Solitude

 

 

 

 

 

 

 

La solitude affirme l’aura d’obscénité de l’âme.

 

 

 

La solitude déclare la débauche d’équilibre de l’âme.

 

 

 

La solitude déclare le sommeil debout du destin.

 

 

 

 

 

La solitude excite le silence du crâne.

 

 

 

La solitude excite le silence du crâne par le vol debout du sang.

 

 

 

La grâce indésirable de la solitude affirme le tact de disparition de la terreur.

 

 

 

La solitude affirme le geste de disparaitre de temps à autre à l’intérieur de l’odeur de chute du crâne.

 

 

 

 

 

La solitude affirme le geste d’apparaitre comme le symbole alibre de son sommeil.

 

 

 

La solitude affirme l’audace de s’endormir à volonté.

 

 

 

La solitude affirme l’extase de l’anesthésie. La  jubilation de la solitude déclare l’anesthésie rituelle de la grâce.

 

 

 

La désinvolture inexorable de la solitude affirme l’aisance acéphale du coma.

 

 

 

La respiration de la solitude sculpte le comment ça va d’au revoir du sommeil.

 

 

 

La grâce invulnérable de la solitude affirme le geste de sauvegarder la multitude de postures de son sommeil à l’intérieur du déluge de couleur du crâne.

 

 

 

 

 

La solitude affirme l’animalité de l’apparaitre.

 

 

 

L’extase de la solitude invente une forme de clandestinité afin d’offrir cette forme à un animal.

 

 

 

L’extase cosmétique de la solitude salue la démesure animale du monde au jour la nuit l’instant.

 

 

 

 

 

La solitude affirme la forme de la plaisanterie paradisiaque.

 

 

 

La solitude déclare l’instinct de plaisanter au paradis.

 

 

 

La solitude affirme le jeu de transformer son nom en plaisanterie paradisiaque de l’amnésie.

 

 

 

Le gag de la solitude affirme le jeu d’apparaitre mangé par le fruit de la chute. Le gag parabolique de la solitude affirme le geste de devenir la proie impeccable du fruit de la chute du paradis.

 

 

 

 

 

La solitude survient comme un bain d’abandon.

 

 

 

Le besoin de solitude compose des étoiles d’herbes.

 

 

 

La conversation de la solitude a lieu à l’intérieur d’un désert d’herbes.

 

 

 

Le besoin désinvolte de la solitude joue à porter la ruine de sa maison sur le vide de son dos.

 

 

 

Le vol en éclats de coma de la solitude déclare le totem d’aveuglement du temps.

 

 

 

 

 

La solitude inachève le charme.

 

 

 

La coïncidence de la solitude révèle la racine d’inachevé du charme.

 

 

 

 

 

La solitude déclare le strip-tease de la voix.

 

 

 

La solitude bégaie le gag de clarté de la bouche.

 

 

 

La solitude bégaie les crampes d’utopie du tabou.

 

 

 

 

 

La solitude ne rêve jamais.

 

 

 

La facilité de la solitude affirme le coma cosmétique du miracle.

 

 

 

La solitude affirme la tentation de ruser avec l’érosion.

 

 

 

La solitude affirme le geste d’exister comme funambule de l’ascèse.

 

 

 

A califourchon sur le coma de la crucifixion, la solitude savoure l’envol alibre de l’instinct.

 

 

 

L’extase de désespoir de la solitude affirme la précision de calme de l’instinct.

 

 

 

 

 

La solitude a lieu. La solitude a lieu comme devenir de ça en dehors de l'histoire. La solitude a lieu comme apparaît par suite en dehors de la lumière de l’être.

 

 

 

L’avoir lieu de la solitude affirme l’euphorie de la certitude. L’avoir lieu de la solitude déclare la métaphore d’euphorie de la certitude.

 

 

 

La solitude a la tentation de détruire le totalitarisme de l’humanité obligatoire.

 

 

 

La solitude affirme la tentation virtuose de ne jamais avoir raison. La solitude affirme la tentation virtuose de ne jamais avoir raison sans jamais devenir fou.

 

 

 

A l’intérieur de la solitude, il apparait agréable d’écouter la conversation de rythmes entre son visage et son ombre.

 

 

 

Celui qui aime la solitude n’a pas d’inconscient. La solitude détruit l’inconscient de la pensée par l’inconnu de la chair.

 

 

 

La solitude survient comme une suite de sommeils. La solitude survient comme la suite de sommeils du destin. La solitude survient comme la suite de sommeils de l’instinct du destin.

 

 

 

La solitude a la tentation de séduire la chose d’anesthésie du destin.

 

 

 

 

 

Etre isolé est ennuyeux. Devenir seul apparait exaltant.

 

 

 

L’extase de la solitude provoque la destruction de la pensée.

 

 

 

La sensation d’apparaitre seul à vouloir une chose particulière détruit l’angoisse.

 

 

 

L’aisance alibre de la solitude détruit l’angoisse du désir d’être éternel.

 

 

 

 

 

La solitude contemple l’amnésie du miracle entre les quatre murs des deux yeux.

 

 

 

La solitude sauvegarde la disparition d’une galaxie à l’extrémité de chaque doigt.

 

 

 

L’amoureux de la solitude possède une langue particulière à chaque battement de cœur.

 

 

 

 

 

Les bégaiements de la gentillesse dessinent le linceul de la solitude.

 

 

 

La méditation des bombes déshabille le hasard de la solitude.

 

 

 

 

 

L’inouï de la solitude révèle la cicatrice de l’océan.

 

 

 

Le prénom d’inouï de la solitude révèle la cicatrice de nudité de l’océan.