Temps

 

 

 

 

 

 

 

Le temps apparait comme le magma de coïncidences des instants. Le temps apparait comme le magma de translucidité des instants, le magma de coïncidences translucides des instants.

 

 

 

La forme du temps n’apparait ni comme un ordre ni comme un désordre.

 

 

 

Le temps n’efface pas dans un sens. Le temps n’efface pas dans tous les sens. Le temps rature en dehors de la totalité du sens.

 

 

 

L’obscurité désinvolte du temps rature les événements avec la main de l’amnésie et transforme ainsi les événements en choses de la nécessité rituelle.

 

 

 

La forme du temps apparait comme le rituel d’une explosion, le rituel d’une explosion à blanc comme à tu.

 

 

 

A l’intérieur de la translucidité in extremis du temps, il apparait tabou de tuer un autre homme et il apparait tabou de se suicider.

 

 

 

La sensation du temps apparait comme la prolifération de syncope d’instants sans pardon.

 

 

 

 

 

Le temps survient comme la métaphore de paralysie de l'espace.

 

 

 

Le temps survient comme la suite d'immobilités projectiles de l’espace.

 

 

 

Le temps apparait comme la sécrétion d’imminence paradoxale du mythe d’intimité de l’espace.

 

 

 

 

 

L’audace du temps apparait par son immobilité.

 

 

 

L’audace du temps apparait par l’utopie d’insouciance de sa paralysie.

 

 

 

Le rire du temps apparait par l’odeur de son immobilité.

 

 

 

 

 

Le temps déchire l’espace et transforme ainsi l’espace en peau d’exaltation du désespoir.

 

 

 

Le temps tourbillonne comme le magma de paroles de la dissociation de l’espace.

 

 

 

Le temps révèle l’utopie de toujours de l’espace.

 

 

 

 

 

Le temps affirme le partage symbolique des instants. Le temps métaphorise les instants. Le temps métaphorise la suite des instants. Le temps métaphorise la suite des instants comme projection de sommeil du destin.

 

 

 

Le temps apparait comme le paradoxe d’une déchirure qui symbolise, le paradoxe d’une déchirure qui donne rendez-vous. Le temps apparait comme le partage du destin. Le temps  partage la parabole d’ascèse immédiate du destin.

 

 

 

Le temps partage la solitude du destin par l’aisance de la syncope. Le temps partage la solitude du destin par le symbole cosmétique de son évanouissement.

 

 

 

Le temps apparait comme le toboggan de brisures du destin.

 

 

 

Le temps apparait comme coma du destin. Le temps calligraphie le coma de foudre du destin.

 

 

 

 

 

Le temps transparait d'oubli.

 

 

 

Le temps pose la parure de l’oubli.

 

 

 

Le temps pose la parure de comment ça va de l’oubli.

 

 

 

Le magma d’amnésie du temps provoque le régal de séisme du sourire.

 

 

 

 

 

Le temps multiplie des plaisanteries de miracle.

 

 

 

Le temps séduit l’homme comme miracle d’humour du hasard.

 

 

 

Le temps survient comme l’errance immobile d’une démesure qui détourne la chair du chemin de l’espace.

 

 

 

Le temps séduit l’homme de manière animale. La séduction animale du temps donne à sentir la forme du destin.

 

 

 

 

 

La pulsation du temps déclare la chose d’avoir lieu de la solitude.

 

 

 

Le temps donne à sentir l’extase de la solitude par le chaos alibre des coïncidences.

 

 

 

Le temps survient comme une allusion au hasard inconnu du vide.

 

 

 

La sensation du temps survient comme un télescope. La sensation du temps approche l’espace par l’excès d’équilibre du vide.

 

 

 

 

 

Le temps donne à sentir la pose de la tentation.

 

 

 

Le temps affirme la paralysie impeccable de la tentation.

 

 

 

La tentation du temps sculpte la trajectoire du ciel.

 

 

 

L’allusion alibre du temps transforme la révolution de la terre en révulsion de paralysie projectile du ciel.

 

 

 

 

 

Le temps affirme la nudité sans y croire du feu.

 

 

 

L’audace féerique du temps est de composer des phrases avec des odeurs.

 

 

 

 

 

Le temps vole en éclats à l’intérieur de l’odeur d’une main absolue.

 

 

 

Jouer à mépriser l’ombre du hasard par la précision de la chute affirme la seule manière de toucher le temps.

 

 

 

La violence du temps révèle la déchirure de l’âme.

 

 

 

La violence de désinvolture du temps déchire l’âme uniquement à l’intérieur du paradis.

 

 

 

 

 

Le temps écoute par contumace.

 

 

 

L’avalanche de fragilité du temps donne à sentir le vide de certitude de la voix.

 

 

 

L‘hémorragie athée du temps disparait à l’intérieur des visages de paradoxes du plaisir.

 

 

 

 

 

La marge de feu du temps affirme la crucifixion de souffle de l’ascèse.

 

 

 

La pulsation immobile de l’espace à l’intérieur du miracle de terreur du temps déclare l’apocalypse de calme de l’obscénité.

 

 

 

 

 

Il y a toujours même dans la passion ou la violence d’un homme une forme de politesse candide face au temps.

 

 

 

La démence enfantine du coup de feu dit à celui qu'elle tue "Tu as le temps".

 

 

 

 

 

Le futur dort à l’intérieur du crâne.

 

Le futur dort comme un don de foudre à l’intérieur de la jubilation d’invulnérabilité du crâne.

 

Le handicap sans pardon du futur révèle la forme d’enthousiasme du savoir.

 

 

 

 

 

Comme si demain était la forme d’un ami.

 

 

 

Comme si demain était la forme de l’étonnement d’un ami.

 

 

 

Demain repose à l’abandon comme héroïsme de la douceur.

 

 

 

 

 

Le toujours bégaie l’anesthésie.

 

 

 

Le toujours bégaie l’extrait de ciel intact de l’anesthésie.

 

 

 

La fontaine déambulatoire de toujours berce l’implosion de fragilité des voix.

 

 

 

 

 

Le rythme évoque le ravissement du temps.

 

 

 

Le rythme évoque le ravi de vous rencontrer du temps.

 

 

 

 

 

La rencontre révèle la trajectoire de jonglerie du temps.

 

 

 

L’événement révèle le pacte de provocation de l’espace et du temps.