Grâce

 

 

 

 

 

 

 

La souveraineté de la grâce affirme le geste d’exister à l’intérieur de la chute impeccable du paradis.

 

 

 

Le scandale de la grâce affirme la nécessité du paradis. Le scandale de la grâce affirme le miracle de nécessité du paradis par la posture d’extase de sa chute.

 

 

 

Le scandale de la grâce déclare le miracle d’humour d’apparaitre mortel à l’intérieur du paradis comme d’apparaitre immortel à l’intérieur de la chute du paradis.

 

 

 

L’artifice d’obscénité de la grâce affirme la coïncidence de la respiration et de l’éjaculation à l’intérieur du fruit de chute du sommeil.

 

 

 

L’artifice d’obscénité de la grâce calligraphie la solitude de l’instinct à fruit sauf. L’artifice d’obscénité de la grâce calligraphie la solitude de l’instinct à fruit de sommeil sauf.

 

 

 

 

 

La souveraineté de la grâce s’amuse à montrer la certitude d’extase de l’âme à chaque instant afin d’affirmer le paradis d’apocalypse d’exister comme la nécessité d’un miracle en dehors de la lumière de la vérité.

 

 

 

La souveraineté de la grâce affirme le geste d’exister à chaque instant d’une manière par laquelle l’exactitude animale de son destin ne soit jamais connue du tribunal de l’espèce humaine et apparaisse malgré tout sentie par la lascivité de sommeil de ceux que nous aimons.

 

 

 

 

 

La souveraineté de la grâce affirme le scandale de violer avec l’innocence.

 

 

 

La souveraineté de la grâce incarne la pulsion de l’envol en deçà. La souveraineté de la grâce affirme la tentation d’incarner la pulsion d’envol de l’âme en deçà de l’identité.

 

 

 

L’artifice de la grâce n’est pas d’acquiescer à la finitude ou de s’assujettir à l’infini. L’artifice de la grâce affirme le geste d’apparaitre abandonné au monde comme parure d’obscénité du transfini.

 

 

 

Le scandale de la grâce déclare la précision de l’obscénité à l’intérieur de la joie.

 

 

 

L’hémorragie de translucidité de la grâce déclare le vertige d’obscénité du dehors.

 

 

 

Le coma de la grâce déclare l’instinct cosmétique du ça tombe à oui.

 

 

 

 

 

La grâce apparait par la connivence symbolique de la chair et du visage. La grâce apparait quand le visage devient le symbole de la chair comme la chair devient le symbole du visage.

 

 

 

La souveraineté de la grâce savoure la joie d’avoir l’existence sauvée par un animal. La souveraineté de la grâce savoure la joie d’avoir l’apparence de sa chair sauvée par un animal. La souveraineté de la grâce affirme la posture de silence totémique du destin.

 

 

 

 

 

La bestialité de la grâce affirme l’habitude de respirer sans pardon.

 

 

 

Le scandale de la grâce affirme l’instinct de respirer jusqu’à devenir l’hémorragie debout de sa disparition.

 

 

 

 

 

La grâce déclare le dehors du sang.

 

 

 

La grâce donne à sentir le silence de l’herbe.

 

 

 

 

 

La grâce détruit par excès de paix.

 

 

 

La grâce affirme l’excès de certitude du désespoir.

 

 

 

Le visage de la grâce apparait déclaré par la vivacité inexorable du désespoir.

 

 

 

 

 

La grâce détruit la souffrance de l’éternité par la sensation du temps.

 

 

 

La translucidité de la grâce détruit l’obligation de la charité.

 

 

 

La certitude mortelle de la grâce déclare la main immortelle du don.

 

 

 

La grâce esquive la mort par la calligraphie d’aveuglement du coma.