Dos

 

 

 

 

 

 

 

Le dos déclare le don de l’oubli.

 

 

 

Le dos déclare le don de l’oubli comme extase de la solitude.

 

Le dos déclare l’habitude d’extase de l’oubli.

 

Le dos déclare l’habitude d’extase de l’érosion debout.

 

Le dos donne l’immanence alibre de l’oubli comme incendie taciturne de la séduction.

 

 

 

 

 

Le dos incarne l’érection de la lucidité.

 

 

 

Le dos déclare l’érection d’érosion de la certitude.

 

 

 

Le dos affirme la fiction de clarté du désespoir.

 

La pulsion de certitude du dos improvise le plaisir de catatonie de la lenteur.

 

 

 

 

 

Le dos déclare la sensation de sommeil du monde.

 

La certitude du dos déclare le cyclone du sommeil. La certitude du dos déclare le cyclone d’équilibre tabou des sensations.

 

 

 

La certitude du dos dénude l’instinct de neige de l’anesthésie.

 

 

 

L’extase d’anesthésie du dos déclare la débauche de certitude du silence.

 

 

 

 

 

La colonne vertébrale exclame un geyser de toupies.

 

 

 

L’excitation des vertèbres exclame l’équilibre bestial du blanc.

 

Le plaisir d’ascèse des vertèbres révèle l’équilibre incroyable de l’indécence.

 

 

 

Les vertèbres révèlent la démence d'insouciance de l’incendie.

 

 

 

La respiration des vertèbres rature le cerveau de manière impeccable. La respiration des vertèbres décompose le cerveau jusqu’à oublier le cerveau à la surface du crâne.

 

 

 

La respiration des vertèbres peaufine l’hémorragie de translucidité des tympans.

 

 

 

Le tourbillon de subtilité des vertèbres invente l’érection d’oubli de la certitude.

 

 

 

 

 

La volonté du dos apparaît au jour la nuit l’instant en dehors de la lumière.

 

 

 

Le dos déclare le jaillissement d’équilibre d’apparaitre en deçà du conscient et de l'inconscient.

 

 

 

Le paradis paradoxal du dos catapulte la nécessité désinvolte de la certitude comme feu de conversation du destin.