Espace

 

 

 

 

 

 

 

L’espace donne à sentir l’éruption taciturne du temps.

 

 

 

La respiration de l’espace sculpte la translucidité du temps.

 

 

 

L’espace apparait comme la banquise de baisers du temps.

 

 

 

L’espace apparait comme la banquise de baisers de l’érosion debout du temps.

 

 

 

 

 

La démesure de l’espace détruit la lumière insignifiante du jugement dernier.

 

 

 

La respiration de paralysie de l’espace affirme la forme d’habitude anachronique du miracle.

 

 

 

La main de l’espace projette la lucidité irresponsable du tabou.

 

 

 

 

 

L’espace montre la dévoration de la paix.

 

 

 

Le crâne de l’espace mange le visage de la paix.

 

 

 

 

 

Le dehors facilite l’aura de la solitude.

 

 

 

La démesure du dehors facilite l’aura d’indécence de la solitude.

 

 

 

L’extase de désinvolture du dehors déclare le crâne de clandestinité du sang.

 

 

 

Le blanc bestial du dehors calligraphie la certitude inexorable du don à oui.