Jeu

 

 

 

 

 

 

 

La règle du jeu affirme l’habitude de hasard.

 

 

 

A l’intérieur du jeu le hasard répond. A l’intérieur du jeu le hasard répond comme passion de la nécessité.

 

 

 

Le jeu révèle la passion de jouir sans y croire.

 

 

 

 

 

La règle du jeu provoque le désespoir de la joie.

 

 

 

La règle du jeu révèle le tourbillon d’ellipses de l’instant.

 

 

 

La règle du jeu affirme le commencement comme catastrophe de facilité de la répétition.

 

 

 

La règle du jeu affirme le désespoir de joie de la répétition à l’instant.

 

 

 

 

 

La souveraineté du jeu affirme le geste d’avoir l’existence pour enjeu. Sinon le jeu n’est qu’un divertissement du narcissisme.

 

 

 

Quand la règle devient exacte à l’excès, le jeu survient comme le miracle de comment ça va de la bêtise.

 

 

 

Le joueur joue l’enfer et le paradis aux dés parce que le simple plaisir de jouer a pour lui plus de valeur qu’un malheur ou un bonheur éternels. Le joueur a en effet le sentiment que l’éternité ignore la joie du temps c’est dire la joie de l’hypothèse de perdre la joie.