigme d’équilibre de l’au revoir.

 

 

 

La danse adonne la poitrine d’utopie du brouillard par la foudre de feutre de l’au revoir.