Crâne

 

 

 

 

 

 

 

Le crâne boit le tourbillon du blanc.

 

 

 

Le crâne boit le tourbillon de certitude du blanc.

 

 

 

Le crâne déclare le tohu-bohu d’abstraction du blanc.

 

 

 

La pulsion du crâne compose le cimetière cosmétique du blanc.

 

 

 

 

 

Le crâne bande par tohu-bohu du silence.

 

 

 

La bouche du crâne déclare l’orage de bijoux du silence.

 

 

 

L’habitude d’incroyable du crâne adonne la bicyclette d’éclaboussures du silence.

 

 

 

La certitude du crâne donne à sentir l'érection cruciale du silence. La certitude du crâne donne à sentir l'érection cruciale du silence comme fou-rire du destin.

 

 

 

 

 

Le crâne écoute le vol en éclats du sang.

 

 

 

Le crâne écoute le vol en éclats d’anesthésie du sang.

 

 

 

La pulsation du crâne compose le parachute paradoxal du sang.

 

 

 

Le crâne apparait comme le parachute du sang. Le crâne apparait comme le parachute de respiration du sang.

 

 

 

Le crâne apparait comme un parachute incroyablement efficace quand la chair ne vole pas. Le crâne apparait comme un parachute incroyablement efficace quand la chair marche sur la terre.

 

 

 

 

 

Le crâne crucifie le souffle.

 

 

 

Le crâne déclare la catastrophe de facilité de la respiration.

 

 

 

Le silence du crâne déclare la parure de bestialité de la respiration.

 

 

 

Le silence du crâne déclare le strip-tease d’icebergs de la respiration.

 

 

 

 

 

Le crâne déclare le vertige bestial d'apparaître debout.

 

 

 

Le crâne apparait comme une bombe à créer de l'équilibre.

 

 

 

La racine du crâne révèle la flèche d’équilibre de la chute.

 

 

 

La bouche du crâne déclare le bouquet de cicatrices de la chute.

 

 

 

Le chant du crâne incruste l’enthousiasme d’érosion de la chute.

 

 

 

Le crâne calligraphie la clarté de l'équilibre à l'intérieur du tonnerre de la chute.

 

 

 

La bouche debout du crâne sauvegarde le charme de terreur minérale de la chute.

 

 

 

La roue de fou-rire du crâne calligraphie la translucidité de la chute à l’intérieur de la respiration du sang.

 

 

 

 

 

Le crâne déclare l’envol de la paralysie.

 

 

 

La certitude du crâne déclare l’envol de translucidité de la paralysie.

 

 

 

Le crâne repose comme le cercueil de l’envol.

 

 

 

Le crâne exclame la crampe de translucidité de l’envol.

 

 

 

Le silence du crâne déclare l’excès d’utopie de l’immobilité.

 

 

 

 

 

Le crâne déclare le cyclone de naïveté de la certitude.

 

 

 

Le crâne exclame le bégaiement d’aisance de la certitude.

 

 

 

Le crâne déclare la catatonie de désinvolture de la certitude.

 

 

 

La flèche de sang du crâne envisage la catastrophe de facilité de la certitude.

 

 

 

La respiration du crâne déclare la parure d’anthropophagie de la certitude.

 

 

 

Le crâne exclame l’affectation de calme du futur comme le bouquet de culs de la certitude.

 

 

 

Le crâne exclame l’affectation de calme de la certitude comme le bouquet de culs du futur.

 

 

 

 

 

Le crâne catapulte le gag d’élégance du sommeil.

 

 

 

Le crâne incruste le bijou d’orage du sommeil à l’intérieur de la lucidité de la terreur.

 

 

 

La respiration du crâne déclare le minerai de sang de la nécessité.

 

 

 

Le crâne dort sculpté par la respiration de l’inconnu.

 

 

 

La respiration du crâne symbolise le sommeil du destin.

 

 

 

 

 

Le crâne affirme l’extase de froid.

 

 

 

Seul le crâne sait comment toucher une sphère de dos. Le crâne touche une sphère de dos par le fou-rire de silence du froid.

 

 

 

 

 

Le crâne projette le minerai de miracles du silence par la source de sourires de l'incendie.

 

 

 

La respiration du crâne déclare le scaphandre de sang de l’incendie.

 

 

 

La respiration d’ascèse du crâne déclare la mosaïque de sommeils de l’incendie.

 

 

 

Le crâne facilite l’habitude du feu.

 

 

 

Le crâne calligraphie les accroupissements magnifiques de la cendre.

 

 

 

Le crâne calligraphie les accroupissements magnifiques de l’habitude du feu.

 

 

 

La marge de fenêtres du crâne vole la sphère de cendres du feu.

 

 

 

Le crâne calligraphie l’incendie d’anachronisme du temps.

 

 

 

 

 

La main du crâne déclare l’odeur d’anesthésie du mépris.

 

 

 

La main du crâne déclare l’incendie de paix du mépris.

 

 

 

La main de respiration du crâne déclare le parachute d’odeur du mépris.

 

 

 

 

 

Le crâne révèle la décapitation du ciel.

 

 

 

Le crâne apparait comme l’enclume du ciel.

 

 

 

Le crâne éjacule l’odeur cyclopéenne du ciel.

 

 

 

Le crâne apparait comme un ciel cul-de-jatte.

 

 

 

Le crâne apparait comme un ciel handicapé par la répétition de la respiration.

 

 

 

 

 

Le crâne danse l’alcool de laconisme du ciel.

 

 

 

Le crâne danse l’alcool de laconisme du ciel par le hasard inconnu de l’ainsi.

 

 

 

Le crâne exclame la féerie de la soif au dos du ciel.

 

 

 

Le silence du crâne sculpte le vortex du feu de la conversation avec le besoin de hasard du ciel.

 

 

 

 

 

Le crâne révèle l’alcôve du volcan.

 

 

 

Le crâne transforme les volcans en verre d’eau.

 

 

 

Le crâne révèle le volcan d'esquives de la certitude.

 

 

 

Le crâne repose comme le volcan du tact.

 

 

 

Le crâne déclare le volcan d’aurore du coma.

 

 

 

Le crâne déclare le volcan satellite de l’utopie.

 

 

 

 

 

Le crâne repose comme la baignoire borgne du vide.

 

 

 

L’exubérance du crâne utilise les cercueils comme toboggans. L’exubérance du crâne imagine la coïncidence du cercueil et du toboggan.

 

 

 

Le crâne soude le trampoline du désespoir.

 

 

 

La pandiculation de certitude du crâne exclame le minerai d’extase du désespoir.

 

 

 

Le crâne déclare les acrobaties d’amour du tombeau.

 

 

 

 

 

Le crâne déclare des cathédrales de jusqu’à.

 

 

 

La certitude du crâne exclame la cathédrale de l’au revoir.

 

 

 

La certitude de translucidité du crâne exclame la cathédrale de menthe lascive de l’au revoir.

 

 

 

 

 

A l’intérieur du crâne, la fascination offre l'instinct.

 

 

 

La respiration du crâne déclare la cathédrale de l’instinct.

 

 

 

La respiration du crâne catapulte le magma d’abstraction de l’instinct.

 

 

 

L’illusion de lenteur du crâne déclare le sommeil d’incendie de l’instinct.

 

 

 

L’illusion de lenteur du crâne déclare le coma d’ascèse de l’instinct.

 

 

 

 

 

Le crâne inachève la chair.

 

 

 

Le crâne inachève la chair comme miracle burlesque de l’oubli.

 

 

 

L'instinct du crâne respire l’impact de translucidité de l'oubli.

 

 

 

La pulsion du crâne déclare la préhistoire de la chair.

 

 

 

La pulsion de couleur du crâne déclare la préhistoire de silence de la chair.

 

 

 

 

 

Le crâne ouvre les cuisses de l’âme.

 

 

 

Le crâne déclare le souffle anthropophage de l’âme.

 

 

 

L’enthousiasme cosmétique du crâne déclare la joie sans pardon de l’âme.

 

 

 

 

 

Le crâne invente des miracles de coma.

 

 

 

Le crâne éjacule le ciel cyclopéen du miracle.

 

 

 

Le feu d’artifice du crâne affirme l’instinct de paralysie du miracle.

 

 

 

 

 

Le crâne déclare l’animal d’anesthésie du dehors.

 

 

 

Le crâne déclare le cyclone d'herbes de l’anesthésie.

 

 

 

Le crâne excite la conversation de saisons de l’anesthésie.

 

 

 

L’incendie de s’il vous plait du crâne déclare le miracle sans y croire de l’anesthésie.

 

 

 

 

 

Le crâne hume la monotonie des nébuleuses.

 

 

 

Le crâne survient comme le cimetière virtuose des nébuleuses.

 

 

 

Le crâne crée les gags de translucidité de la monotonie.

 

 

 

 

 

Le crâne gratte les odeurs.

 

 

 

Le crâne gratte le rendez-vous de catatonie des odeurs.

 

 

 

Le crâne cartographie le dédale d’odeurs du hasard.

 

 

 

 

 

Le crâne déclare l’excitation du vide.

 

 

 

Le crâne rature avec le vide de la déraison.

 

 

 

 

 

Le crâne repose le projectile de la bouche.

 

 

 

Le crâne sculpte la lévitation du vide à l’extrémité de la bouche.

 

 

 

Le jeu d’orgie du crâne déclare la chute de la bouche à l’intérieur de la certitude de l’incroyable.

 

 

 

 

 

Le crâne contemple la voix vélocipédique de l'excitation.

 

 

 

Le crâne catapulte la mosaïque de monotonie des voix.

 

 

 

Le crâne calligraphie le viol d’anesthésie alibre de la voix.

 

 

 

Le crâne déclare la volonté de jaillir à l’extrémité du visage d’anesthésie de la voix.

 

 

 

 

 

La tête compose un sexe avec des yeux.

 

 

 

La tête tète l'odeur d’érection de l'espace.

 

 

 

La tête tète l'équilibre incroyable de l'espace comme œuf en érection de l'incendie.

 

 

 

 

 

Le crâne bégaie le souffle d’ombre alibre du sexe.

 

 

 

Le crâne imagine le bégaiement de souffle alibre du sexe.

 

 

 

L’instinct du crâne affirme le sexe de noli tangere du sommeil.

 

 

 

 

 

L’étonnement du crâne déclare la nudité du tabou.

 

 

 

Le silence du crâne sculpte le strip-tease du sperme.

 

 

 

Le sperme du crâne détruit le bavardage de lumière de l’alphabet.

 

 

 

 

 

Le crâne incruste le symbole de débauche de toujours.

 

 

 

Le crâne pose le problème de savoir comment enculer une clef.

 

 

 

La main de respiration du crâne pose le problème de savoir comment enculer la démence d’une clef.

 

 

 

 

 

Seul le crâne a l’audace de dormir à l’instant d’apparaitre crucifié par le cœur.

 

 

 

Le gag d’anesthésie du crâne affirme le geste d’apparaitre crucifié à quatre pattes. Le gag tabou du crâne repose la main d’ascèse du souffle comme foudre de crucifixion à califourchon du sommeil.

 

 

 

 

 

L'érection de comment ça va du crâne farde les acrobaties de s’il vous plait du gouffre.

 

 

 

Le crâne déclare une banquise de déshabillage. Le crâne déclare la dérobade de râles gelés de l’immortalité.

 

 

 

 

 

La main du crâne déclare la translucidité de l’aveuglement.

 

 

 

La main d’abstraction du crâne surgit comme l’éclipse de chute debout de l’aveuglement.

 

 

 

L’extase du crâne s’amuse à joindre les mains afin de mépriser la prière. L’extase du crâne s’amuse à joindre les mains afin de jeter le vide d’une main à l’autre et de savourer ainsi le gouffre intact de cette jonglerie insensée.

 

 

 

 

 

La cérémonie du crâne apprend comment dormir aux machines.

 

 

 

La pulsion de vide du crâne transforme les ordinateurs en totems.

 

 

 

Le pacte d’explosion du crâne peaufine le sourire de certitude de la ruine.

 

 

 

La respiration du crâne déclare le Christ contorsionniste de la poussière.

 

 

 

 

 

Le crâne compose un désert de sources.

 

 

 

Le crâne survient comme le dos d’éclairs de la dérive des continents.

 

 

 

Le crâne transforme les coups de fusil de l’équilibre en aphorismes de la dérive des continents.

 

 

 

 

 

Le silence du crâne tombe en possession d’un tas de rituels à perdre.

 

 

 

La voix du crâne ravit l’intégralité des besoins de l’imagination à la recherche de la certitude d’une terre perdue.