Respiration

 

 

 

 

 

 

 

La respiration survient abrupte comme ça, comme le drap du ciel à l’intérieur de la peau, comme l’aisance de terreur de l’immobile.

 

 

 

 

 

La respiration improvise la volonté de l’oubli.

 

 

 

La respiration peaufine la pourriture du blanc.

 

 

 

La respiration enracine l’espace par des esquives de vent tacite.

 

 

 

La respiration scie les associations d’idées du hasard.

 

 

 

La respiration projette la parure de la nécessité.

 

 

 

La respiration inachève la solitude du paradis.

 

 

 

La respiration imagine la foudre de translucidité du sang.

 

 

 

 

 

La crampe de la respiration vole l’hiver des apparences.

 

 

 

La crampe de la respiration apostrophe le chaos d’exactitude de l’inconnu.

 

 

 

La crampe de la respiration exclame la préférence d’anesthésie du ciel.

 

 

 

La crampe de la respiration sculpte le tonnerre de certitude de l’herbe.

 

 

 

La crampe de la respiration contemple par contumace l’arbre de tonnerre du sang.

 

 

 

La crampe de la respiration danse un escalier par jour.

 

 

 

La crampe de la respiration danse comme elle incendie l’arbre inexorable de l’érosion avec la roue de sommeil du silence.

 

 

 

La crampe de la respiration danse comme elle incendie la roue inexorable de l’érosion avec l’arbre de sommeil du silence.

 

 

 

La crampe de la respiration danse comme elle incendie la bouche inexorable de l’érosion avec la roue d’arbres du silence.

 

 

 

La crampe de la respiration sourit la paralysie de l’abîme par le coma d’utopie contorsionniste des tympans.

 

 

 

La crampe de facilité de la respiration sculpte la révérence d’ascèse de la dévoration par la démence d’incendie des os.

 

 

 

La crampe de la respiration calligraphie le magma de scies du sommeil avec les plaisanteries mystiques de l’au revoir.

 

 

 

La crampe de démesure de la respiration projette le mythe de tonnerre du silence.

 

 

 

La crampe d’exactitude de la respiration déclare la volonté d’aveuglement de tomber à l’intérieur du sang d’anesthésie de l’aujourd’hui.

 

 

 

La crampe d’anesthésie de la respiration abandonne l’hémorragie de sommeil

 

du visage à la roue d’arbres de la sensation du destin.

 

 

 

 

 

Le pense-bête de l’asthme fait un nœud de souffle au linceul de la solitude afin de ne pas oublier de mourir.

 

 

 

L’extase de l’asthme calligraphie la désinvolture de translucidité du feu à l’extrémité de la main d’amnésie de la bouche.

 

 

 

Le coma debout de l’asthme calligraphie la crampe de clandestinité à ciel ouvert de l’extase comme poussière de certitude du sang.

 

 

 

 

 

Le comment ça va de la poussière survient sans pourquoi.

 

 

 

La passion de la poussière dort à l’intérieur du couteau de la respiration.

 

 

 

La foudre de la poussière crucifie l’anesthésie de la respiration au dos du fou rire du destin.

 

 

 

 

 

L’ainsi de la respiration boit la brûlure de l’impardonnable.

 

 

 

La poussière du souffle métamorphose le tabou de la soif en feu de la conversation.

 

 

 

La pierre d’hémorragie de la respiration apparaît comme la friandise de terreur à suçoter quand le miracle vient trop tard.

 

 

 

 

 

La poussière de sang de la respiration déclare la foudre de solitude apocryphe du crâne.

 

 

 

La poussière de sang de la respiration calligraphie le gag de vouloir envisager le crâne de sommeil du destin.

 

 

 

La poussière d’anesthésie de la respiration sculpte le tonnerre de translucidité du sang au dos du destin.

 

 

 

La poussière de sang de la respiration sculpte le paradis d’apocalypse de l’illisible.

 

 

 

Le poignard de la respiration exclame la féerie du désespoir.

 

 

 

L’hémorragie de la respiration poignarde l’approche du chant.

 

 

 

L’hémorragie taciturne de la respiration affirme la tragédie d’indécence du chant.

 

 

 

Le poignard de sang de la respiration surgit jeté au visage de vide du jour.

 

 

 

L’hémorragie de silence de la respiration déclare le coma cosmétique du destin.

 

 

 

L’hémorragie de silence de la respiration calligraphie l’aura de dormir tu jusqu’à aujourd’hui.

 

 

 

Le poignard de poussière de la respiration sculpte le coma de certitude du destin.

 

 

 

 

 

La réponse inouïe de la respiration déclare la tragédie désinvolte de l’immédiat.

 

 

 

La volonté frivole de la respiration affirme l’aisance cruciale de la terreur.

 

 

 

La réponse tacite de la respiration calligraphie le ciel gisant debout de l’instinct comme la terre jaillie assise de l’anesthésie.

 

 

 

La volonté d’extase de la respiration improvise l’audace de nuages de l’aujourd’hui.

 

 

 

La certitude de la respiration envisage le crâne d’arbre du ça tombe à tu.

 

 

 

 

 

L’extase de la respiration déclare le rituel d’oubli tabou de la peau.

 

 

 

L’extase taciturne de la respiration contemple la fenêtre d’indécence de l’au revoir.

 

 

 

L’extase de la respiration incruste le saut périlleux du précipice à l’intérieur de la poitrine de l’amnésie.

 

 

 

L’extase de la respiration exclame le coma contorsionniste de l’instinct à l’intérieur de la poitrine de terreur de l’amnésie.

 

 

 

L’extase de vertèbres de la respiration pénètre le parachute de scies du sang.

 

 

 

 

 

La respiration provoque le pacte rituel de la parole et du silence au jour la nuit l’instant.

 

 

 

La respiration poste la bouche debout du coma à l’intérieur de la parabole de vertèbres de la certitude.

 

 

 

Le scandale de candeur de la respiration sculpte le coma debout de la blessure du sang.

 

 

 

La respiration sculpte la blessure d’anesthésie de la voix à l’intérieur du couteau

 

de s’il vous plait du vide.

 

 

 

 

 

La translucidité taboue de la respiration calligraphie la chute en érection à blanc de la chair.

 

 

 

La poitrine de draps de la respiration démesure la surface d’équilibre de l’incendie.

 

 

 

Le coma de certitude de la respiration calligraphie le feu de la conversation du sang.

 

 

 

Le coma de certitude de la respiration envisage le ça tombe du blanc debout jusqu’à tu.

 

 

 

 

 

La fenêtre de s’il vous plait de la respiration dort jetée debout en dehors du hasard.

 

 

 

Le coma de fusillade du souffle défenestre la féerie de vide du jour.

 

 

 

La défenestration d’extase du souffle provoque l’ouverture de l’habitude à l’instant l’instant.

 

 

 

 

 

La plaisanterie de la respiration déclare le strip-tease de s’il vous plait de la tragédie.

 

 

 

La tragédie d’insouciance de la respiration ravit le tact d’aveuglement des étoiles.

 

 

 

Le désespoir heureux de la respiration envisage l’incendie de sourires du râle.

 

 

 

 

 

Le gag d’anesthésie de la respiration provoque l’insinuation de gentillesse de la guillotine.

 

 

 

Le fou rire de la respiration dort à l’intérieur des vertèbres d’ascèse de la bouche.

 

 

 

La bouche debout de la respiration envisage la décapitation du ciel à l’intérieur de la brusquerie de lenteur de la syncope.

 

 

 

Le gag de la respiration contemple la main d’équilibre du vide à l’intérieur de l’arbre de bestialité du crâne.

 

 

 

 

 

Le crâne de la respiration surgit pendu à la peau de silence du sang.

 

 

 

La parabole d’os de la respiration déclare la pandiculation de silence du sang.

 

 

 

Le crâne de la respiration projette la posture d’incendie du coma debout.

 

 

 

Le crâne de la respiration peaufine le tonnerre de translucidité affriolante de la certitude.

 

 

 

 

 

La souche du souffle pose le visage d’au revoir d’un ciel décapité.

 

 

 

La racine de la respiration incruste le vide du jour.

 

 

 

La racine de sang de la respiration surnage le vide du jour.

 

 

 

La racine de translucidité de la respiration projette la parure de silence du feu.

 

 

 

La racine projectile de la respiration pare le sexe de l’ascèse avec la foudre du nuage.

 

 

 

 

 

Le ciel enraciné de la respiration épanouit le chaos de coïncidences du calme.

 

 

 

L’orage de la respiration mange à donner la main de paralysie du visage.

 

 

 

Le globe de brisures de la respiration peaufine la poussière d’extase du feu.

 

 

 

La foudre de la respiration calligraphie la révérence de verre de l’instinct.

 

 

 

La foudre d’anthropophagie de la respiration sculpte le visage du sexe à l’intérieur du coma contorsionniste du crâne.

 

 

 

La foudre de naïveté la respiration affirme la coïncidence projectile de la main de l’odeur avec l’inouï du crâne.

 

 

 

L’éclair de la respiration écartèle la poussière du sang à l’intérieur du crâne de couleur de l’au revoir.

 

 

 

Seul le feu de la respiration sait comment calligraphier le crâne d’inconnu d’un cul.

 

 

 

 

 

Le rituel de la respiration épanouit le handicap des os par la lévitation de lucidité de l’inconnu.

 

 

 

Le rituel de la respiration projette l’instinct d’ascèse du sommeil à l’intérieur du dos d’extase du sang.

 

 

 

L’instinct aphoristique de la respiration entasse les postures de chute immobile du crâne à l’intérieur de l’érosion de feu du paradis.

 

 

 

 

 

Le bégaiement du souffle sculpte la source de l’absurdité.

 

 

 

Le labyrinthe du souffle bégaie la marge de hasard de l’à bientôt à l’intérieur de la vitre d’anesthésie de l’incroyable.

 

 

 

La fable d’habitude inouïe de la respiration projette les acrobaties de feu du sang en dehors du cœur.

 

 

 

 

 

La poitrine cartographie la nudité de la respiration.

 

 

 

La main de la poitrine apparaît debout par le tonnerre de respiration du sang.

 

 

 

La main de la respiration apprend la préférence taciturne du temps.

 

 

 

La main de la respiration provoque l’approximation de vide du futur.

 

 

 

La main de la respiration compose le rendez-vous d’incroyable de chaque fragment de la chair avec le tas d’extase du silence en dehors de tout.