Vent

 

 

 

 

 

 

 

Le vent envisage l’élan du vide.

 

 

 

Le vent révèle la saturation du vide.

 

 

 

Le vent révèle la saturation d’élan du vide.

 

 

 

Le vent envisage les hurlements de sourires du vide.

 

 

 

 

 

Le vent jette son dévolu sur la translucidité.

 

 

 

Le vent dévore la translucidité. Le vent dévore la translucidité du ciel.

 

 

 

Le vent improvise le repos d’intolérance du ciel.

 

 

 

Le vent exclame la projection de translucidité de la disparition.

 

 

 

Le vent apparait comme un funambule virtuose. Le vent apparait comme le funambule sans fil de la translucidité du ciel.

 

 

 

Le vent survient comme une conversation d'échines. Le vent survient comme la conversation d'échines du dehors.

 

 

 

Le vent déclare la trajectoire d’aveuglement translucide du dehors.

 

 

 

Le vent ensevelit la translucidité du ciel à l’intérieur de la trajectoire d’aveuglement du dehors.

 

 

 

 

 

Le vent exclame les crampes épanouies de l’espace.

 

 

 

Le vent apparait comme une tentative d’espace.

 

 

 

Le vent affirme la tentative d’utopie immédiate de l’espace.

 

 

 

Le vent déclare l’instinct d’illisibilité de l’espace.

 

 

 

 

 

La débauche d’équilibre du vent révèle l’esquive de vide de l’espace.

 

 

 

La débauche chirurgicale du vent révèle la révulsion d’équilibre de l’espace.

 

 

 

La cible invulnérable du vent révèle le tourbillon de peau acéphale de l’espace.

 

 

 

Le vent transforme chaque chose du monde en calligraphie de souffle illisible du destin.

 

 

 

 

 

Le vent hume la musique.

 

 

 

Le vent survient comme le virtuose de la monotonie.

 

 

 

Le vent affirme la volonté de la tentation.

 

 

 

 

 

Le vent envisage les odeurs.

 

 

 

La certitude du vent envisage l'injustice des odeurs.

 

 

 

Le vent détruit le magma abstrait de la montagne et sauvegarde malgré tout le parfum alibre de son apparition

 

 

 

 

 

Le vent saoule l’alcool.

 

 

 

Les câlineries minérales du vent saoulent les cathédrales végétales de l’alcool.

 

 

 

Les cathédrales végétales du vent saoulent les câlineries minérales de l’alcool.

 

 

 

 

 

Le vent survient comme le parachute de l’au-revoir.

 

 

 

Le silence du vent survient comme le parachute de translucidité de l’au-revoir.

 

 

 

La sauvagerie de candeur du vent provoque les coïncidences de vertèbres de l’au revoir.

 

 

 

 

 

Le vent donne à l'arbre une multitude d’intuitions.

 

 

 

Le vent donne à l’arbre une multitude animale de sexes.

 

 

 

 

 

La voix du vent compose la respiration des statues.

 

 

 

La voix du vent imagine les statues d’au revoir translucide du tabou.

 

 

 

 

 

Le vent survient comme un vagabond désinvolte et sans besoin. Le vent ne demande pas à manger parce qu’il n’a jamais faim. Le vent ne demande pas de vêtements parce qu’il n’a jamais froid. Le vent ne demande pas d’argent parce qu’il n’a jamais envie de s’approprier quoi que ce soit. Le vent survient comme le vagabond de la volonté. Le vent survient comme le vagabond de l’extase à perdre de la volonté. Le vent survient comme le vagabond désinvolte de la sensation de disparaitre.